Le
PEENE
Dokter D.
Ypersche SpftrtKronj^
Grand CONCERT
tuitement par l'intermédiaire de la Fédération,
tandis qu'autrement, ce travail coütera des
millions. Les millions de la Belgique appar-
tiennent a tous. Dans la région d'Ypres, com-
plètement rninée, on réclame de fortes con
tributions et des taxes de luxe sur de petits
ameublements. Que l'on économise les mil
lions et qu'on les donne aux malheureux qui
n'ont rien rien requ.
Nous ne devons pas dire amen, poursuit
M. Geuten nous sommes des citoyens libres;
nous avons le droit d'être éclairés nous
voulons collaborer avec le gouvernement en
vue d'économies a réaliser.
Comme délégué nommé par les sinistrés
au conseil de la Fédération, dois-je m'incliner
devant la réponse négative et décevante du
gouvernement s'écrie M. Buyl. (Non non!)
J'estime que non. J'ai le devoir d'interpeller
le gouvernement sur sa réponse et dè défendre
les malheureux sinistrés, comme délégué des
sinistrés et comme dêputé d'une région
sinistrée
M. Richir fait observer que le conseil
d'administration de la Fédération a un röle
modeste a remplir. Si, collectivement, les
membres du conseil veulent sortir de ce róle,
ils ne pourront plus rendre service aux sinis
trés. En sa qualité de député, M. Buyl a le
droit d'interpeller le gouvernement at la Cham-
bre. Le conseil d'administration ne peut que
s'inclinm- ^~vant les instructions du gouverne
ment. SIFy a un degré d'appel pour lts sinis
trés, ce sont les chambres législatives, aux-
quelles ils peuvent s'adresser par l'intermé
diaire de leurs sénateurs et députés.
M. Richir fait ensuite connaitre succincte-
ment les grandes lignes de son projet d'arrêté
royal
Quelle que soit la somme, quelle que soit la
nature des dommages de guerre, les coopéra-
tives, d'une part, et la Fédération, d'autre
part, en degré d'appel, ont le droit d'instruire
les affaires.
Les sinistrés s'adressant aux coopératives
ne seraient pas obligés d'en être membres, il
suffirait qu'il n'exprimassent pas la volonté
d'être jugés en dehois des coopératives, pour
que celles-ci fussent compétentes.
La Fédération n'aurait pas la signature
ministérielle et certains fonctionnairesseraient
chargés de signer au nom du ministre les ap
probations, pour permettre a la Cour des
Comptes de faire rentrer les dépenses.
La conséquence presque inévitable du
projet serait la suppression des tribunaux
de dommages de guerre.
Comment seraient alors jugées les affaires
de sinistrés non affiliés aux coopératives
Pour ces quelques rares cas, il n'est pas
possible de maintenir un organisme coüteux
et il était proposé de rendre les tribunaux
civils compétents pour juger ces affaires.
Quant aux paiements, il ótait proposé de
diviser le total des millions a la disposition
du gouvernement pour les dommages de
guerre, en douze mensualités, qui seraient
réparties par la Fédération, non a sa fantaisie,
mais suivant l'ordre chronologique des trans
actions et des jugements. Les intéréts seraient
calculés automatiquement et ne seraient
payables qu'après les autres dommages.
Telles sont les grandes lignes du projet.
M. Godisiabois, de Charleroi, rend hom
mage au Conseil général et tout particulière-
ment a M. Richir. Les délégués des coopéra
tives sont désillusionnés et désagréablement
surpris par la lettre du ministre.
Si le nombre des dossiers traités par les
coopératives n'est pas plus élevé, c'est que
l'on a saboté l'oeuvre des coopératives. Le
contraire aurait dü se produire, car celles ci
ne demandent qu'a faire la besogne de l'Etat
pour rien. alors que l'Etat va dépenser des
millions. II serait intéressant de savoir et
M. Buyl pourrait le demander ce qu'il en
coüte en procés généraux pour la répartition
des dommages de guerre.
