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ÉTRENNES AU ST-PÈRE.
Samedi *20 Février 1875.
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Le Journal parail le Mercredi el le Samedi.
Les réclames, dans le corps du journal, se paient 30 centimes la ligne.Un numéro du journal, pris au Bureau, 15 centimes.
Les numéros supplémentaires commandés pour articles, Réclames ou Annonces, coütent 20 fr. les 100 exemplaires.
Les insertions coütent 15 centimes la ligne
CHEMlllfS I» E E E IC.
Iluitièiiic Eiste.
Total fr. 11,5?$-*?
AVIS.
NOUVEAUX ENVAHISSEMENTS, NOUVEAUX
DEVOIRS.
On s'est peiit-èlre ctonné, a Rome comme
ailleurs, de (accord subit quia parus'élablir,
depuis l'arrivée de Garibaldi dans la Ville
Eternel le, enlre ce chef des chemises rouges
et l'höte intrus du Quirinal.
La blessure d'Aspromonte semble complé-
tement cicalrisée; d'autre part, les procla
mations républicaines de l'ermite de Caprera
paraissent n'avoir laissé auctine trace dans
la mémoire de Victor-Emmanuel.
Une enlrevue a en lieu enlre les deux ré-
volutionnaires réconciliés. La pourpre roya
le et la chemise rouge ont confondu lenrs
plis; on s'est lendu la main, on s'est adressé
mille compliments réciproques, on s'est ami-
calement enlretenu de (assainissement de la
campagne romaine. Brcf le Galant-Homine
et UAchille goulleux du republicanisme ila-
lien paraissent aujourd'hui s'entendre, selon
l'expression particulièremenl juste de feu
Napoléon lil, comme deux larrons en foire.
Quelle est l'énigme de ce nouvel épisode
du drame italien? Quelies sont les clauses
secretes de ce traité de paix, au premier
abord si éirange cl si inatlendu? Ccux qui
ne connaissenl pas le fond de la politique
subalpino ont pu se le demandcr pendant
qut'lque lemps. II n'élait toulefois pas diffi
cile de deviner qu'en llalie, comme ailleurs,
les traités de paix ou pour mieux dire les
armistices enlre les doctrinaires el les avan
cés se concluent toujours sur !e dos des ca-
tboliques.
C'est en effet ce qu'une dépêche lélégra-
phique, insérée dans nolre numéro de ce
matin est venue nous apprendre.
La visite de Garibaldi au Quirinal a eu
pour premier effet d'accentuer encore la
politique anti-cléricale du gouvernement du
rot VittMor-Emmanuel. Pour neutraliser l'élan
que la présence du célèbre condollière aurait
pu communiquer a l'opposition républicaine,
M. Minghetli s'est engagé, au nom du cabi
net qu'il préside, a emboiter plus compléte-
ment encore le pas de la Prusse et a adopter
une politique plus francbemcnl hostileaux
calholiques.
Do la il est superflu do relever la coin
cidence la circulaire minislérielle dont le
lélégrapbc nous a apporlé, ce matin, I'ana-
lyse.
Après avoir répudié loutes les promesses
parlemcnlaires, diplomatiques etautresqui
garanlissaient, dans une mesure dérisoire,
il est vrai, mais après lout dans une ccrlai-
ne mesure, l'indépendance de (autorite cc-
cléstaslique, Ie gouvernement subalpin en
vient maintenant a altaqucr le pouvoir spi-
riluel lui-mêmc, dans ses manifeslalions les
plus réguliéres, et les plus legitimes, eta
rcnier avec un rare cynisme la célèbre devi
se, si longlemps prönée par le comle de
Cavour, de sinistre mcmoire: I'Eglise libre
dans l'Elal libre.
II en est aujourd'hui de cede garanlie
comme de toutes les autres: on se croit assez
fort pour avouer qu'elle n'a été qu'un leurre,
qu'urt trompe-l'oeil, une pure formule poli
tique, gonflée de tnensonges el de perfidies.
Le libéralisme ilalien se démasqué el il
affiche son intention claire, formelle, expli
cit, de subordonner complement I'Eglise
a l'Elat, de juger les actes de l'aulorilé ec-
clésiastique, quelle qu'elle soit, et au besoin
de les declarer arbitrairement nulset non
avenus.
En fail done, et si ces menaces pouvaient
inlimider le Sainl-Siége et ses coopérateurs
dans fadministration de la catholicité, I'E
glise universelle qui ne cortnait poiut de
fronlières et qui n'a d'autre loi que cel Ie de
Dien, se trouverait soumise a Rome au bon
plaisir de Victor-Emmanucl et de ses minis-
tres.
