EIGENDOM,
BERICHT.
BOOM EN.
35 ORMES
BOOMSN
BOOfvl,
BOOMEN,
BOXg-BL AÏJCS
TAILLIE
KOTMUS
B01SBL8NCS ET CAN AO AS.
D'UNE MAISON,
TIME A LABOUR,
LES WOTS ONT PERDU LEUR
SIGNIFICATION.
Viclor-Emmnnuel, clans son discours pro-
noncé a l'ouverlure des Chamhre, proclame
la régénéralion ilaliennc. re re de toite
TACiiE. Que fa ut-il done pour devenir
coupable? Violer les Iraités, fouler aux pieds
le droit des gens, conspirer contre ses
voisins, envahir les Etalspar des exploits de
forban, fusilier, emprisonner el bombarder,
prendre le bien d'autrui, spolier le Pape,
s'emparer des églises, cliasser de leurs
monastères de pauvres lilies, mnnquer a
toules les promesses, entasscr tromperies
sur tromperies, et tont cela au vu et su du
monde enlier, voila la grande besogne
pure de loute Cache II devient urgent de
de créer pour Pusage particulier de UI talie
régénérée »une languc oü l'miqnilé voudra
dire justice, oü la violence signifiera le droit,
oü les revolutions restcront immaculées en
proportion de leurs méfaits. Pur le temps
qui court, elle aurait bien qnelque chance
de devenir la langue des cabinets.
{Union.)
NECROLOGIE.
M. Dehouck, c'urèa Ledeghem, est dêcédé
le 2 Décembre, a Page de 79 ans ct neuf
mois.
Cla S* O SS a «I 32 e B C 51 1 C'
AVIS AUX CATHOLIQUES.
Nous lisons dans le Progrh
La souscriplion an Denier liberal mar-
cbe a morveillo; en qiiclques jours elle a,
dans Et villc cPYpres seulement, dépassé le
cbiiïre de einq mille francs; nousavensla
conviction que les autres loealilés cle l'arron-
dissement ne voudront pas resler en arriére
ct apporlei'ont leur contingent au denier.
C'esl pour nous unc grande satisfaction dn
voir que le parti liberal, loin de se déeonra-
gcr a la suite des dornières défailcs qu'il a
cssuyécs, se prépare a souienir vaillammenl
la lulte dans Pavenir.
Voici un extrait de la circulaire par la-
quelle le Comité de PAssocialion libérale de
Parrondissement d'Ypres a annoncé a ses
membres Ia creation d un denier liberal et a
convié lous les liberaux a v prendre part:
II appartient au libéralisme de mettre
un frein aux leniatives liberticides, et pour
alteindre ce bul, il iinporte que loules les
Associations libérales pronneni dés a présent
les mesnres nécessaires afin de pouvoir lut-
tcr avec avantage contre ces élerneis enne-
mis de la liberie, qui ne révent que la do
mination ultrnmontaine sur les ruines de
toutes nos libérales institutions.
Parmi ces mesnres figuren! en première
ligne la creation d'un Denier liberal donl
vous verrez la destination par lc reglement
qui a été adopté par noire Association, en
son assemblée générale, du 26 Seplembre.
(Suit le texle de ce reglement.)
Nous espérons que lous les libéraux
voudront bien conlribuer au Denier, cba-
cun bien entendu dans la mesure de ses
moyens; la lulte semble ctrc dans Ie désir de
loiis, et qui veul la fin doit vouloir les
moyens.
Des lisles de souscriplion restcront dé-
posées cliez MM. Beke, Président; Carton,
Vice-Président, ct Verschacve, Trésorier.
Tous les ans, a Pépoque du renouvelle-
menl des abonnements, la presse libérale
se met en frais de propagandc pour infecter
nos villes el nos campagnes. II imporle d'en
avertir les chefs de families afin que, de
leur cöté, ils rcdoublent de vigilance pour
rcpoiisser de leurs foyers ces colporteurs
d'impiété solidaire el de morale indépondan-
te, Cesl ce qui nous engage a reproduire
Pavei'tissemnt de la Voir, du Luxembourg.
ATTENTION.
