HOFSTEDEKEN, WOONHUIS, NOTA nis C GEZAAGD HOUT, grades dont d'autres foul en vain Ie relet) tis- sant étalage. Cest que, qnand ilsagil <'e eelle chose si grande pi si sairile de I'rducaiiori, toute la blague du monde n'csl qu'un pauvre moyen de persuasion el que les parents voni it'in* stincl jusqu'au fond des chose?. Lo nombre de ceux qui vendom les aims de leers en- fants esl heureuseineni tré? l«-ené. Oela seel sufiit pour e.\pliqner l ecrio nie supóriorité numérique des écoles cailmliq ies de notre province sur les éiablisseuicnts rivntix qui mangent au ralelier du budget. Nous avons recueilli en courant qnelques renseignemerits sur les treuse institutions d'enseignement moyen relevant de révèclié de Bruges et nous pouvons affirmer que jamais leur situaiion n'a été aussi florissante. II y pleui des éléves. La plupart de ees iifai- soiis soul devenues trop élroites pour com lenir la jeunesse qui s'v préeipite et va de- mandor u ces mail res tant décriés Ie pain de ('intelligence et Ie lail de la pure doctrine. Beaueoup de libéraiix, inconséquents avee eux-tnèmes, confienl leurs enfants a ces mains ipi'on leur dit si suspecies. et, vrai- ment, ils ne s'eu repen tent point, lis ne veuleut pas menie croire que ees écoles soient des ofiicines d'ignoranee, et, plus justes que certames administrations commu- nales porlant lelicoti du libéralisme, ilsesti- inent que Ie résultat des concours offleiels décerne de beaux brevets aux colléges épiscopaux. Le résultat de ces concours scmble même un peu gênant, el Ton éprouve. en cerlaines regions. Ie hesom de piper les statisliques pour leur faire dire d'nssez étranges choses. On nous assure même que certain président (bun jury ayanl adonner ia moyenneobtcmie par les divers colléges dunt les éléves avaient passé sur la bascule du gradual, s'cst tro.uvé lellemwit effrayé do son premier cal- cul, qu'il en a immediatemenl baclé un autre aboulissant a des résulials tolalcineni ddTé- renis. Ce que c'est, pourlanl, que la stalisli- que! Quoi qu'il en soil, on a beau dire et répéter que les professeurs des colléges épiscopaux sont des ignorants, ne portant aucun diplome dans leur poche, et que les mailres officiels out setils toutc aptitude et tout savoir, avec uri parchemin qui en fait foi, le bon sens pour le vulgaire et, a plus forte raison, rintelligence et le cceur des péres de familie savent donner a chacun la part qui lui convient. Franc de Bruges.) LR HASARD LIBERAL A ANVERS. Le basard. aveugle et impartial, a preside bier soir an lirage pour ia sortie dc trois échevinset de douze conseillers communaux. A eelte loterie, les Gueux onl gagné Ie quine. Bien des gens avaienl prévn el prcdit que ce bonbeur leur éclierrait. Le 20 Sepiembre dernier, une feuille heb- domadaire flamande, hel Rechtpubliail: Au moment de metlresous presse, nous recevons communication d'un avis en verin duqiiel radiriinislralion communale aura a s'occuper du remplacement des membres dont les noms suivcnl. Cel avis mérite loule créance, puisqu'il émane de W. Léop. De Wael lui-inème: MM. Kreglinaer Van Hengel lJece^es* Van Rul Van den Bogaert démissionnaires. Nyssens Bobyns Beyniers-Vrancken ne veulent plus De Beunie i resler. Slaets Nous répélons que nous garantissons la Ces lignes avaient fortement intrigué les lecteurs du Recht. On se demandait dans quel but M. de AVael avail dressé la nomen clature des membres décédés, des membres démissionnaires el des membres désireux de se retirer? M. De