Sr 1 ^êm o^M m APPEL A TOUS LES CATHOLIQUES. ¥l - ir. 10mc année. Nos 940. Sam cd i 2 Janvier. 1875 I li - 7la li ,rnt'.Ui) numéro du journal, pris au Bureau, 15 centimes. Le Journal ,»r.ul le Metered! e. je Samedi, - g W# tonl^Adfcecee, coajetll 2tiUV. ymmm***. if K K SS. ÉTRENNES PONTIFICiLLES. Une année nouvelle va s'ouvrir, la quin- zième de Poppression el de la spoliation de la Pa pa u té, qu'elle soil aussi la quinziéme d'une vénéralion et d'un-o as'sislance de plus cn plus lil rales! Les enneuiis de Dieu el de PEglise ne se lassenl pas de perséculer et de depenilier Pie IX; calholiques lidèles, nous ne nous lasserons pas de le consoler et de le secourir. Dieu est avec le Pape! La persis- lauce de noire dévouement hatera el verra ]etriomphe de la Papauté. Ne voyons-nous pas, chaque année, Pie IX grandir au milieu de ses humiliations? Plus la main des puissanls du siècle vent le réduire, plus la main loulè-puissanle de Dieu l'élève. Sa vie, sa parole, ses ceuvrés surprenne.nl el émeuvenl ses ennemis com- me ses enfanls. Sa lummcuse el sereine fi gure domme le siècle, el apparaii plus gran de et plus noble que loule figure d'bomme: cn el le mieux qu'en loute autre se recoiinail l'image el la ressemblance de Dieu! Aussi sprés Dieu, jamais nul êlre ne fut plus aimé el mieux obéi que son Vicaire, Pic IX. C'esl justice et e'est miracle! C'est miracle, car, humainement parlant, nul souverain n'esl plus faible, plus impuis- sanl, plus dépotirvu et plu's pauvre. Et ce- pendant Pie IX régnc et gouverne: Sou auto rité, la oil el le ne rencontre Pobéissance et l.e dévouement, évcille les craintes el les ter reurs, el cetle autorité acceptée ou combat- tue fait sentir son empire sur toute nation civiiisée ets'élend mêmeau-dela. La royauté de Pie IX qui n'est que la Royauté du Christ est, comrne celle-ci, aux yeux de la chair, méconnaissable; mais el le s'exerce, malgré tout, en dépitde tout, par la seule puissance et la volante du Dieu qui vit et règne dans Ions les siècles. Qu'importe a la puissance et a la misèricorde divines que, pour Pie IX aussi la pourpre soit de dérision, sa couronne d'éfii'nes et son sceptre de róse.au? A Rome comme a Jeru salem, a la fin de noire dix neuvième siècle comme au commencement de noire ére, le Christ vil, le Christ est vaiuqueur, II est Suiveur: Cinusrus vixcrr, Christus hegxat, Christus ah omni siai.o nos i.iberatI Comme par la Croix du Christ Dieu a vamen el sauvé le monde, Dieu pir la Croix de son Vicaire vaincra et san vera la sociélé moderne. Que voyons nous en effel a P.henre présen te? Nous voyons parloul la grimde- unite se faire; nous voyons, admirable concert, tons les Evèques s'nnir de plus en plus intime- menl au Souverain Puntife; lous les Prêlres a leurs Evèques; tons les Fidèles a leurs Prêlres et par leurs P.èlres el par leurs Evèques et par le Pa pea Dieu! Ut ojix.es uxum sint! Ainsi se prépare oslensiblement el se fonde surcment la grande unilé divine, ie regno de Dieu. Adveniat reg.num tuuji! Témoinsdeeelteaction el de ce mouvement sans précédent dans 1'hisloire, Calholiques, secondons faction divine pur nos priores, par nos ceuvres, par nos offrandes. Asso- cions-nous, chaque jour, a la prière quoli- dienne récitée au pied de I'auiel-; associons- nous, plus encore que par le passé, a la prière publique dans nos humbles et puis - sants pèieriuages; associons-nousaujomuEhui et toujours avec générosilè duns follrande. Les dons volontaires des fidèles soul main- tenant le seul