SES HUIZEN, MEUBELS, EN HERBERGGERIEF, BÖOMVENDITIEN. SCHOON EN GOED ZAAILAND, qu'un langage prudent et modeste, mais il ne saurait nous ètre défendu de pénétrer les desseins de nos ennemis. Que veulent-ils? Kous parions de ceux de Berlin, les seuls qui comptent. Us veulen! que Ie monde catholique fasse silence. Ilsontbesoin de ce silence pour qu'aucune reprobation extérieu re ne les gêne dans leur enireprtèe contre l'Eglise. lis espércnt vemra bout desévèques d'Allemagne el des resistances catboliques que viennent d'accroitre les derniéres élec- tions; ils l'espèrenl, et leurs illusions nous paraissent grandes; inais l'apprébension du gouvernement de Berlin, eest Ie reteniisse- ment de ces lultes, c'est Pcncouragemcnt donné aux fidéles qui se plaignentou sc dé- fendent, c'est la protestation universelle de la conscience catholique. Les canons Krupp ne sont pas au servicedu saint vieijlard du Vatican, mais i'Encyelique du 21 Novembre a élécomme un bouletau cceur de la politique prussienne. La parole du Papeafail Ie tour du monde, portant condamnation des mesures de violence el d'oppression. Voilé une parole qu'il importe- rail d'étouffer, paree que l'ame humaine lui fait écho. A I'epoqne du voyage de Victor- Emmanuel a Berlin,, on lui disail: Trouvez done un moyen de fermer la bouche au Pape, dont les discours importunent vous et nous. Ce moyen n'a pas encore été trouvé, puisque ie Pape parle encore; mais si Ie Quirinal, méme pressé par la Prusse, ne parvient pas a faire taire le Vatican, il ne reste plus qu'une ressource: laisser s'éteindre la parole du Pape sans que personne ne la recueilleetque rien nelui réponde. Etcomme la ppesse catholique est la plus relentissanle sur la terre, si Ie gouvernement de Berlin pouvait la rendre muelte, il avancerait beau- coup Ie succes de son plan. Le jour oü le silence se ferait au milieu de nous, I'oppres- sion se Ironverait a I'aise. Ce silence, on ne robtiendra pas. Lé lafigage cxcessif ne nous plait pas; il n'esl pas it nos yeux une parure de la vérité, mais la vérité a des droits qu'au- cune puissance humaine ne lui arracbera jamais: les plans contre elle ne réussirout pas. II y a uue odieuse injustice a l'heure oü nous sommes, c'est de rendre des catholi- liques responsables de nos périls. D'oü vien nent ces périls? De l'unité italienne el de Lunité allemande. Qui done les a faites? Est-ce le Pape qui a fait ce que nous voyons en Italië? Sont ce les catboliques? Neuf cents évêques et des millions d'adresses catboli ques onl condamné l'ceuvre révolutionnaire des subalpins el ce sont les libéraux qui ont pousséaces fatales entreprises, qui les onl soutenues et les soutiennent encore. La poli tique bonapartisle, qui a favorisé l'unité alle mande, a-t-elle rencontré desauxiliaires dans nos rangs? Jamais. Elle a eu pour amis, pour champions persistants, tous les publicistes a vec lesquels nous sommes en lutte chaque jour. Leur concours a servi a édifier lout ce qu> nous menace, et parceque nous signalons le mal, ils nous accusent de Pavoir fail. Nous sommes coupables et mauvais patrioles si nous parlons de nos dangers, mais nos ad- versaires n'ont que des louanges a se dormer a eux-mcmes après avoir prèté la main aux desseins les plus funestes qui aienl été enfan- tés contre la France. L'ignorance publique leur vienl en aide: elle demeure leur princi pal point d'appui. Les catho iques aimcnt leur pays et n'au- ront garde de rien compromettre; mais ils ne descendront pas aux lacbclés du silence, et les devoirs de la conscience et ceux du patriotisme ne s'excluent point. Les catboli ques portent un flambeau