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JEAN-JOSEPH FAICT,
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Mercredi 18 Févricr 1874
9me année. N° 849.
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Le Journal parail le Mercredi et le Samedi.
Les insertions coütent 13 centimes la ligne.— Les réclames, dans le corps du journal, se paient 30 centimes la ligne.— Un numéro du journal, pris au Bureau, 15 centimes.
Les numéros supplémentaires com mandés pour articles, Réclames ou Annonces, coütent 20 fr. les 100 exemplaires.
If E II 1 V g I) E F K It.
par la miséricorde de Dieu et la grace du
Saint-Siege Apostolique,
ÉVÊQUE DE BRUGES,
au clergé et oux lidèles de notre diocèse
salut et bénédiction.
Nas Trés-Chers Frères!
Ce fut toujóurs, e'est encore aujourd'hui,
la gloire de notre belle et chère Flandre, de
ne le céder li aueun peuple en dévouement
et en amour envers notre Mère, la sainte
Eglise, et de bril Ier, k l'un des premiers
rangs, par la vivacité et la pureté de sa
Eoi. Aussi avons-nous mérité que notre
attachement a la Religion soit connu par
toute la terre (Rom. I, 8), et que, chez
toutes les nations, notre pays soit honoré
du titre auguste de Religieuse Flandre.
Comme si, aux temps troublés que traverse
le monde en ce moment, notre lidélité avait
été jugée digne d'unc protection et. d'une ré-
compense spéciales duCiel,nous continuons
jouir, en Flandre et dans la Belgique en-
tière, d'une paix et d'une prospérité, qui
semblent tenir du prodige. Que le Seigneur
en soit mille fois béni!
Cependant prenons-y bien garde, notre
Foi, cette source féconde de notre bonheur
tout-ü-la-fois temporél el éternel, notre Foi
et notre piété se trouvent exposées, de nos
jours, aux plus graves périls. Ces périls,
Nous venons, en acquit de notre conscience
d'Evêque, les signaler it votre plus sérieuse
attention, it l'approche de la sainte Quaran
taine.
En Nous écoutant parler des dangers qui
menacent votre Foi, vous vous figurez peut-
être que la cause de nos frayeurs se trouve
dans les erreurs saus nombre qui semblent
nous enveloppei de toute part, dans les doc
trines impies et les blasphemes qui se débi-
tent tout haut, it l'encontre de l'Fglise et de
ses dogmes. Détrompez-vous, N. T. C. F.;
ce n'est, point lit ce qué'Nous redoulons prin-
cipalement pour vous, au temps oü nous
vivons. Vos instincts catholiques, votre pru
dence et votre doeilité ii nos avertissements
et ii ceux de vos guides spirituels vous tien-
nent généralement ii l'abri de ces attaques
directes; et Nous savons qu'au besoin, votre
instruction religieuse et le bon sens qui vous
distingue ne manquent jamais de faire
prompte justice des rêves creux d'une fausse
science, comme aussi des affirmations tapa-
geuses de l'impiété.
Mais ce qui Nous effraie, ce sont les em-
büches secrètesdresséescontrevotre Foi, les
abimes creusés sous vos pas, et qu'une con
fiance trop grande en vous-mêmes et la con
tagion de l'exemple vous empêchent souvent
reconnaitre. Devant une attaque directe
de vos principes, qui ne le sail? vous vous
dresseriez avecindignation ouvous vous dé-
tourneriez avec pitié.Mais,paree que l'ennemi
ne dirige ses coups que sur les fruits de votre
Foi, qui sont vos vertus et vos habitudes
chrétiennes,vous y faitesp'eu attention; vous
vous laissez aller comme les autres, vouspro-
mettant qu'il vous en restera toujours assez
et qu'il vous sera facile, après coup, de ré-
parer vos pertes. Quittez ces illusions,N. T.
G. F.; ce n'est pas seulement en lui coupant
ses racines qu'on fait mourir un arbre; mais
encore en lui arrachant, ii l'époque de la
floraison, ses promesses et son feuillage.
Le premier fruit de notre Foi, c'est une
sollicitude constante du salut éternel de nos
ames. La vie, nous ne l'expérimentons que
trop, fuit comme une ombre (Jon XIV, 2),
et l'éternité s'avance a grands pas; éternité
de bonheur ou éternité de malheur, d'après
l'usage que nons aurons fait du temps. Oui,
notre sanctitication et notre préparation au
ciel devraient étre le premier de nos soins;
puisqu'ü vrai dire lc salut est la settle chose
nécessaire (Luc. X, 42), it laquelle toutes les
autres doivent étre subordonnées. Et cepen
dant que voyons-nous de nos jours? Absor-
bés dans leurs affaires ou noyés dans leurs
jouissances, des chrétiens, hélas! en grand
nombre, perdent de vue. pendant des mois
et des années, leur destinée immortelle.
