i m I ÉTREKKES AU ST-PÈRE. iMS Samedi 23 Janvier 1875 10m<i année. Nos 940. AVIS. 5 ilia mmmmSmi Le Journal parait le Mercredi et Ie Samedi. r0 Les insertions content 13 centimes la ligne. Les réclames, dans Ie corps du journal, se paient 30 centimes la lignc.Un numéro du es numeros supplementairöS commandés pour articles, Réclames ou Annonces, coütent 20 Cr. les 100 exemplaires. journal, pris au Bureau, 15 centimes. Jiï je jpi i m g<] g/ Wfloufer,, 7-80, '12-28i 6-4 SÖi- "f* 4 neZrSr^ 6-40, - Amneritières-llouplines Le Touque.-War- Licjii))l.v"h^Dixm jd«'F*,l)!neL!,e1t2;P,'/r ps<!ëU<im-hyelmwMer,7-42, 2-20, 7-40. tEui"o3' fS''Jg2^8',1 °J"48°ó7?nP"■^■(v|ilI«)7-4°-12-on.4-24iS1S6>9,30,^.1^)7,30,11,10.4,18,8,80. Sehme-Eecloo, 9-03, ll28 8-25. - 7"öï5> ^"'0. 12 28, 4,45. 0-1,9. 9,19. Les abonnèments ctux journciux se patent par anticipationles abonnes du Journal d'Ypres, qui se trouveraient en retard, sont pi ws de vouloir envoy er au bu~ i eau du Journal le montant de leur abonnement. Après le 25 Janvier des quittancesmajorées de 20 centimes, pour frais de recouvrementseront envoyêesaux personnes dont l'abonnement n'au ra pas été payé. Oiiatrièmc laste. -oo rI'«4aI fr. 4,450-00 A VSN. LA GUERRE AU CATMOLICISME ET SES DÉLOYAUTÉS S'il est au monde quelque chose d'injusle el d'udieus, c'cst la muuvaiso foi qui preside a la guerre du faux libéralisme contre les catholiqnes et leur sainle religion. Aux calholiques on impute syslématiquc- menl, (out ce que la Revolution a pu inven tor de mauvaisetde désastreux. II semble que rieu ne soit plus legitime que de les metlre bors la loi. Persecutes en tons pays, on les declare en proie a Tesprit de domination; dépouillés d une maniëre indigne, ils sonl reputes avi- des et captaleups. Si I Eiat laïque se permet de les enserrer dans une legislation qui blcsse les prescrip tions de I Eglise, et que la conscience leur defende dobéir, un pouvoir intolérant les proclame rebelles aux lots el hostiles a César. Si ratbéisuie et la morale indépendantè jeltcnt les peoples dans la Revolution, en plein Parlement Eenseignetnent congréga- niste est accuse d'avoir préparé la Commune de Paris. La science qui s'en va sans boussole, la raison perdue dans ses égaremenls, leur jettent a la lace qu'ils sont des adversaires du progrès, paree qu'ils marehent a la lumiére de la foi, sürs d'un guide qui ne les a jamais trompés. Incapable de soutenir la lutle sur le ter rain du libre enseignement, le despotisme qui veul enrégimenler les intelligences pour uiieux asservir les corps, appelle a son aide I instruction obligatoire el déccrne lestcment un brevet d'qbscuranlisme a quiconque ne s'incline pas devanl son énervanl monopole. Plus Ie libéralisme se sent coupablc el plus il déploie de preventions et de baine. Au milieu d'un siècle dont l'effrayanle cor- ruplion arrache des oris d'alarme a ses adep- les les plus fervents, le som qui semble l'oe- cupcr avant tout est de faire tomberlesar- mes des mains a ceux qui peuvent et veulenl secotirir la sociélé défaillante. Déverser le soupcon et la calomnic sur le clorgé, outrager, bufouer indignemenl