EIGENDOM, BOIS-TAILLIS, REVALENTA ARABICA AVIS. BOOMEN, BOOMEN. 2° EEN WOONHU/S, L'ÉCOMOIÏIIE FINANCIÊRE. UN ÉCRIVAIN. ÏJIAVAUX D'AGRANDISSEMENÏ I" EEN HUIS EN ERF, 8 EENE HÉRBERG, 4° EN. EEN III IS N° 77, MAGAZIJN VAM GUANO, de chaque Irimeslre ou seulement chaque année. Les personnes qui n'auraienl pas été averties de l'existence de l'QEuvre et qui voudraient mellre leur vieux papier (jour- naux, livres, circulaires, annonces, cartes, enveloppes, faclures, lettres mème déchi- rées, etc., etc.) a la disposition de POEuvre, n'auraient, pourêtre comprises dans la tour- née, qu'a prevenir de leurs intentions M Vandendriessche, rue de Thouroul, 39. Les personnes qui préfèreraient remetlre sans intermédiaire leur vieux papier, peuvent Tadresser chez M. Vandendriessche, te Ven- dredi et Ie Samedi de chaque semaine. Inutile de rappeler Ia grande utilité dé rQEuvre. Elle peul retirer et a déja retire de la circulation beaucoup de publications mal- saines; elle utilise direclement tout ce qui est bon et transforme tout ce qui est mau- vais; elle crée Ie Denier de l'Enseignement calholique, qui soutient dans leurs études lesjeunes gens de capacitéet de bonne con duite mais dépourvus de ressources. Qu'on ne l'oublie pas, ce sont les petils ruisseaux qui font les grandes rivières. Au temps de Ia récolte, que chacun apporte sa javelle, ces ja velles formeront des gerbes, et ces gerbes réunies feront un grenier d'a- bondanice. PARENTS OUVREZ LES YEUX SUR L1 ENSEIGNEMENT DE L'ÉTAT. Nos bonnes populations catholiques ont le tori de ne point regarder de trés prés le travail vigoureux el continu qui s'opère dans toutes les ècoles de l'Etat, pour nous faire aboutir insensiblement mais irrésis- tiblement a la déchristianisalion compléte des generations futures. De temps en temps quelque sinislre éclair perce Ie nuage donl ce travail ténébreux s'enveloppe, et alors nous voyons apparaitre les laides figures de ces manoeuvres d'ini- quité; et quelque chose comme la voix effrayente du lonnerre retentit a nosoreilles cl nous fait bondir d'épouvante, au bruit relentissant qui roule sur nos tewo Tout renseignement de l'Etal, quana n est donné d'apré-s les déteslables principes du libéralisme moderne, devient fatalement Ui. «.«.ooitrneinent anti-chrétien. Voyez, en elïet, ce qui se passé. Les Universités de fEtat, prises dans leur ensemble, jugées par res lenaances ct les doctrines de la gênêralilé des élèves et des maitres, sont des écoles d'athéisme oü la mort sans prètre el sans Dieu est glorifiée comme un acte d'héroïsme, triomphant des préjtigés el des lerreurs de Ia superstition calholique. Notre enseigne ment supérieur, tel que l'Etal le laisse 011 le fait donner, non-seulement est étrangera toute idéé chrélienne, indifférent a tout prin cipe religieus, mais presque toujours, mais presque parloul. ouvertement hostile, auda- cieusemenl injuste, envers les vérités l'onda- mentales de la révélation chrélienne. La révélation chrélienne! Mais, grand „icnsonge prêchent rorgueilleusc révolte de la raison h'umaine contre toute croyanee positive contre tout culte el toute divimlé. Et nous n'avons guère mieux, undegré plus bas, dans ce nombre effrayant d'athé- nées, de colléges, d'écolés-moyennes, qui couvrsnt la face du pays et répandent par- tout finfeclion des plus mauvaises doetrines. Pauvres enfants., condamnés a traverser eet age critique de la vie, oü la première fougue des passions éclate dans toutes ses ardeurs, sans que le frein snlutaire el seul eflieace des enseignemeiils el des pratiques de la foi vienne retenir et diriger ces élans impélueux! Et 011 les compte par milliers, et ils grandissent ainsi, sans