Corsets D.W.
Caisse Commerciale de Roulerj
Tijdperk van 25 Januari tot 10 Februari5,50's|SSf
Voorheen G. DE LAERE G°
HALFMAANDELIJKSCHE REKENINGEN
domme g
ments au co<inpte-goattes Car comme il
faut un mandat pour être payé, le sinistré
peut attendre, se plaindre, crier l'émission
de ce mandat est retardée tant qu'rf plait au
Ministère.
Quand des eentaines de malheureux at-
lendent avec impatience depuis des inois,
les fonds qui léur sont düs et qui les sauve-
ront de la ruine, un seul, deux ou trois
peut-être parmi eux, choisis, pas toujours
judicieusement, regoivent en pature, les
maigres disponibilités du jour ou de la
semaine
Cependant, ceci, encore une fuis, n'est que
le pen encourageant résumé de la suite don-
née aux apaisantes promesses du Premier.
Loin de justifier son courroux, l'exi osé de
ces fails aurait dü donner beu a une enquête
approfondie aux tins d'établii" 1 s r. spo. s ibi-
lités sur la transgression de ses ordres.
Car nous ne pouvons douter que des instrnc
tions précises, cotrespondant aux promesses
fonneUes du minis!re, n'aient été données.
Et dès lors, nous sommes en droit de nous
demander par quelles intrigues, par quelles
manoeuvres 011 en est arrivé a laire adressei
au Comité de notre Fédération l'ahurissante
lettre concluant a une fin de non-recevoir
II importe peu, uu reste, d'approlondir pfir
qui, ui comment, notre Premier s tst laiss-é
circ nvenb.
Ce qui intéresse les sinistrés, c'est de savoir
si, oui ou non, on est décidé, en haul 1 eu, a
mettre fin a ces manceuvres, qui tcndent a
nous enlever Ie. béuéfice de nos innombrables
déma ches ce qui les intéresse, c'est n'ap-
prendre, que les promesses solennelles faites
a mos délégués, le 6 novcmbre dernier, seront
sr.Ivies d'exécution
La réponse a cette question diciera leur
ligne de conduite.
Mais que l'on se hate, car nos sinistrés
gi-onle.it. Devint le maigre os qu'on leur a
donné a ronger, ils se demandent si, une fois
de plus, ils n'ont pas été joués.
A raison de quatre millions par mois que
la Banque regoit mission de distribuer, dans
notre région, il fiu lra des années avant que
la liquidation des dommages ne soit opérée.
Monsieur le ministre a vraiment tort de
prendre la mouche lorsque nos délégués
lui mettent sous les yeux le bilan des l.r-
gesses qui constituent l'exécution de ses
engage ments.
Le texte de la ieltre, adressée a notre tou
jours si dévoué député Buyl, semble déja
constituer une reculade.
II y est dit en effet, que le système de
liquidation des dommages industriels et com-
merciaux n'a subi aucune modification. Alors,
que devient en tout ctci, la promesse de notre
Premier de porter remède a cette criante
injustice avec laquelle on traite la classe de
nos commergants et industriels
Et faut il rappeler a Monsieur le ministre
s n engagement de mettre sur le même pied
sinistrés et cessionnaires, engagement qui est
manifestement fouléaux pieds par les bureaux?
Non, tout ceci n'est pas de nature a apai-
ser nos esprits.
Lorsqu'un ministre (et a plus forte raison
un Premier) s'engage au nom de la Nation,
c.et engagement d^vrait être sar.ré et invio
lable.
Et lorsque, comme dans le cas présent, la
déception fait suite a l'espoir, ie loyalisme
cesse de règner et l'esprit s'ouvre a la révolte.
On dit déja que les manoeuvres ne sont
pour rien dans les résultats négatifs obtenus
On dit... on dit beaucoup de choses encore.
Et c'est la raison pour laquelle, il eüt été
de bonne politique de la part du ministre, de
recevoir la délégation aux fins de mettre, une
fois pour toutes, les choses au point.
II n'est pas trop tard... mais le temps
presse BRUYÈRE.
de beste
de sterkste
de voordeeligste
Une Le-tro Ministérlelle
M le Représentant Buyl vient de recevoir
de M. Ie Ministre des Affaires Economiques,
la lettre qu'on va lire
Bruxclles, le 8 janvier 1926.
Monsieur le Représentant,
Comme suite a votre lettre du 3t decern-
bre, j'ai l'honneur de vous faire savoir
qu'aétuellement les indemnites accordees
du chef de dommages de guerre sont .qui-
dées de la fagon suivanie
Toutes les indemnites sujettes a remploi
accordées du chef de dommages immobi
liers, sont liqnidées a l'aide d obligations au
porteur pouvant être rachetées en espèc es
a l'intervention de l'Agent de la Banque
Nationale.
En ce qui concerae les dommages mobi-
liers. les inderni ités sujettes a remploi sont
liquidées au moyen d'o ligations au porteur
racbetables a l'intervention de 1 Agent de la
Banque Nationale jusqu'a concurrence de
20.000 francs. Le suiplus est liquiué par
des obligations au porteur non négociables.
Toutes les indemnites non sujettes a r< m-
ploi sont liquidées au moyen ^'obligations
non négociables.
