Le scandale des briques étatlstes" Wederbelegging voor Dieren Les Expropriations par ies Domaines briques qui est d’ordre public Peut-être Mais est-ce Wat betreft de waarde 1914, worden op de l’Etat représenté par le gouvernement ou par le parlement Si le parlement a entendu regarder la matière comme d’ordre public, le gouvernement a beau étendre le pouvoir de transiger au dela des dispositions de la loi, il n’échappe pas a l’illégalité. Or, c’est ce qui a lieu tous les jours. Résumons La matière semblerai( d’ordre public, sauf les exceptions établies par la loi pour les cessions et les transactions spéci- fiées par elle. Que significnt dans ce cas ces transactions par lesquelles les commissaires impotent si souvent au sinistré une reduction de 1’indem- nité allouée en première instance en échange de leur engagement a ne pas se pourvoir en appel ou a retirer un appel déja formé Ces transactions n’ont hélas aucune valeur elles ne sont pas prcvues par les textes sur la matière et elles sont contraires a l’intérèt public suivant l’arrêt de la cour de cassation que nous venons d’exposer. Retenez cela et ne vous y faites plus prendre. du ministèf® Affaires soi-disant économiques. Ces de briques retournent peu a peU a On a gaspillé 400 millions de L’Etat est en aveu Vraag van den heer AMELOT aan den heer Minister van Economische Zaken Zou de minister mij de onderrichtingen of vingerwijzingen niet kunnen opgeven die door zijn ministerie aan de rechtbanken voor oor logsschade of aan de Staatskommissarissen werden gegeven om aan te duiden voor welke beesten er een aanvullende vergoeding voor wederbelegging mag verleend worden of om de waarde te bepalen .die dient toege kend voor de door de Duitschers opgeëischte of gestolen beesten De belanghebbenden die thans een vonnis bekomen, klagen bitter dat zij niet op gelijken voet werden behandeld met die wier dossiers vroeger werden onderzocht. Dat is het geval met de landbouwers die slechts de aanvullende vergoeding voor we derbelegging ontvangen voor een zeer beperkt getal beesten zoo zijn er ook nog eigenaars van reisduiven aan wie de rechtbanken of de Staatskommissarissen nog enkel de innerlijke waarde der duif (waarde 1914) toekennen, terwijl anderen een merkelijk hoogere vergoe ding voor hun duiven bekomen hebben. Dat is voorzeker een wraakroepende on- rechtveerdigheid waarvan inzonderheid gansch een zeer belangwekkende reeks van geringe lieden slachtoffers zijn, terwijl zij verduldig gewacht hebben met de hoop dat al de ge- teisterden op gelijken voet gingen schadeloos gesteld worden. Antwoord De onderrichtingen, door het ministerie aan de Staatskommissarissen gege ven in zake landbouw, hebben geen ander doel dan het naleven van de wet van 6 Sep tember 1921, waarvan artikel 19 slechts het verkenen van een wederbeleggingsvergoeding toelaat voor beesten die noodig zijn tot het hervatten van het landbouwbedrijf. In zake het bepalen van het getal beesten werden aan de Staatskommissarissen aandui dingen verschaft op grond van gegevens, ge steld na overleg met de samenwerkende maat schappijen, waarvan een groot getal landbou wers deel uitmaken. Door het ministerie worden de woorden hervatten van het landbouwbedrijf op breeds wijze uitgelegd en het toekennen van een wederbeleggingsvergoeding aanbe volen voor de fokbeesten, doch slechts voor de beesten, noodig tot het herstellen van den kweek. Wat de werkbeesten betreft, verschilt het getal volgens den aard der gronden, der on derneming en de gewoonten der streek. Het ministerie kan dus enkel aanduidingen verstrekken en het behoort enkel aan de recht banken voor oorlogsschade gansche onafhan kelijke uitspraak te doen volgens de feitelijke omstandigheden. baremas, aan de Staatskommissarissen be zorgd, voor elk arrondissement gemiddelde waarden voorzien waarbij aanbevolen wordt, indien het beesten van bijzondere waarde geldt, een schatting te laten doen of in alle geval een grondig onderzoek. De gemiddelde prijzen, voorzien in de baremas, verschillen volgens elk arrondissement. De verschillen, vastgesteld tusschen de ver goedingen die thans worden en vroeger wer den toegestaan, spruiten voort uit de wijzigin gen die werden gebracht aan de wet van 10 Mei 1919 door de wet van 6 September 1921 en die voor gevolg hadden, dat door de recht banken voor oorlogsschade aan het begrip wederbelegging een meer beperkten uitleg werd gegeven. Die uitleg werd overigens be krachtigd in verscheidene verbrekingsarresten. Aangaande de reisduiven is het uiterst moeilijk de waarde ervan te bepalen, des te meer, daar die duiven slechts langen tijd na het afschaffen van de p ijs vluchten werden af gemaakt, op een oogenölik dus als het moei lijk was te oordeelen over de waarde dier duiven De rechtbanken voor oorlogsschade bepa len de gemiddelde waarde der duiven volgens elk afzonderlijk geval. Die waaide is uiterst verschillend. Daar het weelde beesten betreft, wordt geen wederbelegging toegestaan. M. le Ministre Baron Ruzette, dans sa lettre du 11 décembre 1924 a M. Je représen tant Colaert, annonce que l’acquisition des terrains nécessaires a l’établissement des ponts de Drie-Grachten et