quisitoire ne varietur serail déja rédigé, et les assassins qui pullulent parmi nous, li- vrés ainsi que leur chef au glaive des lois. Quant aux fortes têles lihérales, n'y a-t-il pas pour elles dans cetle affaire ('occasion de cherclier une querelled'allcmandau St-Père? Pie IX donnant le ehapeau de cardinal a Mgr Dechamps, chef d'assassins en Bclgique, quel magnifique theme pour une interpella tion! Si M. de Bismark le savait! Nous croyons savoir que pour le cas oü Thérnis se boucherait les oreilles, il est d'honnêlcs gens bien decides a lirer au clair le cas des assassins dcnoncés aujourd'hui et dont le chilfre approche de cent mille. ROME. LES NOUVEAUX CABDINAUX. Le Journal de Home donne les détails sui- vants sur les nouveanx cardinaux: Victor Dechamps. C'esl le premier Ills de Saint Alphonse de Liguori qui soit élevé a i'honneur de la pourpre. Orateur, écrivain d'une doctrine élevée et toutc romaine, d'un caraclère doux et ferme, plein de charité et de courage, la gloirc dont le Pape I'cnviron- nc et qu'il a mérilée, rejaillit stir sa compa gnie, sur la Belgique et sur l'Eglise uni- verselle. Henri Edouard Manning. Le premier pro testant converti appeléa la pourpre. Quelle noble et austère figure! Quel calme dans la lutle et quelle moderation dans le triomphe! L'Angleterre protestante respectc et liono- re depuis longtemps ce grand docteur, tout en regreltanl sa conversion a l'Eglise ro maine. Jean Mac Closcry. Le premier èvèque amé- ricain entrant dans Ie Saint-Collége. P n'y a plus d'Océan. Un cardinal a New Yorck est aujourd'hui beaucoup plus prés de Rome qu'autrefois un cardinal a Lyon ou a Madrid. Miesciceas Ledochowski. Ce n'csl pas helas! le premier évêque captif qu'un pape ait créé cardinal. Au commencement du XVIIIe siè cle, Thomas Maillard de Tournon, legal de Clément XI en Chine, fut créé cardinal avant de mourir dans les prisons de Macao. II faut citer aussi Jean Fisher, évêque de Rochester, au XVIe siècle, qui, ne voulant sanctionner le divorce de Henri VIII, fut enfermé dans la Tour de Londres et soumis aux plus cruels traitemenls. Fisher élail octogénaire. Pendant le dernier procés qu'on iuslrui- sait contrc lui, le Pape Paul lil Ie créa cardi nal et Ie roi, ivre de fureur, s'écria Paul n'a q'u'a lui envoyer le ehapeau; j'aurai soin qu'il ne puis.se pas s'en couvrir Ja !êle. Fisher ful conduit a l'échafaud. En voyant rinstrument du snpplice, le saint et ferme vicillard jeta loin de lui la canne qui soulc- lenait son corps débile, el dit plein d'en- thousiasmé Courage, mes vieilles jambes! vous feroz bien encore les quelques pas qu'il vous resle a parcourir! Arrivé sur l'échafaud, il adressa au peuple quelques paroles, pria pour Ic rot el I'Etat, entonna a voi.x haute Ie Te Drumet se re- commanda a la miséricordo divine. Puis, il placa la lèle sur le billot. Pierre Giannelu et Dominique Bartoeim. Deux prélats romains d'un rare mérite, de services anciens et éminents. Le premier a concouru aux iravaux du Concile, le second a puissamment seconde Ie mouvement catho- lique et préparé, au prix de labeurs inouis, la canonisation des martyrs Japonais,de Cer- maine Cousin, de phisiéurs autres saints et le cenfenaire de saint Pierre. Portrait «Ie noire Salnt-Père le Pape Pie IX. On ptpil se procurer au bureau du Jour- pal dWpres le beau portrait du Sainl-Père Pie lX'peint a I'huile par un procédé mécan- nique et que vienl d ediler la Sociela Oleo- graftca in Bologna. Ce portrait, on peut le dire, est un chef- d'oeuvre accompli. Le visage du Sainl-Père y est relracé au vif avec un art vraiment ad mirable. On y admire cetle douce majesté, celte amabilitc toute propre a Pie IX, qui remue taut les coeurs et emporle l'afïeclion de quiconque a le bonheur de le voir en pcr- sonne. Ses yeux regardenl fraternellement, el sa main droite se léve pour bénir. Ce por trait