K0FFIES en CHIC0REI met PREMIEN Christiaens Devolder Kortrijk PremiedepotG. LAROTE, 20, Boomgaardstraat, Tper, waar ook Koffiebranders te bekomen zijn. Eischt altijd en overal de RUWE en GEBRANDE De Opeisching der Voertuigen NOS MIETTES HISTORIQUES Nationale Maatschappij voor den Kleinen Landeigendom Eigen Heerd - Yper Gezinnen die drie Zonen big het Leger hebben Fondsen voor Meestb^aafdfen Te koop in alle goede winkels. attira le mépris des peuples sur les gouverne- wients qui en furent coupablesde nos jours, le quatrième partage de ce pays a soulevé la même indignation unanimeToutefois, il est un point qu'il faut considérer, si l'on veut voir la difïé- rence plausible entre cette fin de XVIII1' siècle et les temps présents alors, la Pologne n'avait point «Talliancesla France avait a dos, en plus de la Terreur, les Autrichiens, les Prussiens, les An glais, les Piémontaisl'Angleterre se battait con- tre son enneraie séculaire et restait l'alliée de PAutriche et de la Prusseaujourd'hui, au con traire, elle a deux puissantes alliées, qui ne font qu'un seul bloc, la France et l'Angleterre Quelle plus süre garantie peut-elle avoir de sa future résurrection, que de savoir que deux grands peuples courageux comme elle, se battent pour leur vie comme pour la sienne, en même temps que pour le triomphe du droit et le salut de toutes les nations du globe Par ce résumé, bien incomplet, de quelques faits importants de l'histoire polonaise, je me suis efforcé de suggérer le róle de ce peuple magna- nime, de gardien de la paix et de bastion de la civilisation occidentale contre la barbarie oriën tale. Si l'on voulait analyser ces quelques faits dans leurs détails, combien l'on y trouverait d'actes d'héroïsme, de scuffrances, de sang ré- pandu et mêlé a des larmes amères! De quel martyre, aujourd'hui encore, les envahisseurs de la Pologne, transformés en bourreaux, n'ac- cablent-ils pas ses braves habitants Si Souva- rov, au XVIII' siècle, était sans humanité dans ses repressions des insurrections polonaises, Hit- Ier, en notre XX' siècle, est encore plus cruel et dénué de scrupules D'ailleurs, il dit dans Mein Kampf Soyons cruels Point n'est besoin lei de décrire ce que tout homme a condamné par one indignation violente et spontanéela Po logne martyre souffre maintenant, chaque jour, ce que souffrirent les Espagnols dans les «tchekas» de Barcelone> avant la libération de leur sol du démon communiste, mais, heureusement, elle n'est que provisoirement sous le double joug nazi et bolcheviste, et elle s'en secouera bientót, avec la victoire de ses alliés francais et anglaisEt ainsi, le sacrifice de ses enfants n'aura pas été une vaine semence pour l'affermissement de la future paix mondialeJ.-M. Oreitês. Aangaande deze zaak stelde de Heer Volksvertegen woordiger Boeckx volgende vraag aan den Heer Minis ter van Landsverdediging Door uw beheer en ten behoeve van het leger is men overgegaan tot opvordering van allerhande voertuigen. Bij inlevering werd aan de eigenaars een formulier overhandigd, vermeldende benevens de waarde van het voertuig, de te verstrekken «huurprijs». Die huurprijswordt telkens om de maand, door toedoen van de gewestelijke ontvangers der belastingen, aan de eigenaars uitbetaald. Verschillende van die eigenaars, en dat getal groeit ieder maand gestadig aan, krijgen dat huurgeld niet meer uitbetaald, met als reden dat de reeds betaalde huur de door het leger bepaalde of aanvaarde waar de heeft bereikt Meent de achtbare heer Minister niet, dat het tegen alle recht en rede indruischt, wanneer men het vervoer middel van zoovele kleine middenstanders, marktkra mers, enz., afneemt, die menschen dwingt andere ver voermiddelen in huur te nemen, terwijl men de huur door den Staat aan hen te betalen, eenvoudig als af korting op het opgeëischte aanzietmet noodlottig gevolg na enkele maanden aan huur te hebben ont vangen, noch vervoermiddel, noch kapitaalkracht te bezitten, om zich een ander vervoermiddel aan te schaf ten. Hierop antwoordde de Heer Minister als volgt Luidens artikel 4, littera e, der wet van 12 Mei 1927 •p de militaire opeischingen, meet in geval van op- eisch;ng in eigendom van een reeds in huur opgeëischt voorwerp, de huursom welke tot op het oogenblik van den aankoop betaald werd, van den prijs worden afge trokken. Doch, het spreekt van zelf dat de huur loopt tot op het oogenblik van den aankoop en dat deze huur steeds verminderd met hetgeen werd betaald vol komen verschuldigd is zelfs zoo ze, op het oogenblik dat het voertuig aangekocht wordt, den prijs van het zelve overtreft. Zoo de uitbetaling van de huur in een zekere mate is, moeten geschorst