Coreseii O ci rrn fin ur?al de Ba ViSle e§'Ypr*es Séance Samedi 30 Mai 1925 La séance s'ouvre a 3 heures. Sont présents MM. Colaert, bourgmestre- président; Sobry,Vander Merschet Declercq, échevins Bouquet, Ivveins, Lemahieu, Dela- hajm, Van Nieuwenhove, Van Alleynnes, Donck, conseillers Versailles, secrétaire. M. D'Huvettere, conseiller, indispose, s'est fait excuser. M. le Bourgmestre remet, après une petite allocution, a MM. Ferrant, Cornillie Jules et Lernould Georges, professeurs a l'École In- dustrielle, et M. Migom, agent de police, les diplömes et les décorations que le Gouverne ment vient de leur octroyer en recompense des longs et loyaux services qu'ils ont rendus. Ces Messieurs reqoivent les felicitations des conscillers. I. Le procés-verbal de la précédetite seance du 25 avril est approuvé sans observations. If. - Voirie. Acquisition de terrains. Une série de règlements d'expropriation, néceSsitées par les alignenients nouveaux de la viile, estsoumise a l'approbation du conseil. M. Sobry se plaint de ce que le H. C. R. ne pave pas ou ne met pas les trottoirs au fur et a mesure de ces règlements. MVander Mersch explique qu'il y a suffi- sammer.t d'argent en carsse pour payer toutes les expropriations a faire. Le paiement de' ces expropriations est autorisé. Iir. Propriet és communales. Location de terrains. i° La question de location d'un des ilots du rempart est traitée a huis clos. 2° Un petit terrain prés du bassin de nata tion est donné en location. IV. Finances. Renouvellement des centimes additiomiels pour iq25. Modification. L'échevin des finances, M. Sobry, expose que M. le Gouverneur de la Province a fait des observations au sujet des centimes addi- fionnels imposés par la ville, et demande pour leur régularisation d'y apporter quelques mo difications. En conséquence, l'échevin propose ie taux de 5o p. c. pour les années ig25 et 1926. M. Lemahim estime que 40 p. c. serait suf- fisant. M. Van Alleynnes, avant de voter eet im- pöt modifié, voudrait savoir d'abord combien eet impót rapportera suivant les prévisions. Après une année d'exercice, nous seror.s mieux éclairés. M. Sobry répond eu faisant connaitre le montant des emprunts que la ville a du con- fracter et dont elle doit payer les iifiérêts. Celaprovient d une insuffisance de ressources depuis 1921. Maintenant que la loi permet d'augmenter les centimes additionnels, nous devons en profiter pour augmenternos moyens financiers. Pour le moment, il n'y a pas de stabilité suffisante pour prévoir ce que donne- Ta l'impót dés cette année, et l'orateur estime qu il faut au moins, par prudence, porter tous les centimes additionnels a 5o p. c. M. Lemahieu. - Précisément, dans l'igno- rance oü nous sommes de ce que produira la taxe actuelle, il vaut mieux attendre pour voir une année de recettes. M. Van Alleynnes. Les emprunts dont parle l'honorable échevin ne proviennent pas de l'administration ordinaire de la ville, mais de la convention d'électricité.L'argument des emprunts est done sans portée. La convention d'électricité comporte elle-même l'amortisse- inent de ces emprunts. M. Sobry insiste et cherche a établir que la ville doit amortir ses dettes en dehors du con- trat d'électricité. M. Vander Mersch, échevin, combat les conclusions de son confrère. La Société d'é lectricité paiera tous les ans l'annuité d'amor- 'ici tissement et les intéréts. Elle 1 a fait jusqu et continueia a le faire. M. Sobry—Je constate que la ville depense toujours plus que ce qu'elle reqoit. M. Van Alleynnes propose de porter la taxe a 40 p. c. comme le dit M. Lemahieu. MM. Van Nieuwenhove, Vander Mersch et Bouquet appuient. M. le Bourgmestre met aux voix la propo sition de M. Sobry qui est de porter les cen times a 5o rejeté a l'unanimilé. La proposition de les porter a 45 est admise par 7 voix contre 4. V. Assurance contre l'incevdie des bailments commimaux MSobry, échevin, fait rapport. La Députa- tion Permanente recotnmande a la ville de donner sa clientèle a la Muluelle des Admi nistrations Publiques comme étant la plus favorable aux intéréts communaux par suite des rist urnes éventuelles, tous les bénéfices revenant aux communes assuréeselles mèmes. D'autres Compagnies d'assurances, qui ont' leurs agents en viile, acceptent les mémes taux que ceux de la Mutuelle des Administra tions Publiques. M. Van Alleynnes fait des observations et trouve que la Mutuelle est dangereuse paree qu'elle n'a pas son coassureur, et que les as- surés sort responsables eux-mêmes des pertes subies par la Mutuelle. Les autres Compa gnie? se distribuent entr'elles leurs gros ris- ques et ne courent done pas de dangers. La Mutuelle non plus n'acceptera pas certair.s batiments, comme la Maison de bois, au taux pioposé. Le plus avantageux et le plus sur est de nous assurer a l'une