budget du Gouvernement de 1'Eglise uniferselle. Ce n'est que par nos dons que los services indispensable» de I Egli- se sont assures. I^es don.s des Fidèles lorment seuIs Ie Trèsor de Pie IX. Q ii ne le sail d'a i I leu rs, le Trèsor de Pie IX est Ie trésor de PApostoIat et de la Charité universelle. Com- bien d'églises et de cbrétientes depouiilées, en Italië, en Suisse et a i lieu rs. de leurs ri- cbesses séculaires, tie vivent que du I resor de Pie IX? Combien de milbers de religieux el de rehgieuses, jetés sur les pavés d balie, mourralenl, saus le Trésor de Pie IX, de faim et de misère? Que de fois en tons pays, au milieu des malheurs publics, Ie lrésor de Pie IX a fourni Ie Denier fécond de la conso lation el du bon exemple! Quul puisse tou jours suffirea lout! Le fresör de lbo IX, c'est le Trésor de la Chrétientè, a nous, Cbrétieiis, de falimenter et de lenricbir. Donnons done a Pie IX! Donner a Pie IX, c'esl donner a noire Pére, au Pèrede la grande Familie de nos ames; donner a Pie IX, c'est donner a 1'Eglise, noire Mere, a la More de ITlumanité régénérée; donner a Pie IX, c'est donner aux pauvres; donner a Pie IX, c'est, en un mot, donner a Dieu! Première laste, v»ii' €lu'OHi(|iic locale. LIBÉRAUX ET CATF10LIQÜES, PRENEZ GARDE A VOUS. Nous recominandons a Pailention- de nos leclcurs la lelt re suivanle, qui a paru dans lc }\ord, de Bruxelles, ils y verront quel averïir le socialisme réserve a la France, et pourquoi, en attendant, los journaux de Gambelta redoublent d'aliaques coutre le catbubcisme: Au milieu de l'affaissement général, les républicains avancés sont seuls confiants el tranqnill'es. lis' voient que le temps Iravaille pour eux, et ils n'ont aucune envie de brus- qocr un denouement qui pourrait avoir pour résultat mnmédiat d'ébranlcr Ia situation des som in nés officielles du parli. II ne Kiut pas croire que les membres de la Gaucbé actuel- le jomssent auprès de la démocratie cxtia- parlementaire d'un prestige saus hornes La Rèpiiblique organisèc par une nou velle Constituante ne ressemblerait cn rien a celie de 1870. Le règne des beaux parleurs était possible en 1870; les Jules Simon, les Jules. Favre, les Gambelta, etc., jouissaienl auprès des masses d'une veritable popularité due a la violence de leurs attaques contre un régime (jui était du moins assez liberal pour laisser parler ses adversaires. L'Assemblée aclueUe. n'a permis a aucun dc ses membres de se crée,r. unie popularité par des moyens analogues. M. Gambelta, aspirant a former un parti gouvernemenlal, s'esl fait mo- déré; il a perdu ses allures de tribun, et les vèrilables radicaux trouvent ses discours in- colores et saus portee sociale. La seule fraction républicaine qui exerce une influence réelle sur l'opiuion démocrati- qu'é est cel le qui se rapprocbö le plus de Ia Commune de 1871. Sabs aucun douto, la république radicale de l'avcnir ne nous ra- mènerait pas les Pyal, les'-Vermorel et con- sorls; individuelleinenl ces personnages sont aussi uses el lout aussi compromis que les moderés (jui out applaudi a la chute de ia Commune; mais l'on nesaurait se dissimuler que les vagues idéés de decentralisation el liquidation sociale», qui conslituaient le fonds miellecliie) de l'ancienne Commune sont encore aujonrd'hui la force mol rice de roppositmn radicale, dont le programme différe essenUdllemenl de celui des jacobins gambettistes. Le radicalisme, lel qu'il s'est reconstitué depnis 1871, n'a pas besoin de la direction ni des coiiséils des