Wael voulaii-il demonteer a son con soil qu'il elail nécessaire tie faire mimédiate- iikuiI appel au corps electoral"/ On sayail que M. De Wael lui-niéme craignait plus que personne de provoquer le verdict tie l'opi- iiioii publique. M. Dc Wael connaissait trop bini l'arrière deception pruduite, au seiri de la population anversoise, par sa fallacieu'se promesse du 2 Sepiembre 1S72 de soumellre tons les projels et tons les acics de son ad ministration an plus large controle. Avant le lirage d'lner an soir, le hasard, aveugle et impartial, semble avoir. Iuf aussi, recu communication de l'avis publié par le Recht. Sauf un sent nom, en efïet, le basard, aveugle et impartial, s'esl conforme de point en point aux indications émanécs du cabinet du bourgmestre. II a indiipje pour la sortie: MM. K reel in iter j. - 11 deeei es. v an Hengel Van l'uI i Van den Bogaert démissionnaires. Nyssens Reyniers-Vrancken De Beun,e 1 6'" nP vfi,,lenl Siaets rester. M. Robyns, seul, n'a pas été désigné par le sort. Ce conseiller avail-il change d'avis et prié le hasard, aveugle el impartial, de I'épargner, bier au soli? Quant aux éclievins, le hasard. aveugle el impartial, s'esl montré lout aussi intelligent. II a laissé an fond de I'urne le nom de M. Jacuues Cuylils, Ie chef des doctrinaires, et celui de M. Ferdinand Van der Taeien, le roi <le^ Gueux. Parconlre. il a habilement sacri- lié M. Gits aux rancunes de M. Cuylits. fati gue de manier la férule sans parvetwT a cor- riger I'enfant terrible. De par le sort, aveugle et impartial, la population anversoise n'aura pas a renouve- ler en Oilobre 1873 la majoriiédu conseil communal. Un seul des noms mentionnes dans l'avis de M. De Wael n'est pas sorti de I'urne et M. Robyns est assez'dévoué a son parti pour corriger par la conservation dé son mandat, la seule distraction qu'ait eue le basard. Nous disions hier: Au lirage qui aura lieu, ce soir, nul autre que les membres du conseil ne pourra verifier ni les noms qui scroti I mis dans I'urne ni ceux qui en sorti- ront. Dans ces conditions, M. De Wael doit desirer moins que personne de voir son parti gagner un quine a la loierie. Le quine a été gagné? E&eaut LE MIRACLE D'ANVERS. Sons ce litre, un des abonnes de I ''Exeunt ad rosse a ce journal le* lignes liiujionsliques que voici: Le Lundi 3 Oclobre 1874-, a 8 lie,ires 12 minutes du soir, s'cst passé dans une des sa lies de I Hotel-de-\'i lie dAnvcrs, en pré- sence d un grand nombre de bourgeois, un de ces fails extraordingires, mexplicables, qui renversent et confondeni toules les lois de la nature et que pour ce motif Ron range commiiiiément dans la categorie dos mira cles. Le fail dot)t il sagit porie dés aujoitr- d'bui le nom de miragi.e d'anveks. Les amiales anvérsoises on racouteronl un jour les détails pour qu'ils passent aux generations futures; a défaul même d'bistq- rien, la tradition les conserverail, les péres ne pouvant manquer de les raconter a leurs enfants. Voici les premiers détails qui sont con- nus au sujet de cone prodigieuse affaire, nous réservatil de les completer on rectifier dés que l'enquèle officielle aura paru. Cétait au joursusdii; lesiiilusires étaient réunis au nombre de 24. La salie du Con seil, faiblement éclairée par des quinquets, présenlait un aspect sombre, singulier; le silence le plus profond y régnail, on sentait qu il v avail dans l'air ce je ne sais quoi de calme et de mystérieux qui précéde les o ra ges et les bouleversements de la