BOOMEN REVALENTA ARABICA ORMES, EEN HUIS SANTÉ ATOUS NOTARIS CAP ELLE, ESSCHEN, FYNE IEPEN, HOFSTEDEKEN, CHARPENTIER - MENUISIER. STOELRECHTEN PEUPLIERS Dü CANADA, OVERSLAG, permanente du conseil provincial de la Flandre occidentale et d'après lequel les subsides indiqués ci-aprés sont accordés, sur les fonds du trésor, aux communes dont les noms suivent, pour Texécution des travaux d'assanissement. Boesinghe, 200. Ypres, 1,000. Wervicq, '320. Gheluvelt, 333. Vla- merlinghe, 27-73. Passchendaele, 300. Zonnebeke.301-25, V?oormezeele, 342. Kemmel, 300. Westoutre, 200. Hn procés curieux a failli se plaider a Liéire. Mademoiselle ou mesdemoiselles Mil lie Christine, (la femme a deux lêtes) a ou out eu des difficullés assez graves avec Ie directeur du Cirque américain. II s'agissait, narait-il, du chiffre des appointemenls qui se monlenl a 2,300 fr. par semaine Celte ou ces demoisselles d'hnmeur fort progressive, semble-t-il, s'est ou se sont rendues chez un honorable avoué de cetle ville pour Ie charger de 1'atïaire. Requète au président a été rédigée, séance tenante, el ces dames, car elles sont décidé- ment deux en une seule, out appose chacune leur signature au bas du papier timbre. L'une a signé Millie Schmidt, puis elle s'est relour- née el a passé la plume a I autre, qui a Signé Christine Schmidt. Lfa(faires'est arrangée el n'a pas eu de suite. C'esl égal, il eut été curieux d'enteudre un avocal prendre la parole an nom deceite eliente. C'est alors qu'il aurait pu dire avec raisou en employanl le pluriel, Om, mes sieurs, nous avious étéengagées par Ie direc teur américain. chaque soir nous paratssions en public, etc. SOCIÉTÉ DE LA. CONCORDE. Programme des moreeaux qui seront exéculés, le Jeudi 12 Novembre 1874. a 7 1/2 heures, par la Musique du 1' Regiment deligne, sous la direction de M. Ch. Simar. Obéron, ouverture, (Weber). Thème et variations pour clarinette, (Rohr). Nini, valse N" 3, (Jnlieh Simar). L'Afri- caine, fanlaisie, (arr. Ch. Simar). L'Aris- tocrale, polka pour piston, (Arban). F AITS DIVERS. Verpachting GUÉRIS0N DU CANCER, ST-IYIAARTENS KERK, binnen Ypre. MAENDAG, 30 NOVEMBER 1874, om 2 uren namiddag, in eene der zalen van de grootè Sacristie der gemelde kerk; ingevolge de voor waarden berustende ten kantoore van den Notaris Tanilenueerseli, binnen Ypre. KANTOOR VAN DEN te Wilton. Op IVfaamlas; 93 Vovt-ii!- lier flM-t, om '1 ure na middag, te Crombeke, ter scbaapbofstcde be woond door de weduwe van den lieer Deblock, VER KOOP! NG VAN 54 koenen ALLER ILVNDL BOOM EN. Om. verdere inlichtingen zich ie begeven bij voornoemden Notaris CAPELLË. Ruchtbaarheid. Etude de M' LANNOY, NOTAIRE, 4° JEUDI 42 NOVEMRRE 1874, a midi précis, A V O YB IV KS. 4° Prés de la ferme Collie-II ttyghe, 2° Prés de la ferme Mafiieu- Veys. aux chemins de Messines. 81) marches ile tres - lieaiiv A VENDRE. 2° LUNDI 16 NOVEMBRE 4874, a midi précis, dans les vergers de la fcrme-cabarét St-Ivon, a Warnéton. VEN TE PUB LI QUE propresa lacharpente, la menuiscrie, le charronnage et autres usages. 3° MARDI 4 DÉCEMBRE 1874, (St-Eloi), a 44 lieu res du matin. A. a la ferme occupée par les en- fan ts B. Six. B. a cel le occupée par Constant Becquart a Comines-tert-Briclen. Venïe publique BOIS-BLANCS PEUPLIERS DU CANADA, dont plusieurs ont 2 7« metres de pourtour. 4° MARDI 8 DÉCEMBRE 4874, (Conception), a 4 4 beures du matin. A. Dans un verger prés la ferme Debruyn prés de la chapelle d'Epiiics a Comines-ten-Brielen. B. Dans un bois prés du Rossignol, section Cruyseekc. Vente publique PEUPLIERS DU CANADA, Chénes, Ghêneaux et Plancons. STUDIE Votarfs 9IAIIIEt> te Ypre. DONDERDAG 49 NOVEMBER 4874, 's middags te beginnen, OPENBARE VERKOOPING 63 koopen EN 1 SCHOONEN E1K, staende op d'hofstede-landcn gebruikt door Morrent te Boesinghe, west aen den steenweg van Ypre naer Pilkem. 