des sociétés d'assu rances, et cela ne nous mettra jamais dans le risque de devoir payer des pertes subies par la Mutuelle. Ce risque est plus grand que la chance des primes. M. Van Nieuwenhove est d'avis de ne pas s'assurer, les Hospices ne le font pas non plus. Mise aux voix, la décision de s'assurer est admise par 8 oui contre 3 non. Faut-il s'adresser a Ia Mutuelle Non, par xo voix contre 1. La question de savoir a quelle société la ville s'assurera sera discutée a une autre séance. VI. Les Hospices Civils, pour motifs d'hy- giène, demandent de pouvoir acquérir trois petits terrains a batir. Admis a l'unanimité. VU- Hospices Civils. Budgets de iq23 et 1924. Compte de ig23. M. Sobry. - Dans la précédente séance sur une observation de M. Van Alleynnes cette question a été remise pour cause d'ob- scurités. Depuis lors, les Hospices ont don ne des explications qui éclaircissent la ques XI. Minerval requête. École communale pa) K M, Sobry. - Une mère demand, duction, dont elle jouit vu B enfants, soit plus grande. Cela"0™^ missible. On ne peut faire de la on a des dettes. '^SSes M. Delahaye is van gevoelen dat h eene moeder kinderen te zenden h r school hoe grooter de verminder! M. Colacrt est du même avis. La demande de reduction est 10 voix contre 1. XI r. - Dom mages de guerre. Utilm, MDeclercq. - II s'agit de savoir" demmté de 45.ooo fr., revenant a la vin' 'ln§ moet admise pertes d'arbres et pour replantat ee. mo tion. M Van Alleynnes estime que satisfaction n est pas entierement donnée. On persiste additionner un boni avec un déficit. Budgets et comptes sont approuvés. VIII. - Ecole industrielle. Budget suUlé- mentaire pour ig24. Adopté. Modification du budget pour 1925.—Adoot Lcole ménagère, idem. - Adoptée Ces changements sont imposés par l'effet de la perequation des traitements. IX. Ecole industrielle. Acquisition de buier. A vance. M. Sobry. - Tant que nous n'aurons n, 25°ooo fr./Ule h C T** Payer lW,cenécL^j;^XahaPtaden°US bilier. C'était le cas de VPrJ T m°* C'est étrange mais - musi(ïUe- que nous mettions 25 ooVfr Tla L faUt bien de cette école. 0„ „ous ,es re„„ra P°S't,0n L avance est votée. X. Lcole communale pay ante kn„v en Subside supplementaire. files' Cette augmentation de subside aussi de l'augment-itin ®.subside Provient ments, e, est 6it°,re deS uiee a 1 unanimité. rait pas être utilement employée a c travaux utiles a l'agriculture. MM boom et Esquelin sont d'accord pour alors ces reparations en argent piutót titres M. Sobry est d'avis qu'il faut consent, titres productifs d'intéréts ce qui sera en titres, et ne pas en dépenser le m0D|j Passant du reste en revue les travaux sés, il prouve qu'en définitivc ceux-ci bent a l'Etat. Pourquoi les faire avec demnités de guerre a nous Nous arrêté nos travaux pour l'année, tenons et n'en augmentons pas le nombre. Suit une discussion sur l'historiq.. divers petits travaux en question, et causes de leurs dét'ectuosités. MI ander Mersch. Si nous voulons des travaux utiles a 1'agriculture, on con a nous payer ces 45.ooo fr. en argent desi Ce serait tres intéressant. M. Colaert estime que plusieurs (ieces vaux seraient utiles, mais n'accepte transformer en square la plantation qui a été faite Place de la gare. Celled plus tard d'un bel effet En principe le Conseil vote qu'il y alia transformer en argent liquide les45.000 titres en question pour les mettre a la sition de 1 échevin des travaux publics, discuter plus tard l'opportunité des trat proposés. -^IIL Modification au reglement h tière communal. MBouquet au sujet de ce règlement me plusieurs mesures pour rendre plus dó le cimetière communal. M. Van Alleynnes. II est proposé q® emblèmes etinscriptions sur les tombes se a 1 avenir soumises a l'approbation du Colli I ourquoi Jamais il n'y a eu d'abus Le Collége répond que cela s'est touj® fait pour les inscriptions, uniqueinent hut esthétique. Les modifications sont admisespar (1 abstention). Demand es de subsides a) Fêtes de quartier Wieltje side de 75 fr. est admis, comme les a® précédentes. b) Federation des joueurs de cartes subside de 200 fr. est admis pourle®'1 motif. c) Le quartier du Ouai demande aus® subside. Renvoyé a la commissi"11 fêtes. ^V. Communications. 'E- E Bourgmestre informe que 1" - s'occupe activement de l'étude de la <PeS de^'établissement d'une école d'aviati"»' même, il est question de remettre en casemates telles qu'elles furent pe«dï guerre. La séance est levée a 6 h. x5 r iov 1» Waarom Ja, waarom uuat Brussel of naar een vreemde pen als men in stad goedkooper en Couverts, Juweelen en alle gcsch^e vinden bi; Van Neste in 't «Cari -'aat zien en overtuigt U, daar is deg eus, alles is zichtbaar geteekend. rmmmmmamhekbsscsshw HBBSaBWrnWTWB tl0ns,nepj

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1925 | | pagina 4