dont on a besoin plus que jamais dans la unit profondeoü nous sommes: iIs représenlent la seule force qui aitsurvecu a d'aussi vasles écroulements: celte force-la résislera a touies les bassesses cl a loutes les tyrannies. poujoulat. NOMINATIONS ECCLÉSIASTIQUES. ©li roil i f| ii c local o SI LE PHOGRÈS OUBLIE, LES POPULATIONS SE SOUVIENNENT. Prodigieusemenl élonnant ce milicien du Progrès'. Commenl, nous lui prouvons, a coups répétés de lextes irréfutables, qu'en malière de milice, il ignore la loi et les pro phéte.;; que ce qu'il a osé écrirc pour les clients de sa boutique, sur le prix du rem placement adminislralif en 1874, sur Ie cau- lionneiiient libéraloire, stir la composition de la Comtriission provinciale d'examen des remplacants, que lout, absoliiment tout esl manifeslement erroné! II n'a garde, et pour cause, de toucher a une seule de nos affir mations; puis, après nous avoir qualifies, uvec eclle exquise uibanile qui le curat; - térise, de Gros-Jean, de Dazile (par un Z?) on de Tarluffe (avec deux Finalgré Molière), il monte superbeinent sur son fumier, et de sa voix de coq enroué, se pro- clame le grand-mailre de loutes les miliees du royanme! II nous de/ic de Irouver duns tout ce qui est sorti de sa plume, un seal point depolémique sérieuse. (Textuel.) Parbleu, nous ne Ie lui faisons pas dire au moins, cl pour celte fois, Progrès, nous voici d'accotd; oui, nous le recoimaissons volontiers, rien de séricux en effel n'esl sor- ti de voire plume, au sujet des modifications introduites le 18 Septembre 1873. dans la loi de milice. Causu dicta est: nous ponr- rions briser la, si, coimaissant l'apölre, nous ne le savions capable de triompher de noire silence et de chanter vicloire.... dans le royanme des aveugles. Nous ne lui laisserons pas cette satisfac tion: sans doule, et nous n'avonsja- mais dit autre chose, les modifications apporlées a la loi de 1870. par celle du 18 Septembre 1873. sont l'ceuvre du ministère actuel et de la majorilé conservatrice. Et, avec tons les adversaires des exagérations militaires, rendons graces au Ciel et aux électeurs, de ce qu'au lendemain des événe- ments les plus formidables el les plus cala- miteux peut-ètre de la période historique, au lendemain de la crise la plus périlleuse qu'ail traversée la patrie, lorsque l'insuffisan- ce de la loi de 1870 eul été officiellement constatée, après le tnémoiredu général Guil- laume, en présenced'un entrainement mili tarism, provoqné et encourage par tous vos amis, il y ait eu a la Chambre el att'Sé- nal une majorilé catholique, au pouvoir un ministère catholique, qui ait su conserver dans ses bases essentielles, la législalion an- lérieure sur Ia milice. Ah! si vos amis, si M. Frére Orban, si M. Pirmez, si M. le général Benard eussenl été au pouvoir! Nos popula lions se souviennent: elles savent que si les modifications néccssitées par les événenionls, au lieu d'élre contresignées par Messieurs Thiebauld et Delcour, l'eussenl dü ètre par Monsieur Pirmez et par le général Renard, elles y eussent probablemenl trouvé le servi ce personnel obligatoire, le principe a tout le moins de la réserve de 30,000 hommes, en germe déja dans la loi de 1870, farnie- ment de tous les ciloyens! Et le Progrès qui s'inquiéle anjourd'hui pour lespèresde familie, d'un versement préalable au rem placement de 200, fr. le Progrès eüt admiré et eüt applaudi! Le général Benard, Ie promoleur de la loi du 3 Juin 1870, ineu'ibre, en 1807, de la Commission inslituée par le Cabinet liberal, a l'elïet de recbercher si l'organisation de l'armée répondait aux nécessilésde la defen se nationale et