2 Contribuables ne répondez pas aux questionnaires des inspecteurs et controleurs du Cadastre Le ir janvier sera-t-il toujours un dimanche door 80 zangers van het koor Harmonia van Aken, onder de leiding van hun voorzitter en bestuurder M. Pitz Dj duitsche over heden, de geestelijkheiden de stad Aken, de duitsche spoorweg, namelijk de verschei dene groote vereenigingen van oudstrijders en oorlogsverminkten, de werklieden syndi caten, deze der Staatsbeambten, de pers, enz zullen insgelijks door verscheidene afge vaardigden op deze bedevaart vertegenwoor digd zijn. Daarbij zal nog een afgevaardigde van het dultsch gezantschap te Brussel de bedevaarders vergezellen. Na zich wat verfrischt te hebben, zullen zij om 7 u. de H. Mis in St Maartens kathedraal bijwonen en daarna, in groep, een kroon aan den voet van het Gedenkteeken der Ypersche Helden neerleggen. Gedurende de Mis en de verscheidene plechtigheden zal het zangkoor zich laten hooren. Rij het Ypersch géienkteeken zullen het Heilig, Heilig van Schubert en het Benedictus van Neumann uitgevoerd worden. Moest de trein echter hier met wat verachte- ring op het gestelde uur toekomen, dan zou die zanguitvoering geen plaats hebben en zou Un de bedevaarders de H. Mis van 7 u 3o bijwonen. Na deze hulde aan onze Ypersche gesneu velden, vertrekken de bedevaarders aanstonds, van op de Groote Markt, met hun voorbe houden autocars, naar het duitsch kerkhof van Broodseinde,' te Zonnebeke, waar met de medewerking van het zangkoor Harmo nia een groote herinneringsplechtigheid zal plaats hebben. Een duitsch aalmoezenier, de E. H. Hochtr.ann van Keulen, zal er een verhevene g» legenheidsaanspraak houden ter nagedachtenis der roemrijke Doodeh, geval len als slachtoffers van hun plicht, en in 't bij zonder een oproep doen tot de duitsche jeugd voor den vrede. De E. H. Hochmann staat in het Rijngebied gekend als een talentvollen predikant en redenaar, wiens woord op de toehoorders steeds een machtigen indruk nalaat. Na de plechtigheid van Broodseinde, brge ven de bedevaarders zich naar het engelsch kerkhof Tyne Cot te Passchendaele waar, in tegenwoordigheid van de afgevaardigden der engelsche overhede», kronen zullen neer gelegd worden op de graven der Engelschen, die hier in Vlaanderen sneuvelden, en door de zangmaatschappij de twee koren Litanei» van Jacobus Haeidel en Ruhet nun in Frieden» (Rust nu in Vrede) zullen uitgevoerd worden ^aarna beginnen de zeven verscheidene uitstappen in autocar, die zoo Janig ingericht zijn dat ieder bedevaarder de gelegenheid zal heaoen het kefkhjf te bezoeken waar zijn bloedverwanten of vrienden rusten. Een afvaardiging van den Reichsbund (vereeniging van oorlogsverminkten) zal een kroon neer leggen bij het gedenkteeken te Dixrr.ude. De bedevaarders keeren te Yper terug omstreeks l5 uur. Te 17 u. zullen de zangers op de Groote Markt liederen uitvoeren ter eere der stad Yper, namelijk Das -is: der Tag des Herrn» (Dat is de dag des Heeren) en Vesptrlied ondeischeidenlijk van Kreutzer en Kempf. 's Avonds, om 20 u. 3o, zullen de bede vaarders onze stad verlaten om met hun specialen trein terug naar hun vaderland te reizen. 