Quelle déplorable insouciance! Ft, toiitefois
le monde ne les dévoue pas; bien au con
traire, il applaudit i» leurs plaisirs et exalte
leurs succès. Constatons, N. T. G. F., dans
eet onbli de l'éternité, une grande faute
et un étrange malheur. L'on est bien prés
de perdre la Foi, lorsqu'on négligé d'y pen-
ser jamais.
Un malheur non moins grave et, chez les
personnes d'un certain rang, connexe avec
le premier, consistc dans l'omission de la
prière. L'on ne pense ni a Dieu, ni k l'é
ternité, ni son ame; et par conséquent on
ne prie pas. La prière cependant, e'est-è-
dire, l'élévation de l'esprit et du cceur vers
les régions supérieures, les protestations de
reconnaissance et d'amour, les expressions
de regret et de désir, adressées par la créa-
ture ii Dieu et ii ses Saints constituent l'une
des manifestations les plus immédiates de
la Foi; en même temps qu'elles en forment
l'aliment indispensable. Si bien qu'il n'est
point téméraire d'affirmer que lit oü l'on ne
prie plus,la Foi est éteinte;et quelle no jette
plus que de rares et faibles clartés, du mo
ment oü l'on oublie le chemin de l'Église et
les formules qu'on apprit bégayer sur les
genoux d'une tendre mère.
Ah! c'est ici, N. T. C. F., c'est ici que
Nous devrions sonner l'alarme et faire re-
tentir notrevoix, jusqu'au fonddes conscien
ces. Jeune bomme, ou qui que vous soyez,
qui ne priez plus, vous avez perdu ou vous
perdrez la Foi, et vous nevoussauverezpas.
Families, autrefois, sicbrétiennesetpartant
sibellesetsiheureures, mais oü hélas! la piété
acessé d'être entou,-éede respect, oü Ion rié
prie plus, vous verrez, avec la perte de la
Foi, tout vrai bonheur s'eloigner de vos toits,
et vos pluschères espérancesaboutiraux plus
amères déceptions. Ce que nous disons des
individus et des families, Nous n'hésitons
pas a le proclamer, au même titre, des na
tions et des états: malheur au peuple qui
ne prie plus, au peuple sans religion el sans
culte! llépouvantera le monde,par sesabais-
sements et ses désastres; et, au plus fort de
sou délire, il détruira le culte du seul vrai
Dieu et érigera sur ses ruines des autels aux
plus abjectes passions. Tel est, N. T. C. F.,
le témoignage de l'histoire.
II taut done que les peuples prient; qu'ils
aient leurs jours d'actions de graces, de pe
nitence et de supplications publiques; leurs
processions et leurs pèlerinages. Mais il est
plus indispensable encore que, dans les fa
milies, on restaure et mainlienne les prati
ques religieuses des siècles de Foi. Quelle
sourcedebénédirtionspourvous, N.T.G.F.,
et pour Nous quelle consolation si, partout
autour de vous, la Religion, cette base solide
des nations et des families, était enhonneur;
si vos habitations portaient, eommc au temps
de vos ancêtres, le noble cachet de la piété;
si enfin vos enfants et vos inférieurs, animés
par vos paroles et vos exemples, se mon-
traient lidèles leurs prières et pratiques
journalières de chrétiens! Ces avis que Nous
donnons aux families, Nous les adressons
plus spécialement encore aux individus, a
tous ceux qui out une ame a sauver: pensez
k Dieuquelquefois, remerciez-ledesesdons,
implorez son secours, priez en un mot; et. k
ce prix vous vous sentirez encouragés, sou-
ienus, éclairés pendant la vie, et pléins de
consolation et de confiance, ii l'beure de Ia
mort. A ce moment suprème, oü la vérité
s'impose aux regards de tous, justes et ré-
prouvés; tandis qne ceux-ci s'écrierontdans
leur désespoir: Nous nous sommes done
trompés! Nous avons méconnu les voies
du Seigneur, et la vie des justes nous a
paru une folie, insensés que nous étions
nous-mémes (Sad. V. 4, 6, 7); vous,
N.T. G. F.,vous pourrez dire avec l'Apótre:
J'ai vaillamment combattu, j'ai conserve
la Foi; il me veste a recevoir la couronne
qui m'est promise et que le juste Juge ne
manquera de me donner (2 Tim. IV, 7, 8).