Les commissaires d'Etat ont traité les doe
siers faciles, et ce sont les dossiers difficiles
qui sont transmis aux coopératives. Si l'on
supprime les coopératives, il se passera
encore de nombreuses années avant de voir la
suppression des tribunaux des dommages de
guerre. Tant qu'il peut y avoir de l'émulation
entre les commissaires d'Etat et les coopéra
tives, les premiers ont l'obligation morale de
faire quelque chose. Si les coopératives de-
vaient disparaitre, on irait vers une situation
anarchique.
Le délégué dit qu'il y a des transactions
faites par des commissaires d'Etat, que des
coopératives auraient refusé de faire.
Les coopératives connaissent les dommages
réels et se rendent compte s'il y a exagération
dans les demandes.
Nous avons servi pendant quatre ans, pour
suit le délégüé, a placer pour trois miibards
d'obligations, et nous avons établi i5,ooo
dossiers.
Si nous prenons une décision, elle peut être
cassée par le gouvernement mais nous pou-
vons émettre un voeu, dit le délégué. Si le
conseil général ne se juge plus suffisamment
autorisé pour faire une nouvelle démarche, on
pourrait demander au ministre de recevoir
une délégation du conseil d'administration de
la Fédération, accompagnée d'un délégué des
Coopératives par province. Les délégués pro-
viriciaux pourront exposer au ministre l'atti-
tude des commissairt-s d'Etat.
Si l'on pouvait économiser3oou40 millions,
en portant au dela de 5o,ooo francs la com-
pétence des Coopératives, les Chambres pour-
raient bien consacrer quarante-huit heures a
l'examen et au vote d'une modification a la loi.
M. Godisiabois propose de demander au
ministre de recevoir une délégation.
Interrogée par M. Levie, l'assemblée
adopte cette proposition.
MGeuten proposant a l'assemblée das voeux
détaillés, M. Richir estime qu'il est préférable
de voter un voeu concis.
M. Beaupain, membre de la délégation per
manente, regrette qu'on n'ait pas consulté
cette délégation pour la convocation de
l'assemblée.
II n'est pas partisan de la suppression des
tribunaux de dommages de guerre, cette sup
pression rendrait beaucoup plus difficile la
liquidation de certains dommages.
Dans la province de Namur, il n'y a plus
de tribunaux de dommages de guerre, ni de
coopératives. Les sinistrés doivent se rendre
a Liège. II en résulte des retards considéra
bles.
Les tribunaux civils ne conviennent pas
pour l'examen de ces affaires de dommages de
guerre.
A l'unanimité des voix, l'assemblée émet le
voeu de voir prier le ministie des finances de
recevoir le conseil d'administration de la
Fédération, deux membres de la délégation
permanente et un délégué de coopératives
par province pour expeser les désiderata des
sinistrés.
M. Van Schoor estime que la délégation
doit être sérieusement documentée. II deman-
dera combien de dossiers existent encore
dans le pays,au-dessous de 1,000 fr.,de 1,00©
a 5,ooo francs, de 5,000 a 20,000 francs et au-
dessus de 20,000 francs; combien de commis
saires y a-t-il attachés aux tribunaux com
bien de dossiers ils fournissent par mois et
par jour combien coütent les dossiers aux
contribuables en prenant comme base les
dommages de 1,000 francs.
Un délégué propose de mobiliser tous les
membres des Coopératives en vue d'appuyer
la délégation.
M. Richir conseille d'attendre, avant de
prendre pareille mesure, le résultat de
l'audience que la délégation va demander au
ministre.
Les délégués se séparent a 17 heures.
Derr»anef©s partonat
Se meiileur des apëriflfs
Pour le gros Dumortier Blomme,
rue de Robiano, 7 et 9, BRUXELLES.
