Ypersche Voetbalkronlek Het Reuzen^, être exécutés. Nous ne pouvons pas écarter le danger. (signé) SIVERT. Avant notre enlrevue de ce matin, j'avais l'inten- tion de vous adresser la lettre que voici Comines, le 14 Aoüt 1916. Monsieur le Commandant de Place, Permettez-moi de ne pas être de votre avis au sujet de votre réponse a ma lettre du 9 c\ relative au danger que courent nos ouvriers obligés de travailler a la réparation des lignes de chenrin de fer d'Houthem et de Warneton, endommagées par les obus. Vous dites que les travaux doivent être exécutés et que vous ne pouvez pas écarter le danger. Souffrez que je vous fasse respectueusement observer 1) Que ces travaux auxquels nos ouvriers sont astreints, sont bien des travaux militaires, au même titre que ceux qui s'exécutent au Pare des Pionniers au Pont Mallet et a la gare d'Houthem, tant de jour que de nuit, et que ces réquisitions de services impliquent, pour ceux qui les subissent, le fait de prendre directement part aux opérations de guerre contre la Patrie. Ces ouvriers sont done contraints de travailler, au mépris de la Convention de la Haye, art. 52 2) Que ce danger, que vous ne niez point mais que vous dites ne pas pouvoir écarter, n'en existe pas moins, puisqu'd est reconnu par le caporal lui-même qui conduit les ouvriers et les surveille sur le beu des travaux Celui ci l'a affirmé en ma présence et en celle de plusieurs témoins. L'attes- tation des ouvriers seuls devrait être suffisante, attendu qu'il y va de leur vie, et la Convention de la Haye, dans son art. 46 dit que.,., la vie des individus doit être-respectée EviJemment, il n'est pas en votre pouvoir d'écarter le danger, e'est a dire de défendre a vos adversaires d'envoyer des obus, mais ce que vous pouvez faire, c'est de ne pas contraindre nos ouvriers a travailler la oü il y a danger évident, même au dire de vos soldats lis le savent, eux et les ouvriers, puisqu'ils s'y sont trouvés et que c'est miracle s'ils en sont revenus. Or, en cas d'accident, blessures ou décès, qui sera responsable La réponse n'est pas douteuse, et toutes les législatures, tant allemande que beige ou frangaise ou anglaise sur les accidents de travail vous diront L'employeur, e'est-a dire ici l'Autorité militaire qui a commandé et forcé. C'est vous, en effet, qui prenez les ouvriers, qui les ptacez dans les équipes, et qui, sous la garde des soldats, les conduisez au loin, a 5 ou 6 kilomètres de leur demeure pour les faire travailler. C'est votre droit, parait ilmais non de leur faire exécuter des travaux militaires (art. 52), et encore moins de les mettre en danger, car leur vie en dépend (art. 46). Des lettres ont été adressées a l'Administration communale a ce sujet, et nous nous voyons obligés de décliner toutes responsa- bilités, le cas échéant De la, nos observations, car nous ne faisons que notre devoir d'administra- teurs soucieux de la vie et de la santé de nos con- citoyens Du temps des Bavarois, M. le Comman dant de Place, von Faber ou Faur a reconnu le bien fondé de nos réclamations sous ce rapport, et nos ou riers n'ont plus été employés a des tra vaux en des endroits exposés au feu. Vous, vous en jugez autrement par votre réponse nous nous inclinons mais il est a souhaiter pour vous que l'avenir ne vous donne pas tort. Dans l'attente d'un accusé de réc-ption de la présente, je vous prie d'agréer, M. le Comman dant de Place, la ncuvelle expression de toute ma considération. Pour l'Administration communale, (signé) LANNOY H Copie de cette lettre, avec tiaduction allemande, a la machine a écrire, a été remise par le soussigné a la Commandature, en mains de l'interprête Paukratz Comines, le 15 aoüt 1916 Monsieur le Commandant de Place, Comme suite a ma lettre d'hier et a notre entre- tien de ce jour, relativement aux travaux exécutés, sur vos ordres, par nos ouvriers et en