nature. Les illuslros eux-tnèmes, l'air grave, avaienl comme le pressentiment des faits étonnants qui allaient se produire et dont ils allaient ètre les beureux témoins. Tout a coup le chef des sages se léve et d'une voix solennelle et émue annonce qu'on va tirer au soi t les quinze membres dont le mandat expire Raooée prochaine. Les manches retroussées, la tète tournée vers le ciel, les regards visiblement inspires comme un devin des temps anciensle grand-prêtre plonge les doigts dans le bocal dc verre. O Rrodige! Miracle, qu'arrive- t-il? Les fieuf premiers noms qui sortent sont précisément ceux de trois mombres démis sionnaires, de deux qui sont morts et de quatreaulres qui a aucun prix «e voulaient plus resler. II faut avoir été présent a cette scéue pour pouvoir s'en rendre compte. On aurait enlehati courir une souris dans cctie salie oü se trouvaient deux cents personne?; chacun relenait son haleine, l'effroi, le saisissement étaient points sur tons les visages; seul l'il lustre chef des"sages, calme mais pale com me une ombre qui revient d'un autre mon de, ne perdait pas son sang froid; chaque nom élait proclamé avec cette gravité solen nelle que lout le monde admire en lui. A 8 lieu res 23 minutes chacun se ret i- rail; le bruit de ces fails extraordinaires se répandit aussitöl en vil Ie par les mille voix de la renommee et pehdant toute la soirée, dans les families, dans les theatres, dans les élablissemenls publics, on ne s'entretenail ()ue du MIRACLE n'.A.NVERS. d Le intrude (ÏAneers vient d'avoir un pendant. Voici, en efl'et, ce que Pon écrit de Verviers a un journal doctrinaire: Le lirage au sort pour la première série des conseillers communaux, sortanl au lr Janvier 1876, a été trés-favorable aux libé- raux. Om été tlesignés par Ie sort: MM. M Ollendorff, ëchevm, et Augusle Peltzer, représentant, dont la réélection est certaine; ensuile MM'. Rirenne, echevin, Melen et Tas- té, qui avaient été élus comme progressisles en 1872, mais quine se sont jamais séparés de la majorité libérale, enfin MM. Duesberg Llosson, Rollet, Feltweis, Joseph de Biolley, Dubois, cinq cat hol iq ues sur sep.t qui sont au conseil. Aux élections d'Octobre 1873, le parti liberal, a Verviers, n'aura done rien a per- dre, mais aura plusieurs voix a gagner. Cing culholi'juex sur sept, soumis a réé lection, vraiment, nos adversaires jouent de bonbeur! Et tout cela c'est Reflet du hasard! C'esl le cas, pour eux, de changer le vers de Malberbe et de s'écrier: NOMINATIONS ECCLÉSIASTIQUES. Mgr REveqnede Bruges a nommé cure a St Jacobscapellè, M. Staes, directeur des Pau lines, a Courtrai, en renqilacemenl de M. Van K.eable, qui a donné sa démision. Sa Grandeur a nommé coadjuleur de M. le cure de Mouscron, M. De Cock, prol'esseur au college de Thiell. dki'oni«iue locale* RÉFLÉCHISSEZ. Le ministrc de Rinslruction publique disait dans I'Assemblee nationale de France en 1830, a I occasion dc la loi sur RmslrucCion publique: «La loi est absolument néces saire; dans chaque département on irouve un certain nombre d'iusiimieiirs, qai don- nenl l'exeinple le plus scandaletix, qui se montretii audaciëusemenl les apótres du socialisme, On sail,d'aprés d'autres declarations falies dans la méme assemblee, que plus de la tnoiiié de> instilureurs étaieni plus ou inoins uribus de cette désolanie doctrine. En 1840, sur 27.000 insliluleurs. 