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VERBRUIK OP DE 100 KILOMETERS
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Mesdames, Messieurs
G. Vandenbulcke. J. Geuten.
Aug. d’Ennetières.-
ölleenverkoope r*s G a rage
Rapport du Collége des Commissaires
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rplh FHil
Het spaarzaamste Autorijtuig der wereld. -- Besparing in iiet verbruik en van
S j|
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34.367,75
414.435,00
s
353.640.25
No>
g* t
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6.646,2.5
455.449,00
Realisable
Coopérateurs
Portefeuille
Immobilise
Immeubles
Mobilier
Dispomble
Caisse
Chèques postaux
Banque
:li<’
6.3,34
6.572,91
1
Conférence faite par M. Louis Geuten,
Administrateür-Délégué de la Société
Cooperative r< La V'allée de la Lys a Wervicq
d l’Assemblee Générale de cel organisme.
Vous venez d'entendre les rapports du
Conseil d’Administration et de surveillance.
Vous y avez donné unanimement votre
approbation, montrant ainsi votre sympathie et
dispara.itla Saacrerie de Warnêto
Envers les tiers
Fédération
A reporter
Excédent de provision pour frais
généraux100.808,75
Totaux 455.449,00
Dressc par le Conseil d’administration
J. Vermeulen. B. Deltour.
Fm et approuvé par le Conseil de surveillance
323.5go,oo
90.845,00
27.338,00
7.029,75
Vraag aan.de eigenaars van een CITROÊN-AUTO -jgffy
wat zij er van denken.
I ifjff
C’est avec satisfaction que nous Vous don-
nons lecture du bilan auquel Vous voudrez
bien donner vos observations et, lecaséchéant,
approuver.
Les Administrateurs,
B. Deltour. J. Vermeulen.
Vandenbulcke.
Conformément aux prescriptions statutaires
de notre Société et en exécution du mandat
qui nous a été confié, nous avons l’honneur
■de Vous rendre compte de l’accomplissement
■de notre mission pour l’exercice 1923.
Nos verifications pendant cette année et a
la fin de celle-ci ont porté notamment sur tous
les livres de comptabilité, la caisse et le por
tefeuille et elles nous ont permis de constater
la parfaite concordance entre les existences
et les chiffres des'écritures sociales.
Le controle que nous avons exercé nous a
fait constater une marche régulière et n’avons
que des éloges a adresser.
Ayant constate la concordance des postes
renseignés par le,bilan avec les livres de la
comptabilité, nous Vous proposons, Mes
sieurs, d’approuver ces comptes tels qu’ds
Vous sont soumis par le Conseil d’adminis-
tration, a qui nous adressons l’expression de
notre reconnaissance pour les services rendus
a la cause des sinistrés.
A C T I F
C1©,
restriction de
Ce ’e prouw
au
et nécessaire
en ce moment
-lomiqne
reconstruction ei
-un sau
sera l’économie
-tre main
chacun peut
peut tromper.
Que la lumière jaillisse dans l’intérêt de
tous et dans celui des fonds de l’État en par
ticulier
Le véritable sinistré demande sa situation
d'avant guerre ainsi que la renaissance de son
pays. Si l’État avait pu réaliser ce problème
en nature, c’était l’enterrement de la suspi
cion, mais les non sinistrés auraient encore
ergoté egóism e et jalousie.
Ah si ces inconscients se seraient trouvcs a
notre place depuis 1914
L on parle encore de la suppression du
Ministère des Affaires Économiques, nous
préjugeons que ce n’est pas paree que Ton en
visage la fin de l’examen des dossiers a peine
la moitié sont résolus définitivement. Quelle
sera la situation de l’autre moitié II faut que
le pays le sache.
T otaux
PASSIF
Envers elle-mcme
Capital 340.200,00
Amortissements 8.396,65
Réserve légale 5’043,60
votre reconnaissance envers ceux en qui Vous
avez mis toute votre confiance.
Les résultats obtenus parlent plus haut que
toutes les belles paroles qu’on pourrait leur
adresser. Par leurs soins plus de 60 millions
ont été liquidés, ramenant- peu a peu la vie
dans un canton complètement ravagé.
Nous ne nous étendrons pas plus long-
temps sur ce sujet, le moment est solennel et
permettez nous de sortir un tant soit peu du
cadre, pour Vous donner quelques éclaircisse-
ments sur la situation de la restauration des
régions dévastées.
1919 fut l’année des tatonnements.
1920 celle de l’organisation.
1921 1922 furent celles d’une activité
fébrile, ou le courage déployé. par tous faisait
entrevoir notre prochaine résurrection.
1923 fut celle de la stagnation, nous avons
piétiné sur place, une épidémie de décourage-
ment s’est propagée.
