-iltnMpboiiwiler landelijke getouwen In Verwoest Vlaanderen leden week deelden wij aan onze lezers mede, Koninklijk Besluit de Hoogkommissariaten 6chtigde voorschotten toe te staan tot 150.000 tr. beniaejgenaars die hunne vernielde landelijke ge- aa"wen wenschten herop te trekken. £0pe geteisterden die van dit nieuw stèlsel wen- ften gebruik te makenmoeten een door den Cf at voorgeschreven dossier opmaken en in be dekking staan met een aannemer door den Staat aanvaard. peze aannemer moest zich verplichten het ver nielde eigendom herop te bouwen mits een op „oorhand bepaalden aannemingsprijs (forfait). Wij vernemen nu dat de Heer Minister van Eko- omische Zaken als aannemer voor zulke werken aanveerd heeft, de Westvlaamsche Heropbouwmaat- schappij, Naamlooze Vennootschap te Roeselare, die speciaal voor zulke werken gesticht werd, met tisschenkomst van den Dienst der Verwoeste Ge westen van den Belgischen Boerenbond. Deze maatschappij aanvaardt den heropbouw 4er vernielde eigendommen volgens een driedubbel kontrakt dat de geteisterde moet aangaan met de maatschappij en den Belgischen Staat. De bijzondere voorwaarden van dit kontrakt zijn de volgende de geteisterde staat zijne oorlogs schade voor het herop te bouwen goed af aan den i staat deze laatste geeft aan den geteisterde een, voorschot voldoende om aan den aannemer betaling ie verzekeren van het herop te bouwen eigendom bouwmeester en aannemer worden betaald door den Staat ten einde de geteisterden tegen alle uit- I huiting van wege de aannemers te vrijwaren, behoudt |de Staat het recht plans en bestekken te onderzoe ken de maatschappij verplicht zich den heropbouw ie voltooien binnen een door het kontrakt bepaald [termijn. De geteisterden die van dit nieuw stelsel wen- schen gebruik te maken om hunne vernielde ge- j bouwen te laten heroptrekken, kunnen zich voor [alle inlichtingen wenden tot de Westvlaamsche [Heropbouwmaatschappij te Roeselare, Zuidstraat, )3, of tot den Dienst der Verwoeste Gewesten van [den Belgischen Boerenbond, Sl Alfonsusstraat, 3, Roeselare. N. RWat ons betreft, wij zouden volgaarne [ambtelijk inlichtingen bekomen, over de twee vol- ende punten Is de Westvlaamsche Heropbouwmaatschappij de eenige aannemer die de heer Minister wil aan- l vaarden Aangezien de Staatsbeambten recht hebben de rarchitekten en de aannemers door de eigenaars aangesield te aanvaarden of te weigeren, waar blijft an de vrijheid en het vrije initiatief Wij vreezen dat dit nieuw stelsel nog eens maar wat poeder in de oogen zal smijten, en dat het in de praktijk niets anders zal bijbrengen dan nog wat j vette nieuwe postjes. Denkt men waarlijk in hoogere standen dat de -officieele mannen alléén bekwaam zijn huizen en hofsteden te bouwen Zijn het die mannen die onze huizen en hoeven bouwden vóór den oorlog Waarom al die voorwaarden en formaliteiten, -aangezien het toch ons privaat geld is, niet waar, dat moet gebezigd zijn Les avances de 150.000 francs pour les fermes A propos de ce nouveau système d'avances, "0US insérons des renseignements et des réserves ans un article flamand du présent numéro. II est bien entendu, que ce chiffre de 150.000 tStun maximum. En réalité l'avance doit se limiter a valeur 'des bStiments de ferme en 1914 aug- "ee du coefficient nécessaire pour le remploi. one üne somme est avancée en exécution de ce eme, le sinistré sera toujours sous la menace larch en0rme restitution A opérer au cas oü plus Ce 6 Jril:)unal n'admettait pas son estimation, ij ne vaut done pas Celui des référés ou |L es a"ocations provisionnelles qui impliquent une fixation préalable ou imminente de cettevaleur. Le système des référés et celui des allocations provisionnelles ne sauraient être surpassés par aucun autre si ces décisions judiciaires étaient suivies