des endroits dangereux a cause des obus, contrairement aux art 52 et 46 de Ia Convention de la Haye que j'ai invoqués, j'ai l'honnt-ur de vous prier de bien vouloir faire parvenir la présente requêle a la Division Cette requête a pour but d'obtenir que les ouvriers ne soient plus contraints de travailler tellement loin qu'ils se trouvent dans une zone dangereuse A ux dires de ces ou /riers et du capo ral qui les conduit, sor t, pour le moment, consi- dérées comme étant zones dangereuses 1") du cöté du Pont Mallet, tout ce qui dépasse le Pare des Pionniers de cet endroit, a proximité du ruisseau dit a Kortekeerbeek séparant Houthem de Wytschaete 2°) du cöté de Warneton, tout ce qui dépasse la route pavée allant de Bas-Warneton vers la Oarr e- Dieu jusqu'au Moulin du Boeuf 3Ö) du cöté d'Houthem vers Hollebeke, tout ce qui dépasse la gare ou halte d'Houthem, ou se trouve le Pare des Pionniers jusqu'a 1 écluse re la Cortewilde. Vous ne m'avez pas répondu au sujet de la res- ponsabilité en cas d'accidents d'ouvriers astreints a ces travaux. Veuillez agréer, M. le Commandant, la nou velle expression de mes sentiments distingués. (signé) LANNOY H. jComines, le 2 janvier 1917. Monsieur le Commandant de Place, Une députation d'ouvriers des équipes forcées de travailler au dehors des limites fixées par la Division, lors de la précédente Commandature de M. Foeytag, est venue se plaindre a l'Administra tion communale de ce que ces ouvriers des équipes doivent travailler jusqu'au lieu dit Qaepaert a proximité des batteries de canons et en plein danger. Déja, dans une précédente requête, datée du moisd'aoüt 1916,satisfaction aétédonnée par la Di vision de l'époque aux ouvriers travaillant au dela de la gare d'Houthem, du pare du Pont-Mallet et du Pavé de la Garde-Dieu Nous appuyant sur les mêmes considérations basées sur les art. 46 et 52 de la Convention de la Haye, nous prenons la respectueuse liberté, M. le Commandant, de vous prier de bien vouloir également tenir compte du danger permanent que courent ces équipes et de ne plus forcer nos ouvriers a travailler aussi loin Pour la commune, (signé) LANNOY H. Réponse a la lettre du 2 janvier 1917. Votre lettre du 2 janvier 1917 en ce qui concer- ne l'occupation des ouvriers, en dehors de la zone fixée, a été remise a la Division. La Division nous répond que les ouvriers en question ne se rendent plus en ces endroits et' de ce fait, l'affaire est arrangée. (signé) HAARTMANN, lieutenant et Ortokommandant. FOOTBALL Op Zondag 14 October 192S op het Stadium, Augustinestraat GRODTE FOOTSALLMATCH om 3 ure namiddag, C.S.Y. Schol S K SWEVEGHEM Inkomprijs i f'r. 25. Mijn wensch van verleden week is enkel gedeeltelijk uitgevallen, daar 4 punien van de acht die er te verdienen waren ons ten goede gekomen zijn. Daarbij zijn het juist de twee lagere elftallen, juniors en scholieren, die ons twee atgetee kende overwinningen bezorgen terwijl derde speciaal nipjes moet onderdoen en tweede de meeste nederlaag ondergaat. Te Sweveghem wint de lokale ploeg den opgooi en Yper speelt met de zon in 't gelaat. Seffens zijn de bezoch'en ten aanval en dwin gen corner af welke achter gegeven wordt. Cercle treedt insgelijks in werkingen de hoek schop welke toegestaan wordt brengt niets op De aanvallen van beide kampen worden rap geleid doch de verdedigingen zijn de voor- lijnen den baas. Doch op vooruitrukken der Sweveghemnaars stopt vfatpnneau onvol doende en een mauve voorspel-r die goed gevolgd had teekent nummer één aan na i3 minuten spel. Wederom worden de backs langs beide zijden druk bezocht maar weten de aanvallen te stremmen. Vlaitjonneau noch tans, door de zon gehinderd, duikelt te laat op een geweldig schieten van Blancke, Sweve- ghem's centerhalf. 