G$ vsrlüOiiing der Viaamsche Ster
I pai<3 ces int^r®ts' ne doit pas cesser
1"'gister et de protester.
Van der Mersch. Si l'Etat voit que
fiospiCÖS vendent leurs propriétés pour
le's. pr j'embarras, l'Etat en prendra un pré-
,cp tirei
de plus Pour ne Pas PaYer les interets
Z< ilIe Jébite-t.
u Van Alleynves xepondant a une obser
vation
qe M. rEchevin Sobry fait observer
>•1 est inouï de voir que tant de fermes des
^ojpiees sont encore Iouees quasi aux prix de
^0 Van der Mersch. L'ensemble des re-
venus'des Hospices est aujourd'hui inférieur
celui de 1914
U D'Huvet/ere émet des considérations sur
i'oppo'dunité de vendre ou de ne pas vendre
actuellement des propriétés. A son avis, la
valeur des terres est a son maximum. Et com-
me les Hospices demandent de vendre pour
.payer
leurs dettes, on duit leur en accorder la
permission. !En principe, il est mauvais d'ail
leursque les administrations soient de grands
propriétaires fonoiers. L'intérèt public se
trouve lésé par la, le trésor public aussi, et
les frais d'administration sont trop grands.
Finalement on procédé au vote l'autorisa-
tionest votée a l'unanimité.
11. Commissi m de I'Assistance Publique.
- II s'agit de vendre au propriétaire des ba
timents d'une ferme les 18 ares de terrain sur
lesqutls se tiouvent ces constructions. Le
prix proposé est trés elevé.
Adrnis a l'unanimité moins l'abstention de
;M. Bouquet.
12. Commission de 1'Assistance Publique.
Elle est autorisée a mettre en adjudication
la location d'une.ferme.
13. Réadoption de l'Ecole St Louis de
•Gonzaguc.
M. D'Huvettere regrette que cette école se
-soit absteiue a la manifestation nationale du
21 juillet dernier. Elle amanqué a son devoir
de patriotisme, et iLvotera a l'avenir contre
la réadoption de cette école si elle persiste
•dans son attitude officiellement antipat riotique.
M. Colaert. II est certain que cette ab
stention est regrettable. Toute éduca ion doit
étre patriotique. S'il y a des abstentions
:systématiques, je suis d'avis qu'il n'y aurait
plus lieu a réadopter cette école. Des observa
tions fermes seront faites sous ce rapport aux
commissions de ces écoles.
M. Van Nieuwen hove. L'adoption vaut
jusqu'au 3i décembre prochain, et cette école
a son crédit jusqu'au 3i décembre. Dés lors,
dvaut mieux que la réadoption soit l'osuvre
du Conseil communal qui sera renouvelé sous
peu. Votons une réadoption pour deux ans
Cela conciliera tous les intéréts et permettra
a cette école de passer d'une année a l'autre
de montrer sa bonne volonté.
Après eet échange de vues, la réadoption
est v°tée a l'unanimité moins une abstention.
U- - Un subside de 200 fr. est voté pour
a du quartier de la Potyze.
Communications.
0 L adjudicataire du service des vidanges
^mande un supplément de traitement, le
c 'Are actuel étant insuffisant. Or, le supplé-
^emandé serait de 20.000 francs,
j.Huvettere proteste. L'adjudicataire a
^dson prix, et a peine a t-il réus-si, il veut le
fau 6~°n a<^me': reUe procédure, il ne
W plus .d'adjudication. Sinon on écarterait
t0«e concurrence.
v- ^eLlercq. Cet entrepreneur fait trés
n s°n service.
cin m ^er Mersch. II y a un grand prin-
AfC^eU' y a eu adjudication,
des rc1 propose de donner 1000 francs
]ttdicPP.e-ent par mois a condition que l'ad-
servic^aire maintienne l'excellence de son
c°ntre|j^e'^emande est rejetée par 6 voix
■d'
exPro mmi!tèr'e a inf°rmé que tous les plans
aPpruuv ria^°n ^GS c^em'ns vir-inaux sont
^3) Le ministère a in form que les travaux de
1 étang de Zillebeke sont approuvés.
