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fait beaucoup hop lentement. M. Del~
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rue du Marais. II ne
saison d’hiver peut nous sur-
moque de la ville, on im-
paie pas. II n’attendra
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de Spoorweg^*’
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au Conseil Communal l’approbation requise par
priatioris et quand A ce
fus s’engagent.
M. Van Alley nes n’admet pas que la ville se contente
de défendre de batir sans, en même temps, payer [’ex
propriation. Cella est absolument illegal et trés préjudï-
ciable. Si la ville ne regoit pas en temps les fonds pour
payer immédiatement une expropriation a un propriétaire
qui demande a batir mais qui doit reculer, qu’Elle re
nonce purement et simplement au nouvel alignement. M.
Bouquet fait observer que l’approbation des plans et des
alignements se
hem cite des cas. Lui-même, depuis 2 mois,
vain qu’on l’autorise a batir
plus attendre car la morte
prendre. Au H. C. R. on se
pose des alignements mais on ne
plus et il passera outre.
M. Sobry. Nous paierons, maïs il faut qu’on soit
d’accord sur le plan d’alignement, et sur le montant de
I’indemnité a payer.
M. VanNieuWenhove. be H. C. R. peut faire
démolir ce qu’on batit sans autorisation. (Protestations
générales)
M. Sobry. Il y a aussi une question d’hygiène
publique qui ne permet pas a la Ville de reconstruire
des maisons dans toutes les rues. Par exemple, la
du Paradis reste, mais on ne saurait autoriser d y
construire des maisons on ne peut y avoir que des
ties. De même pour la rue de l’Appél et d autres.
M. Reynaert. L’indemnité doit être juste et préa
lable. Done la Ville doit payer en même temps qu’elle
ordonne de reculer ou quelle défend de reconstruire.
M.Peekei qui est chargé de régler les expropriations n’a
que M. le Géomètre Devriendt pour l’aider et celui-ci
a déja trop d’ouvrage. Cela ne peut durer ainsi.
M. Donclf voudrait bien savoir combien de cas d’ex-
propriations M. Peekei a déja terminéfe, réglé et payé.
Peut-être aucun 1
M. Vandermeersch, échevin, admet que toutes les
critiques sont fondées, est assure que le college fera des
démarches auprès de M.M. Moreau et Peekei pour que
les affaires soient activées. Cela met fin a la discussion
et on continue l’examen de l’ordre du jour.
4. Concessions au cimetière, Plusieurs concessions
sont accordées, sans opposition.
5. Bureau de Bienfaisance, demande d’ouvertures de
crédit. Le Bureau qui a besoin de fonds de roulement
demande l’autorisation de s’ouvrir un crédit de 70.000
francs a la Banque Nationale contre depót de titres en
garantie.
M. VanAlleynes. Le Bureau de bienfaisance
n’a-t-il pas de fonds en caisse L’opposition n’a aucun
représentant dans ce conseil, elle ne sait ce qui s’y passe.
La commission du bureau de bienfaisance doit être re-
nouvelée avant Janvier, et le conseil communal n’est pas
même encore saisi de Ia question.
M. V andermeersch. Cette réelection doit se
avant Ie 31 decembre prochain, et l’opposition
toute satisfaction.
L’autorisation sollicitée par le Bureau de bienfaisance
est accordée.
6-7. Les comptes dé 1921 et le Budget pour 1922
de l’Ecole ménagère libre St. Marie sont approuvés.
8. Droit de pesage Revision. Ces droits ont été
revisés. Les marchandises paieront 1 fr. par mille kilos,
les pores et veaux 0,75 par tête, le gros bétail 1 fr. par
tête, etc.
Quelques observations sont faites mais comme ces
taxes sont celles proposées par M. Canepeel lui-même
pour le pesage a l’abattoir, elles sont adoptées. L’expé-
rience dira s’il y a lieu de les modifier.
9. La Fédération Nationale des combattants de
mande un subside pour payer certains frais de la fête
qu’elle a donnée le 1 1 Novembre.
M. Sobry dit que le collége n’a pris aucune décision,
mais il trouve que la demande est tardive.
C’est aussi l’avis de tous les conseillers qui se dé-
clarent cependant favorables a cette société, et pour ce
motif la demande est rejetée. L’ordre du jour étant
épuisé, M. 1’Echevin Sobry, président, demande qu’on
discute encore certains autres points urgents.
Pour 1’agrandissement de la gare, 1’administration
des Chemins de fer demande d’acheter certains terrains
de la Ville occupés jadis par M. Georges Lapière et
Peirsegaele. Elle offre le prix de 62072.62, mais le
collége trouve la somme insuffisante, et demande l’avis
des conseillers.
Ceux-ci partagentle sentiment du collége, et 1’autori-
sent a continuer les pourparlers.