de proposer éventuellemenl les réforrnes a opérer, fit dés la première séance la déclaration su i van le: Quant a la garde civique, il a ton jours été admis qu'elle fournirait a l'armce, un concours de 20 a 30,000 hommes, organises mili- tanemenl. Vous I'entondcz, organises militairemenl. Le méme général, ministre de la guerre en 1870, ajoutait: En demandant l'organi- salion d'une force supplémentaire de 30,000 hommes pour la defense des for- teresses, nous n'avons pas voulu préjuger la grande question de l'inslitution de l'ar mement national, ni limiter a 30,000 hommes la force civique du Pays. Monsieur Pirmez, le ministre de l'intérieur qui a contresigné la loi de 1870, et M. Orts, vos amis sans doule, el non les nötres, Messieurs Oris et Pirmez ont proposé, de créer indépendamment de l'armée active et de la garde civique, une réserve formée au moyen de contingents annue/s; et la Com mission de 1867, composée presqu'entiére- rnent de libéraux, adopte le principe de la réserve nationale pri.se dans le 1' ban de la garde civique, el organisêe de manière a consliluer une force militaire efficace. Voila oü nous allions avec certitude, si vos amis fussent reslés au pouvoir aprés la guerre, au service personnel el obligatoire,- a la réserve organisêe militairemenl, a l'ar- menient général! Nous sommes loin de vos 200 francs! La majorilé actuelle, au contraire, qu'a-t- elle fait de concert avec le Gouvernement? D'abord ejle a fait table rase du service per sonnel el obligatoire, et de la réserve de 30,000 hommes, préconisée par les doctri naires: il n'en est plus question. Bien mal- gré elle et pour obtenir ce contingent de 100.000 hommes jugé indispensable, et que la loi de 1870 était impuissanle a donrier, sous la pression des circonstances, elle a consenli a l'unification du contingent, mais cn revanche elle a exigé cl obtcnu, la sup pression de presque tous les rappels, el sur- lout de ces rappels de la 6C el de la 8° année, si vexatoires, si désastreux pour les soldats de l'infanterie; elle a exigé pour les miliciens de toutes les années, un congé de 6 semai- nes par année de service; elle a réduit le service dans le train de 4 ans a 29 ntois; en somme, d'après le calcul de la section cen trale de 1873, si le contingent total sert 92o mois de plus, soit moins de 2 1/2 jours de plus par homme, il n*y aura plus désormais que 7674 mois de rappel au lieu de 30,036; et nolammenl les rappels de la 6" et de la 81' aunées sont supprimés. Et nous ne serions pas admis a dire que la loi de 1873 a en somme atlénué l'opttvre de vos amis en 1870, que la majorilé catholi que a mérité la reconnaissance de nos popti- O' ms*y is*, ifit. t *fj|i H 11 lalions, pour avoir écarté ces rnimstres, te service personnel, le réserve de 30.000 hommes, l'arniement général, qui ètaient a l'horizon de la loi élaborée par le cabinet doctrinaire! A voire tour, Progrèspoitr quels hiais croyez-vous écrire? Si vous servez des carottes a vos lecleurs, c'est done pour varier leur menu; ces geus-ja sont faliguésde manger du foin. Nons recoinmandons au Conseil commu nal d'Ypres le réglemenl suivant édicté par le Conseil communal de Gaud: Le Conseil communal, Vu l'ari. 3. n° 1du litre XI de la loi dn 16-24 Aoüt 1790, l'article 46 du litre 11 do la loi du 16 22 Juillet 1791 el l'article 78 de la loi coiniiidnalc du 30 Mars 1836; Ar. héte) Article lr. II est défendu d'uriner sur la voie publique ail leurs que dans les pissoirs qui s'y Irouvent élablis. Art. 2. lï'est égalemenl défendu .de, déposer toutes aulres ordures dans les rues ou sur les trottoirs. Ars. 3. Les cafeliers, cabaretiers