Enfin, les dommages industriels et com-
mere iaux continuent comme par le passc a
ètre liquidés par des tities nominatifs, sur
lesquels des avances peuvent être consen-
ties par la Société Nationale de Crédit a
l'Industrie, me de Berlaimont a Bruxelles.
Veuillez agréer, Monsieur le Représen
tant, l'assura ce de ma haute consideration.
Pour le Ministre,
Le Chef de Cabinet,
(s.) MÉCHANT
N. d. I. R.— Ce qui a étérépondu a M. Buyl
n'est pas 1 néme de l'eau bénite de cour. En
réalilé, les bureaux n'envoi ent plus de tilres en
exécution des jugeinents les bureaux retiennent
les demandes de conversion plus que «dix jours»;
ils ne paient pas les cessionnairesils ne paient
pas les litres jusqu'a 20.000 francsetc.
Brcf, il n'y a en rcalitc pas de suffisanie ame
lioration.
II faudra que nos autorités communales finis-
sent par laisser au gouvernement le soin d'ad-
ministrer lui-mcme chacune de nos communes.
Le mécontentement est général et la corde est
tendue d se rompre.
OisiïnclBon
Notre voisine la France, voulant recon
naitre les services rendus a la cause des
Alliés par le grand patriote Adolphe BUYL
pendant l'occupation allemande en Belgique,
vient de le promouvoir au grade d'Offcier de
la Légion d'Honneur.
Nous adressons a M. BUYL, qui s'est
toujours montré l'ardent défenseur de notre
cause, nos plus vives félicitations.
Ci-dessous, le texte du télégramme qui lui
a été adressé
Adolphe BUYL,
Bourgmestie, Ixelles.
Sous impression joyeuse émotion membres
rédaction Ypersche et Comité Sinistrés
Ypres félicitent cordialement le si dévoué dé
puté pour promotion Officier Légion d'Hon
neur. Butaye.
Nou
oUerte
ts lisons dans Le Soiy 7
TOURNAI. -
c°nseii c0
J926-
Le conscil communal
soir. Parmi 1. s objets Süu jg-«n, v
tions, ilyavait un projet
college échevinal cor.trt 1tProtestatW
le gouvernement Je „c
pèces les dommages de
era.
tres du gouvernement elle s
de recounr a d, s emp,Ullts
ment et le remboursement 0! am<m:
déiablem.nt ses cha.ges déiHm6111 %i
l'obbgeraient latal nu-nt a 0urde<
fcitions communales. Le cou7°r-er 'es
peut se 1 ésoudre a recourir
Pareil
'lllège éche
sa
guene. M Wibaut
appuyé énergiquement
collége.
Le projei de protestation du collè
vote a 1 unaruiTine. II sera env0Vé 7
nemer,l et aux sénateurs et 1
l'arrondisscment
U P'-otestation
a ét
Belgen op het leven verzekerd
in Duitschland.
Deze kwestie w rd aangeraakt in de
ring van Zondag l l. vai de F ederak
Geteisterd en van het Arrondissement
werd, voor verdere besprekingop de da
van de aanstaande zitting gebracht.
Onze vriendelijke confrater Het Niet
Rousselaere schrijft het volgende over
zaak
Het Verdrag van Versailles had aanB
de macht gegeven al de vóór den oorlog
Belgen bij Duitschemaatschappijen aange;
levensverzekeringen op te zeggen
De Belgische Regeering maakte van
macht gebruik zij zegde al de kontrakten
eneischtevan de Duitsche levensverzekerd
maatschappijen teruggave, in Belgischefrank
van de totaliteit der wiskundige reserve»
de opgezegde kontrakten verbonden, resem
die bij benadering op 5o miljoen werdeng
schat.
De Duitsche kompagnies beweerden tos
in gedeprecieerde marken te betalen en
Belgische Regeeringwas verplicht ze tedag
voor de gemengde Duitsch- Belgische scheii
rechtbank.
De reserven zullen berekend worden
Belgische franks op den dag van het opzegge
der kontrakten, en bij de aldus verkregensoi
zullende intresten aan 3 t. h. gevoegdw
van dien datum af tot op den dag der ove
eenkomst.
Van die totale som (kapitaal en intrest)®
len de Duitsche compagnies 80 t. h. betalen
Alléén de Germania zit in zoo slechte
kens, dat men van haar maar 5o t. h.
eischen. j
De meeste compagnies zullen 20 t. h.
tant betalen en 75 t. h. in tien gelijkeannuite
ten, berekend aan den taks van 6 t. h., ge
borgd door hypothecaire panden. 0 f> 1
eene annuiteit niet betaald wordt op
valdag, zijn al de andere onmiddellijk
eischbaar.
Die overeenkomst moet nu nog e"
de gemengde rechtbank woiden
Aangesloten bij de BAMQUE DE BRCIJCELLE5 (Kapitaal 200.000.000 - Reserven
Rekeningen 6 maanden 5.7S p. h. - 1 jaar 6t®°
lil—
Vie?
,§éi
vouunr a r
propose au conseil de joindi
Pn a la sienne pour obtenir du
le payment en spèces de ses dom^
I in ^111
- - b^uver
't-pi'esentantjj
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