m <S ÉTRENNES AU ST-PÉRE. mm •""p.a A A/ Immiili Samcdi 9 Janvier 1875. 10'ne année. Nos 942. C,'t5 &- iVl c A/ SmMmM P >- 30 >- Le Journal pmill. Mercredi le Samcdi. - Us inairlious con.cm 18 emisw la ligne.- Us reclames, dan., Ic corps do journal, sc paicot 30 centimes la 1^-00 numéro dn journal, pris »u Bureau, 15 ccnnmcs. Les numeros supplemcnlaires commandés pour articles, Réclames on Annonces, content 20 fr. les 100 exempiaires. CHJElIiarS W E E E It. Itcii&ièiuc Eiste. -oo La noblesse, la grandeur du caraclére de Pie IX que nos jourriaux libéraux insultent avec lanl d'acharnement dans leurs colonnes cyniques ont fait écrire les lignes suivanles au Journal des Dèbats bien peu suspect de tendresse ponlificalc. «Le changement de pontifical, dit-il, ne pa ra it pas prochain. A mesure que Pie IX avance en age, la santé de Sa Sainteté sem- ble s'affermir. Les discours publiés par les journaux soul tin peu retouches; mais on voit claire- menl que le Saint Pére les a composes lui- méme. Sa personnalilé s'alïirme pour ainsi dire a chaque phrase. Que les feuilles maconniqties en fassent done leur deuil, Ie vieux Pie IX, comine elles disent grossiérement, n'est pas prés de se retirer de la linie, et le Prussien et ses cireurs de bolles doivenl, bon gré mal gré, se résigner a Ia patience. Leurs combinaisons el. leurs conspirations ne laisseront de traces que dans les dossiers des chancelleries. Qu'on n'oublie pas Cavour, Napoléon III, Mazzini el d'Arnim. Tola! IV. «,«91-95 AVIS. L'ESPAGNE. II y a quelques semaines, Serrano som mail I Europe de recounaitre son gouverne- ment un gouvernement de République immortelle. Et EEurope, a Eexcepuon de la Russie, obéissait a l'iujonclion de ce sou- verain de I'Espagne a jamais régénéróe. Hier, deux bataillons jetaient par lerre ce gouvernement. Toujours le mot de Incite: Susccperunt duo manipulates imperium pop. II. Iransferendum el translulcrunt. Deux manipulaires.' comme nous dirions: deux sergenis ou deux caporaux! L'hisioire des decadences ou des hontes d'empire est toujours la mème.. II y eul un moment, a Rome, ott les ma nipulaires sc lasSanl de transferer l'empire de celle facon, le camp des prétoriens Ie mil a l'encan; c'est une des pages les plus humilianles de celle suite d'ignouiinies ro- maines, vaine lecon pour les peuples qui veulent mourir. L'Espague csl aussi a l'encan; depuis qna- ranle ans ce sont des manipulaires de caser ne qui la mcltent aux enchércs, et il y a toujours des acheteurs. Celle fois on dit que Serrano la vend et Eachèle a la fois; c'est un raffinement que ne con nu rent pas les prétoriens; ceu.\-ci ven- daient Rome pour une poignéede sesterces, et la journée une fois payée, ils rentraient au camp, contents cl repus, et l'empire re- prenait son train accoulutné de servitude et d'infamie. II serail injuste pourlanl d'assimiler I'Es pagne a l'empire de Rome en sa chute d'i- gnominie. L'Espagne est. une grande et fiére nation: elle a toute la séve du christianisme, et de toutes les nations d'Europe elle est peut-ètre encore la plus vivace, paree qu'elle est plus fidéle a elle-inème. Mais il lui arrive ce qui arrive a toutes les nations qui ne sont pas gouvernées; elle est exposée a passer par lous