18.000 avaienl été l'objel de plaintos de Rauto: ile el 1,200 avaient subi des punilions. Le ministre de Rinslruction déclarail en core que la société était livrée a ses enne- mis, et elle le sera, disait-il, aussi longtemps que ceux qui sont chargés de I education des enfants, pourront impunéinenl réparidre le poison du socialisme. La corVespondance d'un grand nombre d'instituteurs de deux départemenls contienl des choses que je ne puis faire connailre ici, dit le ministro, puisque l'auditeur francais veut ètre respeclé. Seulemenl.je cilerai Ie jugement qu'en porie un inspecteur, qui s'exprime ainsi: Daus ces lettres (desinsli luleurs) l'ingratilade envers les personnes s'allie avec le mépris des choses les plus saintesl'exaltation politique y est poussée jusqu'uux derniéres limites et ne le cède qu'au cynisme des rnoeurs. Dans vingt ans, les jeunes gens pervertis aüjourd'hui par ces funestes influences porleront le trouble dans les families et se ferout les enne/nis de Cordre sociul de leur pays! Ces derniéres paroles, qui furent recueil- lies en 1830 par plusieurs journaux francais et étrangers, entre autres par une feuille allemande, la Gazette d'Ausbourg1830, ii" 1G. sont comme une prédiction officielle, a date fixe, des terribles événements qui out désolé la capitale de la France et épouvanté tous les pays, ou les causes de ces efl'roya- bles excés se maiüfestenl et ne trouvenl mal- heureusement que trop de partisans. L'instruction sécularisée ou sans Dieu ne peut aboulir a d'autres résultats. PIiitarqne lui-mème, tout païen qu'il était, a reconnu entte vériié. lorsqu'il n dit: II serail plus facile de balir une tnaisori dans l'air que de fonder un Etat sans religion. MM Cl). Vandewoude, cultivaleur, Caesker- ke. P. Doutrelingne, brasseur, Courtrai. F. Rabau, marchand, Ypres. B" G. DeNégri, propriétaire. Oostoamp. Cl). De Grave, propriétaire, Furnes. A. De Poch, ingénieur, Ypres. E. Minne, propriétaire, Denterghem. B" W. De 'T Serclaes, propr., Moer- kerke. L. Grossé, fils, marchand, Bruges. A. Verschave, Brasseur, Ypres. L. Maes. entrepreneur, Ménin. A. Callewaert, marchand, Courtrai. E. Serruvs. marchand, Bruges. V. Biebuyck, marchand. Bruges. A. llnrrcboudt, sauuier, Bruges. H. Eraeys, nota ire, id. Ch. Van dc Wa I le, propr., id. G. Soenens, avocat, id. Des plaintes trés-vives et qui nous pnrais- sent trés justifiées s'élèvent dn toules paris contre le prix êlevédu pain. D'urant l'hivnr une difference très-considérable a été main tenee enlre le prix du pain a Ypres el le prix du méme pain a Roperinghe. Les boulangers d'Vpresont abic- de la liberlé de la BouJan- gerie qui leur a été lihéralement oclrovée. Aujoiird'hui, cel te exagération du prix con tinue, sur le pain de qualité inférieure pesanl un kilo, on constate tine difference d'un sou. On nous cite néanmoins deux boulangers d'Yprcsqui font lionorablement exception et qui livrent leur pain a 23 on 26 centimes, tandis que las autres eontinuent a coter leur pain a 29 centimes. La responsabililé de l'aulórité communale, qui a décrélé la liberlé de la Boulangerie, est ici trés-grande. L'expérience semble décisi- ve, et la taxe nous parail rendue nécessaire par I'abus general de la liberlé. Hier, vers une heure, une maison siluée rue ties Bouchers et dont on voulait renouve- ler la facade s'est complélement effondrée. Heureusement les ouvriers n'éiaient pas en core retournés a I'ouvrage. Qnelques minu tes plus lard, et on eiit probablement eu a déplorer la mort de plusieurs. La maison altenante, privée de sesappuis, menace éga- lement ruine: la