Le libéralisme, tout en s'avouant vaincu,
fail d'énergiques efforts pour reconqnérir.
le terrain perdu. Le sommeil dans loquel il
semble croupir, iPesl qu'apparent; il veil le,
déployant une activilé el unc ardeur sans
égale," et ne recule devant aucun sacrifice
pour faire de nouvelles recrues.
La presse est out re les mains do ce parti
vine arme rcdoutable: il en commit la portee
et sail la manier avec vine rare adresse. C'est
Ie pétrole a Paidc duquel il enfiamme les
esprits ct bride les consciences. II n'esl point
de principe auquel clle ne s'attaque, point
de loi juste qtPellc ne léche de sa languc
empoisonnée, point de mensonge ni de
calomnie auxquels elle ne parvienne a
donner un vernis de vérilé.La presse libérale
est anx ames ce que le typhus el le .cholera
sonl aux corps: loujours elle les menace;
souvent elle les corrompl cl les lue.
Dcpnis quelquc temps, les journaux libé
raux lombentsur le pays comme les fcuilles
des arbres aux premières gclécs. II s'esl
formé it Bruxelles, parait-il, une société qui
envoie gratuitement les gazettes du progrés
a qui veul les recevoir, et mêmea une foule
d'honnétes gens qui font profession de croire
a Dieu el qui leut' refosenl l'enlrée de
leurs maisons.
II n'est plus de village, plus de hameau,
dans nos contrées, qui soit a l'abri de celte
peste. Ce sonl surtoul les journaux la Cltro-
nique et POffice de Publicité qui sont ainsi
expediés.
On connait ces immondes chiffons oü le
rire canaille éclate a chaque ligne, oü Pim-
moralité s'étale dans tout son cynisme, el oü
l'impiété hurle le blasphème a plein gosier.
Le foyer oü pénctrenl ces journaux est
bientót un foyer corrompu. II est impossible
que Phonneur et la religion reslent sous le
rnème toil que la Chronique et YOfpce. Du
moment que ces journaux arriveni au sein
dbine familie et y sont recus en amis, les
croyances religieuses s'cn vont et ledésordre
y régoc bientót.
Cel le tentative du libéralisme se comprend
ct s'expliquc aisément. Le peuplc des campa
gnes forine la partie la plus saine, la plus
intelligente el la plus religieuse du people
lielge. Si ce triste parti parvenait a galer
son esprit,a lui arracher ses fortes croyan
ces, a corrompre ses mceurs, il serail bien
lót maitre de la situation.
Nous appelons la séricuse attention de
nos amis sur celte nouvelle menée libérale.
Qu'ils ne negligent rien pour repousser ces
journaux qui, comme des vtppres, chcrchent
a s'introduire au foyer des families hunliètes:
au poison qiPils dislilleni il n'y a point
d antidote et toutes les blessures qu'ils fuut
sonl mortelles.
Dimanebe 6 Décembre 1874. a l'occasion
do la Iele de Sto „Barbo. Ie Corps des Sa-
peürs-Pom'picrs sc rendra a l'église Sl Mar-
lin.
Les assises de la Flandre occidentale pour
le l';l'trimestie 1876, soront ouvertes li Bru
ges le I I Janvier prochaili.sous la présidence
de M. le eonsctller Van Priiel.
LES RE.MPLACANTS.
La plupart des families apprendronl avec
plaisir que, par suite de diveres mesures
prises par le département de la guerre, le
prix des remplacanls fourms par les compa
gnies de spéculteurs associés a diminué dans
la proportion d'un quart, depuis un mois
environ. Quelques personnes riches, qui
n'avaienl pu oblenir un reinplacanl officiel,
se sonl trop vite alarmées el ont payé jusqu'a
3,000 fr. pour sorlir immédialemenl d'in
quietude; beaucoup out donné 2 500 fr.