8 maenden tyd van betaling.mits borg. STUDIËN van de Notarissen STEVERLYNCK EN WAUTERS, te Dixniude. DIJNSDAG 47 NOVEMBER 4874, 2 '/a ure juist namiddag, te Dix- mude, groot Sint Joorishof, van 11. 48, 99, 77 C. Landen en Weiden te Clercken, waaronder eene Schaap- hofstede met II. 30, 57, 60 C. en 4 Woonhuizen met Erf. Ingesteld frs. 440,050,00. II. 4, 06, 07 C. Land en Maaigras te Wou men Ingesteld frs. 5,600,»» II. 0. 85, 70 C. Weide te Lamper- nisse. Ingesteld frs. 4.500,»» Een Woonhuis en welgckalante Polfebakkerij te Thourout met IL 0, 32, 79 C. Erf Ingesteld frs. 20,000,»» II. 4, 40, 90 C. Zaailand ook te Thourout. Ingesteld frs. 3,400, II. 2. 95, 49 C. Zaailand, Weide en llovenierhof te Adinkerkc. Ingesteld frs. 4 3.000,»» Een Woonhuis te Dixmude, in de Beerststraat en II. 0, 01, 63 C. Erf. Ingesteld frs. 7.200,»» Een ideip te Dixmude, in de Beerst straat, en II. 0, 04, 4 5 G. Erf. Ingesteld frs. 6,400,»» Een idem te Dixmude, in de Beerst straat en H, 0, 0435 C. Erf. Ingesteld frs. 10,500,»» Y e r k o o p i ii g e ii EN B0SCHTAILLIE, MAANDAG 46" NOVEMBER 4874, om 12 uren middag, op bet hofste deken gebruikt door de weduwe Per- soone. gelegen te Woesten, wat oost van de plaals, 65 koopen; sclioone Iepen, Abcelen, Popelieren en Eiken Boomen. EN DINSDAG 47" NOVEMBER, om 41 uren voormiddag, op de hof stedekens respect) vel ijk gebruikt door A mand Debeer en de weduwe Van acker, gelegen te Reningbe, langs de Pershofstraat, 94 koopen sclioone harde en zachte Iepen, Wilgen, Esschen, Abcelen, Kar nen, Popelieren en Eiken Boomen, waaronder een allerschoonste]) EIK van 3 meters 55 centimeters omtrek. On middel ijk daerna tic Taillie met de Plantsoenen, staande o[) eene par- tie bosclideelmakende van laatstge meld hofstedeken. Al door het ambt van den Notaris VAiÜDERMEERSCH, le Ypre. 3 ure na middag, ter lierberg-brou- werij de Rhetorica, te Alveringliem, openbare verkooping A. GOED EN'' WEL GELEGEN met, 2 hectaren 98 aren 10 centiaren Ervëte Alveringiiem, tussfchen de plaats en Eorthcm. Terstond aanslag. B. PARTIE ZAAILAND, bij de Iloogestraat, te Alveringliem, groot 94 aren 60 centiaren. Aan stonds aanslag. C. WOONHUIS, van 2 stagien met 2 aren 27 centia ren Erve, ter dorpplaats-Nieuwstraat, le Alveringliem. Terstond aanslag. D- Wel bebouwd en beplant HOFSTEDEKEN, met, 3 hectaren 51 aren 66 cenliaren Erve, te Steenkeiike, gebruikt door Leopold Ghyselen, mits 400 fr. 's jaars tot 1 October 1876. En E. Eene goede VET WEIDE, groot 2 hectaren 57aren 90centiaren, gelegen te Wulveringlicmin den Oerenbroük. Aanstonds aanslag. En 2" DIJNSDAG 4 DECEMBER 1874, om 1 ure na middag, vend it ie ter hofstede van Charles Luyssen, en op eene part ie land daarbij, te Alverin gliem, niet verre van den klarcnwal, van 72 koopen sclioone Abcelen, Olmen, Wilgenen Eiken «OO.YUA. DÉPOT: D'HUITRES ANGLAISES, to ns les jo urs frais d'Ostende. lIoniiii'iiM, 'Fiirholii, Siiiiiiuiii et tout autre Poisson frais po.ur diners. CHEZ LA V M E 8 A IN I MARCHÉ AU POISSON, YPRES. Studie van den NOTARIS SIMPELAERE, te Alverinifhem. 