les ordres religieux, prodiguer méchamment et tons les jours, aux pasleurs et aux ouailles, la bonteuse accusation d'immoralitó; se ré- jouir de la chute d uil setil et en conclurc sinpideraent que les autres ue sonl point de- boul; n'est ee point la, qu'on Ie dise, la besogne favorite de certaine presse qui s'in- lilule libèndei La largo part du concert d'outrages reve- nait naturellemeut a Eauguste chef de la catholicité, par la raison qui fait que le de- molisseur s'utlaque a la clef de voute de l'édilice. Grande est la clamour dans ce nouveau préloire ou loutes les accusations s eleven! a la fois contre le confesseur et Ie Ponlife. L'hérésiarque et Eapostal, tout chargés des faveurs séculières, y vietmenl bypocritement plaider IA réforme de EEglise, qu'ils se char- gent bien do rendre a sa purelé primitive; le demagogue y revendique los droits de la liberlé, et l'absolulisle les droits du pouvoir. Involonlaire et mystcrieux hommage que Ie monde rend a la mission de eet incorruptible guidieu dc la vórité, dont le nonpussumus protégé encore, malgré eux, les eouronnes et les sociétés en péril. La Revolution qui a spolié Pie IX I'insulle mainlenant dans sa détresse; el le fait un crime aux fidéles de venir en aide a leur Pére commun et de pourvoir, aulanl qu'ils le peuvent, aux besoins du gouvernement de EEglise universale. Leurs dons, a l'entendre, tarisscnt les sources de la eharilé; et eet in- croyabie reproche est adressé aux promo- teurs de tonics les bonnes ceuvres paree radicaliNine égoïste qui n'en a jamais su fon der une seule, mais qui, en revanche, mon- trait uno ardeur fiévreuse, quand il eomplail frapper la cbarilé chrélienne au cceur par la depossession violente et la suppression des com in uautés religieuscs. Ainsi toujours. La lettre si touchanle que Ie Pape écrivait a Teuipeieur Guillaume, dans l'espoir de prévenir un épouvantable conilil, est aequise a l'histoire, et elle n'a pas épargné au doux et saint Ponlife l'accu- saion publique d'avoir poussé a la guerre enlre la France et EAllemagne. Dans cos monslrueuses anomalies, dans cette iniquité préméditée el persislante, il n y a rien qui doive élonner ni décourager le calholique. Le mème Sauveur qui a pré- dit a ses disciples qu'ils souffriraient persé- cuiiou a cause de lui, leur a commando la confiance en leur rappelanl qu'il a vaineu le monde, et son Eglise, prolégée par des pro messes divines, défie depuis plus do dix huil siècles tons les efforts de l'erreur el du mal. Quoi qu'il arrive done et quelque long temps qu'il faille attendee, le doute ni Ia lassitude no doivent jamais avoir accésau cceur du chrétien. L'cpreuve doit le irouver toujours prol a Initer par devoir, sans pré- somption et sans défaillanee, les yeux fixés sur un bul supérieur, et donnant raison a celte parole qu'un grand oraletir adressait a la jeu nesse catholiquei Vivcz, espóroz travaillez, combatlez; vous ne vaincrez pas toujours, pas même souvent, mais vous serez invincibles. et que le reste miserable el hidouxdeson cours n'appartiennc irrévocablement a la destruction, dója bien avancée. La Revolution est Eimpiélé