lanx excessifs encore. Celles qui out voulu
a tiend re le 1" Janvier (délai final qui, en
certains cas, pourrail ét re prolongé encore)
ont été mieux avisées, car ces compagnies
offrenl aujourd'bui leurs hommes pour 2.000
fr. Si certaines exploitations, dunt on se
plaint avec raison au point de vue militaire
el civil, se roproduisent et s'aggravent, il
est possible, méine vraiseinblable, que la
Legislature soit saisie d'un projet de lui qui
annulerail les engagements trop onóreux
conlractés par des volontaires induits presqoe
franduleusement en erreur au profit des
trafiquants. Unc telle mesure, donl l'équiva-
lent existe en maliére de paris et de jeux de
bourse, aurailde grandes chances(Eèire bien
accueillie. On espére en haul lieu (et les
motifs qu'on allègue semblenl fondés) que
dés l'annee proeliaine les compagnies, ces-
sant de lutler contre plus lort qn'elles,
abaiidonncronj la partie el penncltronl au
déparlemcnl de la guerre dc fournir la totali-
te des volotairès deinandés, aux prix normal
de I 600 fr.
Nous n'avons pas besoin de redire que
ces résnltnts ne sduraicnt nous salisfaire
puisqtie 2.000 miliciens environ resleronl
encore exclus du benefice du remplacement,
benefice que leur procurail le -systéme de la
substitution supprimé par le cabinet doctri
naire; cependant nous devons reconn'aitre
que le nouveau régime produit des elïels
moins lacheux qu'on ue l'avait généralcinent
prévu lors des débatS parleinentaires.
Pair
CHBONIQUE JUDIC1AIRE.
La Cour d'appel de Biuxelles a rendu der-
riièremenl un arret qui intéresse viveinent
Uniddstrie de la brasserie.
Un brasscur de rarrondissenienl de Ni-
vcllos avait pris pour systéme de declarer
pour les brassins qu'il effociuaii unc cliaudié-
re pour y mettre de la farine ronfurrriémenl
a I article 16 de la loi du 22 Aoüt 1822.
La farine mise dans cette cliaudiére ne
peut clre travaillée aux tenues de la loi,
cpt'avec les nicliers provenant do la cuve-
inatiére.
Après avpir operé dans sa cnve maliére le
travail des Ironipes, ce brasscur en enlevait
la drècbc. Pms il reporiail dans celte cuve
tout lc conlonu de la olim diere a farine, y
compris les metiers, et s'y livrait, sous pré-
lexle de clarification, a un nouveau travail
de I rem pes. En operant de cette facon, il
faisail deux brassins en n'on declarant qu'un
et fraudail les droits du irésor.
Le tribunal de Ni velles avail rendu un
jugement acquillant lc prévenu, sa facon de
brasser ne tombanl pas sous ('application de
la loi pénale.
La Cour d'appel n'a pas été du mème
avis. Par un arrêl longuement inolivé, elle
élablil que les manoeuvres du prévenu sont
illiciles et ont Ie caractère d'un brassin non
declare et clandeslin. II a été condamné a
diverses amendes cl a payer les droits frau
des. MM. les avoeals Leclercq el Musscbe
ont soutenu les intéréts de l'Eiai.
F A ITS DIVERS.
RURGERSTAND VAN YPEREN,
Kantoor van den
i?is s'A
TE WATOU.
Bijzondere Bekendmaking.
Den Notaris CAPELLE, le Watou, is
liclast met do-verkooping van eenen
SCIIOONI?N
bestaande in voortreffelijk Woonhuis,
Scheure en verdere Gebouwen, dien
stig voor allen koophandel, wel gele
gen in het kanton
Rous bru (jr/c -liar in <jh e
met onder bebouwden grond, liovc-
nierhof, weide en Zaailanden 5 hec
taren 73 aren 51 eentiaren.
De liefhebbers kunnen gezegden
Notaris ten zijnen kantore vinden bij
/onderlijk den Donderdag voormid
dag.
De verpachting der Stoelrcchten
in Sint-Maertens kerk, binnen Ypre,
is uitgesteld lot op WOENSDAG, 9
DECEMBER f874, om 5 uren na
middag, in eene der zalen van de
grootc Sacristie der zelve kerk.
De voorwaarden ten kantoore van
den Notaris iimlenueci'ScBt, te
Ypre.