communards de Londres ei de Gënéve. II marche tout seul, et son programme est aoceplè paree <jno les aspira tions', bonnes ou mauvaisos, auxquelles les nouveaux reformateurs promeitem de don ner satisfaction, représenleui l'ideal politique des masses, du moins dans les grandes vil les. Ce n'esl (tas seulemenl a Paris que les radicaux Iravaillent ènergiquemenl a annu- ler les classes autrefois dirigeames. D 'S ma nifestations analogues se produisenl avec une sponlaneiie m.conieslable sur tons les pomls du teiTiloire, et c'esl la ce qbi rend parfailement muiiles et inci'fi ;aces les mesu- res de repression parlielle imagmées par les censervateurs. fonds de la commune; 5° suppression de lous les impöls actuels octrois, presta tions, exercice, rernpïqcés par un iinpót. unique et progressif sur le revenu', 6" edu cation laïque, gratuite, obligatoire; 7° sur veillance des écoles et nomination des insti tute u rs el des institulrices allribuées au con- seil municipal; 8" liberie absolue de con science, par conséquent suppression du bud- gel communal des cubes. Vans le voyez, Paris se Irouve considé- rablement distance par une petite ville du Midi, etce n'est pas la uu phénomène isolé. Pour le moment, la eapitale subil I'impulsion qu'elle donnait autrefois a la province. L'Etat de siége est peut-ètre un eflicace inslru- menl de gouvernement, mais pour en lirer lout le profil qu'en espéraient les partisans de ford re moral, il cut fallu Ie généraliser et en faire l'étal normal et permanent de la France entière. Mainlenanl, ii est trop tard; les idees de l'ancienne Commune out regagné leur empi re sur fimagination des masses. On ne se contente plus dos réformes, passablement radicales, que pourrait offrir une république parlementaire et gambelliste: on fait appel aux hommes d'action et aux principes nouveaux. D'après co qu'on m'a dit, on a deja des projels tout prèts pour débarrasscr la France de la detle publique. On ne brfilerait pas le grand 1 i vre, loin dc la; le flambez finan ces de M. Eer ré était un procédé trop prirnitif, indigne des continuatenrs scientifi ques de la Commune; mais comme la futu re république s'empresserait de déoenlraiiser tous les services publics, e I le ne mauquerail pas d'appliquer a la rente le mème sysième; chaque département on chaque commune aurail sa quote-part de route a payer, et les réformateurs supposenl qu'éiant dunne le besoin d'ègahtè sociale dual nous voyons chaque jour lam de preuves, les coiioiioyeus des rentiers heMteraieiii a s'imposer de non vei les charges pour aug.neuter encore l'mégaluè des fortunes. La liquidation se foraiI en detail, sans ens et sans bruit, car si les rentiers s'avisaienl. de ener, ou les lerail (aire. Je vous signale ce projet, paree qu il me pa rail assez vraisemblable el, ee qui est plus grave, pratieuble. démanielé sans que cetle opéraiion soulève de trop vivos approllonsions dans le milieu a la fois révolulionnaire el bourgeois oii la République francaise fail autorilé. Taut que les radicaux aurent Ie clcrgè a combaltre, ils ne songeroni pas a la liquidation sociale, ot le courage que M. Gatnbelia déploiera dans sa croisade anti catbolique fera oublier ses défailiauces de 1871, au moment de la Commune. Le comité répnblicain radical de Béziers depasse de cent coud-'es Ie comité de Paris'; son radicalisme est beaucoup [tins franc et plus instruclif, ce qui exebil la supposition que les républicains du Midi aient obéi ;i tin mot d'ordre venu de Pans. Voici les principanx