sur mile, peint mécaniquement a I'hui le, coute 22 francs. Citroni«(ne locale. ENCORE LA FAMEUSE VENTE D'ARBRES. Le Progr'es s'elforce de faire bonne mine amauvaisjeu: il cherche a tenir debout ses allegations au sujet de la fameuse vente d'arbres effectuée pour le compte de la Pro vince, et a replatrer, vaillc que vaille, l'édi- fice de ses insinuations malveillantes. Mais e'est «gal, l'cdifice est renversé et ses efforts sont vains. Le vol généralement lourd du Progrès nous pa rait encore appesanli: évi- demment 1'animal a du plomh dans Faile! Battu sur tons les points deson question naire, il se réfugié dans des généralités pa- naehécs d'injures. II a beau affecter son air rogue, les Tartu fes. les Rollins (Rollet pro- bablcment) et les Chats, marionnettes usées de son répertoire, ne sont la que pour gazer sa défaite. Nous avons demontré au Progrès que toutes ses assertions, a pro pos de cetle vente d'arbres, ne témoignaient que de son ignorance des conditions de I'o- péralion faile, ses critiques d'une imagina tion enfiévrée du désir de trouvcr en facte la Deputation et spécialement un de ses membres. Discute-t-i 1 les fails que nous avons nppor- tés au débat? II n'a garde: il n'en souffle mot et préfére recourir a ses armes favorites: ('insinuation et ('outrage. Nous ne Ie laisserons pas sur ce terrain, el a noire tour nous lui posons nos questions: 1° Esl-il exact oui ou non que ces arbres, dont vous criliquez la vente, ont été en grande partie plantos il y a a 35 ans, que les autres n'étaient que de simples arbres de remplacement? 2" Esl-il exact que ces arbres sont rensei- gnésau tableau des plantations provinciales, comme étant de Irès-mauvuise venue? 3° Esl-il exact que le rapport du Corps des ponls et chaussées émel I'avis qu'il y a lieu de vendreces arbres, qui sont de mauvaise venue et sans avenir, et qu'il en eslime la valeur a fr. 6,050? 4° Est-il exact que la vente a produit fr. 9,500 et que I'acheteur, frais compris, aura a débourser fr. 10,737? Voiia les donnèes et les chiffres qu'il fan I disculer, Progrès, et que vous cachez soi- gneusement aux malheureux qui trouvent leur évangile dans vos colonnes. Eh bien, nous le demandons a quiconque vend des arbres ailleurs que snr le papier, est ce la une operation désaslrouse? Vienne mainlenant Ie Progrès avec ses pe'ils marchands, ses charpentiers, ses me nu! sier s, qui acliètent pour leürs besoins el von pour la revente, el dont on aurait, par une vente en masseécarté la concurrence au détriment de la Province! Voyez vous ces industriels, a la voix des patrons du Progrès, aller chercher lours arbres dans des chemins impossibles, el payer en fiais de transport deux fois la va leur de l'arbre qu'ils auraient acheté! En vérilé, ils connaissent mieux leurs intéréts que vous ne connaissez, Progrès, la gram- maire, el on ne les y prendrait pas. La Dé- putation a done fort sagement fait, snr le rapport du Corps des ponts et chaussées, de decider que ces 574 arbres, sans avenir, seraient publiquement vendus, et elle a non moins sagement decide qu'ils Seraient ven dus en bloc. La dilïicullé du transport, l'état du che- min de halage, la riéccssité dc ne pas empi- rer ce chemin, dc le rendre a la circulation le plus lót possible, toutes ces considérations dont les intelligents rédacteurs du Progrès ne s'avisent méme pas, justifiaient ample- rnent le choix du système auquel la Dépula- tion s'esl arrêtée. Mals pourquoi insérer au cahier des charges la condition que I'acheteur ne pour- rait pas revendre les arbres en détail aux enchères publiqaes Pourquoi mais précisémenl par le motif qui avail enga- gé la Deputation a s'inlcrdire a elle-même la venle en détail: pour que, n'ayanl a faire qu'a un seul individu, on pul hater l'enlèvement dans la mesure qui serail jugée convenable. Nous avions pensé que le Progrès eüt