Après la prière et la sollicitude constante
pour le salut éternel de nos ames, un des
fruits les plus préeieux de notre sainte Foi
est sans contredit l'intégrité et la pureté des
moeurs. C'est dans la Foi que la chaste
Susanne puisa sa force pour triompher des
promesses et des menaces de ses infamessé-
ducteurs: J'aime mieux, s'écria-t-elle, en-
courir innocente les effets de votre ven
geance, que de pécher sous le regard du
Seigneur (Dan. Xlll, 23). Oui, cette seule
pensee, Dieu me voit, produit I'effet d'nn
éclair et arrête le chrétien sur le bord de
l'abime. D'autres vérités encore lui viennent
en aide: le souvenir du jugement et de l'en-
fer, poui' l'empêcher de succomber, celui du
ciel, pour lui assurer la victoire,
Que si laFoiengendre et développe la pu
reté des moeurs, celles-ci leur tour réa-
gissent sur la Foi. Les bonnes moeurs en as-
surent la conservation et l'heureux accrois-
sement. Ob! que la Foi est facile, quelle est
douce et belle, pour les coeurs purs! Au lieu
que les mauvaises mceurs tendent sanscesse
en écarter la mémoire, en dissimuler les
terreurs, et poussent a en saper même la
certitude. Au témoignage de l'Esprit-Saint,
les deux vieillards n'en vinrent ii essayer
leur affreux projet contre Susanne qu'après
avoir d'abord etouffe leurs remurds, et dé-
tourné leurs yeux, afin de ne pas voir le ciel et
de ne pas se souvenir des justes jugements
(Dan. linn. 9) de Dieu. De manière que
les mauvaises moeurs sont. nécessairement
hostiles la Foi.
Avecquel soinpar conséquent, avec quelle
sollicitude constante, ne taut-il pas veiller
au maintien des bonnes moeurs? Indispen-
sables par elles-mêmes au bonheur des indi
vidus, des families et de la société, elles le
sont une fois de plus, raison des garanties
qu'elles apportenta laconservationdelaFoi.
Maishélas! cettesainte vigilance, cette sol
licitude chrétienne sont loin de se rencontrer
partout de nos jours. Et d'abord la jeunesse
chrétienne, cette portion choisie de l'Église
de Jésus-Christ, use-t-elle de prudence? Ne
la voit-on pas au contraire en grand nombre
s'abandonaer une curiosité rnalsaine et
courir au-devant de tous les danqers? Dan-
gors des lectures, dangers des liaisons, dan
gers des danses et des spectacles redevenus
payens, dangers de l'intempérance? Et les
parents et les maitres, veillent-ils tous sur
leurs enfants et leurs inférieurs, aiusi qu'il
couviendrait? Nousn'en disconvenonspoint;
notre époque, l'exercice de toute auLorité,
voir de l'autorité paternelle elle-même, de-
vient de jour en jour plus rude et plus pé-
nible. S'en suit-il qu'il faille se montrer
plus indulgent, user de connivence et auto-
riser de son propre exemple les impruden
ces, pour ne pas plus dire, de ceux que l'on
est appelé ii diriger dans la vie, et ii'con-
duire au ciel? Puissions-Nous, N. T. C. F„
Nous tromper! Mais ii voir lespiégestendus
aux mceurs, dans nos villes surtout, et l'ab-
sence de toute énergie de la part de beau-
coup de parents, comment pourrions-Nous
regarder l'avenir avec confiance.
II fut une nation, puissante et illustre
comme il ne s'en vit jamais, nation sainte-
ment fiére de sou titre de Fille ainéë de
l'Église. Or, il advint, par le plus étrange
des malheurs, que la Foi s'affaiblit chez ce
peuple et que l'impiété pénétra jusque 'dans
les campagnes. Plus de souci du salut éter
nel de son ame, plus de prières, plus de
moeurs. Mais a la place, des jonissances
sans nombre et sans nom, le dévergondage
des theatres, le libertinage impie des ro
mans et desjournaux, des danses véritable-
ment infames et le reste... Qu'arriva-t-il? La
guerre s'alluma; et ce peuple naguère in
vincible, qui escomptait d'avance le prix
de ses victoires, ne put tenir devant l'enne
mi; et refoulé ignominieusement sur lui-
même, il subit coup sur conp la honte dc
cent défaites; jusqu'a ce qu'enlin, tout brisé
et sanglant, il tomba k genoux devant son
superbe vainqueur.
