mtpiinr w: wit mies nu, ZES HUIZEN, BOOMYENDITIEN. MEUBELS, EN HERBERGGERIEF, SCHOON EN GOED ZAAILAND, kantoor nombreet de la force; il demenro, lui, dans fa sérénilé de sa conscience el dans la lumié- re de son droit, Ie témoin de la vérité, le gardien de la justice, le glorieux serviteur de Dieu! Les paroles nous manquent ponrexprimer a l'héroïque rebclle les sentiments d'atimira- tion et de respect qui debordenl de nos cceurs.II y a d'ailleurs en Prusse assez de geöliers pour arrêter au seuil desa prison le témoignage des fidélés sympathies qui lui viendraient de cette Belgiqne. oil tl a laissé de si ions souvenirs. Mais nous dcvons a jious-mémes d'inscrire le nom de Mgr Le- docliowski dans les diptyqnes de TEglise, en demandant tons les jours, a nos lecteurs, pour le ca pi if de Jésus Christ, tin souvepir et une prière... Ut mimicus Ecclesia: humi- liare digmng. Te rog am us, audi nos LI Ml MIXTION DL L'ÉTRANGER. Les avis oflicieux ou officiels par iesquels M. deBismark prétend régenter la presse »le tons les pays de l'Europe, ne rencontrenl (>as l'adhésion unamme sur laquelle il a peut èire compté: en Italië, en Aulriche, en France, en Hollande, on se démande oil le chancelier a demand s'arrètera, et on se mon- tre peu disposes lui reconnailre la supiéma- tie qu'il s'arroge. Si nous en croyons des nouvelles très-ró- centes de Paris, M. de Bismark votidrail amener la chine des cabinets aelueis de France et de Belgiqne; mais dans la capitale francaise, ceite pression a produil un efl'et contraire a celui qu a Berlin on en atlendail, car beauctiup de deputes, jusqu'ii présent indécis ou hostiles au cabinet de M. de Bro glie, onl résolu de le soutenir. En Belgiqne, l'appui de Pélranger ne pro- fitera pas aux hbéraux: chez nous aussi la reaction se produirait vive ei énergique, et de la hitte le ministère sortirait plus fort que jamais. Certes, il n'entre dans lesinlentions d'au- cun journal catholique de stisciter des com plications; mais aussi ne faut il pas qu'au dela des frontiéres on se m'éle d'affaires qui ne regardenl que nous. Dans tons lesautres jiays, les mèmes sentiments se font jour. On mande de Vienne, 1' Fevrier au Stan dard: Tous lesjournaux semi-officiels hlament Ia conduite de M. de Bismark envers la France,la Belgiqne et 1'ltahe; ils ajoutent que TAtilriche doit craindre, a son lour, finter- vention du chancelier de l'empire allemand dans sa politique intérieure. Les mêmes journatix, parlant d'un article menacant pour l'ltalie, pubhé par la Gazette de Spenerdisenl que M. deBismaik essaie de jouer le róle de dictaleur européèn, ce qui amènera une coalition europèenne. On écrit de La Haye au Hollerdamsche courant Si je suis bien renseigné, leconseil ex traordinaire des ministres qui s'esl tenu hier (Mercredi, 28 Janvier) chez le ministro des affaires étrangéres, n'éiait pas saus quelqtie relation avec ce que Ton a appris derniére- ment sur les snscëplibilités excitées a Berlin par la critique de la politique prussienne dans plusieurs organes de l'opinion publi que. La prudence me defend d'en dire da- vanlage. Le sujet est trop delical pour en parler légérement, surlonl lorsque l'on n'est point complèleinent certain, ce que je decla re ue pas ètre pour le moment, de la com pléte exactitude des renseignemenis oble- nus. Les organes officieux de Berlin dévelop- paient avant hier encore le mème thème menacant au sujet de la