Man der Mersch observe que rnalgré
toutes les instances et les télégrammes en-
O) és, cette approbation est arrivée 6 jours
ti op tard. C est déplorable. L'entrepreneur,
lui, se trouve dégagé, et toutes les démarches
faites pour le décider a maintenir ses soumis1
sions sont restées inutiles. Tout est a recom
meneer par la faute inconcevable des bureaux
du ministère.
4) De mème sont approuvés les travaux
d'achèvement de la canalisation d'eau.
M. Van der Mersch fait observer encore
une iois que de nouveau cette approbation
est arrivée trop tard. Heureusement, ces
diverges entreprises sont moins importantes
que la précédente, et les adjudicataires ont
bien voulu maintenir leur contrat. Ces tra
vaux pourront done se faire.
5) La Fabrique d'Eglise de St Nicolas
expose que l'Etat est en retard de lui payer
une somme de 55o.ooo fr. environ, en sorte
qu il ne lui est pas possible de terminer
1 Eglise. On lui offre seulement une inscrip
tion au grand livre ou des obligations non
négociables 1 La Fabrique d'Eglise propose
a la ville de lui prêter cette somme en lui
acceptant ces obligations en garantie ou cette
inscription, si L ville veut intervenir en em-
pruntant lie mème cette somme au Crédit
communal.
M. Sobrytout sympat'nique qu'il est a
cette demande, trouve que la Fabriqne de-
vrait garantir au moins la difference d'inté-
rêt entre les 5 des obligations de l'Etat et
ceux plus élevés a payer au Crédit communal/
Ur.e trés longue discussion s'éternise sur
Ct tte question, et il est décidé de mettre celle-
ci a l'ordre du jourde la prochaine séance.
6) M. Van der Mersch entretient le Censeil
de la question de l'électricité. La compagnie
explique que les récentes pannes sont prove-
nues de re que la foudre est tombée sur des
pylones
M. Van Nieuwenhove dit que si la foudre a
mis hois de travail un fil, comme il y en a
plusieurs qa ne peut causer aucune panne-
Crite explication n'en est pas une.
M. Van der Mersch. La compagnie pro-
met de ne plus demander la signature d'une
garantie a des personnes solvables.
7) \lVan A lleynnesPour le compte de
qui se fait la reconstruction de la porte du
marché aux poissons
Rép M. Bollengier, pour le compte de
l'Etat.
8) M. Sobry informe le Conseil que le col
lége l'a désigné pour représenter la ville
d'Ypres a Ingoyghem a l'inauguration du
monument élevé a la mémoire de M. Verriest,
ancien principal du collége épiscopal d'Ypres,
l'éminent litlérateur flamand.
g) MDeclercq fait rapport sur l'étiage des
eaux de l'Etangde Dickebusch, et sur la cause
d'une baisse inquiétante de cette eau, au
courant du mois dernier.
MVan A lleynnes maintient que les eaux de
l'étang ont été lachées pendant 2 jours et cela
a l'époque des grandes chaleurs. C'est la, une
grosse imprudence.
Le couseil entre a 5 V» en séance a huis clos.
De Tuindagprocessie
Een heerlijk weder begunstigde Zondag de
processie van O.L. Vrouw van Tuine, met
recht bewonderd door onze bevolking en eene
menigte oud Yperlingen en vreemdelingen
met den Tuindag afgekomen.
Wie herinnert zich nog den eersten uitgang
der processie, na den oorlog, op Tuindag van
't jaar 1920, wanneer het aloude geredde,
doch verminkte beeld, der Patrones der stad,
zijn ommegang deed te midden de puinen van
het vernielde Yper
Sinds dien, dank aan den iever onzer kloos
terzusters en menige Ypersche Juffers, werd,
met medewerking der geestelijke overheid en
der Kerkfabriek van jaar tot jaar verbetering
gebracht aan de verscheidene groepen, en'dit
jaar mag men zeggen dat de processie reeds
een deel van haren ouden luister verworven
heeft.