les coups de ha- sard que peuvent tenter des criminels de caserne ou de palais. L'Espagne est saus gouvernement; c'est depuis quaranlo cinq ans la raison de ses misères et de ses hontes. Et I'Espagne est-elle seule coupable et seule responsable de son élat deruine mora le? L'Espagne a de grands complices, ce sont les gouvernements d'Europe. Depuis quaranle-cinq ans, a quoi s'amuse l'Europe? A voir lomber tour a tour les Royaulés, etsurtout celles qui reposaient sur le droit naturel de la durée. L'Europe depuis 1830 a vu lomher par la politique plus de trónes que la guerre n'en avail hrisé en dix siécles. La guerre est un grand desaslre social, mais qui ne louche pas a la racinede la sociélè; elle renverse les pouvoirs poliliques, elle n'alleint pas le pouvoir, et les peuples peuvent vivre méirie aprés que leurs rois out pèri par la violence des arincs et le malheur de la défaiie. lei ce qui péril, c'esl la Royaulé. Et aussi ce qui esi mis a l'encan, ce n'est pas un tió- ne vide, ou un noin d'empire, c'est l'empire mème, ou le droit qui fail l'empire, el en quelque sorte la vie totale do la sociélé. Et lelie esl la grande complicité de l'Eu rope. L'Europe ratifio la chute des pouvoirs; c'est comme si elle laisait les attentats qui les préoipileuf. Nous allons voir ceci une fois de plus: Hier l'Europe envoyait des ambassades a la République de Serrano; aujourd'hui elle va envoyer des ambassades a la Mouarchiede Don Alphonse. Republique! Monarchie! y a-t-il un droit politique en Espagneaux yeux de l'Europe? Ce qu'il y a, c'est un droit de Revolution en permanence, el tout ce que ce droit engendre de péripéties, est sanctionné par ce qu'on appelle encore du nom de droit public. droit public! Negation et proscription du droi t! La langue humaine se prétc mal a de si améres risees. Aussi qu'arrive-l-il? Cest que la logique du désordre suivanl son cours irresistible, le petit nombre de pouvoirs reslós debout dans cette vaste ruine des pouvoirs se senlenl mi nés a leur base par les mèmes principes de destruction. Et ainsi I'Espagne n'est pas toute seule a l'encan; l'Europe peut ct re inise a l'encan comins I'Espagne; tout depend d'un camp de prétoriens, el d'un acheteur assez nclie pour le payer. A quel tilre l'Europe serait-elle, en efTet, plus en droit que I'Espagne de se protégcr conlre une enlreprise de caserne? L'heure présente serail mal choisie, peut-êRe! mais il y a toujours une heure propice pour le crime, quand Ie crime, qui est ia force, ne croit avoir conlre lui que ia force. Dés que le droit n'est qu'une leltre, il n'y a plus de droit; c'est le moment de mettre a l'encan tous les Etats: il n'y a plusalors de sociélé: la barbaric recommence. Que va dire la presse libérale? On se rap- pelle avec quel enthousiasme elle a applaudi a la chmtede la reine isabelle, détrönée par cette rare figure de trailre qu'on appelle Serrano. Que de saietés, que de boue n'ont-ils pas jelée a la tèle de cette majesté déchue, qu'ils ont comparée a la plus vilc des prostituees. Eb bien! voici que le même Serrano relé- ve la couronne royale qu'il avait lui-mème lancée dans la fange pour Ia mettre sur la léte du fits d'Isabelle. La Revolution est allée chercher sur les bancs de l'école