du paiement dans le délai prescrit. Hélas, elles ne le sont jamais, ou presque jamais Pourquoi Et comment les Hs Cs Rx disposënt-ils si facile- ment de tant de millions, tandis que les jugements des tribunaux restent impayés Est-ce comme ga que le Gouvernement entend encourager l'initiative privée Au sujet de cette nouvelle invention du Gouver nement, nous trouvons dans L'Horizon organe des sinistrés de Dinant, une lettre adressée par M. Ie-Haut Commissaire Royal adjoint LeBoulengéa M. le Ministre des affaires Économiques, que nos lecteurs liront avec intérêt Monsieur le Ministre, Un arrêté royal vient de porter a 150.000 frs. le maximum des avances a consentir aux sinistrés pour la reconstruction de leurs immeubles ruraux détruits par la guerre cette avance sera faite sous les conditions énumérées au dit arrêté et que nous sui vons déja pour les avances maximum de 50.000fr. sauf que nous n'exigeons pas de plans pour la re mise en état d'habitabilité. Le ler de l'arrêté dit q^ie l'indemnité sera cal- culée en prenant pour base la valeur 1914 multi- pliée par un coefficient A déterminer périodique- mentparM.le Ministre des Affaires Économiques.» Depuis 6 mois j'ai pratiqué énormément le sys tème des avances maximum de 30.000 francs d'abord puis de 50.000 et ce toujours d'accord avec M. le Commissaire Principal de l'État après contre-ex- pertise de la valeur 1914 dressée par un expert du tribunal et revisée et approuvée par le Commissaire d'État. Ce système n'a donné lieu a aucun incon- vénient. 11 est rapide et donne toute satisfaction aux sinistrés tout en sauvegardant entièrement les droits de l'État. Cette longue pratique m'autorise a émettre quelques réflexions 1°) L'arrêté ntaurait.il pas bien fait de spécifier que la base de la valeur 1914 devait être fixée par une expertise dressée par un expert attitré du tribunal et visée par le Commissaire Principal de l'État Je n'ai pas besoin de vous dire-en effet que dans 99 cas sur cent l'expertise du sinistré dépasse et souvent de beaucoup la valeur réelle. 2°) Le coefficient serait déterminé périodique- ment par M. le Ministre des Affaires Économiques.» La chose est-elle possible Ce coefficient ne peut a mon sens ,être fixé uniformément pour toute la Belgique, voir même pour une province et même pour une même localité. On arriverait en le fixant uniformément a frustrer souvent soit l'État, soit les sinistrés. En effet telle commune sinistrée est desservie par le chemin de fer il y a dans cette commune, une carrière, des briquetteries, des fours a chaux, telle autre commune est a 5 km. de toutes voies decommunication, il nes'y trouveaucune industrie. Appliquer Ie même coefficient serait, dans le ler cas, causer préjudice a l'État, dans le 2C au sinistré. A Dinant il faut distinguër le Centre de la Ville, et certains hameaux situés sur les hauteurs a 2 ou 3. km. du centre. Le coefficient pour ces derniers doit être fatale- ment élevé. II me parait que le coefficient devrait être laissé a l'appréciation, suivant les cas, des Hauts Com- missaires Royaux et des Commissaires Principaux de l'État. Ils s'inspireraient du résultat des adjudi cations publiques, des fluctuations dans les prix dés matériaux et de la main d'oeuvre d'une part, et d'autre part des difficultés de transport, du manque de moyens de communication, de la présence a proximité des lieux sinistrés de carrières, briquet teries, fours a chaux, scieries, etc. 3°) L'avance maximum de 150.000 fr. pour la reconstruction des immeubles ruraux pourra-t-elle comprendre tous les travaux notammentdes travaux de parachèvement, peintures, tapisseries, marbre- ries etc. que nous ne comprenons pas dans les avances maximum de 50.000 fr. qui n'ont pour but que de rendre les immeubles habitables 4°) Enfin, et