Caisse Commercial de Rooiers
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Tijdperk van 25 November tot 10 December4,75 t. h.
HALFMAANDELIJKSCHE REKENINGEN
nr’
Voorheen G. DE LAERE C°
I
Avant la guerre,
était franqaise a l’école
est payante, plus il y
Plus elle coütera cher a la
aura du succes si elle est fran-
'UQuet avoue qu’elle dépeuplera
-1 ce succes serait une ruine
M. Van A lleynnes propose 1’ordre du jour
suivant
Le Conseil Communal de la ville d’Ypres,
Vivement ému a 1’annonce de ce qu’il
pourrait être question de ne pas réinstaller a
Ypres les diverses garnisons y établies avant
guerre, prie instamment Monsieur le Ministre
de la guerre de s’inspirer de la situation de la
ville d’Ypres en 19x4, et d’aider 1’administra-
tion communale dans les efforts qu’elle dé-
ploie journellement en vue de la résurrection
de la ville, dont l’anéantissement a contribué
en 1914 a sauver l’indépendance de la Bel
gique
Ce voeu est admis a l’unanimité.
M.Donck. Pourquoi a-t-on arrêté le
numérotage des rues
M. Colaert. Nous tiendrons la main a ce
que le peintre continue.
M. Van Nieuwenhove. C’est le peintre
qui refuse paree qu’il n’a pas encore touché
un sou pour le travail fait. Les propriétaires
doivent payer un franc par numéro. Il y en a
plus de 2000 faits. Or, le salaire de l’employé
chargé de percevoir ces francs, et les frais des
quittances, cofiteront a la ville plus que ne
produiront ces francs. Il faudrait qu’on vote
un crédit de 3ooo francs et que la ville prenne
cette peinture a sa charge. La décision de
faire payer un franc par propriétaire est logi-
que mais elle est d’une exécution impossible.
M. Delahaye. Bij ’t Waterkasteel de
stekkerdraden wandelen op de trottoirs en
kwetsen de kleederen van de voorbijgangers.
Zou Tancré dat niet kunnen in orde zetten
M. Colaert. ’t Zal gedaan worden.
M. Van A lleynnes. Quand on inter-
rompt l’électricité, il serait élémentaire de
prévenir les gens. Les agissements de la Cie
causent aux petits industriels un tort considé-
rable en interrompant le courant sans préavis.
M. Van der Mersch. Cela est exact et le
Collége a protesté vivement.
M. Van Alleynnes. En outre en cas de
panne, on ne sait oü s’adresser. II n’y a aucun
poste oü on puisse trouver quelqu’un. II fau
drait qu’on installe un bureau fixe, connu de
tous, oü les gens en peine puissent se rendre
de suite.
M. Donck. Les interruptions sont conti-
nuelles. C’est intolérable.
M. Van Nieuwenhove. D’ici trois jours
tout sera en régie. Il nous faut exiger, confor-
mément au règlement, qu’un employé soit a
poste fixe, dans un bureau au centre de la ville.
Nous insisterons.
M. Declercq. Aan de Meenenpoort, is
er geen genoegzame verlichting, en de door
tocht is er ’s avonds geheel gevaarlijk.
M. Van Nieuwenhove. C’est vrai, et mal-
heureusement cela durera encore longtemps.
Les déplacements continuels du gigantesque
marteau-pilon sont cause qu’il n’est pas possi
ble d’établir en eet endroit des mats d’éclai-
rage qui gêneraient la manoeuvre des cables.
II y a néanmoins un grand danger, et nous
ferons le nécessaire pour qu’on y remédie.
La séance est levée a 6 h. 3o.
TTTILT Gii be®’® koffie drinken
\A/ BcSeeft u naar den oud gekende®
V V Kof f ie winkel van G. Vande Lane:tte-Cc Baadt,
in de Dixraudestraat, YPER.
I I
school van <-
je£ligenwa
Jat aan
jJlfoners
financière pour la ville. Pour ce motif, nous
avons changé notre fusil d’épaule, et nous
demandons que cette école soit gratuite.
M. Van Alleynnes. Qu’on vote d’abord
sur la gratuité, puis après sur la langue véhi-
culaire 1
M. Van der Mersch. M. Bouquet craint
que si- l’école des filles de la rue St Jean est
gratuite et franqaise, elle dépeuplera entière-
ment l’école de la rue de Lille. Tous les
parents ici voudront envoyer leurs enfants a
l’école franqaise. Cette crainte est fondée,
c’est l’avis unanime a Ypres. Qu’on ne fasse
done pas gratuite cette école de la rue Saint
Jean, qu’on la maintienne payante et avec la
même méthode d’enseignement.
M. Colaert.— Je poserai les deux questions
i° sera-t-elle payante puis sera-1-elle a base
flamande ou a base franqaise
Sur la première question sera-t-elle payan
te La majorité vote qu’oui.
MColaert. Sera t-elle a base flamande
Je propose de dire qu’oui. Nous voterons.
M. Glorie propose de poser la question
comme suit sera-t-elle organisée comme
avant-guerre
Une nouvelle discussion surgit, trés diffuse,
et qui laisse, malgré M. Van der Mersch, le
doute sur le sens de cette proposition.
M. Colaert. - Nous voterons d’abord com
me je l’ai ditla langue véhiculaire sera-t-elle
flamande?
Au vote il y a 5 oui, 6 non, 2 abstentions.
M. Colaert. Maintenant, je mets au vote
la question suivante l’enseignement s’y don-
nera-t-il comme avant-guerre
On passe au vote. Cette proposition est
votée a l’unanimité.
