La Chorale St-Martin de Roubaix a Ypres
Visile (te la 11 Fanfare du Commerce
d'Armealièrss
Prachtige BLOEMENSTOET
Het Concert der Harmonie Ypriana
De Prijsuitdeeling
La Distribution des Prix
EEN VRAAG
Voor ons Kerkhof
EEUWFEESTEN
ZONDAG 28 SEPTEMBER 1930
- Prijzen en Premiën 14.000 fr. -
G. Versailles. H. Sobry.
2 ju-—
Het Bestuur der Harmonie Ypriana
heeft het gelukkig initiatief genomen de marsch
Giocosa van Henri Moerman, die hier te
Yper gedurende zoo lange jaren bestuurder
was van het muziek De Oud-Pompiers in
te studeeren.
Deze marsch werd, in den nationalen wed
strijd voor de toonzetting van de Marsch
der Tentoonstelling van Antwerpen ig3o
met den derden prijs bekroond, en zal nu
morgen, ter gelegenheid der viering van ons
Nationaal feest, op de kiosk der Groote
Markt, door de Harmonie Ypriana uitge
voerd worden.
Vroeger reeds hadden wij den wensch
uitgedrukt deze marsch hier te Yper eens te
mogen hooren, en wij zijn dan ook de Har
monie Ypriana en haar talentvollen be
stuurder, M. Lionel Blomme, uiterst dankbaar
ons die gelegenheid aan te bieden.
aan de leerlingen der Gemeenteschool en der
Bewaarschool, Sint - Jansstraat, zal plaats
hebben in de Hallen op Donderdag 3l Juli,
te 3 uur stipt.
De ouders, oud-leerlingen en vrienden van
het onderwijs worden verwacht.
aux élèves de l'École Communale et du Jardin
d'Enfants, rue St Jean, aura lieu dans les
Halles le Jeudi 3l Juillet, a 3 heures précises.
Les parents, anciennes élèves et amis de
l'enseignement sont attendus.
Dimanche dernier la Chorale St-Martin de
Roubaix était en excursion k Ypres. Elle
profita de sa visite a notre ville pour solen
niser la messe de io 1/2 h. a l'église des Rév.
Pères Carmes. Elle exécuta quelques uns des
plus beaux morceaux de son répertoire. On
peut dire sans exagérer que les plus difficiles
ont été satisfai's. Le Kyrie en ut mineur
et O Salutaris de Gounod, ainsi que
l'Agnus Dei de la Messe en sol de Dubois
ont été exécutés avec une justesse et une
homogénéité de nuances parfaits. M. Crétel
fit entendre de sa belle et claire voix de ténor
«l'Ave Maria» si beau et si touchant de César
Franck. Tous les chants furent accompagnés
magistralement par le dévoué président, M.
Eug. Delporte, qui tenait les orgues Bref,
une exécution magnifiquè, dont l'honneur
revient au merveilleux directeur, qu'est M.
Perment. II con tuit sa chorale de main de
maitre. II s'est montré également excellent
organiste en jouant aux grandes orgues apiès
la messe une sortie brillante. Nous espérons
que la Chorale Saint-Martin de Roubaix
daignera revenir a Ypres, poury chanter p. e.
une messe solennelle en notre Cathédrale
reconstruite. C'est le voeu de tous les ama
teurs de belle musique religieuse.
Notre ville a regu Dimanche dernier la
visite de la Fanfare du Commerce d'Ar-
mentières, une des meilleures phalanges
musicales du Nord. Nos bons amis et voisins
d'Armentières étaient attendus a la gare par
notre dévouée harmonie Ypriana et, a leur
descente du tram de 9 h. 3o, MM. Grutvez et
Wtckesser, respectivement président et vice-
président d' Ypriana ainsi qu'un membre
du Comité des Amitiés Francises d' Ypres
leur souhaitèrent cordialement la bienvenue.
Ua cortège se forma aussitót et c'est au son
des pas-redoublés les plus entrainants que les
musiciens francais et le grand nombre d'amis
qui les accompagnaient furent conduits a
l'hótel de ville.
M. le bourgmestre Sobry, entouré de MM.
les échevins Declercq, Lemahieu et D'Hu-
vettere, de M. Vandamme, conseiller com
munal et M. Vandenbraambussche, commis-
saire de police, congratula nos visiteurs en
ces termes
Messieurs,
Au nom de la Ville d'Ypres j'ai l'honneur de
vous souhaiter la bienvenue et de vous pré
senter l'hommage de ma reconnaissance pour
votre aimable visite.
J'apprends avec plaisir que ce n'est pas
seulement la Fanfare du Commerce et son
dévoué directeur, mais que c'est encore le
premier magistrat de la ville d'Armentières,
l'honoré président de la Fanfare et une élite
de la population Armentièroise qui viennent
donner un témoignage d'estime et d'affecticn
a notre ville martyre. Pour l'honorer a ce
point, il faut que vous l'aimiez Vous l'aimez,
paree qu'en 1914, au début de la guerre, son
cceur battait a I'unisson avec le coeur de son
Roi et des Chambres beiges, quand ils s'oppo-
saient unanimement au passage a travers la
Belgique neutre et inviolable, des armées
allemandes et autrichiennes en guerre avec la
France
Vous l'aimez, paree qu'elle applaudissait au
courage de son Roi et de l'armée beige,
quand, comme Léonidas et ses trois cents
Spartiates contre la Perse, ils marchaient
résolument a l'encontre d'un ennemi incom-
parablement plus nombreux et mieux armé
Vous l'aimez, paree que quand l'envahisseur
dut lacher Paris, grace a la vaillance fran-
gaise, et se trouvait bloqué devant l'Yser et
l'Yperlée, grace surtout aux Beiges et au flux
de la mer, ce fut la ville par oü l'ennemi réso-
lut de passer pour conquérir Calais et la
Somme, et qui, menacée de destruction, fut
assez généreuse pour sacrifier mille ans
d'existence plutót que de laisser annexer la
Belgique et le Nord de la France
Vous l'aimez, paree que, quatre ans durant,
elle fut assiégée et attaquée, bombardée et
asphyxiée, brisée et brülée et vous l'aimez,
paree qu'elle préserva l'Ouest de la Belgique
et le Nord de la France des horreurs de l'in-
vasion et de 1'annexion imminente
Vous l'aimez enfin, paree que sa résistance
et son endurance dans la souffrance lui va-
lurent les oroix de guerre frangaise et anglaise,
et l'avantage d'être a jamais connue, respec
tée, honorée et aimée du monde entier.