je me permets d'attirer sur ce point toute voire attention, pourquoi n'accorder ce privilège des avances maximum de 150.000 fr. qu'aux immeubles ruraux Par leur importance ces avances profiteront sur- tout aux métairies, fermes et villas situées dans la partie rurale. Je veux bien admettre que ces cas sont intéressants, mais il en est d'autres plus inté ressants encore ils visent surtout les 2 villes adoptées de Dinant et de Tamines. La prospérité de ces villes dépend de leurs commerces. Pour que Dinant particulièrement retrouve son ancienne prospérité il est de toute nécessité que son commerce renaisse. Pourquoi ne pas m'autori- ser a porter jusque 150.000 frs maximum les avances a consentir aux sinistrés de la partie urbaine du ressort de mon Haut Commissariat et ce en suivant strictement les conditions imposées par l'arrêté royal. Je dit sinistrés en général, car les petits bourgeois qui ont eux surtout souffert de la guerre ont droit me semble-t-il a la même solli- citude que les fermiers et les propriétaires de villas. Soyezconvaincu, M. le Ministre que cette mesure haterait plus que toute autre la reconstruction des régions dévastées. J'ajoute que si l'on veut profiter encore des mois d'été et d'automne 1921, elle devrait être prise sans tarder. Si elle pouvait être appliquée, les 8/10 des demandes de reconstruc tions par l'État disparaitraient. Dans l'intérêt du bien général et spécialement dans l'intérêt de mes malheureux concitoyens, j'ose espérer, M. le Ministre, que vous daignerez parta- ger mon avis. Veuillez agréer, M. le Ministre, l'assurancé de mes sentiments dévoués. Le Haut Commissaire Royal Adjoint, LeBoulengé. Y P E R Ge moet eens gaan kijken In Yper loopt het gerucht rond, dat het stadsbe stuur de grezen zal uithalen van den arm van 't Ypertje die veroordeeld is te verdwijnen. Dat werk is heel goed voor het doel waarvoor die steenen bestemd zijn; maar zal het niet kostelij ker vallen dan nieuwe grezen te doen komen Een tweede punt betrekkelijk de muren van 't Ypertje waarop de bijzonderen een muur van hun huis staan hebben zal men daar ook de grezen uitnemen en die muren daardoor in hunne grond vesten verflauwen en zou het bestuur wel dat recht hebben Een derde punt betrekkelijk de muren van woningen en hovingen die op de boog van 't Ypertje gemetseld waren en voor dewelke die boog als grondvest diende zal men die eigenaars verplich ten geheel en al uit hun zak te betalen, de over- groote fondatiemuren die nu noodig zullen zijn voor de'nieuwe gebouwen op die plaatsen te richten. Dit is ons al door het hoofd gevlogen met eens naar de werken van 't Ypertje te gaan kijken. Poorteklokke. Réunion de la section d'Ypres de I'ffiuvre Nationale des Invalides de la Guerre Dimanche, 12 juin, a 10 heures du matin, a eu lieu a Ypres, la réunion des invalides de la guerre de l'arrondissement d'Ypres. Au bureau siègent M. le Commissaire d'arron- dissement Clinckemaille, président, MM. Aimé Gruwez, Valère Bouckenooghe, Edmond Caene- peel, Charles Hallaert, Oscar Molein, Jéróme Bertier, Joseph Van der Mersch, membres du Comité. M. Eugène Biebuyck s'est fait excuser. Le Président ouvre la séance en invitant tous les invalides de l'arrondissement a faire partie de l'oeuvre et en leur annongant qu'ils peuvent s'adres- ser utilement a chacun des membres du Comité pour exposer leur situation. Tour a tour, dans les deux langues, il explique d'une fagon claire et précise, les avantages réservés par l'oeuvre nationale aux invalides de la guerre. Nous les résumons ci-dessóus a l'intention de nos glorieux blessés qui n'ont pas pu assister a la réunion. I. Instilat de reeducation de Woluwe. Les invalides, qui désirent apprendre un métier,

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1921 | | pagina 7