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ÉTRENNES AU ST-PÈRE.
Samedi 13 Fcvrier 1875.
10me annêe. Nos 952.
Le Journal parail le Mercredi et le Samedi.
Les insertions coiitenl 15 centimes la ligne.Les réclames, dans le corps du journal, se paient 30 centimes la ligne.(Jn numéro du journal, pris au Bureau, 15 centimes.
Les numéros supplémentaires commandés pour articles, Réclames ou Annonces, coütent 20 fr. les 100 exemplaires.
CHEJIIIÏS DE EElt.
Seiitiènic Ijlste*
M,nc Veuve 'Leroux^
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St-Père,
Total fr.
11,353-8?
AVIS.
LES LIBÉRAUX ET LA L1BEBTÉ.
On parle beaucoup des immorlels prin
cipes de 93, mais sans conlredit pour les
chefs de la Terreur le mot sacré de liberie
fut toujours un blaspheme dans leur bou-
che. II l'esl davantagc pour les Robespierre
au petit pied, nos libéraux d'aujourd'bui.
Partout el loujours ces próneurs d'éga-
lité humanitaire séparent la liberie de la
justice, pour eux la liberie sera toujours
leur domination exclusive et absolue.
Ils vont a leur but a travers tons les
moyens, Per (as el nefas, le mensonge, la
violence, la perfidie, la spoliation et le vol,
partout ils commencent leur libéralisme
par l'oppression et la spoliation de l'Eglise.
Depuis 19 siècles ils portent au front ce
jugemen! qui les stigmatisa de la liberie
ils n'onl que le masque.
Voyons-lcs a rceuvrc.
II y a quclque temps, les libéraux mexi-
cains, impalients d'égaler leurs confrères
d'Europe, s'atlaquaienl aux sceurs de cha-
rité, ces anges lutélaires des malheureux.
Pour assouvir leur rage anti-monacale.
ils devaient fermer 43 élablissements de
bienTaisance, confiés aux soins de ces gé-
néreuses servantes du pauvre; au nioins
28 de ces élablissements exislaient par la
charité privée, grace exclusivement a l'in-
fluenccdes bonnes sceurs.
On d'evail jcler a la rue au moins 21,000
pauvres; n'imporle, que sont les droits
sacrés de finfortuné en face des liberlés
modernes
L'Allernagne est aujourd'hui pour eux le
pays modèle, la au moins les éternels
principes onl trouvé leur pleine realisa
tion.
La cbacun a la liberlé de conscience,
pourvu loutefois simple restriction
que ce soil selon le bon vouloir de l'in-
faillible Pontife cuirassier.
Le 2400 condamnations prononcces en
verin des lois de Mai, le 1700 prélres con-
damnés en la seule année 1874 a l'exil, a
la prison, et a ramende nous en font foi.
Au notn de lo liberlé de la pressc, I'abbé
Majunke, rédacteur de la Gertnania, se
trouve, au mépris de son inviolabilité par
lementaire, jelé en un cachot dont l'insalu-
brité menace scs jours.
Au notn loujours de la liberlé libérale,
le méme journal se trouve en ce moment
poursuivi sous l'inculpaiion de seize délils
d'oulrages. Qualorze demandes de pour-
suite ont été failes par le trés clément
prince de Bismarck.
En presence de tons ces dénis de justice,
nos libéraux ont-ils jamais émis un mot de
désaveu?
Bien au contraire, ils applaudissenl des
deux mains aux lyrans élrangors, en a I ten -
dant que les canons Krupp vienneiit les
aider a élendre a la B'elgique allardée
le règne des principes modernes.
C'esl bien dommage, par exemple, que
la loi beige accorde encore Ie libre choix
du lieu de sepulture. 11 nous fandrait en
Belgique la disposition que vienl de pren
dre pour Constantinople lo grand-vizir lure.
La, les calholiques ne seront plus ewterrés
dans leur cimetiére particulier qu'avec son
autorisalion et a condition pour les parents
de reconnaitre 1'infame aposlat Kupelian.
Concluons: partout et toujours Ie libéra
lisme est agressif, égoïste, despotlque, ex-
clusif. Ces caracléres lui sont essentiels et
propres.
Que les libéraux ne viennent plus nous
opposer nos principes; nous leur deman-
dons a noire tour, avec le Bien Publicde
s'expliquer sur leur grand théoricien M.
Laurent.