qu'aucune voix leur fasse entendre jamais les graves lécons qui settles peuvent les éelairer sur le chemin périlleux de la vie ct les empêcher de courir et d'etre entraïnés aux abimes! Nous sommes réellemenl frappé de terreur quand nous songeons a l'avcnir que nous préparenl de pareilles éducalions. Nousavons pu conslater, plus d'une fois, dans d'cf- frayanles, expériences, ce que sont, ce que devicnnenl, dans ces établissaments sans Dieu, des enfants de quinze ans, déja vieux d'impiété, fanés dans leur fleur, usés a lous les mépris, armés pour tous les attentats. Et que disons-nous quinze ans? Par une macbinalion presque infernale, on a trouvé le moyen d'encaquer, dans les soidisant cours préparatoires des écoles-moyennes de PEtat, des enfants de buit ans, qui n'y ap- rennent pas un mot d'enseignement reli- gieux, qui croissent comme des sauvageons, el vont a leur première communion, paree que l'usage le vent encore, mais sans que l'on puisse presque espérer qu'ils ont la foi a ce mystère, dont les petils libres-penseurs qui les enlourent font l'objet de leurs plus ignobles plaisanteries. Allez done voir a l'église, dans les rares occasions oü ils y paraissent encore, allez voir aux confessionnaux oü on les pousse a certaines époques, ces émancipés de nos tristes écoles officielles, ces inalbeureux internes des pensionnats qui y sont annexes; allez les voir, surtout, quand ils vont en ricanant, a la Table Sainle, etvonscom- prendrez en frissonnant, quel avenir rensei gnement libéral nous prépare. N'est-ce pas une bonte de voir des hom mes, distingués par Gesprit, paria penséeet par la parole, regarder a noire époque darts les siècles passés et n'y déconvré' que les obscurités? lis nous font songer a ce touriste qui, visitant nos splendides cathédrales, au lieu d'y admirer les chefs-d'oeuvre de Part ogival, les grands arceeux et les superbes colonnes, s'arrêteala porie, sonde au coin du regard, découvredans rombre une loile d'araignée, et s'en va dire que e'est tout ce qu'il a découvert sur ce monument! Ainsi beaucoup de nos savants ne voient dans I'Eglise, cette construction gigantesque, que la loile d'araignée; ils s'inclinenl a terre et ne regardent pas au-dela. II faut prendre notre vol, monter plus haul el examiner les choses et les monlrer aux autres dans leur hauteur sublime. Les barrières sont fermées a partir du 4 Janvier 1873, a six heures du soir, et le roulage est suspendu sur toutes les routes pavées, empierrèes el en gravier dans cette province, tanl sur celles de l'Etat que de la la province et des communes, a l'exception des traverses des villes mentionnées par l'ar- rêté du gouverneur de la Flandre occiden tale, en date du 3 Février 1873, n° 32,833 et dans lesquelles la libre circulation peul mainlenue a litre d'essai. ACTES OFFIchu SOCIÉTÉ DE La CONCORDE. Programme des morceanx qui seronl exéculés, le Jeudi 7 Janvier 1873, a 7 1/2 heures, par la Musique du 1' Régiment de ligne, sous la direction de M. Ch. Simar. Martha, ouverture, (De Flotow.) Fan- laisie sur l'op., Philemon et Baucis (deman- dé.) (arr. Ed. Simar.) Arlequin, polka, (Metra.) - Giroflé Girofla. pot-pourri, (Le coeq.) Valse, entr'acte de la boite de pandore, (Litolf.) EU EE A II DIJ GÉNIE. €&b« ileiiiaiiilc Kantoor van clcn KOTA BI B f'i C!APEMLE, TE WAT OU. Bij zondere Bekendmaking. Den Notaris capelle, te YVaton, is belast met de verkooping van eenen SCIIOÖNEN bestaande in voortreffelijk Woonhuis, Scheurc en verdere Gebouwen, dien stig voor allen koophandel, wel gele gen in bet kanton Rousbrugge - Haring lie, met onder bebouwden grond, hovc- merhof, weide en Zaailanden 5 hec taren 73 aren 51 centiaren. De liefhebbers kunnen gezegden Notaris ten zijnen kantore vinden bij zonderlijk den Donderdag voormid dag. La Commission administrative des Hospices civils de Wytschaete, a l'hon- neurd'informerle public, que le wT.