worden, dan was dit enkel om, zooveel mogelijk, de rechten van de derde-schuldeischers te vrijwaren, daar er bij het departement van landsver dediging ongeveer 15.000 beteekeningen van verzet of van voorrecht zijn ingekomen. IRRÊDENTISME FLANDRIEN Rencontré, l'auire .our, arpentant le boulevard, une vieille connaissance Mare Aroni, de Turin, dont le ba- gout et la chaieur des improvisations me donnaient l'illus.on, par un froid de canard, de me trouver sur les pentes du Vésuve. Ancien fruit sec des deux principaux colléges de Tu rin, il eut l'ingénieuse idéé, il y a quelques lustres, de s'établir dans la capitale comme importateur du cé- lèbre Vermouth de sa ville natale, et aussi de fruits secs, branche qui lui était familière depuis son adolescence. De gré ou de force, il m'entraina bientót dans une osteria de lui connue. chez un pays, pour y vider un fiasco de vino bianco» livré par lui. J'avais oublié de dire qu'il importait également lei vins et, bien plus encore, les idéés chères a son duce. On en vint bien vite la politique, a la nécessité d'ex- pansion de son peuple, en un mot a l'ir réd ent isme ita- lien. Un seul point de sa conversation me laissa rêveur. Marc Aroni, faisant allusion aux innombrabies ramifica tions de i'ancien empire romain, prétendit que ses con- génères pourraient revend.quer des dro.ts sur une par- tie de la Flandre, a preuve Messines, au sud d'Ypres, qui, selon lui. devrait son origine a des colons siciliens venus de Messine, la ville détruite en 1908 par un trem- blement de terre. C'est par un éclat de rire sonore que j'accueillis cette pretention bien d.gne d'un fidéle sujet du duce. A cela je retorquai a Marc Aroni: Sans oser rien af- firmer de la théorie linguiste qui prétend que les noms des lieux sont les indices les plus positifs de l'antiquité des occupations, des territoires, quand on parvient a de- viner leur veritable signification, nous demandons ft quels antécédents nous pourrions attribuer le nom de Bruges, petite commune que la carte de la Gironde nous indique située a une lieue de Bordeaux. Nous gardons tout notre sérieux, car la question est grave comme vous le verrez tantöt, ami lecteur, c'est de 1'Allemagne que nous vient toute lumière, ce sont nos voisins de l'Est qui le proclament. Us sont a la recherche d'espace vital, comme on le sait. Or, voici la découverte que viennent de faire deux de leurs savants. Un berlinois et un brêmois, cent pour cent aryens, ont été dépêchés vers l'lslande, non pour y pêcher la morue, mais pour y retrouver les preuves de la découverte de l'Amérique par un AllemandII est évident que si la preuve est faite, cela ira mal pour le Nouveau Con tinent. On en parle tant. n'est-ce pas, de ce fameux espace vital que cela devait, un jour ou l'autre, nous arriver. Des beiges éminents ont, eh effet, a leur tour, cédé au charme ensorcelant des théories du lebensraum Un distingué géographe anversois a déposé. récemment, a la séance anniversaire de la Ligue maritime beige, Liége, une mention visant faire proclamer notre sou- veraineté sur les territoires découverts au pöle nord par de Gerlache. On dit, mots couverts, que notre ministre des colonies, qui vivait si tranquillement, ne sait plus oü donner de la tête et couve une haine féroce a l'égard des géographes Après nos intéréts beiges, levons ici le liévre yprois. Une similitude frappante n*existe-t-elle pas entre ces deux nomsYpres et Chypre Si nous pouvons prouver que des navigateurs yprois partirent, il y a environ vingt siècles, des bords de l'Yperlée pour aller conqué- rir la séduisante ile méditerrannéenne. ne pourrions- nous pas aussi exercer de justes revendications Du coup nos habitants changeraient leur nom d'Yprois en celui d'ypriotes, pour établir la même communauté d'o- rigine avec les chypriotes. La doctrine de l'irrédentisme n'est pas d'essence ita- lienne, quoi qu'en dise Larousse, mais semble bien être vieille comme la terre, car nul n'ignore que si. travers les siècles, les questions raciques ou linguistiques n'é- taient pas, comme de nos jours, la base de bien des revendications. par contre les questions de religion pas- sionnaient les masses et faisaient prêcher des croisades et ordonnaient des conquêtes. II ne s'agit plus a l'heure actuelle. que de savoir dans quelles régions on dit oui et dans quelles autres on dit ja. Grammens et ses acolytes se sont fait une spécialité dans ce genre de recherches. Unité de langue, unité de pays, semble être la devise d'aucuns. LTtalie. sous ce rapport, s'est inspirée de l'Allemagne et les visées de ces deux peuples. tantöt amis, tantöt ennemis frisent la mégalomanie. Tout exemp'e est