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ÉTRENNES AU ST-PÈRE.
(^2r Samedi 16 Janvier 1875
10me année.
Nos 944.
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Le Journal parait le Mercredi et le Samedi. Les insertions content 15 centimes la li'me.-
Les réclames dans le corps du journal, se paient 30 centimes la ligne.- Un numéro du journal, pris au Bureau
suPPleine"'aires cöminandés pour articles, Réclames ou Annonces, coütent 20 fr. les 100 exemplaires.
Po ieri - V - C 51 M M 1 N 8 E E II.
l^'peble-Dix.^Tl^ "?-•
Li de 7,37 12,08 4,00 6,32 ojss!
S'roisièiue Idsfc.
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Total fr. 3,S4»-75
AVIS.
QUI DONC ÉTES-VOUS.
Nous (leuiiindons encore a nos libéraux
a vee le Bicn public:
Qui done êies-vous, philanlro|>es do car
naval, pour plaider la cause de eeux qui
om fa it 11, de eeux qui out froid, de eeux
qui pleurem?....
Ou sont vos ccuvres de charité cl quclles
soul les soumies que vous avez employees a
I soulager dans nos villes et dans nos earn-
pagnes lesdélresses trop róelles de lant de
inaliteureux'?
Barlois, tl est vrai, vous danscz pour les
pauvres, mais il est bien rare, qu'aprés leur
avoir fait payer los violons du bal, vous leur
laissiez grignoler, sous vos tables sotnpiueii-
scs, les mielies de Lazare!
Vous lailes un crime aux calholiquös de
recueillir les oll'raades destinées a Pie IX, et
vous sonlirez, saus rougir, de la poehe du
pa 11 vre le denier de vos plaisirs suspects!
II voiin laut a vous, le denier de la
(Ramie Duc/tr.sse et de la Mere Auipu, |c
denier des Juiles de AJarbrc et des Dames
uux Caméltasle denier de la volupié, le
denier de ce sérail cliorégrupbique et musi
cal epie vous appelez Ie theatre! E'. tous
doivciit pay etpauvres ou riches, sous peine
de eoiiiiHiute; c'est la dime de Vénus, oné-
reuse el obligatoire!
Supputez maintenant, si Ie coeur vous en
dit, le c hilli e des dons librement recueillis
pour Pie IX, Pon life et Roi, et vous verrez
que les offrandes destinées au Chef de l'Egli-
sc, a Bruxelles par excmplc, nesufliraienl
pas, hélas! a monter tine piëce nouvelle ou
apourvoira la toilette plus que sommairede
vos balleriues favorites!...
Elablissez aussi, puisque vous repro-
cltez aux eatboliques d'oublier les pauvres,
élabltssez le total de vos largesses pbilan-
tbropiques! En vain tacheroz-vous de le
got.ilier: les ebilfres prolesleront coutre voire
vamteuse emphase el vous erieroni avec un
des vólres: Les libéraux! l'inyres, tons
I pint/res!
C'est le mot de la fin... d'année, el, puis
que vous l'avez voulu, nous l'opposons a
la sinislre prodigalilé des calholiques
envers Pie IX, envers les pauvres, envers
tons eeux dans leftquels ils reconnaissent el
retrouvent, a quelque litre que ce soit, leur
Maitre, leurSauveur et leur Seigneur Jésus.
L'ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE.
La thése de l'enseignement gratuit, laïque
et obligatoire est de nouveau remise a
I ordro du jour du libéralisme. Des vccux en
faveur de l'adoption de cetle réforme
par la legislature, viennent d'etre soumis
aux conseils comm'unau.x d'Anvers, de Gand,
de Natuur. La même motion féra vraisetn-
blabletnenl le tour de lous les conseils com-
munaux libéraux du pays. On connait le
secret de ces manifestations spontanées
dont la Franc-maconnerie lient les Ills, d'aii-
leurs assez grossiers el visibles a l'ceil nu.