France et de ia Belgiqne; d'aprés certaines correspondances, l'Angleterre aurait reende Berlin des obser vations analogues: M. de Bismark prèlendrait done imposer silence au monde eutier. II ue pourrait mieux prouverquede parloul s'elé- venl des protestations contre sa politique et ses persécu! ions. hlcment les finances communales. On sail aussi que M. Jottrand a cru devoir dénoncer a la Chambre cette transformation des écoles moyennes comme un des fails qui caractéri- sent la sainle croisade organisée par le clergé contre l'enseignement public. On sail enfin, peut-élre. que ITioriorahle depute de Termonde, M. Vanden Steen, a répondu a M. Jottrand par un excellent discours, nourri de chiffres et de fails, auque! il n'a pas élé répondu et auquei on ne répondra pas. Mais ce qu'on ne sait pas, assurément, c'est que l'école de Termonde, qu'on a sup- primée, l'école de Nmove qu'on a supprimée, etc., onl |eur digne pendant dans l'écófe moyenne d'Ypres qu'on ne supprime pas, mais qui continue a nous couter les yeux de la lète. Voyons un peu la valeur de la fameuse école de Termonde au point de vue des sa crifices qu'elle a coüiés et des résultals scien- lifiques qu'elle a produits, et meltons en regard les mèmes données pour l'école moyenne de notie ville. Depuis l'époque de son institution, l'école moyenne de Termonde a absorbé, pendant les douze ans de son existence, la soinnie de 157,575 fr., indépendainment de 50,000 fr. dépensés pour I'acquisition de bailments, ensemble plus de 207,000 francs. Aiu.si di- sait M. Vanden Steen. Et l'école moyenne d'Vpres, disons-nous, coüte aux contribuables de 13,000 a 14,000 fr. par, an; soit, pendant la méme période de 12 ans, la bagatelle de 160,000 fr., c'est- a dire quelque chose de plus encore qu'a Termonde; soit encore, pendant les 38 an- nées de son existence, bien au dela d'un demi million ou cinq cent mille francs, indé- pendamment de tous autres frais d'installa- 1 ionetc. Cela, pour l'école moyenne. Que dire du collége communal? Celui-la nous extirpe, en outre, chaque anriée bien au déla de fr. 20.000, ce qui fait, depuis l'époque de son institution, un petit capital de 800.000 fr., au bas mot. Et cesont les Termonlois qui se plaignent. NECROLOGIE. M. -Schollaerl, vice président de la Cliam- bre des représentants, vienl d'etre éprouvé dans ses affections de familie par la mort de sa sceur, dame Marie l'auline Schollaerl, en religion sceur Stanislas-Joseph du Sainl- Cceur de Marie, prieure du convent des reli- gieuses Carmélites de Louvain, pieusemenl décédée a Louvain, le 31 Janvier 1874, a l'age de 48 ans, de religion 28, muniedes Sacrements de notre Mère la Sainte Eglise. Clii'fltiiqiie locale* LA CHÈRE ÉCOLE MOYENNE. Esl-ce de l'école moyenne d'Ypres ou de celle de Termonde que M. Vanden Steen a parlé l'aulrejoura la Chambre? Ou bien.est- ce que toutes ces écolesofficielles se ressem- blerit de si prés que l'on peul dire d'elles: ab uno disce om nes, quand on en connait line, on les connait toutes? On sait qu'a Termonde, comme a Ninove et- Renaix, des établissements officiels peu fréquentés, qui coiitaienl gros aux contribua bles, out élé remplacés par des écoles ou colléges patronnés qui, a part d'autres nié- iles, out I'avantage de soulager considéra- F.t quels ont été les fruits de ce cher en- seignement liberal? En 1872, dit M. Vanden Steen, alorsque l'école a élé supprimée ei que l'on prétend qu'elle était en plcine voie de prospérité et de progrés., le chiffre de fréquentalion. d'a prés les tableaux fournis au gouvernement, s'élevait a 93 ou 95 éléves el voici comment ce chiffre se décomposait: 3" année d'études, 4 éléves. 