radicale, le principe absolu du mal, l'orgueil de l'intel- ligence perverse el l'orgueil de la brute. Bismark el Ma rat, non moins sotirds el lêlus l'un que l'aulre, non moins incapables de s'éclaircr, de s'allendrir et de reculer. J'ai mission de tuer la Revolution, et je la tuerai. cela veut dire: J'ai mission de tuer la mort, el, autant qu'un homnie le peut, je la tuerai. Je ferai respirer au genre humain un air meilleur, je l'enlotirerai de remparts, j'assai- nirai la lerre, je délruirai l'industrie des loups, j'éteindrai la pesle et désormais l'on vivra ou l'on ne fait a présent que se lamen ter et mourir! Voila quelle grande chose c'est qu'un prince chrétien. II peut dire que ces mots plus forts qu'une armée, font recu ler la mort el rouvrent les sources de la vie. Jusqu'a présent, Don Carlos avait pu se faire une armée; aujourd'hui, vraiment, par celte parole de roi, il se donne un sacre, il jette les foudemerits d'un Iróne, et parmi tous les peuples il se eonquierl des alliés. UNE PAROLE DE DON CARLOS. M. L. Veuillol ptihlie dans 1'Univers Par tiele suivanl: mission est de (tier la Revolution, ct je la tuerai. Voici Ie signe royal, Ie pro- gramme politique du roi futiir. Cette parole peul ne pas faire Iriompher immédialement Ie prince qui vient de la dire si a propos, si noblement et a vee tani de hardiesse; mais elle lui assure une place particuliere et, jus qu'a présent incomparable parmi les chefs de nation. Sa parole ne tombera pas de la mé- moire du genre humain, ne s'obscurcira pas coinme lant d'atitres. Lui-mème l'oublierait qu il ne pourrait la faire oublier. Elle donne une forme saisissanle a la vérité qui gémis- sail capiive dans toules les consciences qui out le sens, l'ainour et le besoin du vrai. Parole de délivrance, parole abregée, mais féconde, cl qui sera victorieuse sur la lerre, a moins que le monde ne doive bien lót fiuir Notre pauvre Napoléon III. dans ses com- meucoments, avait eu quelque souffle aussi machinal de eet instinct qui fait les rois. est temps que les bons se rasswenl et que les méchants tremblent. On sail quel fut l'effet immense de ces mots si simples et si fi rs; on vit apparaitre le fanlöme de la royaulé, et le mouvement fut irrésistible non-seulomenl en France, mais dans toute I Europe. Ou reconnut soudain l'existence d unc majorilé conservatrice. Les défiances tombèrcnl, toules les resistances se senlirent vaincues. Les méchants, voyant la réalilé de leur petit nombre, déja plus qu'a moitié con- vertis, voulurent passer du cóté des bons. Ce ne fut qu'un gain momentané. Ee maitre n'en demandait' pas tant, n'en désirail pas tant. II n'a va i t annoncé qu'une velléité,nom- mant vaguement le mal sans en specifier Ie caraclére, sans en dire le nom; sans dire le nom cl sans specifier le caraclére du bien. Ceux qui Iremblaient, par un instinct trop juste et Irop sur rcconnurent qu'il n'y avait pas de quoi trembler, que c'était duperie de se convertir, et que ce gendarme inconnu qui faisail la grosse voix élait tout simple ment le chef de ia bande qu'ils allaient deserter. On sail la suite: comment les mauvais