- CREDI13 JANVIER 1875. a 2 res de relevée, il sera procédé, a la Maison Communale dudit li^u a LADJUDlGA TION PUBLIQUE L'HOSPICE DES VIEILLAMDS W1TSCHAETJE. Les p'lans et devis des dits travaux sont deposes a Tinspection du public a l'hospice des vieillards a Wyt- Pour Ia Commission administrative: E. IBccouinck. VERKOOPING koopcn «eer üteliooiic ei» zware IEPEN, ESSCHEN, ABEELEN, POPELIEREN en EIKEN TK I)KAAOI TI(l<; DONDERDAG, 21" JANUARI 4875. Eerst, om 9 uren voormiddag, ter hofstede gebruikt door sleur Louis Lagache, zuid van de plaats, langs de Wulvestraat, 48 koopen. En tiueeds, om 4 ure namiddag, ter hofstede, gebruikt door sieur De- cherf oost van de plaats, langs de Bleekstraat, 77 koopen. Door het ambt Van den Notaris VAMDERMEERSCH te Ypre reside rende. lente ïmliiiUgtie de t rès-beaux COUPE ORDINAIRE POUR 4875, situés a WARNÊTON ET PLOEGSTEÊRT. Le Notaire 1' ïCrooiA. résidant Warncton, vendra publiquement Le LUND1 48 JANVIER 4875, a 2 heures de relevée, au cabaret le Repos du voyageur, a Ploegsteêrt, prés de la Hutte, les Bois-Taillis suivants: A. A la requête de MM. Struye. B. A la requête de M. de Ghellinck de Walk: C. A la requête de M",c DAIalluin. D. A la requête de M"c Desimpel. Long crédit moyennant. caption solvable a rapaisement. du dit Notaire VICTOOR, chargé des conditions de cette vente ct de la recette. Qu'on se le disc. Studie van den NOTARIS MAHIEU, TE YPRE. A. ZATERDAG 4 6 JANUARY 4875, 3 uren nanoen, ter herberg den l f'anl, te Ypre, oiieisI»a,re verkowssissg STAD YPRE. dienende voor broodbakker'y en lier- berg genaamd de Lander, zuid- zyde der Tegelstraet, N° 47. EN DRY A CHTFJUTZEKENS Grond en Erf, aen 't voorgaende, gebruikt d<w Roose en andere. genaamd Chateau du Lièvre zuid kant van Onze-Vrouwstraet, N" 47. ELVERDINGHE. staendc op grond beboerende M. Vanderghóte, langst de 'kalsiede van ElverdinghenaerBoesinglie, gebruikt door Debacker- Vansteen. ÏB. DYNSDAG 49 JANUARY 4875, een ucr nanoentor hofstede het Noordhof, te Oostvlctcren, gebruikt door Deiiaenb, oost tegen den steen weg van decs gemeente naer Elzcn- damme, openbare verkooping van zeer schoonc en dikke EIKEN, ABEELEN en IEPEN van eerste Rivaliteit, TE ANTWERPEN. Knicwitz; ISleeckx ti' 24, Oudacnstraat, ANTWERPEN. !YIr DESMARETS, Professeur de mu sique, reprendra ses leco.ns de piano chant, théorie, etc., dans cetle ville. Ij E IE, LE RÉPERTOIRE DU RENTIER, Dieu! on s'en momm s;in« r\ndoiir anennn ..utiires eirtpeslees ou I erreur et le QOpe /"V*5 Par arrêlé royal du 27 Décembre. nn pido do B.483 fr. est nccordé au conséil de fabrique do l'église de Clercken pour des tra- va ux a y exécuter. rAtio 111 iino. Un jeune voleur d'avenir. Philippe Gollard vient d'etre arrétó rue de Rivoli a Paris. Ce garcon, aussi intelligent que paresseux, s'était fait une spécialité: il volait les mendiants, les aveuglos surtout. Voici comment il s'y prenail. Il suivait un aveugle, causait avec lui el flatlail son chien. II avail pour le chien quelque friandise dans sa poehe. Bref il s'en faisait un ami. Puis, quand il voyait quelques sous dans la sébile, il s'en empa- rait au noin de l'amitié. Avanl-hier done, ruc Rivoli, le filou regard ait tendrementles gros sous tombordans la sébile qu'un beau caniche tenait dans sa gueulc. Comme au canicbe, il avail offert le matin un os superbe, il no doulail pas de lui. Ilélas! quand il votilut prendre la recette,le chien lui sauta bel ct bien a la gorge et il