Police Ra fait évacueren toute hale. La circulation des voitures est provisoiremenl suspendue a cet endroit, de peur que I'ebranlement du sol ne determine une nouvelle catastrophe. Nous lisotis dans le Journal de Courtrai les lignes suivantes qui reeommandent bien juslemenl un de nos artistes yprois: M. Van Ketnmel, Charles, tl'Vpres, déja si lavorablement connu el apprecié des con- naisseurs el dont les ceuVresonl figure avec lionneur a I Exposition universelle de Vienne, a envoye au Salon de notre ville des tableaux de grand menle. Un coin de rue en Flandre, Intérieur. La M. Leopold Biesxval-Bril, conseiller pro vincial a Furnes, vient d'"ètre l'objel d'une flatteuse distinction de la part du Souverain Pontile; S. S. Pie IX a conféré a Réminem cathohqiie !a croix de I ordre de St Gréguire- le-Grand. MM. Mnmet-De Pacblere, fabricant, Bruges. Ch. Van Nieuwenliuyse, propr., Barle- heke. J .MaciTens.consei Her communal .Bruges. Deblerck-Vunhaverbeke, lanneur, Ise- ghem. P. Janssens. marchand, Courirai. Van Kerscbaever Claeys, brasseur, Lis- scweglie. Ch. Willemyns. louageur, Ostende. J. Goeihals, échevin, Meulebeke. J. Van Nieuwenliuyse, conseiller com munal, Harlebeke. C. Dhondt, conseillercommunal. Menin. E. Labbée, pensionnéde I'Etat, Bruges. E. Goeihals, rentier, Courtrai. A. Donny, fabricant, St-André. A. Vercruysse, marchand, Courtrai J. Ketels, entrepreneur, Bruges. FAITS D1VFRS. KANTOOR VAN 1)EN te Walen. Op MAANDAG 12 OCTOBER 1874, om 2 uien namiddag, te Watoa plaats VERKOOP1NG VAN dienstig voor alle werken. 9» Op DIJSSENDAG J3 OCTOBER, 3 uren namiddag le Proven, ter her berg IIcl Jlaintje, VERKOOPING inhoudende:' 1 hectare 4 aren 30 centiaren, gebruikt geweest door sieur Carolus Garmyn. Aanslag met de geldlelling. 3" Op DONDERDAG 15 OCTOBER, om A uren namiddag, ter herberg van Deseut'e-Pafei/e, OVERSLAG te Watou-JkJicele* gebruikt door dc weduwe Lebbe. 4° Op MAANDAG 26 OCTOBER, ten 3 uren namiddag, ter herberg en Constantinople une belle position couime,rciale. et ue s'oeeupa plus que de fonder un corps de volon taires qti'il recruta paimi nos compalriotes qui se trouvaient en (Jrieiil. Des Grecs et des Ainéuiens, qui avaienl conserve leur affection a la France, nialgré les failles et les injustices que l'empire avail pu coiomcttre envers eux, s'enrolèrent dans la légfon de Chenet. Ce ni.ignifique bataillon de la Guerilla d'Orient, compose de six a sept cents homines, admirable- men t équipes, débarqua a Marseille." Il était coin mandé par des officiers dool l'arme principale n'était pas mie épée de parade, mais une excellente carabine. Quand M. Chenet arriva ii Marseille. Irs capilai- nesau long cours de cette vil le. n'ayani pu ohlenir du gouvernement l'aulorisation de s'anner en corsaires, ui même de prendre des engagements dans la marine nationale, deinaridèrenl au colonel la permission de faire partie de sa Guerilla. Le colonel accepta avec lecounaissance l'offre qui lui élait fade. Quiuze 011 vingt capilaiaes longs coin i iers, plus les pilotrs marseillais, se mircnl a srs ordres et forinèrcnl un peloton sacré, qm devait servir d éclaireurs au bataillon de la Guerilla d Orient. Fels sunt les hommes que Irs garibaldiens taxè. rent de lacheié. oui, ils eurenl cette audaee, ces italiens fanfaruns. ces soldals d'opéra comique, qui, a Autun, se cachaient derrière nos mobiles', en leur criant: Lx avanti, ajobili! A COXTUtUER. PARFAITS KXACTITUDE DE LA COMMUNIQATION. Le sort a des faveurs a iiuile