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La Panne, ce 3i Aoüt 1826.
Monsieur l’Éditeur,
Je u’ai pu me défendre d’éprouver tin sentiment de déplai:
en voyant qu’on ai fait insurer sans votre Feuille, N.° 62, m
épitre qui porte mon nom en toutcs lettres, et que je dois bien pl
i l’indüigente amitié d’un savant qu’a la severe équité d’un jug
D’abord, monsieur, hi mes tai ens, ni mon caractire, ni 1
position ne me permettent de me mettre en évidence avec 1
public éclairé qvi ne me traitera pas avec autant de bonté q
ne 1’a fait cct estimable Écrivain. L’ami qui a imprudemment
paraitre cetie piece, n’aura pas prévu qu’il me compromettait as
son auteur qui pourrait fort bien me reprocher mon indiscretie
Je ne sais oil cet ami a etc' prendre que j’e'tais le disciple
ce littérateur puisqu’il n’y a que trois mois que j’ai eu I’honni
de faire sa connaissance. Honneur, que sa renommee m’av
vivement fait rechercher. J’ai I’honneur etc. L’Onvir
Exemple d’une étonnante longiviti.
Un officier, qui porte sur sa phisionomie les traits de la francl
et de la cordialité, et sur son cceur le signe qui distingue
braves, nous fait part d’une conversation qu’il a eu avec
Polonais, et qui prouve que les habitans du Noid vivent b
plus longtemps qne nous. En efTet, nous Usous souvent dans
papiers publics, qu’il est mort en Russie des individus de 1
i3o et meme de i5o ans, et quoique les prodiges soyent J
fares en Pologne; le récit suivant en ofire un exemple
Monsieur n’est pas Allemand Non, monsieur, je »u1sa n
Crocoyie; a 1’Age de 9 anson me mit h l’école, et le degout
m mspira mon rudiment fit dire a mon mahre qu’il ne fcrait jan
Zuydcote 3t Augusty 1826.
Aen den Uytgever van het Veurnesch Advertentie-Blad.
Elk vogelken zingt zyn liededeken, en schoon ikgcen vogelken
benzond ik geêrne bet myne zingen.
Uw Advertentie-bladeren n.° 5q en 61hebben verslag gedaei
van het Twee-Gevegt die plaets gehad beeft te Gyvelde; en d<
Schryvcrs van deze twee artykels spotten met de vroome daedcr
van de Partyen, het waerc nogtans tc wenschen mynheei
den Drukker, dat alle twisten alzoo mogten vergaen, men zou<
zoo dikwils, voor eenen niet, het onuoozel bloed niet zien ver
gieten van jonge heeren die mogelyks geschikt waeren om een
jonge dochter gelukkig te maeken. Zonder alle die oorlogen e
gevegten, zoude ik, en veéle andere, zoo lang niet maegd ge
bleven zyn. En |uwen Bosch-wagter vraegt of’er geen monumer
gaet opgeregt wordenom dat vreed gevegt onsterfbaer te maeken
Ik zoude véél liever hebben dat men zulke daeden vergelde m<
het schenken van een gioot llerte van zuyvere suyker gemaekl
<tf een Soltil vau Masse-pain of'Zoeke-koeke.
Groete V-E. etc. D. T