et dèbitantsde boissons sont lenns d'avoir cbez cux el d'enlretenir dans un élal de propreté des pissoirs a l'usage des personnes qui fré- quentent leurs-■établisseinenis. Art. 4. Toule contravention an présent arrèlé, sera pume des peiues de simple po lice. Nous accueillons volontiers la communica tion suivante: Monsieur l'Editeur, Je vous remercie d'avoir signalé 3 fatten tion des amis' de l'arl religieus, la statue du Sacré Cceur de Jésus due au cisean de M. Gustave Loosbergh. C'est une oeuvre de mé rite lanl sous le rapport eslhéiiqut' qu'au point de vue du sentiment rehgieux. La figure du Christ pleinc de noblesse et de dou ceur respire la divine ntiséricorde. L'altitude du Christ est en parfaite harmonie avec le sujet. I/lie (lit aussi bien que la physiomomie: Apprenez de moi que je suis dou.x et hum ble de cceur. Voici le cceur qui a tanl aimé les hommes. Rarement pent-on féliciter un artiste d'a voir eu a ce point l'inlelligence et le senti ment de son sujet. C'est la certes uneslalue que l'on peul recommander a toutes les per sonnes ipii désireni propager le ciille du Sacré Cceur. II serail desirable que ce type fut plus répandu el se substituut a desrepré- sentatious depouillées de toule grace el de toute expression mystique. Le piédestal de la statue est aussi une com position trés-beu reuse et d'uue belle el gra- cieuse originalité. On nous écrit de Crombeke, 23 Janvier: Hier, a eu lieu, en cetle commune, le hapième du sepliéme fils du.S'' Liévin Deroo, bonnóte ouvrier, qui jouil de restiuiegénè- rale dans la commune. Sa Mnjesté Léopold II, ayant consenti a ètre le parrain de cel enfant, s'esl fait repré senler. a la cérémonie du baplème par M. Floor, Bourgmeslre de cctte coinuimne. Sa Majesté, voulant, a cette occasion, donnor une marque de sa bienveillance a la familie Deroo, lui a accordé une gratification de cent cinquante francs. M",c Floor a été marraine de eet mfant, qui a recu les prénoms de Léopold-Awgusle- Jubeo Marie. A 4 heures de relevée, les autorité de la commune se Sont renduesde la Maison com munale a la 'modeste demeure du S' Deroo. pour conduire eet hcureox pére a Icgbse, accompagüè de ses 7 enfants. A I'occasii-vn ^cer-événement extraordi naire, lout Ie village èiait en fète; a diaque maison flottait un drapeau tricolore^ les; cloches n-pnt .ftcssé de sonngr jusqu a Buit beures du soir. el. pour que rien.or man- quat a la fète. oh nvait brillainment ilhminé la Maison communale. C'est Ie 22 qu'expirait le délai accordé aux miliciens de la levéede 1874 pour opé rer, dans la caissedu receveur de l'oiregis- trement de leur ressort, le versemeni pres- cril de la somme de 200 francs, a fdfel de conserver la faculté de pouvoir se faire rem- placer. Toulefois, le milicien designé pour le ser vice cl qui, bien que n'ayanl pas cffeclué ce versement, vondrait se faire remplacer, pourra encore Ie faire, mais seulement aprés son incorporation et en vertil d'une autori- sation a réclamer du département de la guerre. Quant aux miliciens ajournés des trois précédentes levées, ils ont, sous le benefice de l'arrèté royal du 20 courant, a opter, s'ils ont acramdre d'élre désignés pour {'in corporation, entre le sys téme de remplacer ment imposé aux milici ens de 1874 ou le mode qu'avail établi la lo i du 30 Juin 1870, c'esl-a-dire que ces ajournés peuvent a loisi- opcrer le versement de 200 fr., comme il est dit ci-dessus, ou, s'ils ne se font pas rem placer directcment. verser dans la eaissc du receveur de ll enregistrenaenl, et il n'y a pas de délai fixé pour ce dernier versement, la somme de 806 francs, afin d'obienir un reui- placani paries soins du département de la guerre, et si ce département ne peul pour- voir a leur nemplacemeiat, ils aurqni, après l'mformation qui leur en sera donnée, a chercher eux ii.