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II
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I
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Ypres - Menan
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POELCAPEL.LE
alleen ver Hoopers Garage
Vraag aan de eigenaars van een CITROËN-AUTO
wat zij er van denken.
Op ZONDAG 6 JULI 1924, om 3 uur
namiddag, zullen er hier
De feestelijkheden zullen door het muziek
opgeluisterd worden.
Kataloog en proeven gratis op aanvraag.
Meester ’t Land van Waes is de vrucht
baarste streek van België weiden, landen,
hagen, hoornen, alles is er groene.
Frederikje En ’t Yper tè Meneere
’t wit steen wordt er groene de vaart ligt er
groene en de geteisterden kijken er van langs
om meer groene. (ioo op ioo 1)
J 1 Bui.
Dernièrement, un
membre du gouvernement a prononcé-un dis
cours qui a été mal interprété par les sinistrés;
ceux-ci ont cru comprendre qu’on allait chan
ger la loi et que ceux dont la situation n’avait
pas encore été liquidée allaient voir leurs
dommè-ges régies dans des conditions diffé-
rentes de celles appliquées jusque-la.
Cette fausse interprétation a inquiété beau-
coup de gens, et je voudrais que le ministre
rassurat les sinistrés sur ses intentions.
Je crois que ceux dont les dommages
n’auront pas été réglés seront mis sur le
même pied que les autres mais une declara
tion faite par le ministre dans ce sens dissi-
pera bien des doutes.
II reste des dizaines de milliers de dossiers
non examines il y a done beaucoup de Bei
ges intéressés a cette question.
.Une declaration de M. Van deVyvere aurait
d’autant plus d’importance que certains actes
de son administration peuvent légitimer ces
apprehensions.
.On a supprimé les hauts commissaires
royaux, notamment celui de Liége, un galant
homme, qui a pris l’initiative de dire au gou
vernement qu'il n’avait plus rien a faire. Mais
on a conservé tous ses fonctionnaires, etil y en
Elle demande également la réinstallation de
l’école de bienfaisance de l’État, dont elle
était dotée en 1914 a la suite d’un prélèvement
fait par l’État sur la succession Godtschalck
et en exécution d’une transaction conclue avec
lés héritiers et les hospices civils de la ville
d’Ypres. A défaut d’école de bienfaisance,
elle demande que l’État consacre les fonds
qu’il détient a quelqu’autre établissement pu
blic a ériger a Ypres.
'Elle insiste, enfin, pour que sa garnison lui
soit rendue-
Ypres a toujours eu une garnison impor
tante.
Ses bailments militaires sont toujours a
l’état de ruines, sauf la caserne d’infanter e,
qui a été reconstruite jusqu’a la toiture et
dans laquelle sont logés provisoirement les
services des dommages de guerre et le tribu
nal de première instance, en attendant que
les batiments soient aflectés a leur destination
véritable.
Ces institutions civiles et militaires com-
prenaient de nombreux ménages de fonction
naires et constituaient pour Ia ville une source
de revenus appréciables.
Le commerce local vit aujourd’hui en gran
de partie des besoins de la reconstitution.
Les quelques industries qui existaient en
1914 se sont réinstallées et des initiatives se
manifestent pour y attirer des industries nou-
velles. A eet égard, le département des affai
res économiques pourrait seconder ces efforts
en y favorisant le remploi industriel.
Je ne doute pas que le gouvernement vou-
dra envisager eet aspect du problème avec
toute la sollicitude qu’il a témoignée jusqu’ici
a la région la plus éprouvée du pays, et qu’il
tiendra a rendre viable l’oeuvre qu’il reste
décidé a mener a bonnes fins.
Je lui fais confiance, comme jefais confiance
au pays, qui, malgré la défection de l’Alle-
magne, a assutné la lourde charge de relever
nos ruines, et lorsque l’onsongeacequ’étaient
nos régions dévastées au lendemain de la
guerre et que Ton envisage les résultats obte-
nus, je trouve qu’il ést injuste de ne pas
s’incliner avec admiration devai.t l’effort
accompli. (Trés bien
M. DIGNEFFE.
Geene begeleiding.... tenzij buiten het ge
knetter der geweren en het gedommel de
kanonnen,
Peuples, a genoux
III.
Kerstnacht
Omtrent middernacht
Boven de stad, in wijden kring van vuttt
staan duizenden mannen elkander naar
leven.
Het Groot Hospitaal is eenzaam verlaten
drie dagen geleden zaaiden de vijandelijb
bommen er dood en vernieling.
Brave menschen met het lanteerntje uitde
oude tijden, soldaten van de verwijderde bat
terijen, Engelschen (protestanten) trekken
daar stilzwijgend heen.