On sait quel est le sentiment de ce doc-
ment ès-libéralisme sur les bases de notre
droit public. II est l'ennemi déclaré de la
liberlé religieuse; de la liberlé de l'ensei-
gnement, de Ia bberté d'association, en tant
qu'elles profilent aux calholiques. Nous ne
connaissons ni encyclique, ni dissertation
Ihéologique qui ail jamais attaqué les prin
cipes libéraux aussi énergiquemenl que ce
professeur-publiciste a vilipendé les prin-
cipales dispositions de la Constitution.
Et cependant ce personnage qui lui-
même a prèlé serment a la Constitution et
aux lois du peuple beige se mèle de donner
aux calholiques des lecons de civisme et de
loyaulé. Nous le répétons, nous est avis
qu'avant de trailer libéralement ses adver-
saires de grands criminels ou d'abomi-
nables Tartufes, M. Laurent et ses adeptes
feraienl bien de songer a leur propre si
tuation et de ne pas donner prise a de trop
faciles représailles. Compare a ce conven-
tionnel fossile, plus ou moins verni de droit
civil, le plus intrailable des ultramon-
lains est encore un modèle d'orlhodoxie
constitutionnelle. Gazelle de Louvain.)
position dont le veritable mobile est aujour
d'hui démasqué par la presse libérale elle-
même.
La situation nous parail bien autrement
désagréable pour l'opposilion elle-mème
dont tous les discours contre le projet de loi
pourront se traduire en ces termes
II fut un temps oü nous étions hostiles
aux Chambres de commerce.C'élail a l'époque
oü la Chambre de commerce d'Anvers faisait
cause commune avec le meeting-, mais depuis
lors, ce collége est renlréau bercail liberal
et nous demandons au gouvernement con-
servaleur de tnainlenir une institution dont
le seul but vraiment pratique est de travail-
Icr a refaire, au sein du Parlement beige,
une majorilé doctrinaire.
VEtoile beige nous semble bien prés de
reconnaitre que si le libéralisme se montre
mainlenanl hostile a la suppression des
Chambres de commerce, cetle hoslililé
doublée d'une palinodieest uniquemenl
molivée par des considerations de l'ordre
politique.
II imporle surlout a nos adversaires d'ar-
river, en vue des elections parlemeniaires de
1870, au maioiien de la Cbaiobre de com
merce d'Anvers, inféodée, comme Ion sail,
au parti des Guetix.
D'argumenls économiques, VEtoile n'en
invoque pas en faveur du mainlien des
Chambres de commerce. Elle avoue méme
qu'a ce point de vue, elle n'est guère en
thousiaste de rinstitulion.
Beste la question politique et, nos adver
saires l'ayant ainsi voulu, c'esl sur ce ter ra in
quece cóncenlrc aujourd'hui le débat.
II s'agil. done uniquemenl de savoir si les
Chambres de commerce dont on ne defend
pas sérieusement l'uiilité commcrciale, doi-
vent èlre maintenees par tin cabinet con-
servateur, seulemenl a cause de l'utilité
politique qu'en peut relirer le parti libéral.
A ce point de vue, VEloile a raison de
dire que la discussion va èlre pour la
droile, si pas pour le cabinet, une vraie
parlie de plaisir.
Nous ne voyons méme pas pourquoi
VEloile sépare ici le cabinet de la majorité
parlementaire. II ne saurail y avoir rien de
déplaisant pour les ministres dans une op-
Nous croyons inléresser nos lecleurs en
leur metlant sous les yeux l'exposé des mo
tifs qui a accompagné le projel dc loi portant
suppression des chambres de commerce et
des fabriques. Le voici:
Une commission, inslituée par arrèlé mi-
nislériel du 28 Janvier 1871, a étéchargée
d'examiner la question du maintien, ou de
la suppression des chambres de commerce
et, dans l'hypothèse du mainlien, cerlaines
questions relatives a l'organisation de ces
corps consultatifs.
Le principe de l'inslitulion ofilcielle des
chambres de commerce fut assez vivement
discutéau sein de la commission; quant a la
condition essentielle de leur organisation ac-
tuelle, a savoir la nomination par le gouver
nement des membres appelcs a les composer,
el Ie fut absolument et unanimement con-
datnnée.
Je viens aujourd'hui, messieurs, soumeltro
a vos déljbéralions un projet de loi porlant
suppression des chambres de commerce et
des fabriques.