Que sera l’année 1924 Nous avions espéré
qu’elle serait le couronnement d’une oeuvre
gigantesque. Hélas... des nuages couvrent
l’horizon, une brume s’est abattue sur nos
régions, pourrons nous la dissiper
On dit, oui, Mesdames et Messieurs, on dit
beaucoup, quelquefois de trop, cependant, il
arrive que le proverbe il n’y a pas de fumée
sans feu soit une vérité. Attaquons le
taureau par les cornes et examinons ces soi-
disants racontars lancés, nous le désirons de
tout coeur, par des pessimistes.
L’on parle de la révision de tous les juge-
ments définitifs en fait de dommages de
guerre. Personnelle'ment,nousn’y croyonspas,
car en Belgique on est trop respectueux de la
chose jugée. Si cependant cette mesure était
prise, loin de la craindre nous la désirons,
pourvu que 1’on tienne compte de 1’epoque du
jugement et de ce que les circulaires ne font
pas loi.
A-t-on découvert un scandale dans les dom
mages de guerre de nos régions agricoles
des Flandres Pas que n^us sachions, ailleurs
peut être. Qu’on punisse exentplairement les
coupables, nous ne défendons que les sinistrés
honnêtes.
Nos sinistrés se sont inspires du tableau-
maxime étalé dans leur local les abus de
quelques-itns compromettent les avantages de
tous
D’autre part, combien de fois n’avons nous
pas demandé le dépot de tous les jugements
définitifs a l’Hótel de Ville de chaque com
mune, oil tout le monde pourrait en prendre
connaissance Personne n’est infaillible,
se tromper, mais personne ne
Sont-ce compressions Celles-ci
deux natures, d’abord celles néc
utiles,ensuite celles pas suffisamment.S^reS,et
et qui entrainent des dépenses imn-^
dépassant de loin l’économie réalisée PCVUeS
Voici ace sujet notre avis
Nous sommes partisans sans
compressions nécessaires,
c’est que nous avons indiqué
1921 des economies possibles
qui sont en train de se réaliser
Le Ministère des Affaires Écon<
disparu, c’est 1’oeuvre de la r-
panne, soumise a 1’arbitraire, c’est
dans 1’inconnu et qu’elle en
Le personnel indispensable devra êt
tenu, est-ce la bagatelle de traitement d’üi
Ministre qui est en jeu Va-t-on décapite
une ceuvre qui aura atteint son apogée dan
une bonne année Non... on ne le peut, qu’o’
supprime radicalement ceux dont la missio
est éteinte, mais qu’on conserve la tête d'un
institution qui aura été la gloire dans I’his
toire de la Belgique meurtrie.
Le Beige par son essence est critiques
mais dans le fond bon enfant et sait au besoii
reconnaitre les services rendus, les sinistré;
en général resident hommage aux bonne
intentionsde Monsieur le Ministredes Affaire
Économiques.
L’on parleencore etceci est lecomble, del;
disparition cette année mêtne de la Fédératim
des Cooperatives, cette nouvelle a été ui
coup de massue pour les sinistrés et avantd<
nous étendre a ce sujet nous attendons dt
plus amples renseignements.
Permettez nous de Vous servir le plat de
resistance. Il y a quelques jours, un journal
bruxellois demandait sérieusement qu’on dé1
livre pourle reglement des sinistrés a liquida
dans 1’avenir, des titres sans intéréts payables
au dernier jugement Quelle est done li
mentalité de ce rédacteur genre Josué, qui
ne sait pas arréter le soleil mais qui voudrait
arrêter la reconstruction du pays Pendant
qu’il y est, pourquoi ne demande t il pas W
suppression de tous les budgets Ayons pitifl
de cet inconscient, peut être a t-il des bonnes
intentions, car nous savons qu’il a souscril
pour les sinistrés du Japon. Au lieu dek
trailer en ennemi, invitons le a un débat con
tradictoire et aprês une discussion courtois
sur place, nous 1’aménerons a être un de no!
plus courageux défenseurs.
Quoiqu’il en soit, 1’incertitude annihile
courage, il est temps de couper les ailes
tous ces canards. Mais si d’un autre cóté
velléités de restrictions se faisaient jour, ces
par l’union étroite de toutes nos forces qu<
nous devoirs réagnr.
La souffrance a aigri notre caractère, n01
en avons assez depuis to ans que ce a
Aux grands maux les grands remèdes
ne voulons pas qu’on supprime dun trai
plume, <de la carte de Belgique,
arrosée du sang le plus pur, quon 0
1’arron.dissement d’Vpres, nous voulons
etneiux vivrottt.
Mais comment vivrons nous atlS
nécropole Si des mesures ne
notre contrée retorurne a la ruinen0
geoisie n’y tr -ouvera plus son existc»
courageuse population ouvriêre devr H
trier, cela a carus-e de gens a cou
plutót A longue vue interessée.
Tonat ce qui .asEsena.il un
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