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Ghronique Financière
TELEFOONDIENST
Tegiment, dat hier binst den oorlog nevens de
Engelschen streed, zouden verheerlijkt wor
den.
MDeclercq. Ik denk dat dit een slecht
voorgaande zal zijn en dat nog andere Engel-
sche divisies en regimenten dit zelfde voor
recht zouden kunnen vragen, zoodat onze
Hallen wellicht hun historisch uitzicht zou
den verliezen. Er werd vroeger gevraagd
deze opschriften te plaatsen op den muur van
het vleeschhuis in de Boomgaardstraat, maar
daar zouden zij zooveel niet in 't zicht zijn.
M. Sobry. Mij dunkt dat dit een herin
nering is aan hetgeen hier van 1914 tot 1918
te Yper gebeurd is. Volgens mij zouden zulke
opschiften geenszins het karakter onzer
Hallen schenden, gezien zij ook een deel der
geschiedenis van Yper weergeven.
M. Vermeulen. De gevel onzer Hallen
is lang genoeg om er een opschrift te mogen
op plaatsen. Voor den oorlog ook bestonden
daar opschriften en niemand heeft daar ooit
een bezwaar tegen gevonden. Daarbij het
past dat wij bij voorkeur een eereplaats ver-
leenen aan het eenig belgisch regiment dat
hier te Yper nevens de Engelschen streed, en
onze Engelsche vrienden zullen voorzeker
ditzelfde voorrecht niet vragen vermits zij
hier reeds hun monument hebben.
M. Lemahieu. Dit is alleen maar een
eenvoudige mededeeling.
2) De heer Voorzitter leest een brief van de
heeren Ommeslagh, Masschelein en Bouquet,
leden der Commissie van Openbaren Onder
stand, waarbij zij den wensch uitdrukken dat
de Knechtenweezenschool van den Vlamer-
tinghesteenweg in stad, bvb. op den grond
van den gewezen groenselhof van het vroeger
krankzinnigengesticht der Lange Thourout-
straat, zou herbouwd worden. Daar zouden
de kinderen evenzeer van de gezonde lucht
kunnen genieten en ware er mogelijkheid later
alle gewenschte uitbreiding aan het gesticht
te geven. Thans zijn de kinderen te ver van
de stad verwijderd om de lessen der beroep-
school, nijverheidsschool, muziekschool of
andere te kunnen volgen, en degene die naar
de stad komen zijn dan op heel dien langen
afstand aan alle gure tijden blootgesteld, ze
kunnen maar moeilijk bewaakt worden en
hebben dan nog iedermaal den gevaarlijken
overweg van den Vlamertinghesteenweg te
dweerschen.
M. Vandamme. Ik vind het zonderling
dat leden van den Openbaren Onderstand,
die steeds zoo onafhankelijk willen zijn, zich
nu vernederen om beroep te doen op den
gemeenteraad. Ik voor mij vraag dat de Wee-
zenschool zou herbouwd worden daar waar
de meerderheid van den Openbaren Onder
stand het beslist heeft.
M. Sobry. Wij hebben thans geen beslis
sing te nemen noch een advies te geven.
M. Missiaen. Ik zal dit punt op de aan
staande zitting doen brengen.
3) De heer Voorzitter meldt dat er nog een
brief is toegekomen vanwege den heer Hosten,
doch gezien het een persoonskwestie geldt
zal hiervan in de geheime zitting kennis ge
geven worden.
4) De heer Voorzitter leest vervolgens nog
een brief van bedanking vanwege de familie
Van Nieuwenhove voor de deelneming die de
stad in haar rouw heeft genomen.
M. Lemahieu. Laat ons liever Maandag
aanstaande opnieuw vergaderen om de be
grooting te bespreken. Thans is het uur reeds
wat gevorderd en wij hebben nog verschei
dene punten in de geheime zitting te behan
delen.
M. Vandamme. Ik heb vernomen dat de
Halletoren tot op den grond moet afgebroken
worden. Is dit waar
M. Sobry. Hi; moet slechts gedeeltelijk
tot op een zekere hoogtejafgebroken worden.
M. Vergracht. Dit°is een schoon ge
schenk dat men den aannemer doet
M. Vandamme. Naar het schijnt ont
vangen de werklieden van M. Vandekerck-
hove geen kindervergoeding en weigert de
aannemer zich bij een compensatiekas aan te
sluiten.
M- Missiaen. Dit gaat de stad niet aan,
de werklieden moeten zich hiei voor naar hun
syndicaat wenden.