ce collégien de 18 ans, pour le proclamer roi. La République espagnole est morte, morte el enlerrée après une courte et chétive exis tence. II fa.nl bien que nos libéraux qui font tant acolamée en fassent leur deuil. Ce qui va passablement gêner leur altitu de, ee sont les felicitations que le roi des Beiges, au diro de I'Atjence i'lavass'cst empressé de télégraphier a Don Alphonse. Encore une fois, que vont-ils dire? nous raison de demander un peu plus d'bar- monie enlre les noms et les choses, enlre les maximes el les réalités? Nous en sommes au point que, pour le présent, les chefs du parti se répandent en menaces révolulionnaires trés peu déguisées el que, pour l'avenir, toute l'arméc libérale médite une impiloyable réactiou, dont l'Al- lemagne persécutricc devra lui fournir les modéles. Cela constalé et nul homme de bonne foi n'oserail le nier désormais nous disons qu'il serail d'une insouciance crasse de dorntir sur les deux oreiiles paree qu'on a des déclarations de principes et des lois fondamenlales. Aide-toi, la Constitution l'ai- dera! NOMS ET CHOSES, MAXIMES ET RÉALITÉS. Nous possédons un ensemble de liberies donl plus d'un peuple ser;iil fier. Distinguons cependant. II y a Ia cliose, le droit, el sa jouissance plus ou moins com pléte. Le droit, nous le savons, est inscrit cn lettres d'or dans la Constitution beige; mais autre est la pratique, et presque toujours un doctrinaire, habile dans l'arl de lont conci- lier, proclaine le droit d'aulanl plus verbcu- scmenl qu'il le iole avec plus d'effronterie. Quand le libérolisme maconnique trans- forme le noin do cutholique en tilre de proscription, et tache de suppleer par l'astu- ce et la violence a ce que le pays lui refuse sur le terrain légal; quand, tous les jours, le gueux a des audaces qui susciteraient ses clamours furieuses si le conservateur se les permettail; quand, par un phénomène étran- ge, l'opinion au pouvoir doit avoir trois lois raison et se juslifier de ses actes les plus legitimes, les plus patriotiques et les plus constituIionnels; quand on poursuit a ou- Irance la secularisation des écoles, la viola tion syslémalique de nos cimeliêres, la decadence des mceurs ct la ruine de la Religion; quand le sarcasme immoral ct impie s'étale dans la presse el le plus honteux dévergondage sur Ia scène sous prétexte de liberté; quand nous voyons nos prèlres impunément bafoués et l'Eglise déclarée f ennemi séculaire de la Belgiqucavons- LE LIBÉRALISME ET LA L1BRE-PÉNSEE. Le libéralisme et sa fille la libre pensee ont "la prótention, affichée bruyamment, d'affranchir l'espèce humaine, de la conduire dans les voies de la civilisation el du vrai progrés. Ces grands mots sont pour les bonnes gons. Enlre adeples on s'explique avec infi- niment plus de crudilé. Laissons la libre- pensée elle-mème dépouiller toute réserve dans un de ses rapports. On y lit ces lignes (.ranges: C'est paree que la Libre-Pensée a cru aussi que les cullcs sont inutiles et partant dangereux, qu'elle s'est constitucc en as- sociation, a l'efiet de travail Ier avec plus de force a leur destruction. Los enterre- menls civils ne sont qu'une panic de cette oeuvre, car le prélre doit èire cbassé tout aulant do la celebration de la