2 0 voor de bezochten na 20 minuten spelen. Door dit succts aangemoedigd nt men de lokalen tijdelijk de bovenhand maar kunnen van vier corners geen nut trekken. Yper echier, een tijdje aan 't vlotten, herneemt zich en treedt gevaarlijk op, zoo kan Vansevenant op centeren het eenige doel voor Yper aan- teekenen via het been van een der backs der paarsblauwen aan de 38" minuut. Cercle blijft ten aanval en op corner kopt Molein juist boven. Nochtans is het Sweveghem die het derde doel zal aanteekenen weinigen tijd voor de rust. J Na de herneming zien wij wederom beide elftallen beurtelings de bovenhand nemen. Ben hoekschop voor Yper wel gegeven wordt nogmaals door Molein bovengekopt. Alhoe wel voor het oogenblik de meerdere rn goed gesteund door backs en halllmie schijnt de rood witte voorlijn de goede te vinden. Het passenspel van Samenha, dagen is leelijk zoek geraakt worden verknoeid terwijl de hó ,Vele C' derlij k Dechièvre zich ondersclw6'11)1 kan Sweveghem zijn vierde goal door bemiddeling van zijn linK^ moeten de rood witte backs al voor den dag halen maar n niette een viertal hoekschoppen kur genstj. hunne netten vrij houden. M unen de gelegenheid zien te onderschei niets gaat nog door. Een laatste rl N Yper is op het punt te lukken ar?onnrZlltt| heid COl ontzet op het laatste oogenblik shot van Laconte. Sweveghem" Ti weinig gevleide maar verdiende 0, E omdat hun elftal met overtuiging e'W'B wijl de onze sommige oogen blikken^ doel te werk gtngen. Zondag is tweeV» Derde speciaal heeft dus moeten met 2-i. Zooals het gezegd werd Moescroen noch immer te duchten 'S zich nog laten hooren. Te hopen dat?' het tegen Meenen beter zal stellen, tegenstaande op verplaatsing de twee huiswaarts brengen, bijzonderlijk dat n mannen het ook niet al te wel gesteld hel; Een bijzondere melding voor onzen,: en scholieren, zoo maar met 6 1 en 7. tegenstrevers vloeren, dat is geen klein mijne beste gelukwenschen. Morgen zuil' juniors het wat lastiger hebben bij' Moescroen terwijl de scholieren eenet overwinning zullen mogen boeken. zelfvertrouwen, jongens, goed doorgeven het einde. NE® Uitslagen van 7 October 1928 Stade Kortrijk - F. C. Thourout (gesclj Daring 4 S. V. Sweveghem 1 Rousselare 1 V. G. Oostende 2 S. K. Sweveghem 4 C. S. Yper 1 A. S. Oostende 6 Veurne 0 Thielt 3 Heyst 1 Stade Moescroen 1 A A. Moescroet Waereghem (bye). Algemeen klassement na 7-1028 PR ONOSTIIEKWSDSTllI li punten Vermeulen Edg- PrlJs)' Hollebeke J. (2e prijs), io punten Cailliau Ern., De Haent Kncckaert R., Fiers R, Mme Mar® Smirselaere P., Lac.mte A., Mile Desra®1 Algemeen kl «-sement na 7-10- 43 punten knockaert P. j Mme Maréchal, Beddelee® V.u. Mee.sch A.,Verfa> Mile Bodard, Chaffs Y Dcsregher J., Verduyn Mile Molein, Mile Vang Rood en Wit. V- d. 37 36 35 Watthy J! lens V. 34 punten Neysens J., nuuu en *»ni Notebaert A., Callens A., Odent plancke A., Tavenier W. N B. - Gezien de match Stade Ko F. C. Thourout geschorst wer niet in aanmerking voor het toev punten, zie de lijsten na. 't Is dus wel op Dinsdag tv 8 uur 's avonds, dat het Reuzen Football zal gegeven worden Oud Yper Deuren open on^ Uitnoodigingen zijn uitgezonden een op de hoogte te houden e schikkingen. .1 Wij rekenen op de goedwillig vrienden om ons hunne prijze11^ den en alzoo mede te helpen succes van dien avond. rl^rliik Dechièvre j QvtrT'? monnon lipt mat ol Q. O. D. 1 A. S. Oostende 5 5 2 V. G. Oostende 5 5 3 S. K. Sweveghem 5 4 4 A. A. Moescroen 5 3 11 5 Daring Blankenberghe 5 3 6 Rousselare 4 2 7 Waereghem 4 2 8 Thourout 3 2 9 Stade Kortrijk 4 2 10 Heyst 5 1 13 6 11 Thielt 4 1 - 3 7 12 C. S. YPER 5 1 -48 13 Veurne 5 1—4 14 S. V. Sweveghem 4 4 15 Stade Moescroen 5 5 V. V. T, - 36 I - 20 I 1 13 i 10 i 2 12 6 1 II II 1 14 I! 1 5 I 2 10 5 li 5 li 4 I! II Rfdeellng Seizoen 1928 -192) 217 DEELNEMER 5- Uitslagen van 7 October 192$ vnciiucii UI11 uilb J1U111IC y-Jhel

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Het Ypersche (1925-1929) | 1928 | | pagina 6