BOIS-T AILLIS,
D'UNE MAISON
BOIS-BLANCS,
Cei homme qui serépand en injures contre
lesaeerdoce catholiqne cet homme qui
dinianche encore, se dcchainait avec une
passion exaspérée contre le parti prèlre,
a qui done a-t-il confié l'éducalion de ses
enfants
A l'athénée de Gand
A l'Universilé de Bruxelles, de Gand, dc
Liége
Non
Le grand pourfendeur du parti-prètre a
mis ses fiis au collége Notre Dame (Tournai)
dirigé par les Jésuites au collége Vaugirard
(Paris) également dirigé par les Jésuites a
l'Universilé catholique de Louvain, fondée et
dirigée par cel épiscopal auquel il prodigue
aujourd'hui Poutrage
Et sesfilles sortent-clles de l'école Gatti de
Gamond ou des écoles communates de notre
ville
Gardez-vous bien de le croire Elles ont
élé pieusemenl élevées, en plein pays cléri-
cal, au ccetir de notre Flandre bigole, in
ons verkwezeld Vlaenderen par des non-
net tes, les Dames de la Sainle-Familie, a
Th iel l
Et vous voulez, aprés cela, nous faire
prendre au sérieux les violences a froid de
voire grandoraleur
Dites done, Journal de Gand, enlre
nous et sans le répéter a voire public
vous ne les prenez pas au. sérieux vous-mê-
nie(Bien public).
La séance de lundi de la Fédération hbé
rale a constalé une déconvcnue qu'il faut
noteron se rappellc le moyen que I"Écho
du Parlement avail inventé pour tuer net
la pressecléricaledes Fiandres,» et cemoyen
élail Pabus du droit deréponse a cette presse.
On se rappellc les piteux résultals qui ont
accueilli cette niaise découverle el voici que
son auteur la jette par dessus les moulins il
a envoyé au bureau de la Fédération Pargent
qu'il avail reeneilli au profit des huissiers
chargésdenotificr les réponses aux journaux
catholiques, en disanl que Porganisation pré-
conisée par lui soulèverait des débals qu'il
est plus sage d'éviler. Comme le constate
VIndependence, c'est le retrait de la pro
position.
Que M. Bara et P£c/;osedonnentla main:
le premier voulait tuer la presse catholique
en envoyant les Annales parlemenlaires aux
électeurs, 1e second en metlant en campagne
les hnissiers chargés de prose insipide. L'un
el lautre ont réussi a se rendre ridicules.
Nous lisons dans le Bien public
Nous apprenons que M. le procureur-gé-
néral de Bavay laisse des Mémoires sur les
diverses phases de sa longue carrière.
II s'occnpait encore de leur rédaclion lors-
que la mort est venue le surprendre. Nous
espérons que cette intéressante publication
pourra ètre poursuivie el ne lardera pas a
voir le jour. Elle promet les revelations les
p us inléressatjles sur Phistoire intime dn la
Belgique, jusque et y compris, le ministère
liberal tombé en 1870.
Nous croyons savoir que ces Mémoires
étaient achevés et que M. de Bivay s'élait
engagé a les remettre, aujourd'hui méme,
lerdécembre, a un imprimeur.
Nous espérons done que leur publication
ne tardena pas.
NECROLOGIE.
M. Soenen, curéa Mariakerke, est décédé
le 29 novembre, a Page dc 82 ans.
Clï ross Segue Bwerale.
HONNÈTES GENS, INSTRUISEZ VOUS.
(second article.)
Nous n'avons qua citer le Progrès, qui
n'a plus qu'un amour ct qu'une hainc: Pa -
mour des Gueux et la haine de PEglise. La
vérité perce ainsi a son heure: le fond du
Libéralisme se découvre, les projets du Parti
libéral se dévoilent. Les honnêles gens
sont avertis.
Honnêles gens, ouvrez les yeux et voyez
oü Pon vous mène:
Nous citons. Les extraits sont lirés du
comple rendu de la Grande manifestation
libérale de Dimanche dernier a Gand.
Tout commenlaire est superflu:
Le chord des Gueux auversois est desti-
né a devenir un chant national en Belgi-
que. Van 'l ongedicrl der Papen, verlost
ons vaderland!