naissance ct dn inariage, que des cérémonies de la mort. II ne doit pas y avoir de place pour lui dans la vie humaine, puisqu'il ne ré- pond a aucun besoin et qu'il ne saurait être qu'un ennemi irréconciliable de l'in- dépendance humaine. Cela est écrit pour vous, libéraux tnodcré qui caressez des illusions. Les cultes sont inutiles et partant dangereuxLa libre-pensée, en se constituanl, n'a eu d'au- tre but que de travailler avec plus de force a leur destructionII ne doit pas y avoir de place pour le prêtre dans la vie humaine Cette brutale declaration de guerre a la religion ne sera point do voire goCit peut- ètre; mais vous devez la subir malgré vous. Le grand parti liberal voudrait en vain, quand le langage devient par trop compro- mettant, se dégager des liens qui l'unissent a celle enfant terrible. Celle-ci s'atlache aux pans de son habit, comme dirait M. de Lïis- Bismark, ou, pour être plus vrai, elle n'a pas d'autre nature que le libéralisme, elle csl le sang de son sang. Le libéralisme esl lu libre-pensée ou il n'est rien. On l'a dit avec raison: la secte sauvage qui ne recule pas devant les paroles que nous avons rapportées, voudrait nous rame- ner violemment en arriére, droit a la bar- barie. Dc temps a autre les feuilles impies re- TO* fid O CO 2: O CO O Q Z£> O cc as O» m ««SWKS!*1^ rra •vl 1* O TO 3 :=o to C/3 •H 533 TO i O a H TO 30 >- O C/3 OS o O m ro caj -o °per]n«he5l^e1frouck''7*13'^i9'2'!^"i'^r""7'i^"''^,^n^'K JP^-poperinghe, 6-80,9-07,12-00,3-87,6-80,8-45,9-80. - Y pre s - Ro ulc r i 7 no J t V v IIazebrouckpopennghe-Ypres, 8-35, 10-00, 4-10, 8-25. i pies nouters, 7-50, l2-2o, 6-45. lloulcrs-Yjom, 9-25, 1-50, 7-50 itöO 5-iTo' -Mfl'lL3', IV b'^ 7-8A(.9"88- Lichterv-> - Lichterv.-Thourout, 4-25 m. - Brug eS-Roulers. 8- Ypres-d,^, 3-34,9-49,, -18^-30^P^'(5^Sra|: ö'2°' ™t.n jusqu a Langhemarck). - Tliourout-Ypm, 9-00, 1-18, 7 10,10 12-00, 6-40, - Armentières-Houplines-Le Touquel-W Courtrai Bruaps Ins A m*1'S- n' ~Z ?omlne?-Wameton 8-40, m. 9-30 s. - Warnêton-Comines 5-30, 9-50, Bruses Blankpni I n 1 (0"°° s- (Lichterv.)— Bruges-Cowrtrot, 8-25,12-50, 5-13, 0-42. 9 31 11 ÏS S Wtnr 49/11 04,1 ,W'n 28-2-80'8 20(e*P-) (S.5-50)7-35 (exp.)8-45. (bassin)7-00,7 (cxp')4-io 5 30 ill fi'°iRiüb) 1 (e*P 8- 51Heyst, Blankenberghe, Bruges, 5-45,(L. 7-20) 8,30,11-25,1-25,2 Ingelmunster-Devn7e Vïr/LiZ p'' ~o ?iai'«e,i i>er®' Pru§es> 6-10,(L. 7-42)8-55,11-55,1-45,3-05(eXp.)4-30,6-00(D. 0 35) 7,007 it ->t\ /V n 9-41, 2-1 aIngelmunster-iWwze, 4-50 2" cl., 7-15. Gand-De\me-Inaelm unster fi 11-20, 4-46, - Deynze Ingel,munster, 7,31 9-10 2° cl, 11,54 5,19, 8-20 s Y 9 munster, 6 Lich ^vMr'un—l2;10' °"la- ^S^m-Ingelmunster, 7-42, 2-20, 7-45. 3 45J5- 05 mude-Fumes el Dunkerke, 6-30, 0-08, 1-33, 7-55. - D^fetWce-Furnes-Dixmude el Lichtervelde6-45, 11 w" ss'4i4s- Po- 25, 48, rar- 36, 43, 48. 58, 15, Garni Ternenzen, (station) 8-17, 12-15, 7,25. (porte d'Anvers) 8-30, 12-40. 7-43. Terneuzen-Gand, 6 00, 10-30, 4 40. belzaele-Lokeren, 9-04, 1-30, 8 30. (le Merer. 