M. Sobry. Is de raad van gedacht Maan
dag aanstaande opnieuw te vergaderen met
als eenig punt op de dagorde de bespreking
der begrooting
Al de raadsleden stemmen hiermede in en de
heer V -orzitter verklaart hierop, om 20 u. 20,
de openbare zitting opgeheven.
La Bourse continue le travail de réadap-
tation dont j'ai si souvent parlé. II faut se
rendre a la raison nous retournons a la
normale.
De même qu'une fortune bien équilibrée et
d'esprit conservatrice possède quelques
terres, peu de maisons (sous un régime de lois
d'exception) mais s'attache a avoir du revenu
de son argent de même, un portefeuille bien
établi, peut posséder des titres tels la Katan
ga, mais ne doit pas s'y borner. Sinon de quel
revenu vivrait-on
II faut que le portefeuille de chacun soit
conditionné de telle manière qu'on y trouve
des valeurs a rendement immédiat, telles la
Rand MinesChemins de fer Beiges, des Rentes,
pour ceux qui désirent supprimer dans la plus
large mesure, le risque de perte et de gain
on doit y trouver des valeurs bien assises,
dont le rendement est certainement progressif
du type des Ciments du Katanga et Brasseries
du Katanga et quelques valeurs d'avenir tout
aussi certain que les précédentes, mais a
caractère plus spéculatif ce seront des
KatangaKasai et pour plus tard des Minière
Lacs. Tout cela est une question de temps,
de doigté et de dispositions personnelles.
Je serais de ceux qui conseilleraient les
valeurs d'Electricité, car je crois a l'avenir
illimité de cette branche d'activité humaine,
si la plupart de nos valeurs ne possédaient
pas diverses catégories de titres. Mais toutes
ces affaires, du point de vue portefeuille, ne
sont pas du type Centrales Electriques des
Flandres, et la cotation de trop de ces belles
valeurs, dont le ressort unique était la spécu-
lation pure, est manifestement surfaite si l'on
se contente d'envisager les années prochaines.
Et puis de quoi sera fait l'avenir Les
troubles politiques dont nous sommes hélas
dotés, ne nous mèneront ils pas, après la
question épineuse des langues, vers uhe orien
tation plus démagogique encore. Et s'il en
était ainsi, il suffirait de regarder Outre-
Manche, pour imaginer a quels résultats
piteux nous arriverions.
Bref si l'on peut dire que l'on joue le der
nier acte en Bourse, préalable a de meilleurs
sentiments, je ne sais assez dire et redire,
qu'il faut mettre de cöté tous les sentiments
que l'on nourrissait autrefois pour les affaires
ayant des titres de second rang et dont le
capital a rémunérer est considérable. Cela est
fini pour longtemps.
Le bilan de la Géomines vient de paraitre.
On me rendra cette justice que je ne me suis
pas laissé éblouir par les biillantes déclara-
tions qui se rapportent d'ailleurs a ig33 et au
dela, pour dire ce que je pensais et les résul
tats sont piètres. Je répète qu'il faut vendre
1" Le bénéfice de l'an dernier est obtenu
grace a un prix moyen de l'étain de 220 livres
on est a 190 ce jour.
20 Le revenu que peut donner le titre est
de o.5o °/o, après trés peu d'amortissements
et ce revenu ne tient pas compte de l'inter-
vention a meilleure fortune des actions C.S.K.
3° La production n'augmentera pas avant
deux exercices, a déclaré M. Allard.
40 Le prochain capital a rémunérer sera de
l'ordre de 200 millions contre 16, valeur
nominale.
On aura l'occasion, sous peu, de reprendre
ce titre beaucoup plus bas. Je ferai signe et
l'on a tout le temps d'attendre.
Pour se rendre compte du désarroi qui
règne dans l'esprit du public qu'on compare
le taux de la capitalisation de ce titre o. 5o
avec le bénéfice net de la Kasai qui dépasse,
5 par titre, soit dix fois plus. Et cette der-
nière n'augmentera pas son capital.
Quant a ceux qui durant 1927 a 1929, ont
acheté du titre cher et dans les valeurs de
second rang, il n'est pas trop tard de vendre.
II faut même encore le faire. On paie certes
son entêtement a attendre, mais il faut se
rendre a la raison. Si vous arbitrez ces litres
contre des valeurs, et elles sont nombreuses,
qui donnent de 5 a 8 de revenu, avec une
marge de sécuiité totale, endéans un an, il y
aura des brèches de comblées.