iallut l'inlerven- tion des agents pour lui faire lacher prise. Eli bien! ce n'est pas la prison qui préoccupe le voleur. II se dit: 'Jn caniche ingrat, ce n'est pas naturel. Celui-la doit êtré enrage! Et il a eu tellement peur qu'il est tombé malade et qu'il a fallu le transporter a l'Hótel Dieu. La Patli en Russie,Une seéne d'enlhnu- siasme sans précédent s'est produite a Moscou a l'occasion de la representation donnée au bénéfice d'Adelina Paiti. L'opéra cboisi élait le Barbier de Seville. Le théatre, malgré le doublement du prix des places, élait aussi plein que possible, et la recette s'éleva a 37,000 fr. L'opparilion de l'artistc fut saluée par des applaudisseinents répélés; Irois fois elle dut chanter l'air de la Lecon de musique.A la fin de la representation, on lui offril cinq inagni- fiques étoiles de rubis ct diamanls et un autre bijou compose de superbes brillanls. On se fera une idéé de Centhousiasme qui régnait, lorsqu'on saura qu'elle fut rappelée soixante dix fois et que plus de 2,000 bouquets couvrirent la scène. Les hommes ne sont-ils pas fous? Pendant que Mgr l'évêque d'Orléans lisait, en latin, un passage du Syllabus, un membre de l'cxtrémo gauchc soulignait chacun des mots par des all! all! ironiques. Vous comprenez le latin? lui dit son collogue T..d'unair surpris; vous avez done été au collége? Moi! jamais, répondit avec fierlé le radical; en fait de collége, je n'en connais qu'un seul: le collége electoral. M. Thiers causait dernièrement avec un député. II n'y a que la République dé possible disait- il. Mais la République effravè tout le monde, vous 11e pourrezjamais la consolidcr. Que si, que si! nous commencerons paria faire petite; puis, au fur et a mesure qu'on s'y habituern, elle grandin... Vous aurez beau faire, elle n'aura jamais que voire taille. Une juste definition de la snirite République: i< La République est la reine, de ceux qui ne veulent pas de rois. On lil dans les Petitqs, Affiches du 17 Dé cembre: ,e ft Une orpheline, agée de dix-nenl'ans, possédanl 14 millions, desire épouser un ■prince, francais!!! S'adresser, par letue affi'an'cliie. avuu iirnhre pour la réponse a M L.F., 34, poste restante. Pas de cummenlairés. des de sdbnDtp Le PliÉSlDENT, van 1° Le TA1LLIS agé de 8 nns, d'une partie de bois dito: Piories, nontenant 3 hectares, 30 ares, 80 centiares, tenant au cbemin Crampon Divisé en S marcliés. 2° Le TAILLIS agé de 8 nns, sur un hectare, 32 ores de bois nomnié: Riiez véuve Jacques, tenant du midi a la drève des Piories Divisé en 3 marches. 3° Le TAILLIS agé de 8 nns, sur 02 nres, 03 cenlinres de bois noirimé: Rots Lillies, tenant du 0|vnut a la partie précedénie: Divisé en 2 marches. 4° Le, TAILLIS agé de 7 ans, d'une partie do bots nomtné: Rois de la Polterie, cóntcnant I hectare, 40 airs, 48 centiares. Divisé en 8 marches. 8° Le TAILLIS ctoissant sur 2 hectares, 30 arcs, 08 eent in res de bois dit: Rois da Mont, contre le pavé de Ploegsteêrt. Divisé en 7 marches 0» Le TAILLIS agé de 7 arts, d'une pat tie de Bois Tail lis si lué a Warncton, prös du chemin de Calais. Les gardes bois Charles Laperse el Gesquierc, indiqderont les marches aux amateurs. van: Di'ooge wiiai', geene natte noch zwarte stukken inhoudende, aan bijzondere voordeelige prijzen. GROOTHANDEL IN BESTE PETROL.. Voor alle inlichtingen, prijzen en voorwaar den, wénde men zich aan de Hooien daraissant le Dimanche avec 10 pages nu moins, r Pi EVD RA LE 1 cr JANVIER LE" NOM DE Redacteur en chef: E. LIIOEST, avocal. Directeur gerant: F. COPPENS. BUREAUX A BRUXELLES, RUE DE LA MONTAGNE, ,77. (N. B. A daler du 1" Mars ils seronl transféiés au boulevard Central, coin de la rue