II est vrai que jusqu'a présent leSouverain
Ponlife ne se trouve pas personnellement
atlcint par cede jurisprudence italo germa-
niqtte. Une déclaralion quclconque lui re-
connait l'inviolabilité; mais ceux qui exècu-
teront ses ordres, les cvèques, les prèlres
ou les simples imprimeurs qui seront le res-
pectueux écho de sa parole n'échapperont
point a la vigilance et a la repression des
tribunaux. Le minislre de la justice charge
spécialemenl les agents de la sttrelé publi-
que de surveiller loutes leurs démarches,
tous leurs discours, toutes leurs publica
tions.
Ce détour machiavèlique ne trompera
personne. En réalité, c'est le Pape, c'est le
Pasteur de I'Eglise eatholique qui se trouve
placé, par personne interposée, sous la sur
veillance de la police subalpine; c'est sa pa
role pontificale qu'on a la pretention de llé-
trir ou d'inlerdire lorsqu'elle offenserait Ie
rol, les institutions ou l'Elat.
Ce texte est assez élastique pour justifier
toutes les interdictions et toutes les saisies
et pour devenir, enlre des mains hosliles
et habiles, un baiHon apposé sur cctte bou-
che qui est, pour nous calholiques, le vi-
vant et permanent oracle de PEvangile. Le
conimentaire du Décalogue lui méme peul
devenir sédilieux, d'aprés la jurisprudence
subalpine, el il sera bien difficile de rappe-
ler désormais fadoral ion due a Dieu, l'invio
labilité de Ia foi jurée, le respect dit au bien
d'aulrui, le précepte de la cliasteté conjugale
sans s'exposer a offenser« le roi, les institu
tions el l'Elat!
Ainsi se vérifient, plus tót encore qu'on
ne l'avait cru, les previsions unanimes de
tous les défenseurs de la souveraincté ponti
ficale. A Rome comme a Berlin, le pouvoir
civil affiche la pretention de reduire I'Eglise
a l'élat d'esclavage et, a Rome plus encore
qu'a Berlin, cctte pretention est exorbitante,
car l'évèque de Rome est le Chef de la catho
licité tout entière et sa parole a besoin d'etre
libre pour confirmer la parole de ses frères
et pour en signaler, le cas échéant, les dé-
faillancesou les complaisances.
Voila aussi pourquoi la circulaire du mi-
nistre de la justice en Italië n'est pas seule-
ment un acte d'hoslililé locale contre les ca
lholiques, c'est une déclaration de guerre
lancée a la catholicité tout entière!
Ni dans lecamp liberal, ni dans le camp
eatholique, ou ne se trompera sur la signifi
cation de ce fait.
Les iibéraux tressailliront de joie en
voyant se resserrer, de Berlin a Borne, le
formidable réseau dans lequel le césarisme
libéral espère enfermer I'Eglise; les calholi
ques, au contraire, comprendronl la néces-
silé de s'unir chaque jour davanlage et de
rendreplusétroits les liens qui les rattachent
au centre vivant de f unilé el de la vèrité.
Nous connaissons assez Pie IX pour savoir
que cetteame si héroïque, que cc caractère
si fortemenl trempé saura défendre envers
et contre tous le trésor immorlel de la liber
ie de I'Eglise.
Nous savons qu'il a autour de lui des auxi-
liaires dignes de le seconder dans son oeuvre
et qui, bon gré mal gré, feronl pénétrer et
relentir jusqu'aux extrémilés de la terre les
échos de ses infaillibles enseignemenls.
Mais ii n'en demeure pas moins vrai
qn'en face des envahissements calculés de la
politique césarienne, il est plus nécessaire
que jamais de préserver l'inlégrité de notre
foi par une étroile communaulé de doctrines
el mème de sentiments et de vues avec le
Chef visible de la Sainle-Eglise. II faut que
l'unité admirable des esprits dans la vérité se
traduise au dehors par des manifestations
extérieures dont la puissance en impose aux
modernes Césars qui ont la prétention d'en-
régimenter les ames comme les corps. C'est
surtout lorsque la force matérielle prélend
tout cnvabir et tout dominer qu'il faut lui
opposer le vaste déploiement de la force mo
rale. Grace au Ciel, ce n'est pas en vain que
l'eau sacrée du baptème a découlé des fronts
de nos pcres sur les fronts de leurs fils. Elle
nous a fails chréticns, c'esl a-dire, les plus
soumis mais aussi les plus libres des hom
mes, les plus humbles devant Dieu, les plus
fiers devant César. Cello tradition n'est pas
éleinle, elle se raniine au contraire sous l'ai-
guillon des persecutions et elle oppose it la
puissance des despotes, toujours courle
par queique endroit, celte foi courageuse
et forte qui vainc le monde, en s'appuyant
sur la toute-puissance de Dieu.