Nous Savons quel est le but des promoteurs
do I'inslruclion laïque et obligatoire. lis
s'inquièteut assez médiocrement de l'épa-
nouisscment de la civilisation, du progi^ès
des lutnières, etc., etc.; mais ilssavent que
cette mesure, comme nu liberal allemand le
déclarait naguère au He te /is hu/, aboutil
nécessaircincul a mellre I cuseignemeni
tout entier eutre Ie3 mains de l'Etat.
Nous rèpétons par conséquent aux catho-
j liques, et spéeialement a tons les hommes
j d education, I uvertisseinenl que nous leur
avons adressé deja plus d une fois: Soyez
prévoyatils; qu'unu situation locale, satisfai-
sanie mats précaire, ne vous fasse point
perdi e de vue favenir: n'oublièz jamais que
la (ll.sparitiuu tfunt: école cal/tollt/ue et libre
csl, lot/jours cl en solpuur Ie libéralisme
una vé' liable vicloire. Sotigez enfin que si
la loi de l«S4'2 v-enait a élre tuodiliée dans le
sens liberal, il importe que noussoyons prèts
a la lutte, que nous ayous les ressources
pour la siuitenir, el, lout au moiiis, les
cadres de Parmée d'instiluieiiTS chretiens,
ap|ielêe,dans cede bypothése, a lutler contre
Ier écoles sans Dieu de l'Etat!
Plus nous y songeons, plus tl nous parait
utile, opportun, nécessaire méme d'insister
sur cetle situation. Nous remplissoits 1'office
de la sentinelle qui, placóe sur urt monticule,
apercoit de loin et signale les.tnauoeuvres
de l'ennemi. Evidemment Ie liberalisme
concenti e ses lorces et prépare une evolution
dont le denouement pourrait élre fatal a
l'enseignement religieux et libre. Calho
liques, prehez garde d vous!
Bien public).
UN SCANDALE.
Des feuilles exotiques s'occupent encore
d une rapsodie due a M. Delaveleye, profes-
seur a l'université de Liége, qui, au lieu de
retnplir los devoirs de sa charge, ne trouve
rien de mieux a faire que de dénoncer sou
pays a 1'élrangeri La République francai.se,
organe de M. Gambetta, résumant l'écrit du
pröfesseur liégeois, dit:
«Ce qui ressort de l'état des partis, des
faits, des documents, des statistiques, c'est
que, par suite du libéralisme de la Consti
tution beigela liberlè se trouve aujourd hui
dans le plus grand pér il-, elle est battue en
bréclie, elle ne subsiste que par la lolérance
motnenlanée du elergé qui a sans doute en
core quelque parti a en iirer, et par la pru
dence imposée aux ministres jusqu'a ce que
l'état de l'Europe leur permette de porter le
dernier coup. La vérité est que la population
beige est pour les trois quarts sous la ter
reur déricale, quil ny a plus de sêcurité
pour personne, que la Belgique ne s'appar-
lient plus qWen apparence; son gouverne
ment est dés a présent in manu. Le parti
libéral a perdu pied; dans toule la partie
llamande du pays, il n'a que deux représen-
tants; encore n'ont-ils dü leur elect ion qu'a
leur influence personnelle.
Nous savons t rës - bien qu'en general les
dénonciations anti nationales de M. Delave
leye obtiennent pen de succés dans les pays
voisins; mais cependant elles faussent chez
certaines personnes le jugement dont noire
pays est I'objet; elles Ie déprécient et éloi-
gnent les sympathies dont il est digne a tous
égards.
Or, Ie róle joué par M. Delaveleye serail
dé ja fort blamable s'il était le fait dun sim
ple particulier, et dans la person ne d'un
pröfesseur de l'uni versité de l'Etat, il ne
saurait élre plus longtemps toléré. Le gou
vernement ne pent pertnctlre qu'un fonc-
l ion na i re public aillo calomnier son pays a
l'élranger et le mettre en état de suspicion
au point de faire éerire qu'en Belgique il
lig a plus de sêcurité pour pér sonne. Ce
scandale doit cesser et nous engageons
beaucoup l'honorable ministre de l'inténeur
a s'cu occuper sérieuseinent.
Patrie
élémentaire. Raison sans doute pour que les
hautes intelligences politiquesde noire temps
ne descendent point jusqu'a cel humble
alphabet.