4" VRIJDAG 20 NOVEMBER 4 874, om ÖEMLAYIIE S'adresser au bureau du Journal. UIT DER HAND TE KOOPEN: niet EHF, IIOF en IL»««Ï8Ï,T, gelegen te HONDSCHOTE. Zich te bevragen by den drukker dezer. Dp puis quolque temps les gardes convois sonl munis, en temps de service, d une petite lenteine qui leur permel de circuler avec plus de surelé sur les in arctic pietis et de conti ó*cr convenablemenl les coupons. Corlames personnes émcttenl l'ulée que les fac teurs de la (Kiste (K»urraient aussi êlre pourvtis de sémblahles lanternes qui leur seraienl de la plus giainie uiilité pendant la distribution du soil', car its n'oril pas toujours un réverbère a proxitnilé de la porie des maisons oü ils doivenl faire la remise des dépêches. On écrit de Bordeaux au Journal des Dkbats. (i Ces vendages bordelaises sont terminées. La ctieilletle cl les écoulages ont duré six semaines. Ce temps a suffi pour metife en harrique 800,000 hec- tolures de vul. L armee I870 fournit par ce cluffre uo excédent de 00 sur les récolles moyennes de la eoitlrée. L'énorme quuntité de vin actuellement répariie dans l#s cliais suffirait a alimenter un canal cieusé a travers le Medoc. Un incident est venu, a l'audience du tribuna correctiounel de Mons, déiider le front sévère de Tliétnis. Un témoin, habitant de Quiregnon, venait de prêler serment, el conune il conservait la main levée, M. le président l'invita a la baisser Le Borain comprend qu'il s'agit de baiser sa main, il s'exécute et uii gros baiser retentit a la grande I) i la rité de l'uudi'oire, hilarité a laqtielie le tribunal lui tnême ne peut se souslraire. El cela se coucoit facilement Les ruraux out souvent l'expression pittores- que. A l'époque ou M. Dupin se présentaita la deputa tion dans son département, un brave paysan. qui toujours avail voté pour lui, dépusa dans l'urne un bulletin pour son adversaire. Pourquoi diable avez-vous cliangé d'idée? lui demandait on. Ah! je vais vous dire, répondi'i-il; e'est que si je votais toujours pour le mêirie. ca serail comme si je me peignais dans mon bonnet) il n'y aurait rien de change! Un diplomate, a qui un sou vera in élrariger a fait present d'uoe labalière enricliie de diamanls, niontrail le préciettx cadeau a quelques amis. Tout le monde s'extasiait sur la beauté des incrus tations el des piet res. Tiens, fit quelqu'un en ouvrant la tabatière, il n'y a pas de tabac. ous ne prisez done pas? Si fait, répondit le diplomate, les diamants. La mar Caspienne. A une distribution de prix une pauvre mère qui n'attendait rien pour son paresseux gamin, contrastait par son silence et sa douleur avec l'allégresse des autres parents. C'est la mère Caspienne, dit un élève fort en géographie. Ge n'est pas son nom? Mais si, puisqu'eHe ne communique pas avec les autres mères. Singuliere penitence d' un ivrogne. Samedi dernier, ud habitant de Galaix, fortcnient pris de boisson, et voulant faire penitence de son pêché, était descendu dans sa fosse a pnrin et la a genoux, ayant du purin jusqu'a la ceinture, il disait ses prières Sa femme, l'ayant trouvé dans celte position, jeta |es hauls cris. Les voisins accourent, lui descendent une échelle et le pressant de remonter. t Non, non. s'écriet-t-il laisscz-moi encore 20 minutes, je veux faire pénitence. Un de ses neveux élant descendu dans la fosse, a du employer la force pour le faire sortir. Aujourd'hui, ses parents et amis forment des voeux ardenis que sa conversion soit sincere. Une scène fort pénthle a eu lieu Dimanche dernier dans une des églises protesianles de Bucks. L'égliso en question avail élé parnp) il récemment réparée, on avail repeinl les bancs et oil y avail applique en dernier lieu une couche de vernis. C'èlait tiès agréable a l'oeilmais. uiallieureusement, le vernis avail éié appliqué si lard dans la semaine, qo'il n'avaii pas eu Ie lemps de sécher.le Dimanclie, quand les fidèles arnvèreiit en masse. II n'y eul' tien de 'remarqua'blè jusqu'au moment oü, nprès le sermon, le ministie commenga a pro utineer la béuédiction Alors les fidèles s'apercurent avec horreur qu'il leur était impossible de se .lever- ils élaieiil col lés a leurs siéges par le vernis Leurs efforts puur se lever fendaienl le coeur c'était en vain que du haut de la chaire Ie ministie les