2fi année d'études, 8 éléves. lc année d'études, 11 éléves. Section préparatoire, 62 éléves. Parmi ces derniers, il y en avait une dou- zaine qui n'avaient pas atteint l'age de six ans! Et eest a propos de la suppression d une école moyenne de cette force que l'on accuse les calholiques de Termonde d'avoir fermé le temple du progrés et enrayé la ci vilisation!... El le temple du progrés yprois, quecon- tient-il de marmots a civiliser? L'école moyenne en compte, bon an mal an. 120, metlons 25 de plus qu'a Termonde. De ces 120, une cenlaine appartienuent, en-moyen ne, a la section préparatoire. Le collége com munal, lui, en compte bien 35! Voici com ment ce chiffre peut se décompenser; 20, section des humanités donl 7, admis a prix réduit, ou gratuite- ment. 15, section professionnelle dont 8, admis a prix réduit ou gratuite- nient. N'oublions pas que ces 35coüteront, cette année, net 23,900 fr., dont plus de 22,500 fr. aux frais des contribuables, soit 700 fr. par tète. Quant a la valeur scientifique, littéraire et autre des nourissonsde notre enseignemenl officiel, inutile d'en parler. Les Yprois som pleinement édifiés a cel égard, et si a Ter monde on savait encore cela, on y rirail trop... a nos dêpens! Nous la verons un jour ce linge en familie. Le fait très-grave, e'est que nos dignes prélats ont corifié les fonctions d'inspecteurs de l'enseignement primaire a des ecclésiasti- ques qui s'occupenl d'enseignement. Quelle horreur, en effet. Nommer dans l'in- terèt mème de rënséignémenl, des hommes capables et compétents, quel abus d'un autre age! II eüt mieux valu, sans doute, nommer aux fonctions dont il s'agil des personnes complélement étrangéres a l'enseignement, ainsi que fit M. Bara, quand il était au pi- nacle. On cOmiaft Ié cas de ce journaliste liberal, qui hit nomine a la barbedes insti- tuteurs les plus'capables et les plus méritants, pour la grande raisoii qu'il flit Dm des thuriféréfes les plus zélés de réiïérgiwiiéne' de Tournai. On Sait encore, que par une condi'ScendaneVflXcessivë'de la part du gou vernement catholique, los fonctions d'inspec- leur ont élé mainjenues a ce rédacteur d'un journal hhrë-pense'ur, qui a fait puhliqué- inent l'apoiogié'de Luther et que l'on voyait nagnére encore faire un pompeux étalage des funérailles civijes d'un malheureux qui a voulii mourir hors del'église. Pour une nomination déteslable. abusive et scandaleuse, en voila une! Mais -ces inspecteurs ecclésiastiques dit Ie Prognés portent peu de sympathie a ces établissenients rivaux. La helle raison! est-ce que par hasard tous les inspecteurs laïcs seraient fort sympalhiques a l'enseigne ment libre et catholique? il est vrai que les écoles libres se passent fort bien des sympa thies de ces Messieurs, et redoutent mème assez peu leurs inenées hostiles. Une insti tution sa ine el vigoureuse de sa nature n'a jamais quelque chose a redouter de la liber- té, et si les champions de l'ensefgriement de l'Eial, qui, en pröolament sur les toils a toule occasion les vertus suréminentes, avaient quelque confiance dans leurpanacée, éproi'iveraient-ils de semblables terreurs devant quelques nominations d'ailleurs par- failement