II y a, chez nous, des aumóniers militai-
res. Mais leur action est presque nuIle. Telles
que les choses se passent, le róle de l'autnó-
nier se borne presque exclusivement au
service des malades el a 1'enterrement des
morts. Les gons valides lui échappent tou-
jours. C'est au point que s'il voulait prêcher
ce pcuple de soldats dom il est censé le pas
teur et le père, il ne saurait ou le rencontrer
et le réunir. II prècberait litteralement dans
le désert. Eutreteinps, que deviennent les
pauvres soldats, souvent braves jeunes gens,
sortis de families chrétiennes et habitués a
la pratique des devoirs religieux? Nous au-
rions beaucoup d'autres questions a poser
encore. Elles sont trop trisles a résoudre el
nous y renoncons.
La France, par son assemblee nationale, a
mieux compris ses devoirs, mieux pesé sa
responsabilité. Une loi récente vient d'y
organiser l'aumónerie militaire et d'as,surer
1'influence salutaire du prètre sur le soldat.
AUMONERIE MILITAIRE.
Ce nest pas la première fois que cette
gt ave question se presente sous noire plume.
Nous avous tottjours deploré profondémenl
et nous nous so.11 nes permis de le dire
tout bant - que les jeunes gens arraehés
par I impiloyable eon-ciajilion aux salutaires
influences de la familie, se trouvent lancés,
sans guide et sans soutien, au milieu des
dangers eflrayants de la vie de garnison.
au milieu des puissantes seductions qui
assiégent les casernes.
LEtat moderne est sans ante et sans Dieu.
Comment vouiez-vous qu'il s'occupe de l'ame
du soldat? Comment peut-il songérquecc
jniine hemme, dont il s'est emparé tont
entier, doive songer a servtr son Dien? Et
cependant Ie loyal et courageux service de
Dieu est la plus süre garantie du bon et dn
loyal service de l'Etat, C'est une vérité
II y a quelqties jours, Mgr Eévéque d'An-
gers présidait a {'installation- de l'aumönfer
militaire de sa ville episcopale. A cette
occasion Mgr Freppel a prononcé un magni-
lique discours, dans lequel nous sommes
heureux de dócoupcr un [)assage éloquent
qui corrobore de sa puissanle autorité, les
reflexions que nous Venous cl'émelire:
Chaque année, pour in<i servir des
paroles d'un grand oruieur, le recrulement,
comme une pouipe puissante aspire, pour le
relbuier dans rarmée, ce qu'tl y a deplus
pur et de plus généroux dans Ie sang d'un
pe.ufde (1). Vous emprunlez a nos villes et a
nos campagnes, a l'atelier comme a la ferme,
vous ajlez prendre dans toutés les classes dè
la société leurs clements les plus sains et les
plus vigoureux, pour en former vos batail-
lons; et c'est la sans doute le plus grand des
sacrifices que la familie puisse faire a la pa
trie. Mais, pour ét re equitable, un lel sacrifi
ce ne doii pas ètre saus retour.
Les éléments de force et de vitalilé que la
nation vous meidans la main et que vous eher-
ehcz a vous assumler, elle vous les redeman-
de au bout d'un certain temps, assouplis et
faconnés; vous de.vez lui rend re avec 1111
accroisseineni d'mteliigeilce et de valeer
morale, ee que vous reeevez d'efle en énergie
el en virilité. II faut que, pour ehaeun de
ces jeunes hommes, sou passage sous les
dra pea e x devrenne un appreniissage de la
vie sérieuse, une preparation aux devoirs
qui Lallenden! dans la familie et dans la cué.
Votla le vrai ró.e Je I armee pour l'avemr
d'un pays.
Eh bien, messieurs, dans cette elaboration
lente et continue de fame de tout un peuple,
dans cette education commune de lajeunesse
virile d'un pays, comment la religion
n'auruit-elle pas sa large part,elle qui a pour
mission de re-lever les times el de les former
aux males vert us? L'armóe est une grande
école de respect: et oü done le respect a-l-il
son fondement, stnon dans le principe d'au-
torité que la religion proelame el cousacre?