1 u. li,»-.. (f Gansch deze bedevaart is op touw gezet <ioor M. Jac. Hagemann, van Herbestal, kanton van Eupen, die de inrichter is dier bedevaarten en het verheven doel nastreeft de Dooden uit den grooten oorlog te eeren en aan de overlevenden den vrede te verzeke ren. Het is op zijn initiatief dat verleden jaar, na zijn eerste bedevaart op Allerheiligen ig3o, een Comiteit Degfa (Comiteit der duitsche bedevaarten naar de kerkhoven van Vlaan deren en Frankrijk) te Aken gesticht werd. Benevens de officieele personaliteiten bevat dit Comiteit als werkende leden de comittitcn van groote maatschappijen, in 't bijzonder van de verscheidene vereenigingen zonder politieke strekking der oudstrijders en oor logsverminkten, de werklieden- en bedienden syndicaten, enz. Dit Comiteit houdt zich geenszins met politiek bezig en zijn eenig en groot doel is de gedachtenis der Dooden uit den grooten oorlog levendig te bewaren, de toenadering der volkeren te betrachten en daardoor ook den waren wereldvrede. Une prétention inadmissible du Cadastre I.'administration des Finances a trouvé un nouveau moyen de faire rendre la machine fiscale. Elle a décïdé d'inclure dorénavant dans les operations de revision cadastrale le matériel des usines. En comprenant ainsi ce matériel dans l'esti- mation des immeubles, on augmente évidem- ment de faqon sensible le rendement de l'im- pöt foncier. A eet eflet, des circulaires, accompagnées de formulaires, ont été adressées aux indus triels, leur faisant savoir qu'ils avaient a déclarer au cadastre toutes leurs machines, tous leurs moteurs, en y joignant le prix d'achat, la date d'acquisition et la. valeur actuelle. Et notez bien qu'il ne s'agit pas de déclarer simplement les grosses machines mais le moindre tour, machine outil, dés qu'il est relié au sol par un fil électrique ou un tuvau a gaz. N'insistons pas sur ce nouveau mode d'in- quisition fiscale. Par ses exigences le. fisc finira par rendre l'atmosphère irrespirable en Belgique. Si l'on commence dans cette voie, pourquoi n'exigerait-on pas aussi bien com munication de l'inventaire des meubles, des ceuvres d'art de toutes les maisons particu- lières Pourquoi s'arrêter en si bon chemin N'insistons pas non plus sur les complica tions et les discussions que cette incroyable prétention va faire surgir. Les seules contesta tions au sujet de la naiure mobilière ouirtmo- bilière des machines entraineront des diffie.ul- tés sans fin. N'insistons pas sur l'opportunité d'une mesure qui vise a surcharger encore.la pro duction industriélle. Laissons ces questions de cóté pour le moment II y a beaucoup mieux.. Ce qu'd importe surtout de signaler au public, C'est que la prétention du Cadastre est netternent illégale. bile ne repose, en eflet, sur aucun texte de loi. II y a bien, parait il, au ministère des Finances un projet qu'on vou drait voir voter au début de la session paHe mentaire et entreren vigueur dès janvier \q3z. Alors l'administration prend les devants, sans souci de l'abus de pou^oir qu'elle com met ainsi. Elle spécule sur les intentions du Parlement, dont elle espère obtenir ratifica tion du texte qu'tlle applique dèsmaintenant. On pourfait aller loin avec ce système. Pareil mépris de la Constitution, qui subordonne au pouvoir législatif toute perception d'impöt, serait mieux a sa place en Bolchevie ou en Italië fasciste. M. Houtart a t il done envie de jouer son petit Mussolini, ou ignore-t il le róle que son administration lui fait remplir Dans l'une et l'autre hypothèse, il est impar- donnable. Une chose est én tout cas certaine, c'est que les industrials intéressés ont un moyen de défense qui s'impose l'inertie. Aucun fonc- tionnaire ne pourra les contraindre a des actes qui ne résultent pas de la loi. Aussi c'est l'attitude que nous n'hésitons pas a leur con- seiller dans leur intérêt. Ils contribueront également ainsi a la sauvegarde des régies constitutionnelles. Extrait de La Libre Belgique La Conférence internationale des cötnmuni- cations et du transit vient de commencer a Genève l'examen de ce problème, a la deman- de de la Société des Nations et pour lui faire