de Steenstraa doit être faite par l’intermédiaire de l’adminis- tration des Domaines que si poui- les Drie- Grachten, ces expropriations sont en cours, il n’en est pas de mêine pour les terrains de Steenstraat. Au lieu d’insister auprès du département des Finances pour obtenir la désignation d’un fonctionnaire chargé des négociations, le mi nistre neseserait-il pas plus utilement adressé a l’administration communale d’Ypres qui possède dans ses dossiers des tuyaux intéres sants sur la faqon expédkive et simple avec laquelle les Domaines procèdent, quand il s’agit de vendre ou d’acquérir des terrains En voici un il y a au moins un an, l’admi nistration communale entra en pourparlers avec le Ministère de la Justice, dans le but d’acquérir un terrain situé en dehors de la ville et appartenant a l’École de Bienfaisance. Ce terrain, sans aucune valeur agricole, de- vait recevoir les immondices et les déchets ménagers de la ville. Avis favorable de l’occupant, même avis du Ministère de la Justice et le règlement de l’accord fut confié aux soins des Domaines. Depuis lors, et il y a de qa des möis, le silence le plus complet entoure cette affaire. La Ville a beau expédier lettre sur lettre de rappel, la consigne est de ronfler au Ministère des Fi nances qui, probablement, ava.it également chargé-un fonctionnaire spécialement compé tent dans ce genre d’opérations, pour s’en- tendre avec l’administration communale inté- ressée. En attendant le réveil du fonctionnaire zèlé, les services des immondices a Ypres ne peut être réorganisé faute de terrain de déverse- mentles habitants réclament, la Commission d’hygiène constate et fait des rapports, rien ne bouge au ministère. Un petit conseil, M. le Ministre des Tra- vaux Publics prenez notre ours ou notre nègre, comme vous l’entendez, employez le dans la stillekens zone de Steenstraat si Ypres attend encore quelques années, l’achè- vement de son cana], vous lui aurez permis au moins par votre intervention aussi bien- veillante qu’opportune, de réorganiser son service d’enlèvement des immondices. Ces briques, nous écrit U1J a^°”pS) chantent par tous les vents et tous e lugubrement et combien ^ouloureus^^^ pour le contribuable celui du front’ jes l’incurie et le gaspillage du ^'.'^^jUions la terre, Nous avons, il y a quelques semaines signalé que dix millions de briques, fabriquées pourle compte de l’Etat, étaient en train de pourri Thiméon-Gosselies. ra Depuis, on le sait, de nombreux abonnés nous ont montréque ce scandale n’était qu’un infime partie du scandale total. Ce n’était plus dix pauvrrs petits millions qu’on nous móntrait, mais 82 millions de bri ques que l’Etat a fait fabriquer... pour avoir l’occasion d’en acheter ailleurs I Depuis, notre collection s’est enrichie d’une faqon ahurissante. Ecoutez. On nous appr md qu’a Bossuyt, en Flandre il existe trente fours d’un million de briques chacun. De Warneton, on nous écrit qu’un immense terrain est reconvert, a perte de vue, le long de la frontière, de plus de cent fours d’un mil lion de briques. A Thuin, il y en a dix-sept millions. A Grand Bigard, il y a vingt fours, tous d’un million. II y en a a Blankenberghe et a Neuve- Eglise, et en d’autres endroits eneóre. Des seuls fours qui sont a notre connais- sance, nous arrivons a un total de 270 millions de briques. Deux cent soixante-dix millions de briques, collées comme une tunique de Nes sus, aux flancs du contribuable Mais, ce n’est pas tout. Poussé par le re- mords, l’Etat a avoué a un de nos amis qu’il a non pas dix millions, ni quatre-vingt-deux millions, ni trois cents millions, mais plus de 400 millions de briques dont il ne peut se défaire... Nons avons consulté sur ce sujet intéressant une compétence, vieux maitre briquetier des Flandres, qui nous a dit que les briques fabri quées pour le cdrnpte de l’Etat reviennent a celui-ci a environ 80 francs le mille. La plus grosse partie de ces 400 millions de briques ont été fabriquées, il y a quatre ans et nous n’exagérons rien en fixant a trois ans la date moyenne de la fabrication. Les 400 millions de briques a 80 francs le mille reviennent done a 32 millions. En calculant l’intérèt a 6 p. c. depuis trois ans, c’est done une perte totale de 5,760,000 francs rien qu’en intéréts. Mais, nous dit notre interlocuteur, cette perte est nulle si on la compare a celle que subira l’Etat lorsque, enfin, il se décidera a vendre. On offre ces briques a 35 fr. le mille, sans trouver preneur. D’oü une perte qui at- teint déja 18 millions. Ajoutez a cela la somme de 2 francs que paie l’Etat par mille briques non encore enle vées, a titre de dommages intéréts aux pr0 priétaires des terrains. Ci, 2,400,000 francs en trois ans. Sil’on vendait, demain, a raison de35francs le mille ce qui est bien improbable l’Etat réaliserait un trou de 5,760,000 p 18,000,000 plus 2,400,000 26 millions I mille francs Plus de 26 millions de perte sur une °Pe tion de 32 millions L’Etat est le seul g triel beige qui peut se permettre ces fanta ruineuses. i f ■J!'iri*w.^l>:CTr,MmMrrwfffmKTvy¥TviwHy<ww'W|w<fciiTtr,wawE^^ z

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1925 | | pagina 2