L'artnée est une grande école d lionneur:
mais qui mieux que la religion sail inspirer
a fhominc le sentiment de sa noblesse et de
sa dignilé personnelle? L'aru-iéo est une
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Vpros-Courtrai, 8-34.0-40 t mk 2 38 >i t v Wl' 'j30' 0,48 7'21 Zcd,,|8lle'" Thuurout, 8 40. 1,08, 8,20, 6,88.
V|>reS-7Wy,«g 7-13, 12 06 6 2.) üe m7.-S° 11-02,2-86,8-40.8 46.
n.<.i''SilUw,li «ft20,lu matin,!,. i^.M-inn, nok liYpros) ma"n Jusq» a Lnnghemarck). Ti.ouroul- Yp¥ès, 9-00, l 18,4
nêtoo-Commes 7 28 V 11 1 M«., 10,18, 12-00, 6-40, - Arme,itièrns-llo,.,,lines Le Touquol
CiMirtrai Bruges, o I 8,4°' 9"30s- Warnó.on-CwL* 8-30, 9-80,
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Tlieuroul - 4.80 j s^'B"9-/^w.(ville)7-40.l2-()0,4-24,8,86,9,3(),(l);iii1s)7.30,l I,;i0,4,l6,ü,60.
Mnm-Hecloo. 0-0.6, i^», 8-28, -'E l°'W' "f"
(iand 'l'cnwtize»., (station) 8-17, 12-18, 7,28. (porie d'Anvers) 8-30, 12-40. 7-43. Terneuzen-Ganrf 6-00 10-30 4 Au
-■ali.Mö-Lokepm, 9 04, 1-30, 8 30. (le Merer. 8-10 in.) Lokeren-Selzaele, 6-00, 10-28, 4-48. (Ie Mardi, 0,30.)
o it n i i:> ojvdam c s
C0URTIIAI, BRUXIil.LES.
Court rui dep. 6.37 10,33 12,33 3,47 6,38.
Bruxijjes arr. 9,20 1,35 2,28 6,14 8',88.
CÜUHTRAIT0URNA1, I.II.LH.
Conrtrai dép. 6.37 10,86 2,84 8,34 8.47.
Tuiirnai arr. 7,28 II.47 3,48 6,20 0,41.
BRUXEIJ.BS, C0URTRAI
Bruxelles dép. 6,22 8,28 12,21 8,38 6,47.
Conrtrai arr. 8,00 10,46 2,44 7,86 8,44.
lalle dép.
Tournai arr.
Coimrai
LILLE, TOURNAI, COURTRAI
8,20 8/28
8,42 8,86
6,34 0.47
11,03 2,18 8,20.
11,34 2,40 6,39.
12,20 3,38 6,33.
COURTRAI, GAN1).
Courtrai dép.
Gand arr.
GAND, COURTRAI.
6,42
8,01
12,31
1,81
3,44
8,04
6,40.
7,36.
Gand dép. 8,13
CouiTrai arr. 6,34
9,38 1,28
10,81 2,49
4,24
8,31
7,21.
8,42.
BRUGES, GAND, BRUXEI.I.ES.
Binges dép.
Gand arr.
Bruxelles
6,40 exp. 12,34
7,34 I 40
8,80 4.00
BRUXELLES, GAND, BRUGES.
3,82 exp.
4,42
8,80
8,19 exp.
6,43
7,88
9,31 10,26.
Monlant des listes précédentes, fr. 2,271
l'AItOISSE DE ST MAIUTN (YPRES).
M I avocat Louis Biehuyek, 3d
M. Vau lluyrntieke, vi'caire, io
M. Lonckt1.,, vicaue, 10
Mn" Deliaerne,
Annnyme, 4()
M. iMoriier-llasyn,
AL Ch. et M"* Marie Versclvieve. 10
Annnyme,
AlSidonie Schouteten, 2.
Lnui-o Pieters,
Une familie dévouée au St-Père demande
sa nenediction, 1ft
iet er An noot- en zyn liuisgrzin, )0-
1'AltOlSSE DE ST PIERRE (YPRES).