Borgvnl.) Le journal donne: 1° Une causerie financière etun compte rendu .détail Ié de la Bourse des fonds pu blics de Bruxelles; 2° Un compte rendu dos Bourses de métaiix et charbons, dos grains et des sucres de Bruxelles; 2° Une revue compléte nu marché francais; 4° L'étude -do toutes les affai res beiges et francaises, et celles des pis'nqipalos affaires étrangères; 8° Des correspondances par- ticulières d'Anvers. /aége, Londres, Berlin, etc.; ti" Tous les «enseignèfnènts pouvant intéresser les reniie1"! e' spéciaelmenl: 70 la L1STE OFFICIELLE DE TOUS LES TIRAGES. Abonnement d'un an j 5 francs. trance, 9 francs. PRIME GRATUITE AUX ABONNÉS: volume in 8° comprenant 1° Un tableau synoptique de toutes les valeurs traitées en Belgique et en France et des principales valeurs de l'élranger, avec l'indication du revenu, des paiements des coupons, le revenu des actinns- etc,. etc; 2" Des détails complets sur les valour, introduites depuis 1872 a la Bourse de Bruxelles; 3° Une notice spéciale sur le Grand Central Bei ge et les valeurs qui s'y rattaehenl; 4° Une not is ce scmblable sur la Convention du 28 Avril 1870 pour le rachat des chemins de fer des Bassins ItouiIIers; 8° Divers renseignements utiles aux rentiers. Toute personno qui prendra un abonnement potir année lecevra lejournal gratis en Décembre 1874. QAMTF A Til I vendue sans mcdccine, sans purges et sans frais OMIM I Li. t KJ \J O par la dclicieuse farine de Santé de Du Barry de Londres, tlite: Vinot-civ ane it invariable succes. 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Johnen Guisse, de Comet /atnaïitnous écrit: Si je n'avais pas fait usaqe de la Revalenla, qui m avail été presaite. par les médéciiis, je n'exiéterais plus maintenant La femme de AI. sang et toux opiriiAlre Gure TV" 36,212. At. le capitaine Allend'épilepsie. Gure A'° 40.842. Marie Jol;/, de 50 ans de. constipation, indigestion, nervositcinsomnies, aslhme toux flatus, spasmes et nuusées. Gure. A"> 63,476. AI. le cure. Comparet. de dix-huit ans de Gastralgie, dc sou/frances de l'estomac faiblesse des nerfs, et sueurs nocturnes. Gure A'° 47,422. Épuisement. AI. Baldwin de détabrement le plus complet, de paralysie des membres par suite d'excès de jeuncsse. Cure, A/0 76,448. Ferdun16 Janvier 1872. Depuis 5 ans je sou/frais de maux dans le cólé droit et dans le creux de l'estomac, de mauvaises digestions,, etc. Je n'liésite pas ci vous certifier que voire Revalenla m'a sauvé la vieEknest Catté. Musicien au 63" de ligne. 5 Plus nourrissanle que la viande, elle économise encore 50 fois son prix en mêdecine En bolles: 1/4 kil., 2 fr. 25; 1/2 kil., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 12 kil., 60 fr. Les Biscuits de Bevalenta, en bolles de 4. 7 el 16 francs. La Revalenta chocolatée, en bolles de 2 fr. 25 c.; de 576 lasses, 60 fr.Envoi contre bon de poste, les boites de 32 et 60 fr. franco Dépot chez C. Becuwe, pharm. rue du Verger. H. Frysou, rue de Dixmude, Ypres. Bruges, Vve De Grave, droguisle, rue Eeckhout, 2. V. Veys-Frisou, Prés St Jacques, 2, pharmaeien. L. Algoet Dispersyn, négociant, rue Notre-Dame, 33. De Hondt-Gazet, denrées coloniales, rue des Pierres, 10. A. Willaert-De Smet, denrées coloniales, Grand'Place. 3. Courtrai, H. Bossaert, pharmaeien. E. Diers, pharmaeien. Furnes, E. Duclos, pharmaeien. Moorslede, Ch. Bostyn, boulanger. Ostende, F. Kockenpoo, pharmaeien, rue Louise. Rooiers. II. Boutens-Degeest. pharmaeien. Tieghem, G. et V. Moreels. Thielt, J. Buyssens-Byl, pharm. et chez les pharmaciens el épiciers, Du Barrt et Ce., Boulevard du Nord, N" 19, Bruxelles.

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1875 | | pagina 7