Open ba 'f rei -l oop mg
POPULIEREN EN IEPEN
O)) WOENSDAG 9 DECEMBER 4874,
om 12 uren 's middags te beginnen
zal den Notaris VAi F.ECKF,, te Yperen,
ten verzoeke der Heer en leden van de
Jkslendige Depulalie van Weslvlaen-
deren onder de voorwaarden alsdan
te melden, openbacrlyk verkoopen:
1» 19 POPULIEREN ROOMEN, staen-
de langs den steenweg van
Yperen op Dixmude tusscben
de statie en de plaets van
lioesingiie.
2" 123 POPULIEREN ROOMEN, langs
de.n Ypervaert by de Brug
genaemd de Weslbuis.
3" 220 IEPEN en PUPUL1EBEN, stacn-
de langs genaemden steenweg
en de landen der hofstede bet
Noordbob tusschen cle eerste
en tweede pael, op bet grond
gebied van Yper.
Deze hoornen zyn meestal dienstig
voor kloefkappers en timmerlieden
en eenige voor brandhout.
De vergadering by de statie te Boc-
inghe. Rachtbaerh eid.
COMMUNE BE PLOEGSTEÊRT,
section dilc: HAfdEA
4" Sur la ferme oecupée par lc Sr
Pierre Dedier, le long du chemin de
Neuve-Eglise a Warnéton, a pen de
distance des paves de Neuve-Eglise a
Mcssincs el de Plocgstcèrt a Messines.
2" Sur une petite ferme a proximitc
de la précédcnte, oecupée par la veu
ve Charles Van Ecck/ioutle,
A FINES EEUILLES ET AUTRES,
répulés les plus longs el les plusbeaux
des environs, ayant de 2 m. a 2 m. 50
c. de circonl'érence.
4ü FBÈNES, (lont plusieurs gros,
3 BEAUX CANADAS,
2 SAÜUKS,
ct 4 BOIS-BLANO.
ISsvivéw <-ak |soi*Ji<ms.
Ces Arbres eonviennent a ia 'grosse
charpente, aux naceliers, menuisiers,
charrons, etc.
A VENDRE,
le JEU Dl 40 DECEMBRE 4874,
a onze hen res du matin, avec long
terme de paiement, pourvu d'établir
caul ion.
I/i vente commcncera sur unc pa
ture oecupée par Ie sieur Dedier, a
proximité de la ferme.
Le Notaire 'B'ElKStKY a Neuve-
Eglise est charge de la recette de
cetle vente.
2-; 4 T 1
Sl&JT-JAN,
ffehuchl Pilckein.
Op aanzoek der hoeren Leden van
bei Armbesluiir der gemeente Sint
jan, zal den Noiaris Van KceSic,
1é IJpe.ren, op .MAANDAG 44 DECEM
BER 1874, om I ure namiddag, open
baarlijk verkoopen, 30 koopen lang-
sla.riimi.tie en zware Populieren, dien-
slig voor kloefkappers, timmerlieden,
enz., staande te Sint-Jan wijk pilckf.m,
op de bofsteile gebruikt door sieur
Edmond Am pc.
Yergadei'itig ter hofplaats van dito
Arnpe.
'lijd van betaling mits borg te
stellen. Rn chtbaarhcid.
KANTOOR VAN DEN
Ie Watois.
1° Maandag 7 »eeesii!ter, om
4 ure namiddag, te Uoogstaede,
ter liofstede van den beer Rooryck-
Pil, ten verzoeke van Mevrouw
Deprcv-Waels,
iiirrliuaarilifEf koopnïag
Eiken, Olmen,
Hollanders en Kleinmers,
dicnslig vooralle slaeli van grootc
schip-, molen- en andere werken.
'3- Op 'Wrïjsïaa; ï>eee»»a!»ei*.
Lcysele en Beveren, gchugten Ter
band on Risé, op de botsteden
Loodvoet, Mahieu en Vcrdonck en
oj) bet Zaailand gebruikt dooi de
weduwe Messiacn,
KOOPDAG VAN
verdeeld in 93 koopen.
S?" ^aterala.§r 19ec*cnsl»er, om
2 ure namiddag ten Gomccntc-
buize te Isenbcrghe,
A EB PACHTING der GOEDEREN,
van hel Bureel van weldadigheid.