trouvé ccla tout seul. Cela créve les yeux, mais le Progrès préfère flairer sous celte clause nous ne savons quel monstre: décidé- ment e'est un tic. II n'y a du reste que coux qui sont en élal de se vendre, pour voir ain si parloul des marchés! Mais si ces arbres ne valaienl en réalité que ce qu'ils ont été vendus, pourquoi les vèndrc? Pourquoi, Progrèsh le Corps des pohts el chaussées vous répond, paree qu'ils étaient de mauvaise venue el qu'ils n'a- vaientplus d'uvenir. Le Progrès ne veut pas de nolre moyen des'assurer de la valeur réelle des arbres et d'établir le bien fondé de ses critiques. Le contraire nous eüt bien étonnó. II ne veut pas, dit-il, priver Cheureux acheteur de son bénéfke: muis si la moindre offre lui était faile, il accepleruil volonliers, el verserail j unjoli denier dans la caissc du Bureau de j bienfaisance. A d'autres, Progrès.Et le jngement de la Gazette a laquefle vous empruntez si sou vent: Tous pingres, les libéraux, tous pin- gres? Heureusement que nos pères calho- liques ont pris Ie soin de donner a la bien faisance pubique des ressources moins chi- mériques que lés benefices aléaloires des patrons du Progl'ès et que les produits de leurs iare^sses! TOUJOURS LE FOUR DU PROGRÈS. Le Progrès s'évertue a nous faire dire ce que nou-' n'avons pas dit. Nous sommes par- failcment decides a ne pas laisser a l'honnète journal, le benefice, de c'etle taotique; et nous aurons le dernier mot, dussions-nous disculer le cas du Sr B.... jusqu'a exstinction de chaleur naturelle, pour einprunler une expression a une honorable inomie doctri naire, bien faile poer servir de parrain aux abonnés du Progrès, comme aux abonnésde 1 'Echo du Parlement. Nous défions ceux des rédacteurs et des lecteurs du Progrès, journal d'aveugles, qui d'aventure seraient borgnes,de nous montrer dans le Jogrnal d' Ypres, une seule ligne, un seul mol, d'oü l'on put inférer que nous estimions qu'un faux n'est plus un fauxlorsqu'il est gommis... par n'importe qui. Récapitulons brièvement les phases de cctte polémique. Le Progrès attaque fort maladroitement une décision de la Députa- tion permanente, cn;,ce qui corcerne le Sr B....: nous établissons que la Députation a poussé précisémenl dans celte affaire l'im- partialité jusqu'aü scrupule. Nous établis sons, code électorat et jurisprudence en main, que les droits de B... a l'exercice de l'électorat provincial, sont au dessus de toute contestation. Conslatons une fois de plus, que sur ce point le Progrès passé con- damnalion: il n'y reviebt plus, pas om bre de réponse, el pour cause, aux deux questions que nous avions pris la liberté grande de lui poser dans nol re N° du 17 Mars dernier. Le Progrès abandonee le faux élecleur; il se rejettc sur une prclendue fausse signa ture. La réclamation est signée par B...; or B... ne sail pas écrire, done il y a faux, done un des vötres, qui figurerail mieux sur un banc de cour d'assises que sur un banc d'égiise, a coinmis ce faux: telle est la logiquedu jurisconsulle masqué du Progrès. Nous répondons au Progrès qu'il n'y a pas plus de fausse signature en l'cspèce, qu'il ne pouvail y avoir de faux élecleur-, que le Progrès ne pon va it feindre sérieuseinent ignorer qui, a défaut de B... illetlré,avail signé la réclamation électorale adressée au GrelTe provincial; que ni IL.., ni sa femme ne faisaienl mystère de celte signature. Apprenanl, par le Progrès, que le Par quet s'était émü dc^ dénonciations calom- nieuses des patrons de ce journal, que le Parquet faisait mine de se fourvoyer a leur suite, nous n'avons en ancnne facon supplié le Parquet, nous en serions bien faehés, nous n'avons pas plaidé la moin dre circonslance alténuanterious nous sommes permis dé soumettre au Parquet, une observation qui nous pa ra i l topique, une observation qui, a notre avis, doit sulïire a éclairer un magistral