autre parallen! JU11 ÉS Sl'Pl'LÉME.NTAIRES LESSIVE PERDUE el LE MARCHAND DE BRIO A 1SRAC, uctpus par M. Lapierre, d'Ypres, sont des compositions qui annoncent chez cepeinire un grand talent et des qualilés retnarquables, aussi les ouvrages décel artiste sont Dien admirés au Salon de Courtrai. Lisle des jurés de la D" série de la 4" ses sum de 1874, de la cour diussises de lu I'ltrudre occidentaledont Couverture aura lieu le 2 Novemhresous Ia prést- dence du conseiller Lef'ebore. JURÉS TITULAIRES. Lc pèlerinage de Hal a eu lieu Dimanche. On évaluc a plus de üO.uOO le nombre des pèlerins qui y out pns pail. C'Otait un spectacle viaunent édi- fi.uit. Mgr Rarchevèque de Malines a procédé lui- niême au couroiineinenl dc Notre Dame de Hal. L'illuslie prélat a pronoucé ii ce sujet une admirable allocution. La \oix de i eminent oraieur a élé couverle, de vivals prolongés en Rbotinenr de Nolre- Daine de Hal et «.Its Pie IX. Ceite manil'esiaiion relig-ieuse prouve que la cause de la P .pauté nu fail que gagner cliaque jour da- vantage en sympathies et en respect dans nolle callmlique Bel«ique. Des télégramuies ont été adressés a Rome pour iriloriner Ie Sainl-Pèro de i'eulliousiasme qui s'es^ emparé de la foule des pèlérins lorsque le nom du Père commun des fldèles fut cité par le pmnat de Belgique. Un effet d'arnge. Pendant le fort orage de la nuil de Dimanche a Lundi, une boriue f/iuieiin qui couchaii dans la Chambre comigue a t*;lle oil dormaient trois de ses petits enfants', fut éveillée par le Iracas du lunnerre, se mil sur son séant ei pria. I.es éclairs il umlnèreni sa chambre et son esprit; a leur clartc, elle se leva et prit sur sa commode une bouieille et line branche de buis. 1 remblante, elle se. dirigea vers eux pour leur donner sa bénédiction, afin de les préserver de la foudre. F.lle aspergea les pelils dormeurs, puis s'en relourna se coucber. L'orage passa ei la nuit aussi; le malin, les trois pelils marmots firenl irruption diet bonne mannin; elle jeia iki cri feur apparition: elle avail devant elle trois pelils diablolins, noirs comme de l'encre. Elail ce un.effel de l'orage? Le papa fut appelé, la mère arriva en même temps, Tous étaient ébybis, sauf les bambins. Le premier moment passé, on se mil a la recherche de la cause de cette metamorpho se, el elle fut bientót découverte: pendanl la nuil, bonne maman, se Irompanl de bouieille, avail lou( bonnemenl -aspergé ses mignons avec de l'encre au lieu d'eau bénile. Une dame libérale. La semnine dernière dans im des principaux hotels de la rue de Nainur, a Louvain, se irouvait réunie, a la table d'hote, une nombreuse soeiété. G est le Mercredi des Qualre-Tenvps Le diner comprenait, comme d'babuude en pa red jour, des pluis in ligrês el des mels gras. Le gaiJCon, qui eoiinait sou monde, savail a peu prés quels étaient les habitués du maigre. l'arim les convives se trouvait une dame. F.lle icnaii a la main la Gazellejournal gras Nqnohsianl, le gaicun crul devoir la ranger duns la caiégorie des maigres. II lui présent» done Ie plat de poisson. Mal lui en prit Car a cetle viae, ia Viseuse de la i Gazelle s'écria avee un (énergie touie virile: Mui! Jo ne fais pas maigre! Tout le monde fut ébalii, mais l'éionnement eessa bienlól. quand Ron sut que la dame était la Directri ce de l'ecole moyenne pour füles, créée par I'admi nistration libérale. allerhande Vuil til', TE PltOVEN, van een

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1874 | | pagina 2