Mais ce n'est point tout. Depuis lors ce
méme peuple s'épuise en efforts pour se
relever de sa chute. Mais tout est en vain,
II ne se relèvera que le jour oü les masses
feront retour la religion et aux moeurs.
Puisse, N. T. C. F., un si terrible exem
ple n'être point perdu pour nous. Puissent
les désastres de la France, qui d'ailleurs
nous est si chère tant de titres, nous éclai-
rer sur les malheurs qui nous menacent k
notre tour! Fntrons en nous-mêmes et re-
connaissonsnosimprudences et noserreurs.
Pendant le saint temps du Carême appli-
quons-nous revenir toute la vivacité de
notre Foi. Faisons pénitence, réformons
nos mceurs et. reprenons généreusement les
habitudes pieuses que nous avoris héritées
de nos ancêtres; nous souvenant que de
cette manière nous détournons de nos têtes
la colère du Ciel, en qu'en cherchantavant
tout le royaume de Dieu, nous serons cer
tains de recevoir tout le reste par surcroit.
(Matth. VI, 33).
ROME.
V'oici un extrait du discours adressé
par le Saint Pére aux représentants des
sociétés cal holiqnes de Home, réunie^
sous le litre de Federation Pie. La triste
situation de Rome s'y trouve exaclement
dépeinte:
Depuis cejour falal qui s'appelle le 20
Seplembre, sont entrés a Rome tous ces hor
ribles maux qui pésent aujourd'hui sur elle,
et que j'ai énumérés en d'autres circonslan-
ces. Je ne dirai pas qu'aulrefois, avant ce
jour déplorable, Rome fut un Eden. II y
avait aussi autrefois des péchés et des
pécheurs; mais on pouvait parcourir tran-
quillcment les rues, on pouvait célébrer
paeifiquement un concile, el de centaines
d'évêques pouvaient se réunir, étre conve-
nablement hébergés et se montrer dans les
rues, non-seulement sans étre insultés, mais
élant. au contraire, partout honorés et
vénérés.
C'est alors que le démon, en voyant
tant d'ordre et une aussi grande tranquillité,
poussé, comme autrefois, par un vif senti
ment de jalousie, enlra dans Rome pour
tout détruire, et y enlra par cette brêche
fatale que la violence de ses satellites a ou-
verte.
Rome, je Ie répèle, n'était pas tin Eden;
mais on n'y aurait jamais songé a profaner
publiquement le saint non de Dieu, ce nom
devant qui tout ploie le genou au Ciel, sur
la lerre et dans les enfers. Rome n'élail pas
tin Eden; mais on n'y aurait jamais songé a
envahir les églisps. a les dépouiller, a s'em-
parer des convents et a en chasser leurs pai-
sibles habitants, surtout tant de pauvres-
vierges. épouses de Jésus-Christ.
Rome n'éiait pas un Eden; mais on n'y
aurait jamais songé a envoyer des apötres
infernanx avec l'impie mission de corrompre
avec art et prémédilation la jeunesse par
une fausse instruction, dans le but de s'en
servir comme d'un levain infect, afin d'em-
porter la société tout entiére.
Non, Rome n'élail pas un Eden; mais
aucun Romain, aucun, n'aurait songé a in-
troduire dans le vaste amphilhéatre des Flavi
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Poperinghe-Ypres, 3-18,7-25,9-30,10-58,2-13,3-05,9-20 Ypres-Poperinghe, 6-50,9-07,12-08,3-57,6 80,8-45,9-50. Po-
pertnglie-Bazebrouck7 13, 12-23, 4-17, 7 13. Hazebroiick Poperinghe- Ypres, 8-38, 10 00, 4 10, 8-23.
Ipres-Haulers, 7-50, 12-23, 6-43. Kou Iers-Vpres, 9-23, 1-80, 7-80.
ItouIei's-Bruges8-43,11-34,1-13, (L. 5 36), 7-36, (9-38. Lichterv.) Lieliterv.- Thourout, 4-25 m. Bruges-/(outers, 8-23,
12-50, 3-13,6-42 Lichlervelde-CWrtrai, 5-28 m. Zedelgliem Thourout, 12 00.
Ypres-Courtrai, 5-34.9-49,11-18,2-33,5-25. Courirai.Ypres, 8-08.It-02,2-56,3-40.8-49.
i pres-7hourout. 7 13, 12 06, 6 20, (le Samedi a 3-30 du matin juMju'a Langhe-marck). Thourout- Ypres, 9-00, 1-18, 7 43,
(le Samedi a 6-20 du matin de Langhemarck a Ypres).