Done l’école St Jean sera payante et,
comme langue de l’enseignement, les cours s’y
donneront comme avant-guerre dans les deux
langues maternelles.
10. Échevin. Démission.
M. Iweins. Après ce vote d’apaisement,
mes collègues ne pensent-ils pas qu’il y aurait
lieu de suspendre la séance et de Ia reprendre
dans quelques instants. Cette question des
écoles a été Ia cause de la démission de notre
échevin. Nous la regrettons tous. Tachons de
nous entendre comme nous devrions toujours
le faire, et dans ce but suspendons un instant
la séance, et causons.
Le président constatant que tous les con-
seillers sont de l’avis de M. Iweins suspend
la séance.
Le public se retire. Après 20 minutes, le
public est de nouveau admis.
M. Colaert. Nous reprendrons a huitaine
la question de la démission et de la nomina
tion d’un échevin. Ce sera done pour samedi
prochain,
11. Communications.
1) M. Verwilghen, H. C. R., informe la ville
que ce mois il y aura une adjudication pour
les travaux de construction du nouveau bassin
de natation.
M. Bouquet. - De brug aan de Rijsel-
poort levert een groot gevaar daar de zijleunen
beginnen geheel slecht te zijn.
M. Colaert attirera sur ce danger l’attention
du H. C. R.
M. Donck. Oü en est la démarche du
Collége auprès de M. le Ministre de Ia guerre?
M. Colaert. Quand la crise échevinale
sera résolue, elle sera faite de suite.
Aangesloten bij de BANQOE DE BRUNELLES (Kapitaal 200.000.090 - Resemn 55.655.233)
--
Rekeningen 6 maanden 5,25 p. h. - 1 jaar 5,50 p. h.
iat zulk een bijval zou kunnen
t het grootelijks de bevolking der
de Rijsselstraat zou kunnen bena-
het het schoonste bewijs niet
de begeerte van een groot getal
zouden voldaan hebben
iers die begeeren dat hunne kinderen
1)6 weinig fransch zouden kunnen spre-
^estatigen dat zij er heden niet genoeg
ken’ leeren om nog een gesprek in het fransch
tieer en beginnen. En dit is maar al te waar,
'^tmoeten wij niet bestatigen dat vele jonge-
'ïaD d;e fier zijn etn zwart leeuwken op gou-
llDge.gidtedragen, ja zelfs na verschillige jaren
'ddelbaar onderwijs, niet meer in staat zijn,
oneene betamelijke manier, twee fransche
'oorden aan een te knoopen Dit voordeel van
\er fransch aan te leeren kunnen wij dus
zonder nadeel aan deze, die liever
lebben dat de schoollessen bijna uitsluite-
ainhet vlaamsch zouden gegeven worden
dit zonder onkosten voor de stad indien
wijde school van de St Jansstraat kosteloos
maken en zonder onderscheid te maken bij de
kinderen mits beide scholen kosteloos zouden
djn veel min dan met eene betalende school
ieVens eene kostelooze school in te richten.
Aan een ieder van ons dus te beslissen
volgens geweten en zonder haat, en het publiek
zal oordeelen wie best zijne belangen verstaan
leeft.
Een woord nog, om wel te laten verstaan
dat ik ook nooit het gedacht gehad heb van
strijd te voeren tegen het Geestelijk Collegie
met het voorstel bij te staan, van eene latijn-
sche sektie in te richten bij de Staatsmiddel
bare School.
Wie zou kunnen denken dat er nadeel aan het
Collegie zou kunnen gedaan worden met aan
enige jongens die naar dit Collegie niet gaan
de gelegenheid te geven, de eerste latijnsche
lessen te volgen in de school van hunne keus.
En zouden de ouders die niet wenschen
tane kinderen naar het Collegie te zenden
■verplicht moeten zijn, ze te grooten koste,
nar eene andere stad te doen gaan Niemand
hn ontkennen dat het stichten eener latijn-
she afdeeling bij de Staatsmiddelbare School
«groot voordeel zou bijbrengen met weinig
onkosten voor de Stad.
Ook, indien onze Burgemeester er tegen
gestemd heeft, mocht hij niet beweren de
Burgemeester van al de Yperlingen te zijn,
gelijk hij het gezegd heeft, want zijne daden
ikmnien niet overeen met die bewering in
geval ten minste heeft hij gestemd enkel
ft partijbelang, volgens begeerten of orders
partijgenooten die hier niet tegenwoordig
sin.
M. Colaert J e puis vous assurer que
P^rsonne ne m’a influencé.
"kl. Glorie In alle geval hebt gij het
’oordeel van al de Yperlingen niet ingezien.
Colaert. Ge kunt zien door het bud-
ift dat de kosten voor de scholen altijd ver-
^’deren. De school van St Jan zal vijf en
buizend frank kosten. Wij hadden in
iddelbare school de 4e graad willen
e maar de minister wilt alléén zulks
v°orwaarde dat eene latijnsche sektie zou
geteld zijn.
Bouquet. Als gemeente-mandataris,
ij ™Oe'lijk de kosteloosheid van de school
Janstraat aanveerden. Inderdaad,
HjSe|Z.°U seftens de kostelooze school van de
lmJlleS.raat ontvolken. Al de ouders zouden
,n ms naar de fransche school zenden.
Hyan. a,! der Mersch voudrait cette école
Mali^COl^me avant’guerre> et avec Ia même
aVant"^Uerre Pour ianTie d’en-
Nieuwenhove.
S'sh;?ulT
K
ec°le, et
gajaaaggragrsi ■■iibw - -