[Bien public.)
AUX CATflOLIQUES.
La circulaire suivante, émanée de Mgr
l'Evèquede Tournai, mérité de fixer la très-
sérieuse attention de nos lecteurs.
Elle appelle ('attention des fidèles et du
clergé sur les empiétemants calculés de la
bureaucratie doctrinaire dans le domaine
ecclésiastique. C'esl un terrain qu'il est trés-
urgent de préserver des envahissements de
fennemi et,ace litre, le document pastoral
qu'on va lire acquicrt une portee loule spé
ciale:
A Messieurs les Doyens el Cures du dio
cese de Tournai.
Messieurs,
Nous ct'oyons remplir un devoir dc notre
charge pastorale, en appelant votre attention
sur les points suivanls, qni regardent fad
ministration des fabriques.
I. Se fondant sur un arrété royal du
IG Aoüt 1824, qui appartienl aux plus
mauvais jours du régime hollandais, et dont
la légalité, du reste, est Irés-contestable, des
fabriques se croient obligees de recourir a
Monsieur le Ministre de la Justice et de de-
mander une aulorisalion, quand il s'agit de
placer dans leur église un aulel, un confes-
sionnal, unorgue, voire même un chemin de
la croix. C'est donner au susdit arrèlé royal,
quelle qu'en soit la valour, une extension
qu'il ne comporte pas. Dans une des der-
niéres réuuions du corps épiscopal, il a été
décidé que cetle aulorisalion ne pouvait êlre
demandée par les fabriques, que lorsque
ces sortcs de dépenses se faisaienl a l'aide de
subsides.
II. Assez souvent, cerlaines delibera
tions prises par des conseils de fabrique ne
parviennent a notre connaissance que par la
communication qui nous en est faite par le
Gouvernement provincial. De la naissent
plusieurs graves inconvénients: nous ne pou-
vons conserver, dans les archives de noire
secrétariat, qu'une indication très-sommaire
de ces délibéralions; dans l'approbation qui
leur est donnée par f autorité civile, il n'est
fait aucttne mention de la nótre; enfin, cer-
taines fabriques prennent parfois trop incon-
sidérement des engagements contr'aires a
leurs intéréts; ce qu'elles auraient facilement
évité, si elles nous avaient consulléen temps
utile.
il est done de (oute convenance, el an be
soin nous ordonnons, que toutes les délibé-
rations, soit du eonseil de fabrique, soit du
bureau des margoillers, nous soient soumi-
ses en premier lieu, avant d'etre envoyées au
Gouvernement provincial, et mème avant
d'etre présenlées au visa de fadministration
communale.
III. Nous avons souvent remarqué que,
dans les fondations nou vei les soumises a no
tre approbation les charges absorbaient
presque entièremenl Ie revenu, el que la
part laissée a Ia fabrique élait lout a fait in-
su (fisante.
En régie générale, une fondation nouvelle
ne peut êlre admise, que si, après Ie prélè-
vement des honoraires des services religieus
et dos aumónes, il reste au profit de la fabri
que le quart du revenu total de cette fonda
tion. L'on pourrait mème, pour les fonda
tions de moindre valeur, par cxemple pour
celles dont le capital ne serail que de quel-
qoes centaines de francs, stipuler en faveur
de la fabrique, le tiers de leur revenu. Nous
n'admetlrions le cinquiètne, que lorsqu'il
s'agit d'une fondation plus importante.
Telles sont, Messieurs, les bases auxquel-
les vous voudrcz bien vous conformer a
favenir. Vous les ferez connaitre aux per
sonnes de voire paroisse qui auraient l'inten-
tion de faire des fondations en faveur de
fours égfrses, et qui vous consulteraicnt
d'elles-mêmes a cette (in.
En raison des diverses circonstances oü nous
nous trouvons, it y a lieu, ce nous semble,
d'étever (honoraire des messes chantées out
obits qui seraient nouvellement fondês. Cet
honoraire, dans bien dos localités, n'est que
de deux francs. Nous croyons convenable
qu'il soit porlé a deux francs cinquante cen
times au minimum; nous ne doutons pas
que toutes les personnes aisées Ie porteront
volontiers a Irois francs et même au-dela.