exltor- tail a la resignation; saisis d'une espèce de panique, ils rénssirent enfin, par une secousse simultanée, a s'arraclier de leurs siéges; mais a quel prix, mon Diou! Les tiancs étaient littéialement couverts de frag ments de soie, do linon, de cachemire, de drap! Les femmes s'enfuirent dans un état de confusion facile a concevoir. Malgré le refroidissement de la temperature, il v a encore des chiens enragés a Paris. L'un d'eux a mêmecausé, le 26, unebien dramatique avetiture. Un jeune bomme, M. Philippe Goin, déboucliait a cbeval de la rue Blanche et traversait la place du tnême nom lorsque s'élanca tout a coup sur Ie cbeval un gros boule-dogue offrant lous les sympló- mes de l'hydrophobie et poursuivi par plusieuts personnes. Mordu au jarret, le cheval fit un bond terrible, s'élanca en avant affolé, cl parlil d'un galop furieux' Le cbien se précipila a sa suite el cbeval et boule dogue enfiièrent Ie boulevard extérieur. Tout le monde se rangeait terrific. Le cavalier, nprès avoir essayé, dans le premier moment, d'ai reter son cheval eniporlé, avait réhéchi qu'il valait mieux d'altord fuir Ie cbien hydrophobe et avait enfoncé les éperons dans le ventte de sa monture. Mais le terrible dogue, la gueule écumante, les yeux brillant comme des escarboucles, Ie poil bét is sé, gagnait toujours dn terrain A la hauteur de In rue de Rome, il était déja sur les jarrets du cheval. Devant Ie theatre des Bati- gnoles, il fit un bond prodigieux, s'élanca sur la croupe el réussit a s'y maintenir en s'arc-boutant et et en enfonganl ses crocs dans la redingote du cava lier. Le cheval allnit toujours. Heureusement le chien se cramponnant do touie la force de ses dents a la redingote, ne pouvait rnordie M. Goin. Devant le pare Monceaux, le cheval fit lout-a-coup un violent écart, M. Goin lancé en avant, tomba sur le trottoir, laissant les pans de son vêlemenl a l'animal enragé. Celui-ci après avoir perdu un instant l'équilibre, l'avail recouvré en enfon- cant ses crocs dans l'encolure du cbeval. Cent pas plus loin, celui ei tomba, toujours tenu par Ie chien. Tout deux ont été tués a coup de sabre par le gardien de la paix Librot du 17' arrondissement. M. Goin a été transporlé cbez lui, rue du Delta, avec une jambe cassée. Calino voyage avec son fils. Ses moyens ne lui permettent que les comparti ment de troisième classe. Calino fils tripote les billets. Veux-tu bien fourrer les billets dans la poclie, imbécile? les gens qui sont avec nous n'ont pas besoin de savoir que nous voyageons en troisième classe?... Les lycéens ne sont naturellement pas oubliés dans les croquis charivariques de Cham. Mais comme il est attenloire a l'amour maternel dans le dessin représentant un maitre de pension, une dame et son petit garcon! Confiéz-moi voire fils, madame,nous en ferons un homme. Mais monsieur, je vous le défends! Cela me vieiilirait! Bébé a perdu sa petite amie. On le mène a l'enterrement. Derail la porte mortuaire, il entend dire: lrez-vous jusqu'au cimetière? Moi, je n'irai que jusqu'a l'église. Bébé setourne alors vers sa maman et lui dit: Petite mère, est ce que nous irons jusqu'au ciel? A l'exposilion industrielle Deux messieurs, inconnus l'un l'autre, sont arrêtés devant le chef d'oeuvre d'orfévrerie que la Maison d'Anvees a offert M. V. Jacobs en souvenir de ses bons et loyaux services. Qu'est-ce que c'est que ga? dit le monsieur n° 1 en ricananl, ca a tout I'air d'un tombeau. Jecroisbien, riposte l'rutre, ga renferme les cendres du ministère Frère-Orban. Le monsieur n° I a cherclié quelque part s'il n'y avait pas un trou de souffleur pour v descendre. Mais cet objel d'art indusiriel ne figure pas a l'exposilion. der des squirrhesglandesvarices, hémorroïdes, etc. SANS