Comines-Warnêlon Le Touquet-Houplines-Armenlieres, 6 00. 11-30, 3-33, (les Merer. 8-40 m. 6-30 s.) Armentières-lloupli-
nes Le Iouquet-W:irnèton-Comines 7-40, 2-00, 4-48. (le Merer. 10 35 m. 8 00 s.) Comines-Warnêlon 8 40, m 9-3os. (la
Lundt 6 30 s.) Waniëton-Comines 5-3<>, 11-10, (le Lundi 6-50 s.)
Courtrai Kratjes, 8-08, 11-00, 12-35, (L. 8-13), 6-53. (9-00 s. (Lichter*.)— Bruges-CWrtrr/i, 8-25,12-50, 5-13, 6-42.
Bruges, Blankeuherghe, Heyst, (station) 7-30, 11 04, 2-50, 7-33. IJeyst, Blankenberghe, Btuges, 3-43, 8,30 11-30, 5-30,
Blankenberghe, Bruges, 6-10 8 35. 12-06.
Ingelmunster Deynr.e Grind. 3-15, 9-412-18. Ingelmunster-Det/nze, 4 50 2* el., 7-13. GandDey me-Ingelmunster, 6-58,
11-20, 4-39. Devnze Ingelmunster, 9-10 2'el, 8-20 s.
jngel mu nster-Tnseghem6-03, 12-10, 6-15. Anseghem-Ingelmunster, 7-42, 2-20, 7-43.
Ltehlervelde-Dim,ade Furnes et Dunkerke6-30, 9-10, 1-35, 7-54. Zht/iAerAe-Furnes-Dixmude et Lichtervelde, 6-33, 11 13
3-45,5-10.
Diimude-A'ieuport, 9-33, 2-20, 8-40. Nieuport-Dèrmurfe, 7-40. 10-43, 19-00, 4-25.
ihourout-Ostendsf. 4-50, 9-15, 1-50, 8-03. Oslcnde-77»ouro«l, 7-33, 10-10, 12 23, 6-13.
Selznele Eecloo, 9-05, 1-28, 8-23. Eecloo-Se/graete, 3-38, 10 15, 4-22.
Gand- Terweuzen, (station) 8-17, 12-15. 7,25 (porle d'Anvers) 8-30, 12-40. 7 43. Ternenzon-Grwd, 6-00, 10-30, 4 40.
Selzaete-LoA'erere, 9 04, 1-30, 8 30. (le Merer. 5-10 m.) Lokeren-SeAzaete, 6 00,10-25, 4 48. (le Mardi, 9,30.)
COB.B.BSP
COURTRAI, BRUXELLBS.
Courtrai dnp. 6.40 10,66 12,33 3,46 6.38.
13ruxelles arr. 9,20 1,36 2,26 6,06 9,16.
COUnTRAI, TOURNAILILLE.
Courtrai dep. 7 00 10,86 2,84 5,34 8,47.
Tournai arr. 7.51 11,47 3,48 6,29 9 41.
Lille 8.33 11,83 4,00 0,32 9,53.
CÜUHTRM, GAND.
Courtrai dép. 6.42 12.31 3,47 6,40.
Gand arr. 8,01 1,32 5,03 7,36.
BRUGES, GAND, BRUXELLES.
Binges dig). 6,49 exp. 12.39 3'34 exp. 6,43
Gand arr. 7,34 1,54 4,19 7,38
Bruxelles 8,30 4,03 5,26 9,31
ONDANC
Bruxelles dep.
Courirai arr.
Lille dep.
Tournai arr.
Coutlrai
us.
BRUXELLES, COURTRAI.
5.22 8,28 12,21 8,33 6,47.
5,00 10,43 2,41 7,33 8,44.
LILLE, TOURNAI, COURTRAI.
5,20 8,23 11,05 2,82
5,43 8,86 11,34 2,47
6,37 9.47 12,26 3,42
5,20.
5,39.
6,36.
Gand dép.
Courirai arr.
Bruxelles dép
Gand arr.
Bruges
GAND, COURTRAI.
5,38 9,39 1,28
6,57 10,32 2,49
7,21.
8,42.
4,24
3,81
BRUXELLES, GAND, BRUGES.
8,14 11,33 3,12
6,00 9.41 1 23 4,26 exp.
7,15 10,34 2,38 5,11
6,37.
7,22.
PRÉLAT DOMEST1QUE DE S. S. PIE IX ET ÉVÊQUE
ASSISTANT AU TRÓNK PONTIFICAL,
Cl