DENTISTE l_e Bal du Géant R. SOUBRY Chapeaux Casquettes la plus aociarua maison da la oont'ée fabriqusnt Bllo-mgme jg-tO 8 .cl et"5 per so he - 2e Bijvoegsel - N° 27 Chronique Finartcière Voor onze kinderen Mme VA NDESmUÉSSCllÈ'. öuvert le Dimanche Vents en touts confiance 1 j^eS grandes catasti ophes, les sinistres, les lainïtés publiques, ont été, de tout temps, °aétexte a l'organisation de bals, dits de cha- prt et l'on s'est déja souvent demandé si, tans l'avenir, on ne trouvera pas quelque hose de choquant a voir ainsi des foules se tréffl°usser c3uan<^ d'autres sont plongées dans je deuil et la misère. Chaque époque a sa I entalité propre, et, puisque eet usage est jUcore toujours resté en vigueur, ne nous étonn°ns PaS qU'°n danSe' Mardi soir, pour Lnir en aide au plus grand de nos sinistrés 3rojS) notre géant Goliath. Lors des grands incendies de 1914, le Hadium de notre cité fut consumé avec son justaucorps brodé aux armes de la ville, son ample robe, son riche turban, son cimeterre et son sceptre. C'est pour reconstituer Goliath avec ses oripeaux coüteux que le C'ercle iportif Yprois, après avoir fait construire la ilhouette qui obtint déjatant de succès, con- lut l'idée d'organiser un bal du géant, pour subvenir, en partie, aux frais de sa reconsti tution. Idéé fort simple, dira-t on, mais il s'agis tsait, comme pour l'oeuf de Colomb, de la trouver. Disons plutöt que rien n'était mieux jndiqué qu'un bal, puisque notre Goliath fut toujours un fervent de la chorégraphie et que vieille chanson le fait entrer, en ville, par Porte deThourout, al dansen in. C'est du folklore du meilleur aloi. Souhaitons done de voir couronner d'un ranc succès la louable initiative du C. S. Y. et qu'un entrain endiablé anime, Mardi soir, es jeunes couples, et même les vieux, désireux de voir revivre leur légendaire reusje et que l'esprit Yprois le plus vivifiant les soutienne jusqu'a une heure avancée de la nuit PYRES Ilapparait que le sentiment est en train de changer en bourse. Au pessimisme, a l'indé cision, font place chez le professionnel, un sentiment de plus grande confiance dans la possibilité de reprise de notre marché. Le sentiment unanime est que, seuls, nous ne pouvons escompter d'activité durable. II nous faut un appui et un encouragement de l'étran- ger. Cela signifie en d'auires termes que le temps est passé oü il nous était possible de faire cavalier seul. Certes, cela ne veut pas dire que nos spécialités, a la faveur d'événe- fflents qui les concernent, ne pom ront pas s'is Ier et pomsuivre leur chemin mais l'interdépendance des places est un fait depuis quetoutes les monnaies des grands pays sont stabilisées. Si la faiblesse de la semaine der rière était en grande partie le tait de la ner 'osité de New York, de l'instabilité du call jnoneyil ne faut pas tenir pour négligeable |e resserrement de crédit passager subi en ;Allemagne. D'autre part, Paris souffre d'indé- c'sion politique et il est inconcevable qu'on attache a des manifestations isolées de politi Clens plus d'importance qu'elies n'en ont. Bref, le monde tourne toujours et il appa- ra-it que maintenant nous nous orientons veis "ne reprise d'activité. Comme toujours, le Public arrivera trop tard et aura laissé échap- Per les occasions favorables. Mais a la décharge du public, il faut avouer qu'on ne donne pas les éléments de travail. Nous s°mmes sortis de la période de mouvement en 'Sue, nous en sommes a la période de discer nment et je le répète, il faut savoir acheter e^vendre en se basant sur la qualité intrinsè du titre. Si l'on s'assure un bon titre qu on 015eu portefeuille, on peut laisser la bourse fg,r Sef°n sa folie fantaisie le temps finit Par Conner raison si l'on suit les mouve- P^ts, attention au juste retour de la logique. A ce sujet la lecture des bilans s'impose. N'avais-je pas raison quand je vous signalais la médiocrité de nombreuses affaires commer- ciales congolaises. Telle, la Cominex, bouclé l'anné en accusant dix millions de bénéfices prélevés sur la prime d'augmentation de capital telle autre, la Comanco pour mon- trer un bilan favorable, porte les produits au bilan a leur prix de vente et a réalisé sa par ticipation Cominex, a l'époque sans doute oü c'était le rush, et si mes souvenirs sont exacts pour quelque cent titres souscrits en Co- manco, on en obtenait cinq. Que les temps sont changés On peut dire ce qu'on veut, en ce domaine, les affaires