légilimes et parfaitement moffen- si ves? Car, il n'est pas vrai, non plus, comme l'insinue faussement le Progrés, que les in specteurs ecclésiastiques, récemrnent nom- més, profitent de leurs inspections, dans les établissements ruraux surlout, pour recruter en faveur des établissements qu'ils dirigent. C'est la une de ces insinuations vagues et laches, que \e Prog/ ès se permet si souvent et que nous Ie melions au défi de prouver. Nous savons au contraire que les inslitu- leurs, et surtooul les inslituteurs ruraux, sont unauimes a se louer des procédés de leurs nouveaux supérieurs. Voila pour le fait. Quant a la question soulevée a la Chambre, c'est celle desavoir si le ministère ne peut pas rcfus'-r d'agréer les nominations d'inspecteurs ecclésiastiques faites dans ces conditions. Et le Progrés ajoute: Pour nous la question n'est pas donteuse, car Ie premier devoir du gou- Ypres. Mem bre effect if, M. Desmet, lieutenant-co lonel au lr régiment de ligne, a Ypres. Membre suppléant, M. Verbrugghe, major au 1' régiment de ligne, a Ypres. Une conférence sera donnée par Monsieur le chanoine Van de Putte, Curé-Doyen de Courtrai, au local du Cercle Pie IX, a Courtrai, le Jendi 12 courant a 6 h. 1/2 du soir. Sujet: La Bataii.ch des Ei'érons d'Oii. La semaine derniére un déplorablé acci- dent est-arrivé a Zedelghem. Un paysan s'occupait a hacher de la pailie, quand son Ills, agé de 2 ans seulemenl, s'approcha et mil le bras sous la machine, le bras fut compléiëment coupé. La Banque Nationale a abaissé de 1 p. c. Ie taux de l'escompte en vigueur; depuis le 31 Janvier les taux des traites acceptées n'est plus que de 4 p. c. Deux individus s'étant pris de querelle dans un estaminel d'lseg.hein. I'un d'eux, a la sortie du cabaret, a assené a son adversaire un coup de couleau qui iriet en danger le jours de ce malheureux. FAITS DIVERS. LES INSPECTEURS. Les Don Quichotte et autres Barn do la Chambre onl qualifié de scunda/euses les nominations des inspecteurs ecclésiastiques faites par nos Evéques: ces declamations, n'ont pas méme trouvé écho sur les bancs de la gauche, tant ellcs sont ineptes; raison de plus pour que le Progrés les fasse siennes. II y a la, dit Ie malin Progrés, une grave question, et un fail trés graves (sic) et qu'il a élé des premiers a révéler. vernemenl esfdésauvegarder l'ensëigne- menl laic el én particulier celui de l'Etat, contre une concurrence aussi déloyale el aussi ruineuse; Et pour nous non plus, la question n'en est pas une. Les Evéques, en nommarit aux fonctions d'inspecteurs des prèlres apparle- nant a fenseignement privé, usenl d'un droit réel et incontestable, et en usent bien; ils ont voulu nommer desTonctionnaires plus com pétents, et il ser,1it vraunent curicux de voir un gouvernement sé prèvaloir de cette méme raison pour refuser de les agrécr. Quant «i au devoir du gouvernement de sau-vegarder 1'ëhSéignémeut de I'Elat, on I a dit mille ibis, c'est la line simple héré sie consiitutionnelle: l'Etat n'a d'antre mis sion que de suppléer a 1'insusuffisance de l'enseignement fibre; c'est renseigiiemenl libre qui est ia régie; l'enseigneineut officiel n'est et ne peut' êtré queTexception. Par arrété royal, en date du 21 Janvier, sont nomrnés membres mililaires du Conseii de niilice de la Flandre occidentale pour la levée de 1874 el suppléanls de ces membres, les officiers ci aptés désignés: -Bruges Oslende. Membre