OPERATION. Par le docteur Windelincx, rue du Progrès, 97, Br'uxelles, fruits u'une experience de 33 années de pratique. Broch. in-8\ Envoi sur demande. Prix: 1 franc. in A COMIXES DE TRÉS-BEAUX de trés-beaux et de trés gros do beaux van den van ilULJIllilJJLl) van zeer sclioone cn zware TE WOESTEN EN R E N 1 IV G H E UN BON rendue snns niédccine, sun1: purges et sans frais par la délioieuse farine de Santé de Du liarrv de Londres, dite: Vingt-six ans d'invariable succes. Elle combat avec succes les dyspepsies, manvaises digestions, gastritcs. gastralgies, glaires, vents, aigretirs, acidités, pitiiiles, natisées, renvois, voinissements, tnême en grossesse, consti- pation, diarrhée dyssenterie.coliques, plitbisic, toux, asthme, étouffements, étonrdissements, oppression, congestion, névrose, insontnies, mélancolie. diabete, faiblesse, épuisement, anemie, chlorose, tous dc.sordres de la poilrine, gorge, haléine, voies des bronches, vessic, foie, teins, intestins, mnqiieitse. cetveau et sang. 75,000 cures, v comp.ris celles de Madame la Dtichesse de Castlestuart, le due de Piuskow, Madame la marquise de Bréhan, Lord Stuait de Decies, pair d'Anglelerre, etc., etc. Dysi'epsie: MJ.-J. Xoi:lde Thuillies (Hainaut), dc vingt années de dyspepsie. - Daktres: Gr. Coos, de I.iége, at/aiidonné par lts mcdecins qui déclaraient rpt'a son age (ao ans) toute guérison était impossible, a été lolalement guéri des dartres par l'usaqe de la Itevulenta. V" -19,8-42: M""' Marie Joty, de cihquante ans de constipationindigestion, nervositè insomnias, asthme, toux, flatus, spasmes et riausées. N" -46.270.- Al. liobcrts, d'une cuiisomption pidmonaire, avec toux, nomisscments, constipation et surdité de 25 années. y\" -46.217M. le docteur-médecin Martin, d'une gustrulyie et irritation d'estomae gin le faisait vumir 15 a 18 fois par jour pendant huif ans. N" -46,218: le colonel Watson, de la goutte. névralgie et constipation opinidlre. 1\° 18,7-4-4: le docteur-médecin Slwrland, d'une hydropisie et constipation. N' 49,522: M. Baldwin, de l'épuisement le plus complet, paralysie de la vessie et des membres, par suite d'cxcès de jeunesse. Cure 1X'° 62,913. Valgorge Ardeehe.19 Octobre 1,868. La Reealenta est un remède que j'appellerai presqiie divitl. Elle a fait un bien immense <t notre bonne sceur Julie, alteinte depuis quatre ans d'une névralgie a la tète, qui la faisait souffnr cruellement et ne lui luissait presque aucun repos. Grace d voire spécifique, elle est aujourd'hui guérie. Münassier, cure. 1 Plus nourrissante que la viandc, elle économise encore 50 fois son prix en médccinc. En boites: 1/4 kil., 2 fr. 25; J/2 kil.. 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 12 kil., 60 fr. Les Biscuits de Bevalenta, en boites de 4. 7 cl 16 francs. La Bcvalenta chocolutée, en boites de 2 fr. 25 c.; de 576 tasses, 60 fr. Envoi conlre bon de poste, les boites de 32 et 60 fr. franco. Dépot chez C. Becinve, pharm. rue du Verger. H. Ervsou. rtie de Dixmude, Ypresj Bruges, Vve De Grave, droguiste, rue Eeckhout, 2. V. Veys-Frisou, Prés St Jacques, 2, ph.irmacien. I.. Algoet-Dispersyn, négociant, rite Nolre-Dame, 33. De Ilondt-Gazet, denrées coloniales, rue des Pierres, lOi A. Willaert-De Sraet, denrées coloniales, Grand'Place. 3. Courtrai, H. Bossaert, pharmacien. E. Uiers, pharmacien. Fnrnes, E. Duclos, pharm.icien. Moorslede, Ch. Bostyn, boiilangcr. Ostcnde, F. Kockenpoo, pharmaeicn, me Louise. Itoulcrs. II. Boulcns-Dcgcest. pharmacien. Tieghem, G. et V. Moreels. Thielt, J. Buyssens-Byl, pharm. et chez les pbarmaciens et épiciers, Du B.vkry et Ce., Boulevurd du Aon/, A" 19, Bruxelles.

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1874 | | pagina 3