articles de leur programme: 1" mainiien de I'ordre conlie exclusivement a la mnnicipalilè clue et aux agents responsables cboisis par pile; 2" ces sation de la tuteH'e adminfslrative de I'Elal; 3° nomination des maires et adjoints par les conseillers et limitalion du mandal a Irois ans au plus; 4° libre administration des M. Gambetta et ses amis doivent connai- tre ces aspirations, si diffdrentes dti pro gramme couleur de rose exposé dans les colonnes de la République francaise11 s'agil done, pour l ex diclaleur de Tours, de do- tourner I'atlenlion des radicaux de la question sociale el de donner une autre direction au fanatisme révolulionnaire, qui menace de se tourner conire les bour geois, a vocals' et capitalisms, aussi bien (pie conire les débns du vieux moi'ide monarcbis- te el réaelionnaire. La cmiipagne de MM. Gunbetla et Chademel Lacour contre ld clergè est surtout une diversion au mouvement slralégique lendant a pousser les forces du radicalisme vers l'endroit oil feddice social peul étrc LA VRAIE PAIX. Nous assislions, lner, au monaslère de la Visitation Sainle-Marie, rue-d Eider, a une cérémonie dont le souvenir vivra aulant qu'elles-rnemes dans la mémoire de ionics les personnes qui en furenl lémoins: la seconde fille du rédacteur en chef de YUni- vers, MUo Luce Veu il lol, recevait des mains de Mgr de Sègur le voile bóm des épouses de Jésus Christ. Celle sarnie enfant ètrangère a nos polté- miques a fail ainsi la plus belle réponseaux malheureux qui detnandeul, avec un sourire qu'ils croient voltairien, el dont Vollaire leur demaitderailraisuu, comment M. Veuil- lot, qui a de fesprit, pourrait elre assez bete pour croire ce qu'il éent. MUé Veudloi a lu dans les livres palernels les pages assorlies a sa jeunesse et a son sexe; elle a respire la l'oi dans l'atmospbère de la Htaison patentelle, et elle qui I to ce doux et putriuieal foyer pour servir dans le recueil- lemeul de la prière la cause a In quelle son pére a dévoue, dans I'agilation du combat quotidien, les armos de la plus rcdoutabie eloquence. lei-bas, Ie pére conlinuera pendant de longues aimees encore, s il plait a Dieu de faire durer les jours du premier grenadier de f Egbse, sa lutie com re fimpie. La fille mono pour la lorre, el dom la vocation rengieuse eseompie i eieriuie enlre dés au- jourd'liui par Ie cloiire dans la sphére des beulitildes ceiesies, el cello assoiiiplion de 1'eufuul fait en iiiéme temps la joic et le deebirement des siens. Le beau jour esi la recompense des tra- vaux et du devouemem de voire pére, a da Mgr de Segur a la jeuue fille qui ecbai.i- geail, au pied de I'auiel, ses bieus, terrestres pour des lures uumoriels. Recompense eruel- le ei douce! Usez done dire a eel bomine qui rent re seul eu sa dumeure, le pas chancelant, mais fame ferine, que la religion a laquelle sa tide le saerifie n est pour 1 ui qu'un moyen d'audience el comme un irépied favorable a sou inspiration! II y a pen de jours, la lille ainée de M. Veumol épousaii mi bi ave officier, dont nous adimrions bier, a cóie de son beau-père, la poiirme couvene du souvenir de ses campa gnes. Sur deux lilies, le manage emportc I mie et 1'autre disparail derrière les grilles du monaslère.Le pére relourne a sestravaux. II lui resle le journal et le livre. Soldat, a ta l>alailie! Laboureur, a ton sillon! Cetle plu- me.queM, Veuilloi conduit comme unecbarrue lumiiieuse dans le champ du christianisme, récolte ce qu'elle avait seme: funedeses tides sera épouso el mere, selou I'espril de C CO -< C/j O f/} O fct, CO C^> c S3 -Ö 05 O O OK ,A 9 1H h 08 9-20 - Y urtss-Popèrinqhe, 0-80.9-07.12-08,3-87, li,80,8-48,9-50. - Po, Popenngl.e-Fpresb- -2o,J-30 -■» ,- J „llzfibr0,J(;k P„peringhé tpres, 8'-38, 10 00, 4-10, a 2... pei'in^iie Huzehmuek\o. i i Ypres-/W^, 7-90. 