Al Ir Baron et M"** la Baroniie Surmonl, 200-
At I li d Glieus, 100
AIMo Clerrt, 10;
Al tineis, r.uré, 20-
Al. IJfcuyjV.T, viraire-, ^0-
AI I tesmelV ieajfe,
Al l'alilié l.ienail, 10_
At ei M"" Cyrille Boone, 30_
AP" B,Hiel. 10_
AP'" Bioncke,
Jean Dejnegher, k_
]>enx anonymes,
Pneseivanle,
l'ne srrvanie,
C Cl a etf'Póodrj q_
PAU0ISSU DE ST-JACQUES (YPRES).
AI"' Lrclereq,
AP Drriwvr, vrouw en kinderen, mi-
Al iintlcwcglié, vicairê,
Anouyine, -l()_
Alane Prnnvnst
Bruxelles dép. 8.14 11,83
Gand arr. 6,00 9,41 I 23
Bruges i> 7/20 10,34 2,38
3.1-2
4,26 exp.
8,1 I
8,38.
0,37 7/22.
7/22 8,38.
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AI. Joseph Vansuyl,
Al. J. Buys,
Frères Coupé,
Ch. Vermeersch,
Jel N. Ghesquiere,
Le jeune Ernesl Cardoen pour hien faire
sa première Communion,
Al. Gardoen,
Kemi Ghesquiere,
Veuve J Desiinpelaere,
Anonyme,
Am. Vandamme,
D. Vandamme,
Ursule Vandenpoel,
S. Ingelbeen
Th. Nolf,
Cl. Vandamme,
inu.
8 00
4 -00
8 - 00
8 - 00
8—00
8—00
1 —00
1 - 00
.6—00
8-00
8 - 00
2-00
3 - 00
2 80
1—00
1-00
PAROISJE DE ST NICOLAS (YPRES).
At L. Ampe; ciiré20
Al"" veuve Van'dèV.ande Pelyt, y
Al. Joseph li ie.'kei-nut DTThy, 3
Jtegiua Deheuekelaere, 1
Joufvr, C. A.
Anonyme. Si Père, hónissez-nons, u
L. G. demande la hénédietion du St Père
puur lueu fniie sa première Communion I
L. G. demande la hénécüciion du Sl Pèie, 1
Cue mére de familie, 1
A 'rP'demande la hénédietion du
St-lere p.,Ur liien faire sa première
Communion,
LANGÈAIAnCK.
Ce Clorgé, 28-
M, Ld mond Licbaert et AP" sa seeur, 3d-
Onbekende, 2_
Onbekende, I
Onbekende,
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li ih El. EN.
Al. Verhat>ghe, euié, 28 -
I'.en huisgezin,
Lelie byznndere,
Bar ba ra Lisalielh,
Lene l,y/.oudere, y
Virginie Vermeersch, 1
Een huisgezin,
Eene byzondere,
Benoit Keslelyn,
Een huisgezin, 2_
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Eene byzondere, 2_
GHELUWE,
At. L. Boone. curé, K0
Al. J. Vanryckcghrm, 23
Al. I'Vandamme-Vanhaverbeke, 20
Al. L. anhaveibekey
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MM. les hcclésiashques de I'arrondissement
voudront bien recevuir les souscriplions.
'Joules autres personnes de bonne volonté sont
egalement constdérées comme aples a recueiUir
a recevuir el a Iransrriëllre les ojfrandes.
On les percuil egalement au BUREAU DU
JOU REA L D' I'll ES et du MEUWSUI.AD.
I uur permettre une exacte comptabilité:
1 Le donateur el son intermédiaire sont instam-
menl pnés de remeUre simuUanemenl la note de la
souscnpltun el I'argent qa'elle compurle
Les personnes qui seraient embarrassé'es pour
fuu e purvcnir au centre de t'ceuvre le monlant de
leur so ascription, peuvent l'enooyèr en inaiiduts
sur la puste a M. le dopen d' Ypres
2" Nous ne pourrons publier chaque semaine
que les souscriplions dimt la note el I'argent seront
parvenus au centre de l'cenvre, chez M. le Doven
d ipres, avani Ie Jeudi inidi.
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