Si vous vendez a de bas cours, vous achetez
le titre qui vous donne du revenu a de bas
cours. Votre arbitrage est done logique.
Avez-vous constat la fermeté des chemins
defer Congo durant cette période de marasme
Pourquoi, paree que les actions ordinaires a
et b font piécisément partie de la catégorie
des titres a revenu. Ces marchés sont fort
étroits et la moindre demande importante
fera boudir les cours 11 faut profiter des jours
comme ceux que nous vivons pour faire des
occasions.
On peut s\ir\e.W\er\esSuburbainsde Varsovie.
Ces titres ont baissé beaucoup, on est 200
francs le dernier coupon était de i5 francs.
II pourrait se passer du neuf quelque jour de
ce cóté. C'est une solide affaire dont l'avenir
est assuré.
La rubrique coloniale patit par continuation
des cotations déplorables de nombreuses
affaires dont j'ai si souvent, a cette même
place, fait le procés. Oü sont tous ces beaux
articles sur la Kivu, devant un cours papier a
100 francs, en attendant moins Et les Sech
les Comali, Lowa. etc... a 20 7° et moins dé
leur valeur d'antan.
Les Minière Lacs ont un marché agité qui
dénote plus la fermeté que la faiolesse, grace
a un élément baissier important. Mais pour
que cette hausse se concrétise, il importe que
la Brazilian Traction, Securities et la Barque
de Paris montent. Cela c'est la Bourse actuel-
lement et c'est la manière de porter juge-
ment sur une valeur Congolaise
Remarquez d'ailleurs que les mouvements
en parts de Réserve sont mus par le même
levier.
Tout cela pour revenir encore une fois a
mes moutons ces situations anormales au
sujet desquelles je ne plaisante pas, tout en
ayant l'air, indiquent que le public n'a pas
encore compris la bourse.
Tel me disait l'autre jour comment se fait-
il que vous conseillez la vente d'un bon titre
acheté a but spéculatif, alors que vous esti-
miez qu'a un cours plus élevé, il fallait le
conserver Paree qu'il y a un abime entre du
titre mis en portefeuille et du titre qui coüte,
et dont on ne sait peut être pas acquitter les
frais.
Des marchés étrangers, rien a signaler
sinon qu'ils sont logés a la même enseigne
que nous. En Allemagne, il y a lieu de noter
la détresse de nombreuses banques secon-
daires nous sommes chez nous, bien heureu-
sement, protégés de ce fléau. A Neiv-York,
les déclarations de M. Hoover font l'efiet sur
le marché d'une emplatre sur une jambe de
bois. Quand un marché a subi une pareille
secousse, il doit soullier. En France, la lour-
deur est due a l'influence des places étran-
gères. Londres est sans ressort, malgré la
diminution du taux de l'escompte.
Ceci dit, tout commentaire sur le marché
du terme serait superftu, puisque son attitude
est conditionnée a celle des places étrangères.
II y a moins a vendre, mais l'on y est craintif
pour de nombreux motifs et les dispositions
qu'on parle de prendre pour réglementer ce
marché, pour obliger bon nombre de per-
sonnes a respecter leurs engagements et a
faire montre d'honnêteté, ne sont pas les
moindres. La masse de gens véreux qui ont
gaté le marché ne pourra plus y jeter le
trouble, car ils seront tenus, avant d'opérer,
a décaisser autre chose que leur soi disant
parole et leur engagement de régler, que les
faits font disparaitre.
Naar wij vernemen zal in het telefoonnet
van Yper een eerste verandering beweikstel-
ligd worden. De groote zware telefoonpalen,
waarop honderden en honderden geleidingen
van telefoonabonnenten gespannen zijn, zul
len langzamerhand verdwijnen en vervangen
worden door de onderaardsche telefoon
kabels, die eenige maanden geleden in de
stad gelegd werden. Enkel zullen eenige ver
takkingsposten behouden worden, zoodat het
heffen der storingen in groote mate zal ve'
gemakkelijkt worden en terzelfdertijd bijdra
gen om de menging der gesprekken, waaraan
het huidig net te veel onderhevig was, groote-
lijks te verminderen.
Die wijzigingen zijn dus een eerste stap
tot de inrichting van het nieuw voorgesteld
te efoonmiddenkantoor.
IJ A N CIN G
lederen Zondag tous les 'Diman
namiddag vanaf ches a partir d
6 uur, in het §Èj 6 heures,
«Hotel des W 1' Höte'
Brasseurs Brasseu?s"
Stalieplaats. - YPER PI. de la Gare
Vrije ingang. Enlrée libre.