I Joi Kj JoJUli (Vervolg.) - BESCHRYVING VaN MERKWl-ÊRDiGHEDI N voorgevallen in de Be’gique, elc. T’jaer I2ql, den koning Edouaid det» om' ^’ankiyk zond tniddeler tyd gozanten dereni de Gal'es, aen den »J« dogt, I van Eneelaiid voerende 'Hog. in Gascogne, tegen Philippe—le—Belkoning van 2 12 o i aen Guy graef van Vljen- verzoekende zyne dogter ten houweiyke voor den prince zynen eeuigen zoon en erfgenaem, welk verzoek graef Guy aeugenaem was om het gioot houwelyk dat ter zoude doen, en ook om ’tgroót voordeel, dat liy daer (t) )Vignoble je ne connais pat bien la signification de c» wot, ce aerait atsez plaisant ei c’étaitlaun humme <jui culliv* est Vigne au iiKu d’une plantation. Bonlers le 8 Mai r83<f T.’rnnée passée, me promenant par les dunes de la Panne, prèi de Fumes, |e pensait a la cause de (’excessive rbalriir que j’y ressentais, dans on pays situé sous uu zone si teinperétandis que dans l’ltalie, les sommets d< s mont.rgnes sont couverts de U'ige, m.ilgié l’actioi dn'ecte des rayons du soieil qui darde esqu’apl.i'nh sur leur lète orgueillense. Est-ce la leflexiou de* rayons qui pir leur rencoutie lécipioque fortuent un foyei nu l’almospnèie de soieil, par sou acton su Ie ndire excite-t-il le feu cin ntaire qui y reside me disais-je. Cel atmosjdièie so laire uiu lifie-t-d l’oxigène, l’ydro^ène et ie caloie du notie, et cel e action est elle plus sensible a l’avenstit de sa densité Cette Q'tnlion asse* oiscuse p u -étre tnronrptébensiblem’occupa loisq.ie je vis uue vigne qu. croissait d.ms les dunes, dont ie* boutons vigoureux proineilaicnt des (mils excellents. Aussitót j’a- bandonne mes lëll xions phtlosophiques et je pense cnmbien il aural de l’avanlage a employer ce terrain inutile h nous af- fiauchir d’une contribution que nous payons a nos voi'ins. En airivant a Furnes, je me ptomrnais a la ioire, lêvant toute la cóte ande métamoipho ée eu vignolde ^t) lorsqu’on me dtt que monsieur Pioot, de Furnes, propriétaire d’une grande partie de dunes, se propose de fane un essai considerable, si lc gouvernement voulait y intervenir pour quelquc chose. Fier d’apparlenir a ma nation, je levais son bonheur son opulence el surtout sa liberie non cette libeité individuelle chimère qui cajole qtr’lques lè'es cxaltées, mats c<tie liberie qui affranchit un people d un an re. Jamais je ne désirait les bon- r^euis. au contiaue j'eiais ieiouuatssant enveis ceux qui voulaicut e’cliatiger leur repos contie uue giaudcur qui coüle plus a con- server et a soutenir qu’a olitenir. Ct pendant, pour la première fois, j’aurais voulu ètre rapproché du tróne, j’autais voulu y employer mon crédit et aussitol ètr« oublié a jamais. J. J. Narast.

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Het Advertentieblad (1825-1914) | 1834 | | pagina 5