5-10 in.) Lokeren Selzaele, 6 00, 10-25, 4-45. (le Mardi, 9,30.) COB.B.ESE'OPrDA.WCEa. Bruges dep. Gaud arr. Bruxelles COUflTRAI, BRUXELLES. Courtrai dep. 6,37 10,53 12,33 3,47 6,35. Bruxelles arr. 9,20 1,35 2,25 6,14 8,58. COURTRAI, T0ÜRNAI, LILLE. Courtrai dép. 6,37 10,86 2,54 5,34 8,47. Tournai arr. 7,28 1 1,47 3,48 6,29 9,41. Lille 7,37 12,05 4,00 6,32 9,55. COURTRAI, GAND. Courtrai dep. 6,42 12,31 3,44 6,40. Gand arr. 8,01 1,51 5,04 7,30. BRUGES, GAND, BRUXELLES. 6.49 exp. 12,34 3,52 exp. 6,43 8,19 exp. 7,34 1,49 4,42 7,58 8.50 4,00 5,50 9,31 10,20. BRUXELLES, COURTRAI. Bruxelles dép. Courtrai arr. 5,22 8,00 8,28 10,40 12,21 2,44 5,35 7,56 6,47. 8,44. Lille dép. Tournai arr. Courtrai Gand dép. Courtrai arr. LILLE, TOURNAI, COURTRAI. 5,20 8,25 11,05 2,18 5,20. 5,42 8,56 11,34 2,40 5,39. 0,34 9.47 12,26 3,38 6,33. GAND, COURTRAI. 5,15 0,34 9,38 10,51 1,28 2,49 4,24 5,31 7,21. 8,42. BRUXELLES, GAND, BRUGES. Bruxelles drip. 8,14 11,53 3,12 5,55. Gand arr. 6,00 9,41 1,23 4,20 exp. 6,37 7,22. Bruges 7,20 10,34 2,38 5,11 7,22 8,38. 2- 2- 10- 200- 20- 30- 100- Monlant de la lisle précêdenle, fr. 961 PAROISSIÏ BE ST-MARTIN (VPRES). M"'« la Douairière Baronne Van Znylen van Nyevelt, (>o - M. Van den Peerehoom-Macqnart, -)00- M. ct M",c Slruye-Van den Peereboom, 100- Mllc Marie Slruye, ^0_ M"e Louise Struye, 10- Une familie dévouée au St-Père, 12- M'" Em. D. V3_ Anonyme, q AC' 6- C. C el 11 R., amis iniimes, deman- denl la benediction au St-Père, 5_ Anonyme, Ai ony.me Pour olitenir la paix dans inn familie, y R V. Julie Coiittenier, M D. V. et R. V. M et Mllc Mulle. M. Pli. anden Berghe, M"' A. Maelsial', M. el M",e de Blauwere, M. Maximilien de Blauwere, M. Napoléon Meersseman, -|0() PAR01SSE BE ST PIERRE (VPRES). Anonyme, y PAROISSE BE ST-JACQEES (YPRES). M Gravel, gewezen Pastor, I)e Lerw. Zusters Carnieliterssen, M""1 la Douairière Iweins, M. Ed. Declei rq, vicaire, A. B C. B C. D C. D, E. Justine Desot, Une anonyme, M. ei M""' Kol-De Breyne, M. et M'"* Er. Debouck. 1 rois personnes dévouées au St Père. Mlu Jeanne Clement, POPERINGHE, PAROISSE DE ST-JEAN. M. Demuynck, Pastor. Mad. Cauwelier, Jufvr. Cbarl" Vanhille, M.J. Verwilghen, onderpastor, M. Aug. Allaeys en zusters, Mad. Coutteel, Francois en Ivo Decorte, B' Gast, Onbekende, Eene Diensimeid, Eene congreganiste, Eene onbekende, RAS-WARNÊTON. M. Ie Cu ré en quelques paroissiens, WESTOUTRE. M. Vanhouver-Salon et sa familie. 00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 00 Les personnes qui seraient embarrassées pour 1 'aire parvenir au centre de l'ceuvrele montant de leur souscriplion, peuvent l'envoyer en mandats sur la poste a M. le doyen d'Ypres. 2° Aous ne pourrons publier chaque semaine que les souscriplions donl la note el I'argent seront parvenus au centre de l'w.vrechez M. le Doyen d pres, avant le Jeudi midi. 20- 20- 10- 10- 2- 1- 1- 40- 10- 5— 3- 20- 10- 20- 100- 15- 12- 20- 10— 3- 2- 2- 1 1 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 - 00 00 -00 -00 00 -00 -00 ■00 ■00 -00 00 00 00 00 00 00 00 -00 -25 Anonyme, VEAMERTINGHE. 75—00 5—00 MM. les Ecclésiasliques de l'arrondissement voudront bien recevoir les souscriplions Joules autres personnes de bonne'volonlé sont egalemenl considérécs convme apt es d rccueilliv t a recevoir et a transmetlre les off.rundes. On les percoit egalemenl au DUREA IJ DU JOURNAL IJ' YJ'RES el du NIEUWSBLAD. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1875 | | pagina 1