Ml a a eiaïa ss *31 ISeeensEser
om 2 ure namiddag, te Watou, ter
hofstede gebruikt door Angelus
Policy, en V. Verdonck,
verkooping Van GO koopen
EIKEN EM HOLLANDERS,
van de schoonste der streek.
ten 4 ure namiddag, tcStavclc, bij
de plaats op eene weide der
kinders Van Eegroo,
verkooping van juist 51 koopen
grootc en langstammigc
IIOLIANDEBS, WILGEN
EN ANDERE.
En 6° op W»ei:t$iSa^Stl ïïers- iss-
her. ten 3 ure namiddag, te Uoog
staede, (klzf.nuam.mi;), bij Deque kir,
verkooping van
B O S C II T A 1LLI E
le Reninghe.
Al bij plakbrieven breed beschreven.
Om alle verdere inlichtingen zieli
te begeven bij voornoemden Notaris
CAPELLE.
Etude de
Mc LAN NO Y, NOTAiRE,
A COM IN ES.
4" UJNDI 7 DÉCEMBRE 4874,
a midi précis.
VENTE PUBLIQUE
dans les prairies du ruisseau Korte-
keer et prés de la ferme Lesaffre- -
D'hondt a Bas-Warnéton.
2" MAR Dl 8 DÉCEMBRE 4874,
(Conception),
a 44 lieu res du matin.
A. Dans un vérger prés la ferme
Debruyn prés de la cbapellc d'Epines
a Gomines-ten-Brielen.
B. Dans un bois prés du Rossignoi.,
section Cruyseeke.
Vente publique
PEUPL1EIIS DU CANADA,
Chêncs, Ghêneaux et Piancons.
°3 MERCREdTTFdÉCEMBRE 4874,
ii 4 heitres précises cle rclevée, ii l'cs-
taminet le Jambon (Godshuis),
a CJonsïnes,
ADJUDiCATION
(avec l'intervcntion cle M° REY^TJEKS,
Notaire ii Courtrai).
A.
avec dépendances ct 2 arcs 67 cent.
i(* Fonds ct Tcrrc ii Comincs.Oiameau
dn Godshuis.
Mise a-prix 4.300 fr.
B, De 50 arcs 50 ccntiares de
ii Comincs, section C, numéros 99'ir.
et 994c, traversés par Ie chemin defer.
Mise-d-prix 3,800 fr.
4° LUNDI 24 DÉCEMBRE 4874,
a 4 4 heitres du matin, ii Zanfvoordc.
VENTE PUBLIQUE
PEUPLIERS DU CANADA.
4" il la ferme Stampre après Menu.
2° ii la ferme des enfants Desrous-
seaux.
Lel'. Ca|itier, du memnire vónéiée, availétc
tiès lié aveC le P. ilyaciiillie; il l'ainuul lieaucoup.
Lors de son apostasie, it tenia vainonient, a bien
des reprises dilterenies, il me l'a du lui menie,
d'arriver jusqu'a lui; muis le mallieurcux eaiuie,
décidé a n'écouler persoune, se barncadail cla-z lui.
Le l'. Caplier a été tué par I» Commune sans avoir
pu le revoir. Le jeune prêlre qui me rapporla ce
qui suii, élail un ami commun de l'un et de l'aulre.
tl pensail que le père Caplier mort pourrail p ui
ètre ce qu n n'uvaii pu vivant ei qu'il pnrlerail plus
éloqueiniiieutde sa tombe au eu:ur du religioux
déeiiu:
n Je résolus, me dit lc jeune préiro, d'aller voir
I ex-père tJyacinltie. Célait environ deux moisavunt
son manage. II demeurail a Passy II fut suipris en
me voyant, muis me io.ii.dii la mam:
Je viens vous trouver do la part d'un mort, lui
dis je.
Dun mort tuil en relevant la tèle et
ni'interrogeant du regard.
Oui, du I'. Caplier. Vous l'aimiez et il vous
aimaii. C'est auj'ourd'hui són anniversairo: je vous
demande de venlr avec moi a sa tombe.
li demeura pensif un moment, le front baissé,
pu is relevant la lêic:
li Je veux bien, dit-il,
Nous sortintes. Comme il tombait quelques gout-
tes it eau, il renlra pour chercher un parapluie, et
nitidis qu'il redescendait, une porto s'ouvril a l'éi ige
au dessus, et j'eutendis une voix de femme: Ne
reslez pas longtemps, inon anti.