TT,
Zondag aanstaande 12 December 1926
op het Ypkrsch Stadium v
Qroote Football match
om 2 ure namiddag
IVC Afdeeling C. S. YPER WERVIK
Ingang 1 fr. 25.
Dimanche prochain 12 Decembre 1926
au Stade Yprois
Grand EVSalch de Football
a 2 heures de relevée
IV* Division C. S. YPRES WERVICQ
Entrée 1 fr. 25.
en
Eindelijk mochten verled
geliefide rood-witte kleuren hoog j
deren Jongens, aan allen wenschV^ 3
proficiat met moed en eergevoel hartelijk
Thielt getogen en de bemachtigd ?Baar
lang gewensohte twee punten is deb l
geweest van uw aanhoudende -
Want gij hebt er weer aan den
wilsbr;
da aChl
leggen. Immers aan de rust telde Thi
2 goals, maar gij waart bezield met cl 1
en makkerschap en 't duurde niet 1
aleer uw streven bekroond werd
oogenblikken kan Debuyser telkeni^T^
hoekschop, wederkeeriglijk door Molei
Hoornaert goed ingegeven, tweemaal d'V
en vóór een kwart uur verloopen i,
p«ns, neem
Cercle reeds de leiding door toedoen
Vannieuwenhuyze op praehtshot. Gel 1
makende van een oogenblik verslannW
Thielt gelijk stellen, maar weinigen
het einde teekent Hoornaert de
t. winning g0a
voor Yper aan. Dat die overwinning het
trekpuntzij om ons zooveel mogelijk vanT"
laatste plaatsen der klasseering te verwijdere!
en Zondag naar Meenen getrokken met de
vaste overtuiging daar een bevredigend resd
taat te verwezentlijken. Weest indachtig
spelers, dat het elftal van H. Devosmetgl
sloten deuren moet optreden, dus zonder
aanmoedigingen van publiek of supporters-
Vervolgens dat Cercle daar verleden jaa'
enkel met 1-0 bezweek terwijl onze mannen
ruimschoots de drawn verdienden.
Daar Meenen B algemeene forfait geeft in
afdeeling 3de speciaal, zoo is ons elftal nog.
maals gedwongen te rusten.
Karei, 'k geloof dat het oogenblik gekomen
is om vierde eens geduchtig onder handen te
nemen want met 6 1 naar de Ypersche veste
door de geburen teruggezonden worden,
geloof dat dit nog al kan tellen en wat zal dit
elftal tegen Wervik uitrichten
De Juniors doen eene gevaarlijke verplaat
sing naar Stade Kortrijk. Willen zij hun plaats
behouden dan moeten de beste schoenen aan
getrokken worden om de Mauven opeigen
veld te kunnen vloeren. JINSGRAM,
ViBle de Wervicq
Qimartche 12! E2écembref926
a 5 heures précises
donné par I'Harmonie Royale
Direction M. Jerome VERVAEKE
PROGRAMME
ire Partie
1. Grande Ouverture de Concours C. Bender
2. Mascarade, P- Lacome
Airs de Ballet en 5 parties
a) Cortege-Marche
b) A rlequin et Colombine
c) La Familie Polichinelle
Menuet
d) Les Mandolinistes
e) Final alia Polacca
Défilé
3. Souvenir de Prague
Duo pour grandes flütes
4. Danse Persane Guirau
2m' Partie
1. Gloria Victis, Ouverture
2. Grande Fantaisie Espagnole
3. Fête dans les Montagnes
Fantaisie caprice a échos
4. Les Erinnyes, Divertissement
F. DöpPler
L. Langl"is
F A- Gefaer
E. Kkg'el'
yp6R
Statiestraat, 18
Specialiteit voor
Mortel-
f<ef
Gebitten en Misgroeide
faijdef'
'8 it
Divertissement
Sérénade Hautbois-Soliste M. lh- Teleu
Solistes MM. I,. Leire et E. Decorte