Messieurs, je vous remercie de tout cceur
de votre estime et de votre affection pour ma
bien-aimée ville d'Ypres, et je vous invite a
boire un verre a son honneur, son entière
restauration et sa prospérité, en même temps
qu'a la prospérité de la ville d'Armentières
et de la France toute entière.
Ces btlles paroles furent chaleureusement
applaudies et M. G. Leroy, président de la
Fanfare du Commerce remercia, en une
improvisation heureuse, M. le Bourgmestre
pour ses paroles aimables. II émettait l'espoir
que les habitants de la ville d'Ypres seraient
satisfaits de la belle audition musicale que la
Fanfare du Commerce donnerait dans le
courant de l'après-midi et se déclarait heureux
de l'amitié qui unit les deux villes soeurs,
Ypres et Armentières, qui toutes deux ont
beaucoup souffert pendant la guerre.
A Tissue de la réception officielle la Fan
fare du Commerce se rendait, accompagnée
par 1'Harmonie Ypriana et les autorités
présentes, a l'exception de M. le Bourgmestre
qui devait assister a une autre cérémonie prés
de la Porte de Menin, auprès du Monument
aux Morts Yprois, oü son président M. Leroy
déposa une magnifiquè gerbe de fleurs. La
musique d'Armentières y exécuta la Mar
seillaise et la Brabangonne et les nom
breux assistants apprécièrent spécialement la
fagon lente dont fut jouée l'hymne frangais,
suivant la composition d'un ancien chef de la
garde républicaine de Paris.
L'Après-midi, a 4 heures, la Fanfare du
Commerce qui ne compte pas moins de io5
exécutants, se fit entendre sur le kiosque de
la Grand'Place. Malheureusement la pluie a
gaté quelque peu le charme de la fête et les
auditeurs qui, vu le temps peu propice, étaient
venus en encore assez grand nombre, durent
se tenir a distance le long des fagades des
maisons. L'Audition que nous donna la
Fanfare du Commerce sous Thabile
direction de M. A. Defer, dépassa nos plus
belles espérances. Rarement a Ypres on
entendit exécution aussi parfaite et aussi bien
nuancée, aussi fut elle longuement et chaleu
reusement acclamée.
A nos bons amis d'Armentières, nous disons
un bien grand merci et un cordial au revoir.
Is het waar dat de stedelijke aannemer van
den vuilnisdienst, die op 11 Juli verlof gege
ven heeft aan zijne mannen (waarvoor wij
hem geen ongelijk geven), dezelfde mannen
heeft doen werken en beerputten ledigen op
21 Juli, onzen nationalen feestdag
Is zulks gebeurd met de toestemming van
het stadsbestuur En zal zulk gedrag maar
eenvoudig door het Schepencollege geduld
worden
Wij ontvingen, vanwege een onzer trouwe
lezers, den volgenden brief dien u ij volgaarne
opnemen daar hijvoor wat ons stedelijk kerkhof
aangaat, een waarlijk te verregaande zorgeloos
heid aanklaagt
Mijnheer de Uitgever,
Verleden week was ik naar Yper gekomen
om de begraving van een lid mijner familie bij
te wonen.
Wanneer wij op het kerkhof kwamen, was
ik verwonderd van den schoonen ingang ver
sierd te zien met alle soorten bloemen en
planten, waarvoor ik den uitvinder daarvan
moet bedanken.
Maar toen wij de wegen verder in gingen
om het lijk naar zijn laatste rustplaats te dra
gen, bemerkte ik al het vuil gras dat tusschen
de graven groeit en dat zelfs belet de graf
steden, waarvoor veel menschen kosten ge
daan hebben, te bemerken.
In den namiddag keerde ik terug op het
kerkhof en vernam dat er daar maar juist een
man aangesteld was om gansch het kerkhof te
onderhouden en de putten te maken
Ik vraag of het niet mogelijk ware het vuil
gras te doen wegnemen en de wegen, die met
alle soorten onkruid vol gegroeid zijn, een
weinig beter te onderhouden. Zulk prachtig
kerkhof verdient dat.
Een Oud Yperling.
Deze vraag is heel rechtmatig. Vroeger reeds
werd er op gewezen dat een man alleen niet in
staat is geheel het kerkhof netjes te onderhouden,
en bijzonderlijk nu dat, tengevolge der gedurige
regens, het onkruid zich zoo rap vermenigvuldigt.
Wij verhopen dat het zal voldoende geweest zijn
de aandacht van onze stedelijke overheid daarop
gevestigd te hebben, opdat ze aan de gewettigde
vraag van onzen correspondent zoohaast mogelijk
voldoening zou geven.
STA» YPER
om i5 uur
ter gelegenheid der Officieele Inhuldiging
van het Justitiepaleis.
Bebloemde Rijtuigen, Wagens, Autos, Motos,
Velos, alle slach van Gerij.
Groepen en Afzonderlijken.
De Secretaris, De Burgemeester en Schepenen,