Laissant de cóte les critiques dc dilïérenles
natures qu'on a formulées au sujet de ces
colléges, on peul dire qu'ils ne sont pas né
cessaires, qu'ils n'ont plus leur raison d'etre.
Sans doule, ils onl rendu de réels servi
ces. Au cours des evolutions de nolre syslè-
me commercial, le gouvernement a eu fré-
quemment l'occasion de recouriraux Itimié-
res des hommesexpérimenlés qui en faisaient
parlie, el loujours les chambres de commer
ce onl répondu a l'appel qui leurétail fait en
prèlant au gouvernement un concours utile
et dévoué.
Mais esl-ce a dire qu'en l'absence de ces
corps consultatifs le gouvernement eüt man-
qué des conseilset des reiiseignements que
les circonstances lui rendaient nécessaires?
Le soutenir, ce serail méconnailre la vita-
lilé du commerce el de l'induslrie dans nolre
pays; ee serail mellre en doute l'intelligence
des hommes qui s'adonncnt a ces branches
imporlantes dc l'aclivilé nationale.
A défaul de corps consultatifs insliltiés par
le gouvernement, des associations Iibres se
fussent sans nul doute formóes pour la dé
fense des intéréts que les circonstances pon
vaient mellre en cause.
Le fait s'est méme produit pendant i'exis-
Icnce des chambres actuelles. Nous avons vu
mainiesfoisdesgroupesd'inlér'essèsse rétinir,
discuter publiquement des questions corn-
merciales et iuduslriellesfaire connaitre
aux Chambres legislatives ct au pouvoir
exécutif leurs besoins et lours aspirations.
II n'est pas douteux, messieurs, que si vous
volez la suppression des chambres de com-
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Popennghe-Wm, 5-15,7-23,9-30,10-58,2-15,5-05,'9-20. Yprfes-Poperinghe, 6-00,0-07,12-03,3-57,6-S0,8-415,9-Ï50. —IV
per.nghe-IIazebrouck, 7 13, 12-2(5, 4-17, 713. - Hazebrouck Poperinghe-Ypres, 8-3(5, 10-00, 4-10, 8-26.
Ypves-Iioulers, 7-60, 12-2(5, 0-4(5. lloulers- Ypres, 9-23, 1-80, 7-50.
ou eis-Bruaes. 8-4.S M-iU i.is t\, k ka\ *7.q« m «k i i :..mlu^ ni. Bruges-Holders, 8-25,
Tkourout8-40. 1,05, 5,14, 0,58.»
-/I c, 4' v' ~v'' \'v U Ltu IJIUUII luauua UGllJUUUIlJdl UU1 1IIUU l'UUt- YvTGS 8-40, 1-10, 7-00,
(Ie bamedi a 0-20 du matin de Langhemarck a Ypres).
Umineg-Warnéton -Le Touquci-Houplinos-^nwcnft'ëre», 0 00, 10,16, 12-00, 0-40,— Armentières-llouplines Le Touquot-War-
ne on-Commes 7-26, 10,60, 4-10, 8 -40. Coinines- Warnéton 8 40, m 9-30 s. Warnéton-Cominei 6-30, 9 50,
Low-lm /yruges 8-0(5, 11-00, 12-35, (I.. (5-1(5), 0-65. (9-00 s. (Lichterv.) Bruges-CW/mt, 8-25, 12-50, 6-00, 0-42.
Biuges, Blankenhergl.e, Heyst, (Elat) 7-25,11 04,2-50,7-35. - (bassin) 7-31,11-10,2-60,7-41 (exp.) - Ileyst, Blankenberghe,
Bmges, 5-45,8,36 11-25, 5-30. v v' 3
1 2-115. lngeimunster-£hwize, 0 08 2" cl., 7-15. Gand-Day ivia-higelmunster, 0-58,
11-20, 4-40,7-21ueynie lngetmunsler, 7,31 1-00.
nge munster-Anseghem, 0-03, 12-10, 6-15. Anseglicm-Ingelmunstér7-42, 2-20 7-45
?''v® de-Dixirjude-Furnes el Dankerke, 0-30, 9-08, 1-35, 7-55. - ö«»AerA«-Furnes-Dixroude et LiclUervelde, 6-45, 11 10,
o-4U, Ö-00.
Bixmude-Mwport,9-55,2-20,8-40.— Nieup-D*m,(ville)7-40.11-55,4-25.