èines des hommes pour prendre leur place sous les drapeaux. Les 800 francs ainsi versés viennent en déduction du prix du remplacement, fixé a 1,600 francs. La nouvelle loi sur la milice du 18 Sep tembre 1873a supprirné le contingent de réserve. Ce contingent, qui était de 1,000 hommes, sera ajoulé au contingent de I'ac- livité; par suite, Ie cont ingent général a fournir pour I» levée de 1S74 sera de 12,000 hommes pour la Belgiqtie. Cetle augmentation de miliciens appelés sous les armos pour le serviceaetif a néces- silé la creation de deux regiments d'infante- rie de plus. 'Ces nouveaux regiments seront désignés sousle iioin de 1 3e el de 14c régi ment de ligne. L'école de cavalerie élablie a Ypres, et qui est eompjsée dedeux escadrons, sera fondue avec les 3U el 6° esscadions des gui des. Les Jeu-x regiments des guides seront formés chacuo de 4 escadrons. Le premier régiment tiendra garnisori a Bruxelles; deux escadrons, soil une division du 2° régiment des guides, liendronl garnison a Malines, et les deux aulres escadrotas, on la division restante, seront en garnisou) a Ypres. FA ITS DIVERS. V E 13 M €1 Cl I in ëéne ZitBing BK NES' YJ>ltE. 1° Een HUIS, met grootc erve, aan de noordzijde der Boterstraat, N° 76, en koetspoort in de Btel nikst raat; Bewoond ti r Mn,c wed uwe Gorisscn- CtönclcëmtiÊii' en andere. 2" Een IRIS en erve, Nr 78, daar nevens; bewoond door- Jufv. Rosalie Vermeulen. 3° Een HUIS en ervr;, Nr 80, daar- rian Ikov ond door sicur Dclbacre. IBeluikstraaxt. 4° Een HUIS cn erve?, aan de oost zijde dcrBelaikstraat, i\°2; Thans ledig. 5" Een aittier IlüIS era erve daarne vens, N" 4; - Bewoond door M' Jus- ment. 6° Een HUIS cn erve; aan do zuid zijde der Loinbaardstr»at, N°27; Bewoond deer Catherime Plalcvoct. Nota. De voorschreven huizen kun nen gezien worden den Maandag en Dinsdag van ieder week, van 2 tot 5 uren namiddag. ZITTING. Deze verkooping zal geschieden MAANDAG 23 FEBRUARI 1874, oni 2 uren namiddag, ter estaminet Ant werpen binnen Ypre, door het ambt van den Notaris VA.1DEnfifl£EnscH, te Ypre residerende. Kantoor van den XOTAKIfc VA V KECKE, te Yperen. Op DYNSDAG"3" FEBRUARY 1874, om 11 uren voormiddag. Extra groutc venditie boven de 200 konpen langstammme en zware POPULIEREN BOOMEN, langs den westbarm der vaert van Yperen op Boesinghe, dit ten ver zoeke der Bestendige Deputatie der provintie Westvlaenderen. Op DYNSDAG 10"' DITO, om twee uren namiddag, ter herberg den Desmyttere, te Zillebeke, vvtieüisie van circa 4 hectaren extra schoone TA.ILLIE, wassende in het bosch by den ver branden molen genaemd de 4 lvnen te IJollebeke. Verdeeld in 13 loten. Door verandering van bedryf. Op DONDERDAG 12 DITO, om 10 uren voormiddag, fix te beginnen. Openbare Venditie alsook Akker en Landsallaem, ver- selieide Wagens van breed en smal beslag, Harnasseuringe, Beerden en andere dingen, al by plakbrieven breeder aengednid, ter herberg be woond door Jan Delcersnyder, te Moorslede, in de Breulstraet. DONDERDAG, 5 FEBRUARI 1874, om 1 ure namiddag, op d'hofstede gebruikt door sieur Désiké Segers, te Wytschaete bij den Diepcndaal, langs den steenweg naer Meessen, 50 koopen B O OMEN, waaronder zeer schoone cn zware Iepen van 1 M. 70 tot 2 M. 20 C. dik en 2 schoone Popelieren. VRIJDAG, 6 FEBRUArT1874, om 1 ure namiddag, in den bosch, ge naamd Roggestukken, te Zonnebeke, bij de Polijgone, cn weinig oost van de Wipzaal, 50 koopen heukenboomen. MAANDAG. FEBRUARI 