IV. Selon les Saints canons, (adminis
tration des biens appartenant aux églisesest
soumise a l'Evèque. Aposlolorum canonibus
staiuium est ut omnium negottorum eccle-
siaslicorum curain Episcopus habealet ea,
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Poperinghe-Ypres, 5-15,7-25,9-30,10-58,5-15,5-05,9-20. Ypres-Poperinghe, 6-80,9-07,12-05,3-87,6 80,8-48,9-80. Po-
peringne-Ilazebi'ouck, 7 13, 12-28, 4-17, 7-13. Hazebrouck Poperinghe-Ypres, 8-35, 10-00; 4-10, 8-25.
Ypres-Roulers, 7-50, 12-25, 6-48. - lloulers- Ypres, 9-25, 1-50, 7-50.
HouIers-Bruges, 8-45,11-34,1-13, (L. 5 56), 7-36, (9-55. Lichierv.) Lichterv.-Thouroul, 4-25 ra. Bruges-Roulers, 8-25,
12-50, 5-00, 6-42. Lichlorvolde-CWfn»», 8-25 ra. 9 01, 1,30, 5,37 7,21 Zedelgiieiu Thourout, 8-40. 1,05, 5,14, 6,58.
Ypres-Cowrtm, 8-34,9-49,11-18,2-35,8-28. Courtrai-Ypres, 8-08,11-02,2-56,5-40,8 44.
jr pres-Ihouroul, 7-13, 12 06, 6 20, (le Samedi a 5-50 du malin jusqu'a Langhemarck), Thourout- Ypres, 8-40, 1-10, 7-00,
(Ie Samedi a 6-20 du malin de Langhemarck a Ypres).
Lomines-Wamêton Le Touquet-[Joii|)!ines-/lme?i/ierei, 6-00, 10,18, 12-00, 6-40,Armcnlières-Houplines-Le Touquet-War-
neton-Gomines 7-20, 10,50, 4-10, 8 -40. Comines- Warnélon 8 40, m 9-30 s. Wa r riêton -Comines 5-30, 9-50,
Courtrai-Uruges8-0.8, 11-00, 12-35, 5-15), 6-85. (9-00 s. (Lichierv.)- Iiruges-CW<-m», 8-28,12-50, 5-00, 0-42.
Bruges, Blankenberghe, Heyst, (Etat) 7-25,11 04,2-80,7-35. (bassin) 7-31,11-10,2-50,7-41 (exp.) lleyst, Blankenberghe,
Biuges, 3-45, 8,35 11-25, 5-30.
Ingelmunster Deynze- Gand, 5-15, 0-41, 2-15. Ingelmunster-De)/n~e, 6-08 2'' cl., 7-15. Gand-Deynze-Ingelmunster, 0-58,
11-20, 4-46,7-21Deynze fyyehnunsler, 7,31 1-00.
Ingelmunster-^nseghem, 6-05, 12-10, 6-15. Ansegliem-Ingelmunslër, 7-42, 2-20, 7-45.
Biclitervelde-Dixtrjude-Furnes et Dunkerke, 0-30, 9-08, 1-35, 7-55. DtmAer/fe-Furnes-Dixmude et IJclUerveldc0-45, 11-10,
3-40, 5-00.
Dixmude-Mei^ozl, 9-55,2-20,8-40.— Nieup-Dmre,(ville)7-40,11-56,4-25.
J nouiout-Oslende, 4-50, 9-15, 1-50, 8-08. Oslende-Thouroul, 7-55, 10-10, 12 25, 0-15.
t>elzaeie-d?eefoo, 9-05, 1-28, 8-25. Eecloo-Selzaete,
5-38, 10 15, 4-22.
Oand-Terneuzen, (station) 8-17, 12-15, 7,25. (porie d'Anvers) 8-30, 12-40. 7-45. Terneuzon-Gand, (j-0010-30,
Selzaete-LoAere», 9-04, 1-30, 8-30. (le Merer. 5-10 m.) Lokeren-Se(z«ete, 6-00, 10-28, 4 48. (Ie Mardi, 9,30.)
40.
COHRBSPOISDANCES.
COURTRA!, BRUXELLF.S.
BRUXELLB9, COURTRAI.
Courtrai dép.
Bruxelles arr.
0,37
8,50
10,53
1,35
12,33
2,25
COURTRAI, TOURNA!, LILLE.
Courtrai dep.
Tournai arr.
Lille a
6.37
7,28
7.38
10,56
11,47
12,08
2,54
3,48
4,00
3,47
0,14
5,34
6,30
0,35.
8,54.
8,47.
9,41.
Bruxelles dép.