intelligent, sur la va- leur et la mora I i té de la dénonciation du Progrès: c'esl que la supposition d'un faux est lout simplemenl inepte. Pour commetlre un délit ou un crime, a supposer que quelqu'un fül assez dénué de sens moral, pour commettre un faux a celte seule fin d'obtenir l'inscription d'un élecleur, il fatit un intérèt. Oü était l'intérèt en l'es- pèce, l'ar!.31 du code électoralouvrant,a défaut de B, au premier élecleur venu, domicilié dans le canton, le méme droit qu'a B..., lui-mème, pour faire rectifier l'omis- sion?... Mais la question n'est pas ce que l'on pouvail faire, mais bien ce que l'on a fait..., objecte le Progrès. Eh bien, pour que vous ne feignez plus d'en ignorer, Progrès, pour vous enlever toute possibilité de nous prefer sur Ie faux nous ne savons quelle théorie monslrueuse, que nous vous laissons pour compte; ce qu'on a fait, le voici: e'est parfaitement sim ple, parfailement innocent, parfaitement conforme a nos mceurs électoralos: un hono rable élecleur de .cetle ville sail que B. ré unit toutes les conditions de la capacité électorale, ct que nonobstant il n'est pas inscril. Agissant dans la plenitude de son droit, il se rend chez B..., lui exphque quels sont ses droits, et lui demande s'il n'a pas l'nitention de les faire valoir. Sur la réponse affirmative de B..., il lui présente une for mule de réclamation. Cctte reclamation, B... étant illetlré, sa femme la signe, lui présent et consentanl, comme elle a conlume de signer pour lui quantité d'autres pieces, quittances, reces, etc., que certes nul ne s'avisera jamais d'arguer de faux. Voi'a tout, nous raffirmons fort carré- ment sans erainte de nous voir démenlir par révènemorit. La plus experte, la plus claïr- voyanle des instructions ne trouvera on tout ceci, nous nous faisons un plaisir de le répé ter, pas autre chose.... qu'im four pour les amis du Progrès. Est-ce clair, précis et pertinent eelte fois, jurisconsulle masqué? LISTE SUPPLEMENTAIRE DES ÉLIGIBLES AU SÉNAT. Voici le complément de la liste des per- sonnes de notre province payant moins de 2,116 fr. 40 c.: Behaeghel, A. propriélaire, Furnes, né a Oslende le 15 Janvier 1813.fr. 1.648-01. Berten, F.-J. notaire, Poperinghe, né a Poperinghe le 2 Avril 1812.fr. 1,069 39. Cauwe, I. brasseur, Bruges, né a Roulers le 23 Juin 1808. fr. 914 15. Chalant, E. propriélaire, Bruges, né a Bruges le 15 Mai 1813. fr. 1,493-95. Danneel, B. propriélaire, Courlrai, né a Courtrai le 20 Septembre 1805. fr. 1,647-42. D'Aussy, J. propriélaire, Thouroul, né a Thouroul le 2 Juin 1823. fr. 1,321-01. De Cock-De Roo, E. propriélaire, Asse- brouck, né a An vers le 22 Mars 1818. fr. 1,091-87. Defoor, A. président du tribunal de lrc in stance, Bruges, né a Bruges le 28 Février 1806. fr. 917-45. Dela Croix, P. négoeiant, Courtrai, né a Courtrai le 2 Oetobre 1819. fr. 1,776 62. Dele Mazure, E.-J. propriélaire, Helchin, né a Helchin le 8 Novembre 1815. fr. 1,853 54. De Man-Van Caloen, A. propriélaire, Bru ges, né a Bruges le 11 Septembre 1834. fr. 1,712-54. De Pelichy Van Huerne,J.-A. propriélaire, Iseghcm. né a Bruges le 13 Avril 1809. fr. 1,484 82. De Ridder-Du Jardin, L. propriélaire, Bru ges, né a Oste.nde le 16 Mars 1806. fr. 817-06. De Rycker, J. négoeiant, Bruges, rié a Blankenberghe le 9 Février 1810. fr. 872 08. De Scbietere de Lopbem, L. propriélaire, Bruges, né a Bruges le 2 Janvier 1804. fr. 1,853 06. Despot, E. propriélaire, Furnes, né a Fur nes le 7 Mai 1803. fr. 1,666 45. Devaux, P. propriélaire, Bruges, né a Bruges le 20 Avril 1801fr. 1,157 08. de Vinck de Wtnnezeele, J. (baron), pro priélaire, Zillebeke, né a Bruxelles 1813. fr. 1.974 03. Floor, A. bourgmeslre, Crombeke, né a Crombeke, 1825. fr. 1,036 77. Ghyselen, F.