1874, om 12 uren middag, in eenen bosch te Zonnebeke, weinigziiid van de Broods einde en west bij den steenweg naar Becelare, 78 koopen schoone Eiken, Beuken en andere BOOMEN. En den DONDERDAG, 12 FEBRUA RI 1874, om 10 uren voormiddag, in de Gavre Bosschen, te Zantvoorde en llouthem, bij de hofstede gebruikt door sieur Louis Devos, niet verre van de plaats van Zandvoorde, 150 koopen zeer schoone en zware Eiken, Iepen en [heelen BOOMEN, waaronder veel van 2 tot 3 meters omtrek, en eenige koopen Plantsoenen en Taillie. Al op gewoone voorwaarden en door t ambt van de Notaris VANDER" rnEERSGH, t,e Ypre. KANTOOR vdtaisn cipelle, TE WATOU. A- Op VRIJDAG 13 FEBRUARI 18/4, om 3 ure na middag, te Rous- brugge-IIaringheter herberg be; woond door den co-licitant Bené Ruyssen. ien overstaan en bijwezen van den bevoegden beer Vrederechter, Openbare IJ.citatie - Verkooping EN DEEL BOSCH, gelegen te Rousbrugge-IIaringhe, aldaar bekend per kadaster sectie A» Mgr l'Evéqtie de Bruges a nomine: Curé a Uusleamp, Al. Bossuert, curé a Gysel- breclileglieni; Curé ii Gysellirecliteghem, M. Verliaeghe, vicai- re a Mer'clicin; Directeur des Sceurs de Cliarilé a St-Genois, M. De Greudele, vieaire a iclile, en remplacement de M. Van Nesle, qui a dunne sa déinission; Vieaire de Sle Amie, a Bruges, M. Buedls, vi eaire j Beernliein, Vieaire a Beeruliem, M. Van Neste, coadjuteur a Ooslcamp; Vieaire a Viclite, M. De Poorter, prêlre au Séniinaire; V'icaiie a Merckem, M. Simoens, vieaire a Dra- noutre, oil il esl renqilucé pur M. J. Vermeulen, prêlre au Séniinaire. On a vu kier qu'un des imtuveuux curés asser- menlés de Genève va snivrn I'iexeniple do son chef, MLoyson; il |nend femme, Les prètres aposiats réformateurs rit peuvent s'eniipêcher d'eu venir la, el ce dernier acic de la miserable comédic de leur révolle conlre l'Eglise en dit Koujours plus long que tous les raisoDiwineiils sur Ie vrai sens de celte révolle Empoisomement des pickles. L'usage des conserves aiiglnwt-s qu'on rdésigne généralement sous le nom dv/pickles s'es-t très-vulgarisé pen dant ces deinières années. Aussi leur consummation pour la seule viille de Bruxelles a pris des propor tions énormes üiparlanl leur preparation et leur vente ont fan nailre des concurrences nomlueuses. Mais certains tit ces fabricamls, afin tie pouvoir v end re niéilllew tnarulié que leurs concurrents, avaient recours artes moyens dwni les conséquerices out dü ètre fatales pour bien des personnes. Eri effel, a la suite de ptaimes parvenues a ('administration communale, au sujet des conserves fabriquées a Bruxelles, lune mjiertise a été curdoni.ée, a la suite de laquelle cn a saisi, il y a pet» de jours, 1,000 kil. de conserves au domicile d'un fabricant. I'expertise ayaril démoiitré que ces conserves coritenaient des substances Hesiplus nuisibles a ia santé des con- sommateurs. D'après ce qu'on mande d e Dinanl, la popula tion de cette villccraint rteffond rement de la flèche de l'église principale, qui a une grande élévation. S'il faut en croire le bruit putilic, une déviation de plus d'un mèlie aurait été constatée dans l'axe de l'aiguille Legouvernement se serail ému a son tour d'one situation qui pourrait ramener une ter rible catastrophe Un bien joli mot prèté a Mgr Mermillod n Genève, aurait dit i'illustra exilé, est le lieu de refuge de tons les princes en dis-§ronibilité et de tous les gueux en aütvvité. van BoTEItSTRAAiT. liflMBA A It DSTRfN AT. van VERBRANDEN MOLEN, bCWOOIld dOOt' SiCUI' 1111111 'IÜL.Hjijmiiii iiiiimi.il— van den van dl ie perceelen

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1874 | | pagina 2