’t Is Kerstmis...
Wij dalen de trappen af en komen in dea
kelder... in kapel herschapen. In den hoek.,
een outaar.... het geredde tabernakel uitde
vernielde kapel.
De priester in misgewaad knielt neder., au
zijne zijde twee fransche officieren die dt
Heilige Mis zullen dienen in ’t midden vai
den kelder een mandje met strooi met een
verrukkelijk kindje, tusschen waskeersen dit
een weifelende klaarte verspreiden.
De kelder is veel te klein om al het volk tel
bevatten....
Wat is het daar stil...
’t Is middernacht
Eene stem weerklinkt
Minuit, Chrétiens, c’est l’heure solennellt
Oh l’Homme-Dieu descendit parnii nous....
De Priester gaat heen.... iedereen ®et
hem.... stil, ingetogen, de ontroering ®£l
moeite bedwingende. Iedereen had geween
En 1921, quoique la route Ypres-Menin,
commenqat a devenirfort mauvaise, il passait
encore environ 200 a 2Óo autos par jour.
L’an dernier, on en voyait encore passer
une bonne cinquantaine.
Et cette année-ci
Deux ou trois autos passent, mais en jurant
qu’on ne les y prendrait plus
Tout Tourcoing Roubaix Courtrai
abandonné le passage par Ypres.
La perte que la ville subit est énorme.
Et que devient la route Ypres-Furnes
Elle menace d’avoir le sort de la route
Ypres-Menin. Les trous s’y multiplient,
jamais on y répare quoique ce soit.
Cela coiiterait si peu d’y porter remède par
des petites réparations journalières. Mais
non les bureaux ministériels s’en f..., pas
de crédits pour la Région Dévastée
Nos fonctionnaires locaux des Ponts et
Chaussées n’en peuvent rien, mais ce sont eux
qui encaissent toutes les recriminations et les
...engueulades du public.
De Heilige Mis begon... in stillen eenvoud
Wat is dat toch plechtig twee misdienaars It
zien in uniform, in zoo een midden
De Mis {de Angelis') werd voorgezongenei
door al het volk herhaald.
Aan het offertorium... Adeste Fideles, hoi
eenvoudig en toch zoo schoon.
De soldaten herinnerden zich het Kerst
feest in hunne familie, de Engelschen hu:
geliefd Christmas en allen zongen uit voft
borst
Venite.... Venite.... Adoremus
De Heilige Mis ging voort
De Consecratie.... de Heiland verscheen.
Het gerinkel der bel werd verdoofd door eet
geweldig kanongebulder... de kelder werdge
schud... Wat een indrukwekkend oogenblit
Zoo geraakte men aan de Nutting... iedereen
ging ter Heilige Tafel....
De Heilige Mis is gedaan... nog een lied
De Herders kwamen dien nacht,
Zoo zoet, zoo stil,
In blij gezang klinkt onze stem
Gods Zoon verkoren
Is ons geboren
In Bethleem....
a quinze inspecteurs, architectes, contro
leurs, etc. Je me demande si tout ce person
nel a encore sa raison d’être.
Le haut commissariat a Liége a fort bien
travaillé. Pour la seule ville de Vise, de mai
1922 a septembre 1928, ce bureau a fait 5o
adjudications par mois. Depuis six mois on
n’en fait plus que trois le travail parait done
terminé, et cependant les quinze fonctionnai
res restent en fonctions.
Puisque je parle de ce haut commissariat,
je signale que ses comptes ayant été publiés,
on constate que la oü Ton a laissé les sinis
trés construire eux-mêmes, ils ont construit
dans des conditions bien plus avantageuses
que le haut commissariat lui-même. II s’agit
de differences de prix qui vont jusque 20 p. c.
Certains fonctionnaires des hauts commis
sariats ont-ils toujours bien travaillé J’en
doute, quand je vois certains jugements dé-
clarant que les chiffres établis par ces tonc-
tionnaires pour fixer les valeurs de 1914 étaient
manifestement exagérés et que des tribunaux
ont fixé des indemnités inférieures a celles
suggérées par les appréciations des fonction
naires des hauts commissariats.
Tout cela prouve que les administrations,
quand on les charge d’affaires pour lesquelles
elles ne sont pas qualifiées, les font moins
bien que l’initiative privée.
(Suite au pro chain numéro).
Het Hospitaal te Yper
Van November 1914 tot April in
door Gustave DELAHAYE
{December 1915).
(Vervolg)
7 1/2 liters NAPHTE
250 grammen OLIE
«St C’e, Meenenpoort,
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