L'ex père llyaeinllto fut très-ému au lombeau du
P. Caplier. II pria, il pleura presque. En revenani
nous gardions le silence. II le ronipit tout a coup,
comme s'il sortait d'un rève et continuant tout liaul
le mologue commence tout lias".
Cliose élrange! T uit ce qui m'arrive m'ovail
été prédit. Vous eonnaissez le Brousey, lit II en se
lourriant vers moi (convent des Cannes, fnès
Bordeaux). II y a la un vieux moino espagnol qui
est venu s'y elalilir après avoir éié expulsé de son
pays. C'esl un l'rère convers, trés-ignorant, mais
trés-saint, line figure énergique et ascétiquo is la
fois, une vrai moine deZiirbnuin. J'aimais :i causer
avec lui. Un jour que je venais de prêcher devant
la communauté, il arrêia sur moi son regard fixe et
profond, et me dit dans son jargon scini espgnol
Vous, vous pordrez voire ante. Vous précl.ez
trop bien, et vous airnez irop a bien prêcher.
Voyez vous, quand vous avcz prdclié comme
aujourd'bui et qu'ils sont tons a vous faire des
compliments, i! fuut pour la salvation de voire ame,
lebatlre votre capouce sur voire fhjoure. devant vos
yeux, comme ca, pour ne pms rien voir, no
plus rien entendre et meiire un voile enire le monde
el vous. Autremcnt vous êtes perdou.
Avez-vous une idéé de ce que peul valoir la
boue deTaris?
Pour les adjèdicataires qui l'acliètenl en mn«se.
la boue de Paris vaut prés de 600,000 fr.; mais
lorsque, après avoir séjourné dans les poairissoirs,
elle est vendue comme engrais de 3 a fr. le mèire
cube, son produit s elève a environ trois millions
de francs.
En 1823, la ville de Paris u'afi'ermait les boues
qu'aii prix de 73,000 fr en 1831les adjudicataircs
les payèrent 166.000 fr.et en 1846, le cliilïre
atteigritl 600,0(Jo fr.
Sur les benefices que les adjudicataircs réaliscnt
aujourd'bui, it's som obliges de ponrvoir aux frais
du balayagedes rues el du Iranspm 1 des immondiees.
l,e personnelaffecté a ce. service, qui demeure
sous la direcimn et la surveillance de l'autorité, est
fixé par le cahier des charges, et se compose de
plusieurs rnilliersde peisunue's.
van den 27 November lol den 4 Dcconil re 1874.
UEBÓOIIÏluN
Mnnnelyk geslacht 4 Vrouwelyk geslacht 4.
HUWKI.YKEN
Joannes Arfeuille, legeldi kker. en Amelia
Debaene, naeisier Julianus Tlierry, peerden
smid, en Evelina Bruyer kaulenwerkster.
STKIIFIiliVAI.I.EN.
Joanna Goyvaerls, 4l jaien, zonder beroep,
echlgenooie van Linfovieus anaeken, Lange
Tbouroutstraei- Virginia Ledure, 72 jaren,
zonder beroep, echlgenooie van Marlinus Verscfiae-
ve, Dixmudesir. Ivo Lui re, 7:1 jaren, hovenier
echlgenooie van Maria Peique, S' N'icolaus nevens
Ypre. Maiia Dubois, 62 jaren, koopvrouw,
echlgenooie van Joannes licnninn, ltysselslrael.
Catharina Devorm, 76 jaren, xvaschler, ecblgenoote
van Kraiiciscos Gisoif. I'la'teelsli aetJosephus
Mesure, 84 jaren, zondei beroep weduwenaer van
Joseplia Deswae.ne, Dixmudesiiael
Kinderen henedén de 7 jaren
Mannelvkio'slachi 3. rouw:elv1i geslacbt t
t r
van
v.in
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Villi
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5" *j;S BöcMM'ESüIjrr
de beaux
de beaux
de beaux
el