-P. né a Roulers, le 23 Juin 1813. fr. 1.480 04. Goethals, H. (comte), abbé, Bruges, né a Bruges, 1817. fr. 781-99. Goupy-de Beauvolers, A. commissaired'ar- rondissement, Bruges, né a Bruges le 2 Juin 1825. fr. 1,464-39. Ilerwyn, N. (baron), propriélaire, Furnes, né a Furnes le 17 Janvier 1807. fr. 1,548-39. Houlsaegher, L. propriélaire, Furnes. né a Nieuporl le 6 Oetobre 1811. fr. 1,392 05. 1 i.--- Hynderick, Ch. (chevalier), propriélaire, Ypres, né a Ypres ie 12 Janvier 1814. 1,646 74. Jooris-Eggermont, J. secrétaire de léga- tion, Bruges, né a Bruges le 24 Mai 1831. fr. 1,517-76. Lowie, P. propriélaire, Moorslede, né a Wichelen, Juin 1816. fr. 1,457 42. Mahieu, J. brasseur, Roulers, né a Roulers le 23 Juin 1813. fr; 1,505 90. Mamet-Van Heerswyngels, E. fnbricant, Bruges, né a Bruges le 29 Juillel 1808. fr. 976 11. Moulaerl-Van Maele, J. propriélaire, Bru ges, né a Bruges le 17 Juin 1806. fr. 819 63. Parmentier, P. propriélaire et fabricant, Iseghem, né a Iseghem le 13 Aout 1806. fr. 1,557 66. Pycke, V. notaire, Ledeghem, né a Cour trai le 25 Avril 1819. fr. 1,679 80. Rabau, L. brasseur, Ypres, né a Ypres le 21 Février 1827. fr. 1,211 29. Rapaerl de Grass, G. propriélaire, Bruges, né a Bruges le 5 Juin 1805. fr. 750 42. Rotsarl Pecstecn, C. propriélaire, Oost- camp, né a Bruges le 9 Avril 1825. fr. 2,051 09. Teririote, B. notaire, Bruges, né a Rou lers Ie 29 Novembre 1813. fr. 1,040-57. Van Cailfie, F. notaire, Ostcnde, né a Bru ges Ie 11 Oetobre 1799. fr. 1,589-32. Van Caillie, C. propriélaire, Bruges, né a Bruges le 31 Janvier 1832. fr. 1,305 02. Van der EsptI. propriélaire, Thielt, né a Ardoye Ie 24 Janvier 1801fr. 1,143-67. Van der Ghote-Van dor Meerseh, C. bras seur, Bruges, né a Bruges le 29 Juillel 1815. fr. 839-47. Van der Gracht d'Eeghem, I. propriélaire, Eeghem, né a Gand le 8 Aoüt 1828. fr. 1,495 32. Van Hamme, J. propriélaire, Bruges, né a Lophem, 1814. fr. 890-11. Van Maldeghem, P. propriélaire, Bruges, né a Bruges le 20 Mars 1802. fr. 1,631- 09. Van Merris, J. propriélaire, Poperinghe, né a Poperinghe le 4 Juin 1831. fr. 1,490-42. Van Ockerhout, L. propriétaire, Bruges, né a Bruges le 11 Oetobre 1829. fr. 2,242 28. Van Sieleghem, H. notaire, Bruges, né a Eerneghem le 11 Novembre 1827. fr. 964 28. Van Sieleghem-Vanderheydc.G. brasseur, Eerneghem, né a Eerneghem le 26 Oetobre 1825. fr. 2,040 38. Van Zuylen Van Nyevelt, B. propriétaire, Bruges, né a Bruges Ie 24 Juin 1799. fr. 875 71. Van Zuylen van Nyevelt. F. (baron), pro priétaire, Bruges, né a Bruges le 6 Novem bre 1814. fr. 1,119 86. Vercauleren-De Cock, C. vice-président du tribunal de 1™ instance, Bruges, néa Bauges le 3 Aoüt 1896. fr. 1,314 63. Vercruysse-Calulle, A. propriétaire et né goeiant, Courtrai, né a Courtrai Ie 2 Oclobro 1814. fr. 1,430 98. Vercruysse Carpenlier, J. propriélaire, Courtrai, né a Courtrai le 19 Fevrier 1796. fr. 1,743 28. Vermeersch, B. propriétaire, Neuve-Egli- se, néa Neuve-Eglise le 17 Décembre 1795. fr. 1,505-55. Verstraete-Lycke, A. distillateur, Bruges, né a Oedelem le 25 Novembre 1808. fr. 1.256-77. V'olbrechl, L. négoeiant, Warnèton, né a Warnèlon le 18 Janvier 1807. fr. 1,540- 50. Vuylsteke-Van den Berghe. H. brasseur, Glieluwe, né a Menin le 24 Juin 1827. fr. 1,123 64. MILICE ET MABIAGE. Sous l'empire de la loi de 1817 les mili ciens, remplacants et substituanls ne pou- vaient oblenir l'autorisalion de contracler mariage que lorsqu'ils avaient acbevé leur cinquième année de service, encore ne leur accordait-on celte autorisation qu'aprés avoir salisfaita la masse d'habillement. Celte prohibition immorale a été notable- men alténuée par la loi du 3 Juin 1870 18 Septembre 1873 qui par son article 88 dispose: Que les miliciens el remplacants qui ont acbevé leur qualrième année de ser vice peuvent contracter mariage. Les volontaires a primes jouïssent nalu- rellcmenldu bénéfice de l'arlicle 88. a a M ft u a ft s X» - ii1

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1875 | | pagina 2