Courtrai arr.
5,22
8,02
8,28
10,40
12,21
2,44
5,35
7,56
0,47.
8,44.
0,35 10,00.
Li lie
Tournai
Courtrai
dep.
arr.
L1LI.Ë, TOURNAI, COURTRAI.
5,15 8,22 11,05 2,22 4,48 5,20 8,00.
5,42 8,56 11,29 2,40 5,30 8,38.
6,42 9.49 12,3L 3,44 0,40 9-33.
COURTRAI, GAND.
GAND, COURTRAI.
Courtrai dép.
Gand arr.
0,42
8,01
9,49
11,05
12,31
1,51
3,44
5,04
6,40.
7,86.
Gand dép.
Courtrai arr.
5,15
6,37
9,38
10,50
1,28
2,54
4,24
5,34
7,21.
8,47.
BRUGES, GAND, BRUXELLES.
Bruges d. 4 39 cxp.6,49exp.7-04,9-39,12,34,3 43,ex.2,52,5-59exp. 6,43.
Gand d.5-31, 7,34, 9,15.10-54,1,49 4,28, 4-07,0,52 7,58.
Bruxelles 6-28, 8,50, 10-35,12-39,4 00,6,14, 7-38,8,44, 9-31.
BRUXELLES, GAND, BRUGES.
Bruxelles dép. 7-20exp. 8,licxp 11,00 3,12 5,88. exp.
Gand arr. 8,29 9,41 1,12 4,21 7,17.
Bruges 9,23 10,34 2,38 5,11 8,38.
N. B. Les listes seront définilivement closes a la fin
du mois de Février,.
Dans la liste précédente, il y a une erreur
pour la paroisse de Si Berlin, Poperinghe. Au
lieu de M. I'abbé Deconinck, directeui5 francs,
lisez M. I'abbé Deconirick, directeur 15 francs.
Montant des listes précèdentes, fr. 11,26387
PAROISSE DE ST-MARTIN (-Yl'RES).
Anonyme, 40—00
Anonyme, 5—00
L. I1. pour obtenir la grace de bien
faire sa première Communion, 100
P F. 2—00
Anonyme, 2—00
PAROISSE DE ST PIERRE (YPRES).
Ursu'a de Crock, 4—00
PAROISSE DE ST-JACOUES (YPRES).
Eene onbekende, 1 00
POPERINGHE, PAROISSE DE ST-JEAN.
Anonyme, 12-00
ROUSBRUGGE.
Anonyme, 5—00
id. 15-00
id. 1—00
ZONNEBEKE (2° EISTE).
Een onbekende, 2—00
Een huisgezin, 8 00
Eene Congreganiste, 1—00
Anonyme, 3—00
Een huisgezin, 300
WESTYI.ETEREN.
De fleercn Pastor, Onderpastor en Pa
rochianen van Westvleteren, 15000
RENINGIIEEST.
Twee meisjes vragen den Zegen van
Zyne Heiligheid om eene goede
Eerste Communie te doen, 1—00
Een jongeling vraegt den Zegen van
Zyne Heiligheid om wel le leven, 1—00
CEYTE (RENINGIIEEST).
M. E. .1. Verbrngglio, proost, 10—00
Adelaide Verbrugghe, 5—00
Onbekende, 1—00
Onbekende, 8—00
proven (3° eiste).
D'heer Charles-Louis Neuville, 25—00
Weduwe van Louis Van Inghelandl, 8 00
Eene dienstmeid, 1 00
Charles Carlier, 300
Komanus Dcsmylter, 2—00
Een dienstbode, 1—00
MM. les Ecclësiasliqiëes de I'arrondissement
voudronl bien recevoir les svasvriptions.
Toutes a ui nes personnes de bonne vo'onté scmt
également considërëes comme uples d recueillir,
d recevoir et d transmellre les o/fiandes.
On les percoil également au BUREAU DU
JOURNAL ïr Yl'RES el du NIEUWSBLAD.
Pour pcrmetlre une exacte comptabilüë:
1° Le donateur el son intermédiaire sonl inslam-
ment priés de remellre simullanémenl la note de la
souscription et l'argenl qu'elte comporte.
Les personnes qui seraient embarrassëes pour
faire parvenir au centre da l'asuvrej.e montant de
Leur souscription, peuvent l'envoyèr cn mandals
sur la poste d M. le doyen d' Ypres.
2° Nous ne pourrons pubher chaque semaine
que les souscriplions dont la note el I'argent seront
parvenus au centre de l'ceuvre, chez Mle Dogen
d' Ypres, avant le Joudi midi.