1 liouroul-Ostende, 4-50, 9-15, 1-50, 8-05. Ostende-Tliouroul, 7-35, 10-10, 12 25, 6-13.
Selzaete-Eecloo, 9-05, 1-23, 8-23. Y.ec\oo-Selzaete, 5-35, 10-13, 4-22.
GmA-Terneuzen, (station) 8-17, 12-15, 7,25. (porte d'Anvers) 8-30, 12-40. 7 43. TernetizenGand, 6 00, 10-30, 4-40.
SehMü-Lokeren, 9 04, 1-30, 8-30. (le Merer. 5-10 m.) Lokeren-Se/zraefó, 6-00,10-25, 4 45. (Ie Mardi, 9,30.)
CORHBaPONDANCBS
COURTRAI, BRUXELLES.
BRUXELLES, COURTRAI.
Courtrni dép.
Bruxellos arr.
0,37
8,50
10,53
1,35
12,33
2,25
3,47
0,14
6,35.
8,54.
Bruxellos dép.
Courtrai arr.
5,22
8,02
8,28
10,40
12,21
2,44
5,33
7,56
6,47.
8,44.
COURTRAI, T0URNA1, LILLE.
Courtrai dép.
Tournai arr.
Li lie
0.37
7,"28
7,38
10,36
11,47
12,08
2,54
3,48
4,00
5.34 8,47.
6,39 9,41.
6.35 10,00.
COURTRAI, GAND.
Courtrai dép. 6,42 9,49 12,31
Gand arr. 8,01 11,03 1,31
BRUGES, BAND, BRUXELLES.
3,44
5,04
6,40.
7,36.
Lille dép.
Tournai arr.
Courtrai
Gand dép.
Courtrai arr.
LILI.E, TOURNAICOHKTRAI.
5,13 8,22 11,05 2,22 4,43 5,20 8,00.
5,42 8,36 11,29.2,40 5,30
6,42 9.49 12,31 3,44 6,40
8,38.
9-33.
CAND, COURTRAI.
5,13
0,37
9,38
10,56
1,28
2,34
4,24
5,34
7,21.
8,47.
BRUXELLES, GAND, BRUGES.
Btuges d. 4 39 exp.6,49exp.7-04,9-39,12,34,3 43,ex.2,52,5-59e*p. 6,43.
Gand a. 5 31, 7,34, 9,13.10-34,1,49 4,28, 4-07,0,32 7,38.
BruxeHes 0 28, 8.30, 10-35,12-39,4 00,6,14, 7-35,8,44, 9-31.
Bruxelles dép. 7-20exp. S.ltexp 11,06 3,12 5, 35. exp.
Gand arr. 8,29 9,41 1,12 4,21 7,17.
Bruges 9,23 10,34 2,38 5,11 8,38.
N. If. Une erreur s'esl glissée dans notre
liste précédenle, pour la paroisse de
St-Martin (Ypres). Au lieu de: M. De-
cóninck 15 francs, il faut lire M. Deco-
ninck 1 franc. D'oü il résulle que le
monlant des listes précédentes est, non
pas de fr. 9,396 07, mnis fr. 9,382 07
PAROISSE DE ST-MARTIN (YPRES).
Anonyme, 20-00
M. Dehouck, 3—00
Louise Vanlerberglie, 100
Séraphine Versa vel, 100
Anonyme, 2-00
Drv dochters der Mariaschool vragen den
Zegen van Zyne Heiligheid den Paus, 1 50
PAROISSE DE ST PIERRE (ïPRES).
M. de Coussemaker,
M. I-, De Co,
PAROISSE DE ST-JACQUES (YPRES).
Verscheide onbekende, 17—50
POPERINGHE, PAROISSE DE ST-BERTIN.
M. et M"" Coutteel,
M Ach. Van Benynghe et sa familie,
N.
73—00
5—00
M. I'abbé Deconinck, Directeur,
IIOESINGIIE.
M. Cremmery-Vandeputte,
Mllc L. Cremmery,
Anonyme,
M. Delen, vicaire,
Mlle S. Ver Eecke,
Une servante,
POELCAPEM.E.
M. Cailliau, vicaire,
Weduwe Meersseman en kinders,
Theresia Boudry,
Weduwe Pauwelyn,
PLOEGSTEERT.