De schoonste groepen der vier parochiën,
de heerlijke groep van het Derde Orde van
St Franciscus, en deze van O. L. Vrouw van
Tuine genoten de algemeene bewondering.
Met genoegen zagen de oude Yperlingen
de rijk geborduurde standaarden terug van
St Maartens Kathedraal, God dank op tijds
gered uit den brand van 22 November 1914,
door den vijand ontstoken en die onze onver
getelijke praalgebouwen in puinen legde. Ver
ders prijkte het prachtig vaandel der Gilde
van O. L. Vrouw van Tuine (Oud-Studenten-
bond van St Vincentscollegie) dewelke door
een Engelschen aalmoezenier medegenomen,
tijdens den brand van het college, na den
oorlog ongeschonden overhandigd wierd aan
den Hoofdman der Gilde, en nu Zondag voor
de eerste maal zijne plaats in de processie
van vroeger terug nam, te midden de talrijke
lichtdragers en gildeleden, vóór het Heilig
Sakrament.
De muziekmaatschappij Ypriana voerde
hare schoonste processiemarschen uit, en het
magistraat van Yper, volgde in officieele
kleedij, het Hoogwaardige gedragen door
Z. E. Heer Kanunnik Delaere, Deken der
Stad.
Aan de inrichters en bijtreders onzer aloude
Tuindagprocessie bieden wij onze gelukwen-
schen en besten dank.
Dinsdag j.l. woonden wij de vertooning bij ge
geven door onzen zoo goed befaamden tooneel-
kring. De ruime zaal van Oud Yper was veel
te klein. Meer dan duizend menschen waren
daar op een geperst als haringen in een ton en
allen hebben er zich vermaakt dat de stukken
in de geburen vlogen. Geen wonder ook De
Sterrelingen hebben zichzelven overtroffen en
dat wil wat zeggen.
Eerst kwam Bij den Fotograaf voor de pinne,.
een mooie klucht door E. Deraedt. Het is
eene aaneenschakeling van de boertigste toe
standen. Men heeft gelachen dat men schud
debolde.
Hebben zich onderscheiden Mevr. Decrock-
Pottel, Mej. M. Verleure, de heeren R. Van
Dyck, L. Durnez, G. Van den Hende, Edg.
Lelong, L. Degroote, A. Verleure. Allen ver
tolkten hunne rol opperbest en oogstten dan
ook een ongehoorden bijval.
Daarop volgde Zieleketenseen zielroerend
stuk, vol treffende zedelessen, door N. de
Tière, dat meesterlijk vertolkt werd doorMevr.
Decrock-Pottel, Mej. M. Verleure, de heeren
G. Pottel, G. Van den Hende, J. Degroote en
de kleine E. Gruwez. Ingrijpend waren de
zoo wel gemaalde toestanden en menige
traan verscheen in de oogen der toeschouwers.
Dikwijls werden de talentvolle tooneelisten
door handgeklap begroet en aan 't laatste
tafereel, zoo indrukwekkend, kwam er aan de
luidruchtige toejuichingen om zoo te zeggen
geen einde.
Toen kwam Schrik van de Meisjes een heel
aardig brokje, vol geestige zetten en meesle-
penden zang, door P. Kints. Hier verdienen
eene heel bijzondere melding Mej. M. Ver
leure, de heeren L. Durnez, R. Van Dyck,
G. Van den Hende en Edg. Lelong. Zij waren
oprecht goed in hunne rol en de bijval was
overgroot. Of hij verdiend was
Tot slot het vlaggelied der Ster goed
gezongen, terwijl de vlag wapperde, schoone
woorden en opwekkende muziek. Tot twee
maal toe teruggeroepen door de heele zaal.
De grimeering was onberispelijk. De heer
Feys haalt eere van zijn werk. De tooneel-
schikking en meubleering waren goed geko
zen. De gebaren natuurlijk en de mimiek soms.
2) T