se rassurérent; comment les bons, dont le nom bre décrut rapidemónl, rccommencérent a trembler, non sans raison. Napoléon avait agi en partisan habile; une ruse lui avait acquis le pouvoir. On Een laissa jouir vingt ans sans grand sotici, tant ceux qu'il avait un moment effrayés voyaienl qu'il laisait bien leurs affaires et lant leur espèce, senlant le peu de crédit qu'elle possèdc a nalurellement peur. Mais il ne s'élail pas fondé pour tou jours, et s'd n'élait pas mort sous l'effort de la Prusse, une émeule l'aurail piétiné, le Lanlernier y aurail siiffi. 'V O h3 K K rs> O co- En Cb 'rZ. O O O u cd siï'èsSz -o &5 02 o- Tl 'JC o n IT H ro ra c/j H 53 M ra ra o C/3 ül O ra ra £2 -3 ss r"3 C/3 H O G H "O 53 ÜS i'o- 28; °pe ringhe-HazMmi ucii''7 3^■'2s"47^'V^H^ 1 "7,12-05,3-87,0 S0,8-48,0-80. 12-80, 5^13%'-424t>—Llctuc/veid^'CoMr#^' 7 ^ichte:;v J Liehu-rv.- ThouroM, 4-28 in. - Bru^Routers. 8 Ypres-Courlrai, 8-34 9-49 'is 2 38 8 v ',3°' !i 4S 7~' Thmiruat, 8-40. 1,08, 8,2(5, 0,98. Y pres- Thourout 7 13 n r V t l -^ini-Ypret, «-0», 11-U2,2-80,8-4'.,8 49. (Ie Sa mei li 6-20 du malin de Lan^emïcTè Ypri° JUSq"" LanSl,emarekU - Thourout- Ypres, 9-00, 1-18, 7-48, Courtrai - Bruges 8 09 11 00 'r ~Z ?TT«: Waneton 8 40, 9-30 s. - Wnrnóton-CWumw 8-30, 9-80, Bruges, Blanlfenherïè Heïï' (F.S' 7Vn ïl'l]^s-Courlrai, 8-2,8, 12-80, 8-13, 6-42. 9-81,11-10,2-31,2-ö6'd-26fe'xD OSVunv? u is k! 'ra d, 'S, 20/cxP:) (S Ö-SOJt-a» (exp.)8-45. - (bassin)7-00,7-36, (exp.)4-10,8-30 (D 0- 15)7 28 i-tl-.rUnr .Ti1, Bl»nkenl.erghe, Binges, 8-48,(L. 7-20) 8,30,11-25,1 25,2 45, bigelmunstor-Deynze Gand 8-ib 9 n^n )e'8. Bruges, 6-10,(L. 7-42)8-83,11 85,1-45,3 08(exp.)4-30,6 00(1). 6 35) 7,007 48. 3-4-0,0-05. 11)1x67-38. /)/m/i6T/t-é?-Furnes-Dixmude et Lichtervelde, 6-45, 1M5, Eecloo-Sefeaete, 5-35, 10-15,4-22. Onbekend, Gand Term: u 2 en, (station) 8-17, 12-15, 7,25. (porie d'An vers) 8-30, 12-40. 7-43. - belzaeie Lokeren, 9 04, 1 30, 8 30. (le Merer. 8-10 m.) Lokcren-Sefaraete, 6-Ó0, c O I-I. R E £3 J? O 1ST x> 2%r c i GOURTRAI. BRUXELLES. - Torneuzen-öa'/trf, 6-00, 10-30, 4 40. 10-25, 4 45. (le Matcli, 9,30.) Courtrai dép. 0,37 10,53 12,33 Bruxellës arr. 9/20 1,35 2,25 COURTRAI, TOURNA.LII.LE. Courtrai dép. G.37 10,56 2.84 Tournai arr. 7/28 11,47 Li He 7,37 12,05 3,48 4,00 COURTRAI, GANB. Courtrai dép. 0,42 12,31 Gand arr. 8,01 1,51 3,47 0,14 5,34 0,29 0,32 3,44 5,04 G.35. 8,58. 8,47. 9,41 9,53/ 640 7,50. BRUGES, GANDBRliXELI.ES. Bruges dép. 6,49 exp. 12.34 3,8*2 exp. 6,43 8,19 exp. Gand arr. 7,34 1,49 4.42 7,58 Bruxelles 8,80 4,00 5,50 9,31 10/20. Bruxelles dép. Courtrai arr. Lilfe dép. Tournai arr. Courtrai Gand dép. Courtrai arr. Bruxelles dép. Gand arr. Bruges BRUXELLES, COURTRAI. 8,22 8,28 12,21 5,35 6,47. 8,00 10,40 2,4.4 7,50 8,44. LILLE, TOURNAI, COURTRAI. 5,20 8,25 11,03 2,18 5,20. 5,42 .8,80 11,34 2,40 5,39. 0,34 9,47 12,20 3,38 0,33. GAND, COURTRAI. 8,15 9,38 1,28 4,24 7,21. 6,34 10,81 2,49 5,31 8,4*2. BRUXELLES, GANB, BRUGES. - 8,14 11,83 3,12 5,85. 0,00 9,41 1.23 4,20 exp. 0,37 7,22. 7,20 10,34 2,38 8,1 I 7/22 8,38. 