M. Dassonncvilie, cure,
M. De Jonckheere, vicaire,
M. Desreumaux,
M. J.-B. Desbleu,
M"'* Lameran-I,
Mathelin frères et soeur,
Z1ELEBEKE.
M. Iluughe de Peutevine,
VEAMERTINGHE.
De familie Fernagut,
M",e et M"* üainhre,
WERVICQ.
M. Vandermeersch-Tranneel,
M. Aug Ryckewaert,
M. Vanhaveibeke, vicaire,
M. Do vos, vicaire,
M. De Grondel, directeur,
M"" Elie Van Elslande,
MM. cl M11" Verhaeghe,
M"1* vouve Fovcz,
M Pierre Tanghe;
St-Père, souvenez-vous do moi dans vos
prières,
M. Gheysen-Verraes,
La Congregation des jeunes gens,
Partie de cartes, Benjamin Dolmotte,
Eouis Lepoutre,
id. Charles Vanleene,
M"" Veuve Tranneel,
M. Del va-Ta nghe,
M11" Dupont,
Anonyme,
Une servante,
La familie Delva,
M. Lienard Cousin,
25—00
20-00
1-00
5—00
10—00
5-00
5 00
5—00
5—00
1—00
5—00
3—00
2-00
2-50
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10 00
60—00
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20-00
10—00
10 00
10-00
10—00
300—00
8—00
3 00
06—50
3-00
30-00
21-00
17—00
200—00
3—00
1-00
10—00
2 00
50—00
10—00
10-00
Anonyme,
1-00
M"' Sylvie Leperse,
5—00
M. Verhaeghe-Ciipelle,
5—00
M. Joseph Calry,
10—00
M. Jacques Bony,
10—ÖO
Une familie tlemandanl la Benediction du
26—00
La Congregation des demoiselles
élablie
au Pensionnat des Sceurs Grise»
60—00
M. Terrier, directeur,
25-00
Une malade pour ohtenir sa guéri
on,
0—00
Vanneste. frèies el scour,
5—00
M. Cardoen Ghesquiore,
3—00
A Pie IX, Ponlife et Roi,
25—00
M. Dumoz-Meerssman,
5-00
M. Verhaeghe-Deschryver,
20—00
Les Soeurs hospilalières,
30—00
Deux servantes,
2 00
Une enfant de Marie,
5-00
M. Modeste et M"e Julie Vanden Bulckc,
10- 00
M. Ed. Vanden Bulcke et sa soeur
5-00
Une personne dévouée au St-Père,
2-00
ZONNEREKE.
M. Bossaert, curé,
15-00
M. Th. Soete, vicaire,
7—50
B Vanhee,
5—00
M. S.
2-50
Een Pausgezinde,
5-00
Théophile Vanheride,
1—00
Anonyme,
3—30
ZEYDSCHOTE.
M. Ie Curé et quelquus paroissiens
22—00
STAVELE.
M. Louwagie, curé,
20—00
M. Pyrioo, vicaire,
10-00
De Congregatie der jonge dochters,
25—38
Eene ehristulyke vrouw,
5-00
Een Pausgenegen huisgezin.
5-00
twee zusters vragen den Zegen van Zync
Heiligheid,
6-00
Eenige Pausgezinde parochianen,
19 37
Uil liefde voor Pius IX,
55
MM. les Ecclésiastiques de l'arrondissement
voudrunl bien receeoir les souseriplwns
Tantes auires personnes de batrne vo'.onTé sont
cgalemenl considerées conrine nptes d rccueilltr
d recevoir et d transmcltrc les u/fraudes.
Ou les percoil également au BUREAU DU
JOURNAL D'BRES et da NIEUWSBLAD.
Pour permellre une exacte complabilité
1" Le donateur el sou intermédiaire sont inslam-
ment priés de remettre simullanémenl la note de la
souseription et I'argent qu'ellc com porte.
Les personnes qui seraient embarrassées pour
faire parvenir au centre da ('amore le monlant de
tear souseriptionpeuvent l'envoyèr en mandals
sur la puste d M. le dogen d' Ypres.
2° Nous ne pourrons publier chaque semaxne
que les souscriptums dunt la note el I.'urgent seront
parvenus au centre de l'ui'tvre, chez i\i. Ie Dogen
d'Ypres, uvanl le Jeudi midi.
Esi-ce un péché?
ii Non, non. Vous leur fuitcs, Seigneur,
En les croquunt, beauuoup d'honneur. i>