des propositions en vue d'une réforme collec tive a adopter simultanément par tous les pays. L'affaire n'est pas si simple qu'on pourrait le croire. Un Comité de préparation s'est déja enquis, au déout de l'aunée, des desiderata des Puis sances en ceite matière. Neuf pays se sont déclaiés partisans de l'établissement d'un ca- lendrier perpétuel et immuable. Les troubles existants dans le calendrier actuel et qui est en vigueur depuis longtemps proviennent de ce que l'année se compose de 52 semaines de 7 jours (364) plus unjuur, auquel vient s'ajou- ter un second jour les années bissextiles. L'existence de cette unique journée supplé mentaire (la 365e) dans une année normale a pour conséquence qu'une même date ne se répète pas au même jour dans la succession des années. Les réformateurs sont d'accord sur un point, c'est qu'd faudrait extirper ce 365e jour des semaines. Mais qu'en faire etou lemettre On ne veut pas lui assigner une date. On l'ap- pellerait le jour de l'année ou on l'affuble- rait de quelque désignation simiiaire. Pour établir un calendrier perpétuel il faudrait, par surcroit, éliminer également des semaines le second jour supplémentaire des années bis sextiles. On procèderait de la même manière. Cela fait, 011 pourrait décider, par exemple, que le i'r janvi .r sera un dimanche et, mathé matiquement, il le resrerait toujours, puisque, a l'expiration de la 52' semaine l'année serait close la première semaine de l'année suivan- te débuterait a nouveau un dimanche. Un oompte a part étant ainsi tenu du 365® jour, qui serait baptisé ü'un.nora nouveau, mais ne serait ni uu dimanche, ni un lundi, ni aucun des septjours de la semaine, il resterait 364 jours qu'on pourrait diviser en périodes mathématiq.uement égales. Mais sur la manière de procéder pour ce Uire, les avis sont diver gents. Les uns voudraient suivre la suggestion de M. Cotsworth diviser les 364 jours en l3 mois de 28 jours, soit exactement 4 semaines par tnois. ü'autres et notamment une com mission parlementaire britannique qui avait mandat d'étudier la question se cantent.e- raieut de voir établir 4 trimestres de 91 jouis chacun, le nombre des mois restant ce qu'il est actueliement dans chaque trimestre il y aurait 2 mois de 3 j jours et un de 3 c Les choses en sont la et l'on n'a pas encore suggéié autre chose. Quels s int les avaitages et les désavantages d'une réforme Le principal avantage allégué par les prota gonisies d'une revision, c'csi qu'uu calendrier ainsi réformé permettrait d'éta >lir tout de suite et sans difficuliés des comparaisons entre des années ou des périodes d'année. II y a du vrai. Par exemple, on a déja constaté, après vérification, que des comparaisons éta- blies en matière eommerciale étaient viciées du fait qu'il n'y avait pas exactement le même nombre de dimanches ou de jours feriés dans deux périodes identiques choisies dans deux années successives. Un autre avantagedérive- rait de ce que, dans le système envisage^ une date quelconque tomberait toujours au même jour de la semaine, puisque le i'r Janvier serait immu-ablement un dimanche. Mais ceci ne serait vraiéc-mblaWement qu'un avantage mnémonique, savoir par exemple que la fête nationale de Belgique (2t Juillet) serait désor- mais toujours un mardi. Car en quoi cela pour rait-il accroitre votre bonheur de savoir que l'anniversaire de votre naissance se célèbrera toujours un vendredi En Angleterre, on est tout-a fait hostile a la création d'une année de l3 mois. En Belgique a-t-on une opinion a eet égard Nous n'en

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersch nieuws (1929-1971) | 1931 | | pagina 2