contagieux. et nous ne voyons pas pourquoi, nous flandriens, nous reste- rions en regard sur ce terrain. Relisons quelques pages de notre histoire nationale, et nous y trouverons oue Lou's XIV nous arrariia bru- talement tout un lambeau de notre territoire la partie qu'on n'a cessé d'appeler la Flandre flamande. C'est lè une iniquité qui semble n'avoir duré que trop longtemps. Indiscutablement le peuple de cette région voisine, gardien fidéle des anciennes traditions, a con- servé le pur caractère flamand. Son langage. ses befïrois, ses carillons, ses jeux de boules et de tir l'arc, ses goóts de faste dans les processions et les cortèges, ses nombreuses sociétés d'agrément. sa bière blonde, et sur- tout la toponimie, sont autant de preuves d'une origine commune. La toponimie vaut qu'on s'y arrête un ins'antJe tons un coup d'ceil sur la carte de la région s'étendant de Dunkeraue Armentières et nous y relevons des noms bien flamands de Rosendael. Bray-Dunes, Tete- ghem, Ghyverinchove, Wormhoudt, Zuvdcoote. Herzeele, Steenwerck, S'eenvoorde, Winnezeele, Ochtezeele, Quaedyper, Hazebrouck, Terdeghem, Bergen, St Winox. Hondschoote, Belle, Rexpoede etc. etc. Cest ce qu'il fallait démontrer, comme oa éit e* géométrie. Alors Ypres s'en va-t-en guerre, et quelques anciens gardes civiques, si bouillants en 1914, trant prA- cher la croisade nouvelle en Flandre; de Zoetenaje A Lapscheure et de Zevecote a ZJlebeke. Muis non, les temps ne sont pas encore venus, et Ypres, ie bon "ïpren laissera a Quaedyper le soin de donner le signal de 11*- rédentisme flandrien. Eq attendant continuous k vivre en paix avec nos bons voisins frangais dont les noms des villages se terminent en kerke, en zele ou en ghem (avec H pour respecter une ortographe séculaire). Onder Waarborg van den Staat. Toegelaten gewestelijke Maatschappij voor het Arrondissement leper. ,.4 Deze samenwerkende Maatschappij heeft voor hoofddoel leeningen toe te kennen, aan minver mogende personen, tegen den geringe» intrest van 2,50 fr. 1° Voor den aankoop van landbouwgronden (minima 8 aren, maxima 6 ha.) 2° Voor het oprichten van landelijke woningen en kleine hoeven. 3° Voor het vervangen of herbouwen van krot woningen en ongezonde stallingen. Deze leeningen zijn terugbetaalbaar binnen ee* termijn van 5, 10, 15, 20 of 25 jaar. N. B- Voor het jaar 1939 werden er voor ons Gewest 13 leeningen afgesloten voor een bedrag van 397.480 fr. Voor alle verdere inlichtingen en aanvragen om leeningen zich wenden bij den Vertegenwoordi ger uwer streek M. Amne, gemeentesekretaris, Woesten, M. Lecluyse, rustend Schoolhoofd, St Jan. M. Rondelez, gemeentesekretaris, Wytschate. (Arsenaalstraat, 19, leper). M- Van Elslande, rustend Schoolhoofd, Ylawer- tinge. Inlichtingsbnreellederen 1° en 3* Dinsdag der maand, van 5 a 6 uur, ten Stadhuize te leper De aandeelhouders worden vriendelijk verzocht de algemeene vergadering bij te wonen op Zon dag 11 Februari 1940, om 11 uur, ten Stadhnize. Groote Markt, Yper. DAGORDE 1. Verslag van Bestuur en Toezichtsraad over de werkingen van 't dienstjaar 1939 2. Voorstelling en goedkeuring van Bilan en Rekening van Winsten en Verliezen 3- Ontlasting van Bestuur en Toezichtsleden; 4. Benoeming van Drie Bestuursleden en een Toezichtslid. Namens het Bestuur De Schrijver-Schatbewaarder, De Voorzitter, H. GILLIOEN. C, D'HIlVETTERE. kunnen de vrijstelling van een ervan bekomen ten elnds bet bedrijf te kunnen voortzetten. Warneer, tengevolge van het gelijktijdig oproepen van drie zonen, het bedrijf (landbouw-, industrie- ot handelsbedrijf) in een familie volkomen stopgezet ot sterk gehinderd wordt, onderzoekt men met de grootste welwillendheid of een der zonen voorloopig kan wor den ontheven en wordt er voldoening geschonken, voor zoover de behoeften van de legerorganisatie zulks toe laten. Degenen die zich in zulken toestand bevinden, kunnen een aanvraag om ontheffing aan den generalen staf van het leger. 3® sectie, sturen of dezelve door bemiddeling van het departement van landbouw of van economische zaken overmaken. - c, Prov'ncie West - Vlaanderen Er wordt de belanghebbenden die een studie.'eenmg op de Fondsen voor Meestbegaafden begeeren, bekend gemaakt dat de aanvragen vóór 15 Maart aahs*aand«v aan den Heer Gouverneur der Provincie dienen over*; gemaakt, uitgenomen wat de ingezetenen van Brugge, Kortrijk, Moeskroen, Oostende en Roese'are betreft die hun aanvraag rechtstreeks bij het bestuur van hun stad moeten indienen. De verzoekschriften, na den bepaalden datum inge zonden, zullen zonder gevolg blijven. Mww tm

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersch nieuws (1929-1971) | 1940 | | pagina 12