9-49. - ^ulens- «f 'l ctorv - Lichtorv.- 7W<^, 4-28 m. - Bn^cs-ZW/ör^S-^, (ie Samoli a 0-20 du maun de Langliiuii.iick a 6;/0 AnmuUièiTs-lloriplines Le louquel-Wai- Cominps-Warnèlon l.e Touquet-llouphncS-^,»^^^ Mb, i 00, 0 y nvuAu^(hlinues 8-30, 9 30, „flion-Camines 7-28, 10.80, 4--10,' 8--40- Commas- WaincMi [j^.CWnrm, 8-28, 12 80, 5-13,6-42 Coui-nai Bruges, 8 08, I 1-00, 12-38, (Ij. 3-13), 0 y 20(exi» (S 8 80)7-88 (<*xi> )8-48. (Imishih)7-00-30, Bruges, BlaiiKKiilierglie, Ueyrt. (Eoo) 7-30,1 43,1 I 04,1 .20,2 Jc2 l>Hl «.48.(1, 7 20, 8,30,11-28,1 28,2 4 9-81,11 10.2-31,2 86,8-28(exp,).(t>.3 öü)7 41 (ext>.)8 jl. 1 Y- f, 1-45,3 u5(ex|>. )4-80,0 00(1) 0 35) 7,00/ 48. (oxp.)4-10.8-30,(1). 6 18)7-24. - Blankenburg Bruges, t>-1 U 0GamJ u vnic lnyelmuusler, 0-58, 1 nge1111 unsierDeyrr/.e Gand, 3-18, 9-41, 2-13. - f u" 11-20, 4-40. Deynze Ingelmunsler, 7,31 9-10 2 cl, tl,2) - I n qe 1111 u n s 1 e i' y4 meg hem, 6-08, 12-10 0-13- 'V-85^— 'Ounkexke-Vca nes-Uixmude ,ei LicMervelde6-48, 1 1 15, L i 1 i 1 té t* v e I (1 e- IJ i x 1 rj ade b nrnes et DutiLeikc, b-oü, Sehaeie-^ectoo, 9-08, 1-28,-8-2,1. - teeloo-Se^oete, a-3?, 10 to, 4 w O/» 19 0 7 - - Ter neuzen Gaud, b 00, 10-30, 4 40. SiMl^Ab-IJi'lO OM '-VLoln-n 0 00, 10-28, 4 45. (Ie Mar,li, 9,30.) c o i x e i :i - «I=■OI«'I>2,k-:wrC,:E3S, C0URTRAI, BRUXELLES. 1SRUXELLIÏS, C0URTRAI Coui U ai Bruxelle dtip urr. 0,37 9)20 10,53 ,1,38 1-2.33 2,25 COORTRAl, T0URNA1, LII.LE. Góui'li-ai dep. Touiiiai arr. Li lie 6,37 7,28 7,37 10,80 11,47 12,05 2,54 3,48 4,00 14 8,34 6,29 0,32 6.35. 8,58. 8,47. 9,4-1 9,58. Bruxelles Cuurirai dép arr. 5,22 8,00 8,28 10,46 12.21 2,44 8,38 7,36, 6,47. 8,44. I.II.I.E, TOURNA!COURTUAI. CQURTRA1, OANO. Courlrai dép. G a nd arr. 6,42 8,01 12,31 1,81 3,44 8,04 6,40. 7,56. Li lie dép. Tounnti arr. Courlrai Gand dép. Courlrai arr. 8,20 5,42 6,34 8,25 8,86 9.47 11,03 I I 52. 12,26 GAND, COURTUAI. 8,18 6,34 9,38 10,51 1,28 2,49 2.18 2,40 3,38 4,24 8,31 8,20. 8,39 6,33 7,21. 8,42. BRUGESGAND, BRUXELLES. BRUXELLES, GAND, BRUGES. Binges dép. Gainl arr. Bruxelles 6,49 exp. 1,2,34 7,34 1,49 8,80 4,00 3,82 exp. 6,43 4,42 7,88 8,50 9,31 8,10 exp. 10 ,°26 lTiIiTMB7*7TllCTaMMtM*^PPWI Bmxèltes dép. 8,14 11,83 Gand arr. 6,00 9,41 i 23 Bruges 7,20 10,34 2,38 3 12 4,26 exp. 5,1* 1 6.37 7 ,22 8,83. 7,22 8,38. MM. les Ecclésictstiqaeh de arrondissement voudront bien récevoir les souscripUons Toates autres personnes de bonne volonté sont également considérées comme aples a reoueülir, d recevoir et d transmeUve les offrandes. On les percoit également au II IJHE AU DU JOURNAL YPillis et da NIEUWSBLAD. Pour permeUre une exacte, complabilüé 1Le donateur el son intermédiaire sont insta,m- ment priés de remellre simultane ment la note de la souscription el I'argent qu'elle comporle Les personnes qui seraient embarrasses pour faire parvcnir au centre de l ontere le inontaul de leur souscriptionpeuvent l envoyer cn manhals sur In poste a M. le doyen d'Ypr es. 2° Nous ne pourrons publier chaque semaine que les souscripUons dont la note el I,'urgent se.mil paroenus au centre de l'ceuvre, chez Mle Doyen d'Ypres, avant Ie Jeucli midi. V

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1875 | | pagina 1