- Les Hospices ont procédé, par voie d’adjudication
publique, a la> location de 34 parcelles de terre, et de-
mandent
la loi.
M. Donclf. Ceci est correct. Mais pourquoi les
Hospices n’ont-ils pas toujours agi de même Ainsi un
terrain, auparavant occupé par le docteur Dochy, a été,
sans aucune formalité, loué a un autre.
M. Lemahieu pourrait citer de nombreux exemples de
faits semblables.
M. Sobry. Nous demanderons done des explica
tions. -
MBouquet, Donclt, Lemahieu et Delhem se plai-
gnent de la mauvaise qualité des eaux prés de 1 abattoir,
du défaut d’éclairage dans ces environs, et demandent
que le nouvel abattoir soit reconstruit hors ville.
M. RanNieuWenhove fait observer que c est a 1 Etat
a reconstruire l’abattoir.
M. Reynaert interpelle
du matériel des pompiers.
M. VanNieuWenhove explique que le collége fait
tous ses efforts pour l’améliorer. Il est en correspondance
continuelle avec 1’Etat a ce sujet. En Allemagne, on trou-
vera peut-être a meilleur prix une pompe automotrice
pour ilaquelle en, Belgique on a réclamé 87.000 francs.
C’est un prix inabordable. Il faut aussi des échelles.
•Nous insistons constammant auprès du H. C. R.
M. Delahaye. Nous ne sommes pas outillés en
cas d’incendie. Il serait du reste de toute justice que les
Cies d’assurances paient une partie des frais du matériel
des pompiers puisqu’elles en retirent tout le bénéfice.
Les pompes que nous avons ne peuvent satisfaire a nos
besoins en cas de sinistres. Nos pompiers ne les emploient
que parcequ’ils n’ont pas autre chose, mais ils ne les
ont jamais agréées.
M. Reynaert. Quel est au Ministère le fonction-
naire responsable de ce dangereux état de choses
Il n’est pas possible qu’il nous y laisse. Nous nous
batons toujours contre la mauvaise volonté de Bruxelles.
Il faut continuer a insister.
M. VanN ieuwenhove. Nous le ferons.
M. Lemahieu propose de profiler de la présence
a Ypres du Service Officiel de la Motoculture pour
instituer a partir du nouvel an un cours de motoculture.
M. Sobry. - L’idée est trés bonne et nous tacherons
d’instituer ce cours.
M. le Président expose, dans ses grandes lignes,
le futur règlement du service des eaux tel que le pro-
jette M. Valentin. a
Les raccordements particuliers se feront pour 3 ans,
a 40 centimes par mêtre cube d’eau employé, et moyen-
nant une caution de 75 francs. Chaque maison aura
son compteur spécial, les employés de la ville les relè-
veront tous les 3 mois la location en sera faitc a 50
ou 70 centimes par mois d’après la dimension de la con
duite.
Les conduites d’eau sont en ce moment terminées jus-
que prés de la ville, sous peu elles entreront en ville,
mais il reste encore certains travaux a faire prés de
1’Etang de Dickebusch et chez Verschoore.
Il est done urgent d’adopter un règlement puisque
d’ici a 3 mois il s’agira déja de l’appliquer. M. le
conseillers sont pries d’en prendre connaissance a l’hóte
de ville afin qu’il puisse être discuté sans retard.
M. VanNieuwenhove. Quand les travaux seron
achevés, il y aura de la pression partout, jusqu’au gre
nier. En ce moment ces travaux sont momentanément in
terrompues paree que les tuyaux qui doivent venir, partie
de la Louvière et partie de la Tchéco-Slovachie, se font
attendre, sinon on serait déja dans la rue au Beurre.
Les sinistrés ne peuvent pas oublier qu’ils doivent
comprendre les frais de la réinstallation du service de
l’eau dans leur compte des dommages de guerre, car
chacun aura a payer les frais du raccordement jusqu’a
la conduite-mère.
M. Doncfe demande ce que devient le systême des
égoüts On a coupé ceux-ci en comblant les bras de
l’Yperlée.
M. VanNieuwenhove. La Ville n’a rien a y
voir. Ce travail incombe au H. C. R. On ne fera pas,
parait-il, les collecteurs lattéraux a la grande voute de
1 Yperlée et dont on a parlé jadis. Mais des trouées ont
été prévues dans cette voute pour y recevoir les égoüts
de chaque rue. Dans 1’avenir, aucune maison n’aura
done plus sa décharge spéciale et directe dans lYperlée,
mais dans l’Egoüt de la rue.