effect if, M. Ihomas, major au 2C régiment de hgue, a Bruges. Membre suppléant, M. Appelmans, id. a 0>lende. Courtrai. Membre effectif, M. Lemaire, major au 2c régiment de chasseurs a cheval. a Gand. Membre suppléant, M. Moentuck, id. au 3e regiment d'arlillerie, a Gand. Eu r n es D ix mudc. Membre eff'ectif, M. Parsy, major au 1r régiment de ligne, a Ypres. Membre suppléant, M. De Talie, id. a Ypres. Tb ielt- Hooiers. Membre effectif, M, Bruneel, major au 3« régiment de ligne, a Gand. Membre sop- pléanl, M. Halkin, id. au 3C régiment d'arlil lerie, a Gand. Nota. De voorsclireven huizen kun nen gezien worden den Maandag en Dinsdag van ieder, weck, van 2 tot 5 uren namiddag. ZITTING. Deze verkooping zal geschieden MAANDAG 23 FEBRUARI 1874, ont 2 uren namiddag, ter estaminot Ant werpen binnen Ypre, door het ambt van den Notaris VANDESIHEERSCH, te Ypre residerende. MAANDAG. 9 FEBRUARI 1874, om 12 uren middag, jn ee.nen bosch te Zonnebeke, weinig zuid van de Broods- einde en west bij den steenweg naar Becelare, 78 koopen schooiw Eiken, Bonken en andere BOO MEN. En dén DONDERDAG, 12 FEBRUA RI 1874, om 10 uren voormiddag, in de Gavre Bossehcn, te Zantvoorde en Uouthem, bij de hofstede gebruikt door sieur Louis Du vos, niet verre van de plaats van Ztmdvoorde, 150 koopen zeer schoone en zware Eiken, Iepen en Abeelen BOOMEN waaronder veel van 2 tot 3 meters omtrek, en eenige koopen Plantsoenen en Taillie. Al op gewoone voorwaarden en door't ambt van de Notaris VANDER- IHEERSCH, te Ypre. 3 p. c. d'intérèts, 6 tirages par an,^ 2 primes de 100,000 fr. Prix d'émission: fr. 97,50 payables I en 2 ans. Moycnnant le versement de fr. 17,50 ön participo a 2 tirages. On souscrit sans frais Chez M. VONC.K-CLEMENT, Banquier, rue de l'Etoile, 4, a Ypres. Kantoor van den NOTAIUK VAI KKC'fltE, te Yperen. Op DYNSDAG 10 FEBRUARI 1874, om 2 uren namiddag, ter herberg den Desmjttere, te Zillebekc, ven«8 ie van circa 4 hectaren extra schoone T/YILLIE, wassende in het bosch by den ver branden molen genaemd de 4 Ivnen te Hollebeke. Verdeeld in 13 loten. Door verandering van bedrijf. Op DONDERDAG 12 DITO, om 10 uren voormiddag, fix te beginnen. Openbare venditie alsook Akker en Landsallaem, vcr- scheide Wagens van breed en smal beslag, Harnassen ringe, Peerden en andere dingen, al by plakbrieven breeder aengeduid, tér herberg be woond door Jan Deleersnyder, te Muorslede, in de Brculstraet, WOTAKIS C IPKrm TE^WATOU. YE»I0M)PI)VG in ééne Zitlinq BINNEN YPIlE. Boterstraat. 1° Een HUIS, met groote erve, aan de noordzijde der Boterst raat N° 7b en koetspoort in de Beluikstraat- Bewoond door M"" weduwe Gorissen- Clinckemaillie en andere. 2" Een HUIS en erve, N' 78, daar nevens; bewoond door Jufv. liosalce V enneulen. 3° Een HUIS en erve, Nr 80, daar aan; BewoontI door sieur Delbaere. Bi-luikstraat. 4° Een HUIS en erve, aan de oost zijde der Belurkstraat, N°2; Thans lediö 5U Een ander HUIS en erve daarne- ven», N-4; - Bewoond door il- Jul ment. Lombaardstraat. 