50- 25- 20- 10- 8- 5- 10- 8- 3- 2- 2- 40- 40— Monlant des listes précédentes, fr. 3,243 PinOISSE DE ST-MARTIN (xpr.ES). La familie V V. Anonyme, I.es Reverends Pères Carmcs, h l en S P vragen den zegen van yne Heiligheid, M. D Decliièvte, sacrislain, Anonyme, Anonyme, Anonyme, La familie Versaevel, Anonyme, Anonyme, Une anonyme M. C, D. PAR01SSE DE ST PIERRE (YPRES). M. Ie chevalier Ruzette et M"" Ruzetle, M11' l.enoor, Une servante, Les sccurs llobaeys, Une servante, Anonymes, Un enfant prie le St-I'èrc de bénir ses etudes, Jean Allatrt, PAROISSE DE ST-JACQUES (YPRES). M. Ie Principal et MM. les Professeurs du College bt- Vincent de Paul, Eene dienstmeid, Eene dienstmeid vraegt den zegen van den IJ. Vader, Marie Vanlerberglie, Eene onbekende, D. X. Une mère de familie, PAROISSE DE ST-NICOLAS (YPRES). M. I abbé Vercoutere, vicaire, 'V Willaért, directeur du couvent de la ouinte Familie, Anonyme, Rosalie Desodt, Onbekende, -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 De cipier van Popcringlie met zync groote sleutels, Eene dienstmeid, Heilige Vader, zegen my en myne familie, P0PER1NCIIE, PAROISSE DE Sï-JEAS. M. B. Hilliau, Eene Pausgenegene weduwe, M. 1de, onderpastor, Eene onbekende, Eene moedor en bare dochter, Joufvrouwen Demey, Wulleman-V.erfaillie, Onbekende, M. Cl. Vermeulen, V. L. Vier werkmensclien, VEAMERTIMGItE. M. le Vicomte du Pare, 5 1- 1- 8- 8- 10- 20 7- 12 10- 3 8- 8- 10- 19- 10- 2- 9- -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 -00 00 -00 -00 -00 00 00 -00 -00 200-00 ST-JEAN i.EZ-YPRES. 20 5 00 5,00 50 -00 —00 i—00 1-00 —00 110- 1- 2- 1- 5- -00 -00 00 •00 -00 28 ■00 10—00 10- 8- 2- 4- POPEl'.IN'GME, PAROISSE DE Sï IJERTI.N. M. Buys, Pastor Deken, M. Jueliem, onderpastor, M. Booglie, M. Coevoot, regent. Eene katholieke familie, Joufv. Eugenie Vantours, Joufv. Etnolie Lebbe, M'"° Wed. Ch. Van Merris, Onbekend, M'"° Wed.Cli. Van Renynghe, Rosalie N Camille Deroo, Melanie Gomberl, M. Henri Ryekewaorl, 30- 10- 10- 20- 13- 20- 100- 25- 10- 10- 2- 5- 1- 8- -00 -00 -00 -00 00 -00 -00 -00 -00; -00 -00 ■00 -00 00 -00 -00 •00 M. le Curé, O O 1 Quelques paroissiens. 55- 00 ST-JUL1EN (eAXGEMARCK). M. Ileldenbergli, piévót, 10-00 BRIELEN. Anonyme, 1 80 Anonyme, 1 -00 CROMBEKE. M. 0. de Keukelaere, pastor, 25-00 M. D. Nevejan, onderpastor, 5 00 De Jufv. do Keukelaere, 12—00 De k inde rs Baes, 5 - 00 De kindere Delilock, 5-00 De kinders Vanlioueke, 2-00 De weduwe Deblock, 5-00 De weduwe Baden eu kinders, 2-00 Jufv. Ocluvie Kinget, 2-00 Naeniloozen, 10-00 S. Coene, 2—00 Naeniloozen, 2—00 idem 50 F. Derycke, 1—00 De weduwe Leroi, 1 -00 A. Pillaert, 1 -00 A. Naeyiiert, 1 00 Verscheidene naeniloozen, 11-50 WESTOUTRE. Un anonyme, 10-00 Dons paniculiers, 5—00 VI. R. Vandronimc, 8-00 MM. les Ecclesiastiqaes de l arrondissement vuudront Men recevuir les sousuripltuns. To ales aatres personnes de bonne votonlé sont égulemeni considérées com me uptes a recueillir, a recevoir et d transmeltre les o/frundes. On les percoü égalemenl au II IJ RE A U DU JOURNAL D'PRIJS et du N IE U XVSU LAD. 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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1875 | | pagina 1