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II semble que oui. Du point de vue technique, le marché est préparé a une reprise questions politiques bientöt résolues positions moins fortes ou en bonnes mains recul sensible de l'ensemble des valeurs continuation de l'abondance monétaire chez nous et de la prospérité économique enfin rentrée de coupons au début de Juillet considérable. A cöté de toutes-ces bonnes raisons, quels sont les éléments défavo- rables J'usqu'a présent on a fait état des augmentations a jet continu et a raison. Je crois pouvoir dire qu'après celles annoncées, il y sera mis un frein. La méfiance du public est un autre argument qu'on a mis en avant. Mais l'évolution est faite dans la majorité des esprits qui ont de la Bourse certaines connaissances et ceux qui en ont moins emboiteront le pas un peu plus tard. II est évident qu'on a payé l'embal- lement et que la masse l'a fait payer aux plus prévoyants qui n'achetaient que du bon titre elle a jetc tout par dessus bord sans distinction aucune. Et l'on constate durant ces premières séances de la semaine quemalgré la liquidation trés difficile a Paris, il y a quelques ordres. On procédé lentement la spéculation qui accompagne cette ambiance de fermeté est prompte a se dégager d'oü pour le marché, un non accroissement de positions, élément favorable par excellence. L'élément baissier apparait être plus nerveux il sent qu'on ne peut plus baisser et qu'a la moindre saute de vent, il devra s'empresser de racheter ce qui lui manque. Or, il ne doit plus rien attendre des questions de difficultés de place les événements politiques se déroulent normale- ment la monnaie anglaise se défend mieux et l'Amérique est en nouvelle période de hausse. Et lorsqu'on dit que plus jamais la Bourse n'aura de beaux jours et que les brutales hausses sont de l'histoire ancienne, que les broyeurs de noir regardent la Hydro Securities. Et pourtant son animateur n'est plus. Mais qu'on ne l'oublie pas, l'esprit reste car l'homme est né joueur et la Bourse fait partie intégrante de notre époque. Je me bornerai cette semaine a examiner et a interpréter ce qui se passé dans la rubrique colonialeoü, sans qu'on y prenne garde, on assiste a une évolution marquée. J'illuminerai d'un exemple ce nouvel état de choses. Comme préambule, je rappellerai les paroles de Monsieur Jaspar, Ministre des Colonies Le Congo est notre meilleur patrimoine et le bien des générations futures. Tous les beiges y consacreront leur énergie et ils devront leur richesse et leur salut au Congo. Cette confiance est partagée par les deux plus grands organismes bancaires de Belgique la Société Générale et la Banque de Bruxelles. Si l'on examine leur portefeuille, on constate, surtout pour la première, qu'en valeur actuelle, les intéréts en valeurs coloniales représentent non loin de 5o de la valeur boursière du titre. Dès lors, pourquoi bouder aux affaires coloniales quand on constate pareille situation. Je conqois qu'un ignorant se dise la Générale sait ce qu'elle fait done en achetant son titre, je me mets a l'abri. Mais qu'un intellectuel ayant les moyens d'investigation a sa disposition s'en tienne a cette maxime, c'est procéder par empirisme d'une manière simpliste. Puisque la prospérité de l'un est fonction de la prospérité de nom- breuses cellules actives, plus développées les unes que les autres, l'intel- lectuel doit constituer lui-même son holding, a la manière de la Générale par exemple et il en retirera, étant donné l'étape de révalorisation pas- sée, un plus gros rendement d'abord et une certitude de plus value ensuite. La semaine a été marquée par l'effondrement de la Cregecofiliale de la Banque de Bruxelleset par son relèvement partiel. Lorsqu'on jette un regard en arrière, on aperqoit maintenant combien mes vues étaient clairvoyantes quand j'estimais la Cregeco et ses filiales, Cominex, Secia, etc... a des prix trop élevés. Mais les jeter par dessus bord a cette époque, c'est manquer de sang froid. Les financiers de la Banque de Bruxelles sont trop habiles que pour avoir laissé gaspiller le capital sans défense et lorsque ces titres sont a leur prix de revient ou en dessous, le risque de perte est nul et l'espoir de gain appreciable. Les combinaisons projetées indiquent nettement un effort vers le regroupement et ce sera un bien c'est a tort que l'on a créé toutes ces filiales et la décision qui vient d'être prise indique clairement qu'on cesse de persister -dans une erreur. Maintenant que la crise est sur le point de s'évanouir, on est en droit d'espérer une amélioration sensible et l'on peut se risquer a pratiquer une moyenne lente. Mais je n'hésite pas a continuer a éviter La Lowa, la Compagnie Indus- trielle Africaine, la Congo Beige, la Sobelkat, toutes valeurs au sujet des- quelles tant de personnes me sont reconnaissantes de leur avoir conseillé la vente. Quant a la Sacomintral'octroi d'une concession consolide sa situation de jeune affaire et pour autant qu'elle ne se livre a l'éparpillement de ses forces dans des sens divers, son activité agricole seraunesource de revenus satisfaisante. Je l'ai souvent dit. Pour ceux qui lisent les bilans, ils se seront rendus compte a la lecture de celui de la Simkat, trés brillant celui la, de ce que leur réserve le bilan Géomines, avec les bas prix de l'étain durant l'année 1928 et ils n'omettront pas de se rappeler qu'en 1929, les prix ont encore fléchi. On constate suivant l'axiome que j'ai souvent, dans cette chronique, eu l'occasion de rappeler que les affaires actives attirent les capitalistes avisés. On sent un revenez y (il n'est que temps) en Union Minière, en Tanganyika, en Kasai, que la chute anormale de la Gregeco n'a pas touché, en Ordinaire Haut Congo, en Cimentkat, en Trabeka, Simkat etc. La Belgo Katanga revoit les acheteurs qui se disent qu'un titre donnant 4 de revenu l'an n'est pas a dédaigner. Les Brasseries du Katanga font l'objet d'achats discrets. Les acheteurs pensent non a tort que moyennant 3ooo frs, ils auront deux titres qui leur donneront un revenu dépassant Frs 100. - l'an prochain. Et l'on dit que les valeurs coloniales ne rapportent pas Tous les titres dont je viens de parler donnent indistinctement plus que la Part De Reservecomme revenu du capital s'entend, et je suis dès lors en droit de conclure que tous ces titres forment entre eux un petit ho*ldine

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersch nieuws (1929-1971) | 1929 | | pagina 5