6° Een HUIS en erve, aan de zuid zijde der Lombaardstraat., N- 27--— Bewoond door Catherine Platevocl'. A. Op VRIJDAG 13 FEBRUARI 1874, om 3 ure na middag, te Rotts- brugge-Haringheter herberg be woond door den co-lieifant René Ruysscn. Ten overstaan en bijwezen van den bevoegden lieer Vrederechter, Openbare Lieitatie-Ve/kooping EN DEEL BOSCH, gelegen te Rousbrugge-Haringhe, aldaar bekend per kattaster sectip A, nummers 31G, 317 en 387, op eene grootte van 2 hectaren 50 aren 30 centiaren. I hans gebruikt door de weduwe Serapliin Dejonghe. B. Op DINSDAG 24 FEBRUARI 1874, om 3 uren namiddag, ter her berg den Engel bewoond door de wed. Catternach, te Proven-plaats, Openbare licitatië verkooping van een behuisd, bebouwden beplant HOESTEDEKEN, gelegen te Proven, langs de Rcnin- gbedreve, in eenen blok, inhoudende onder grond van gebouwen, hove- nierhob boomgaard, gras en zaai land, 2 hectaren 22 aren 58 centia ren bekend bij kadaster sectie C, N°' 218, 219, 220, 221, 222 en 223. Thans gebruikt door den medegc- rechtigden sieur Car blusllenricus Davrou, met recht van pacht tot 1 Oktober 1877 mits 310 fr. 's jaars boven de lasten. Al door liet ambt van den Notaris t lPEJLiE, te Watou. a m Un paysan aila consu'ler un avocal sur une affaire. L'avocal, aprè- lavoir examinee, lui dit qu'il (rouvait sa cause bonne, Le paysan paya l'avocal de sa consuliaiion et lui deniauda Monsieur, a présent que vous êtes payé, ditos moi sincèrement: trouvez-vous encore mon affaire bonne Un enfant apprenait le calbécl)isine: Qu'est-cc que la l'oilui dil ie curé. La foi, c'est le Jeudi. Coinmen,! Oui, le Jeudi eest la fois que je ne vais pas a l'école. Un vaissoau exlrêtn'oment curieux a élé l uicé celle semaine, en Amérique, dans le port do Brook lyn C'est une église llollanie Au centre se leuuve uno chuire convene de velours; la lief a cinq metres de hauteur; la voute est percée de llois leiiëlres; GOO a 900 personnes pomronl y prendre place. Un or-pie a élé installéet, pendant les cérémonies, mé lera ses liarmoniés ii celles des vagues de l'Oeéan. Ce bailment esl en route pour les eóies de France. Voici une hisloire de fermier qui a bien son petit mérite: ii M. de Broglie a affermé une terre a un bon campagnard, qui doit lui payer son lover aux épo ques ordinairemenl flxées par les usages ruraux. Le locaiairo a loujours éié, dans ses paiemenls, d'une exactitude remarquablé. Le mois dernier seulemenl, it a fait défaut. Pas un écu n'a élé versé. Pas une visite d'exeuses n'a été faiie. M. de Broglie, éioiiné de celle negligence, a fail écrire au fermier. Celui-ci a répondu: ii J'avais mes londs tout prêls; mais je ne suis pas allé les porter a Paris quand j'ai lu l'avis suivant: M. le miuislre de l'iiuérieur ne recevra pas Jeudi procliain, ni les .leudis suivants. Xe derangez pas lp dóen qui dine. IIiet aprés midi un'cliien rongèail un os place ltihour, a Lille. Un messager de Cysoing, tenant a la main une bourse qui se serre a l'aidu de nombreuses laniéres dunt plusieurs pendaienl, la lance vers le cliien. Une des lanières s'engage dans une des pattes de l'animal qui fuit épouvanié, einportanl la bourse et les 3u fr. qu'elle crtijtient. Stupéfaciion du messa gei;. Miiarilé des passams. Voila notre tiomme a la poursuile du chien qui enfi'e la rue Neuve. I.e nombie des rieurs augmenle, des cris se font enten- die. II l'aura! il ne l'aura pas! l.e cliien effrayé court de plus belle, !e naessager en fait auiant, et fluit par altcindre le voieur a l'en- trée de la rue de Beilmne. Il regagna son auberge place de ltihour, riant a son lour, mais se promei- taut bien a I avenir de ne pas plus s'en prendre au cliien qui dine, qu'au dial qui dort. VERBUANBÉN MOLEN, bcWOOIld (loüf Sieilf van den van Ko van dl ie perceeten

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1874 | | pagina 3