suivent la marche que j'indiquais récemment et la pléthore de ce genre d'affaires doit accentuer la crise et créer des victimes. Ne négligez pas l'occasion de vendre tous ces titres. L'Interfina, vu les résultats médiocres, doit prélever sur les bénéfices antérieurs pour rémunérer a 2 sur l'évaluation boursière actuelle du titre. C'est insufffsant pour justifier le cours de 1000 fr. et logiquement, malgré ses participations, ce titre doit être ramené en arrière. Les accords entre les magnats du pétrole, la stabilisation prochaine du lei en Roumanie sont des facteurs favorables a ajouter a l'aug- mentation du prix de l'essence et de la pro duntion et qui justifient une hausse dans les "quelques valeurs pétrolifères que nous possé- dons. Pétrofina s'intéresse a de nouvelles affaires et poursuit son chemin. II apparait que ce groupe retrouvera les faveurs du public. Les valeurs cuprifères sont fermes ailleurs qu'a Bruxelles. Pourquoi Nul ne peut expli- quer cette attitude différente selon le méri- dien. En tous cas, il n'y a pas de déception a attendre de ce groupe qui ira vigoureuse- ment de l'avant quand il aura plu aux initia- teurs. On dit que la soie n'est plus de vente aussi facile qu'antéi ieurement qu'on stocke a cause de l'accroissement de la production. Quant au caoutchouc, si l'on se base sur les statistiques, jamais matière ne se trouva dans une situation plus favorable a la hausse. Patientons encore quelque peu et le marché pourrait en novembre, le fait étant accompli, offrir d'agréables ^a'isfactions a ceux qui s'intéressent a ce groupe de valeurs de pre mier ordre. Parmi nos vahurs, des achats de qualité se póursuivent en charbonnages on estime que les glaceries ne sont pas a l'ordre du jour et que les verrerits sont plus intéressen tes aux textiles et aux valeurs de construe tion, les opinions ne sont pas encourageantes. Quant aux valeurs de produits chimiques, on croit qu'elies ont alteint leur apogée. Je prendrais le bénéfice en Azote beige l'intro- duction était la ruée vers l'or, monnayez eet avantag» N'o nett( z pas de souscrire en Trabeka a noter qu'on ne peut souscrire a titre réducti- ble. II est a croire que l'affaire est de premier plan pour que la Société Générale se réserve tous les titres non souscrits. Les reports ont été faciles, l'argent bon marché et pourtant pas d'affaires. Jamais les transactions ne furent aussi réduites. Démèler ce qui se passe en bourse, c'est actuellement voir clair dans l'imbroglio chinois. Mais après la pluie vient le beau temps nous aurons eu trois quinzaines mauvaises et il parait que c'est le cycle révolu. Dès lors faisons con fiance aux augures et souhaitons que la reprise d'activité soit prochaine. L. O. Si la lecture de cette chronique vous a paru intéressante, demandez nous conseil pour la gestion de votre portefeuille et passez vos ordres de bourse a Ager.t de Change Wisselagent 2, r»u® dle> Dixmude, Vpres Téléphone N° 63 L'abondance de maiières nous oblige de remet- tre a huitaine Le Journal d'une Sccur d' Ypres Men schrijft ons Daar er nu ernstig spraak is den Open baren Hof opnieuw in te richten zal het waarschijnlijk niet ongepast zijn te wijzen op de noodzakelijkheid aldaar een speelplein voor kinderen te voorzien. Inderdaad, de wegen en straten zijn onvei lig, de vestingen gevaarlijk, de vacantie's van langs om langer, en vele ouders die de midde- leh niet bezitten met hun kroost naar den buiten, de zeekust of elders op reis te gaan, vragen zich telken jare herhaalde keeren af waar of wanneer zij aan hun jongens en meis jes een weinig kinderlijk genot in open lucht zullen kunnen verschaffen. Kinderlijk genot, in open lucht, dat vinden ze op een speelplein dat doelmatig is inge richt. Dat de bevoegde overheid die zaak eens ernstig overwege. We zijn overtuigd dat ze ten kleinen koste kan opgelost worden. Zie maar eens wat in de voorsteden van Brussel werd verwezenlijktin 't park van Anderlecht en in 't park Josaphat, te Schaei-i beek, om maar die te noemen. Daar zoudt ge kinderen in hun elemei t kunnen bewonderen. Wat daar en elders voor de kleinen gedaan wordt kunnen we hier ook. Maar we moeten willen 1 47, Rue de Cixmude, 47, d YPRES 19, Rus c8@ LiSIe, 1© YPRES Se recommande par soa GRAND CHOIX ses QUALÏTÉS SUPÉRIEUHES ses DERN1ÈRES NOUVEAUTÉS I Til i; 1 I CflRDINAEL MAISON FONDÉE EN 1861

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1928 | | pagina 17