Après eet échange d’observations, la séance publique
est levée a 4 1/2 heures, et le conseil reprend son huis-
clos. Nous apprenons que M. l’Echevin VanNieuwen-
hove y a mis les membres du Conseil Communal au cou
rant des travaux exécutés pour la distribution de l’eau,
et M. 1 Echevin Vandermeersch a exposé les négocia-
tions en cours pour l’éclairage de la Ville. A. B.
naar zijn laatste rustplaats te
Men bemerkte vooral het vaandel
bond van Yper, gevolgd door de led,
sements-Comiteit van het Nationaal Werk de
invalieden, eene groote afdeeling van den I
Strijdersbond, eene afvaardiging van het Beh
Spoorwegen, een peloton gendarmen als eerewach”
Met spijt hebben wij bestatigd dat het G
stuur niet vertegenwoordigd was. lneentd)(
D oud-strijder werd begraven op de
Plc*«lS voorL
houden aan de voor het Vaderland gesneuvelde h M
Vooraleer den dooderi akker te verlaten heeft de E
Clinckemaille Robert, Voorzitter van het Arrondi'"
ments-Comiteit, de volgende lijkrede voorgedragen
In naam van het Nationaal Werk dy Oorlog
valieden. en van het Belgisch Staatsbestuur vod ik
mij een plicht een laatste vaarwel te zeggen aan
onzer helden.
De oorlog is ten einde, maar ongelukkiglijk niet voot
onze oorlogsinvalieden, sinds veertien dagen heeft i
van den Invaliedenbond drie zijner leden naar hunn i
laatste rustplaats vergezeld.
Na den vreeselijken slag van den Yzer was het
Belgisch leger merkelijk verminderd, het Vaderland
bleef in gevaar, eene nieuwe schaar jongelingen moest
ter hulp komen. In 1915 werden de Belgen van 18fot
25 jaar binnengeroepen.
Gij ook Del’EYE bevondt u onder deze nieuwere-
cruten, zij wisten reeds wat er hun te verwachten stond
zij kenden het gevaar, het leven der loopgrachten, de ge
weldige vijandelijke beschietingen, de dood van menige
vrienden en kennissen, het afscheiden van.ouders en
bloedverwanten.
Kloekmoedig zijt gij met uwe makkers ópgetrokken,
edelmoedig hebt gij uwen plicht gekweten, op het slag-
yeld hebt gij het kruis van Ridder van Leopold 11 en
het oorlogskruis gewonnen. In de woeligste strijden vrees-
det gij de dood niet tal van uwe wapenmakkers zaagt!
gij aan uwe zijde nedervallen, zonder niet den minsten
zoen noch vaarwel van hunne dierbaren te kunnen rode-
deelen.
In October 1918, als ons klein leger zegevierend den
laatsten slag ondernomen had, werd gij erg gekwetst,
verschillende weken verpleegde men u in een hospitaal;
ondertusschen kwam de zoo gewenschte dag van da
wapenstilstand een einde werd gebracht aan al K
folteringen van onze
altijd met de meeste onverschilligheid
té verduren, een einde werd gesteld
daden van den schrikkelijken oorlog.
Gij ook hebt den zoo verlangden dag zien aankom,
maar ongelukkiglijk was uwe bloeiende gezondheid ge
schonden gij verbleeft nog eenige weken in het hospi
taal en kwaamt eindelijk verminkt uwe ouders vervoegen.
Uw lijden was nog niet ten einde eenige maanden M-
dien werd gij door eene andere kwaal aangetast; volrood
en ijver volbracht gij uwen dienst aan den YzerwegM
den dag dat uwe krachten het u niet meer toelieten.
In eenen ellendigen staat werd gij naar het burgerij
hospitaal van Yper overgebracht een der pijnlijkste a
moeihjkste operatie’s hebt gij onderstaan, alles was
gelukt. Voor eenige dagen kwam ik u bezoeken en a)
hadt nog de zoete hoop uwe krachten weldra weder tel
vinden helaas niettegenstaande de verkleefde zorgal
van eenen ervaren doctor heeft de Voorzienigheid era
ders over beslist.
Achtbare Ouders en Bloedverwanten weest fier oj’®
de dapperheid van dezen die zijn bloed en levaa t
beste sekonk voor zijn volk en Vaderland uwe r0^
heid’ is groot en het afscheiden bitter, maar e
dezen niet die zijne plichten heeft gekweten, wens
rijke dood eenieder moet bewonderen en die onzen
en onze erkentelijkheid op de reis door de eeuwig ei
meedragen.
Vaarwel Deleye en rust in vrede.
De heer De Coster sprak vervolgens m
Nationalen Strijdersbond en van
den.
’t Was eene
Maandag laatst had de begrafenis
onzer dappere strijders, Deleye JérómeS P Vatl
vereerd met het Kruis van Leooolrl Tl’ .^sinvalu
kruis.
Een groot aantal vrienden en kennh
gehoudén het nieuwe slachtoffer van den
vergezellen. u°tlo8
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-Jen’ het ArrOttdi<.
Oorloo,
Rationale,
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