Nous comprenons bien mienx anjour-
d'hui le caractère méme de to lutte que
nous avons a soutenir: CETTE LUTTE EST
ENTRE L'ÉGLISE ET LA CIVILISATION
MODERNE
L'ultraiiionlanisme, (lisez le catholicis-
me,) c'est M. Rara qui Pa dit, a cessé d'etre
une religion, il n'est plus qu'un instru-
merit de domination temporclle; il cori-
stilue un danger permanent pour no
Ire nationalité et le devoir de lont bon
ciloyen est de le combaltre (de combatlre
le cathoitcisme) de toute son énergie.
Aussi, a jou te aussitöt le Progrès, nous
raltachons-nous tous élrodement aujour-
d hui a la tradition de nosgrunds libérattx
du 16' siècle, de tous ces héros gi/i ont
liitté jusqu'd ia mort... CONTRE L'ÉGLI-
SE.... a l'idêc vraie et féconde de ces An-
versois qui... se sont bardiment rangés
sous la glorteuse bannière des Gueux.
La signification de l'importante mani-
feslalion d'aujourd'hui, disait M. Vander
b Taelen, se résumé dans ces deux mots: «Le
b pays vent-il etrc Gueux? Le pays veut il
b el re PapisteEt au milieu d'un ton-
b nerre if ucc/amationsl'assemblée a ré-
b pondu par de milhers de voix enlhóusias-
b les: Gueux! Gueux! Nous sommes, nous
b voulons ètre Gueux!
b M. d'Elhoungne, avec !e profond esprit
b politique donl il vient dedonner des preu-
b ves si éclatanles, avail déja nettemenl tie
's terminé ce caractère de la LUTTE ENTRE
LE LIBÉRALISME ET L'ÉGLISE.
b |l Pa déterminé Dimanche avec plus de
precision el plus d'énergie qu'il ne l'avait
b jamais fait:
b Notre victoire s'accentnera de plus en
b plus, a dit M. d'Elhoungne. el nous arri-
b verons enfin d reconquérir te pouvoir,
b mais ce sera pour aller en avant... jus-
b qua ce que tout nolie droit public se ré-
b sun ie en ces mots: Le ciloyen est (out, 1c
b prètre n'est rien! b
On le voit, ajoute anssitól lo Progrès,
b le temps de Pinertieet de la faiblesseest
b irrévocablement passé et la politique du
b libéralisme au pouvoir sera une politique
résolue el énergique.
Et M. Van Humbeeck a indiqué avec in-
b finiment de sagesse la première forteresse
b que nous devons enlever a l'ennemi... La
b sécularisaUon de Lenseignement, voilu le
b premier bul auquel doivenl tendre tous
b tons nos efforts! b
Le Prèlre hors de l'école.... telle sera la
b première conclusion pratique de la grande
b manifestation dont nous avons élé témoin.B
Z.
Nous avons relevé les déclaralions de MM.
Bara, Vander Taelen, d'Elhoungne. et Van
Humbeeck. Voici Pautorité que le Progrès
assigne a ces oraleurs. Ce sont les chefs du
Libéralisme beige. Ecoulez pluiöt:
M. Bara est le plus jeune et le plus anti-
b catholique des chefs de l'armée libérale.
b iM. d'Elhoungne avail dit, le jour de l'elec-
b tion: Au nom du libéralisme Gantois, je
b demande que vous saluiez de vos ncelama-
lions LE CHEF DU PARTI LIBÉRAL el je
vous crie: iiunneur a M. Bara! b M.
Rara est président de la Fédération des As
sociations libérales, dont notre M. H. Carton
est Vice-Président, ejusdem farince.
M. Vander Taelen, te président des
b Gueux d'Anvers, personnifie mieux que
b tout autre le libéralisme actif, énergique,
s te libéralisme qui vaat d la Belgique les
b iriomphes d'Anvers. b
M. d'Elhoungne, le chef de notre par li
b libéral gantois, Pillustre d'Elhoungne. b
M. Van Humbeeck, est, on le sail, Ie chef
des libéraux Bruxellois, il est désigné par
les libéraux comme futur ministre de ITnté-
rieur aussi bien que M. d'Elhoungne.
Autre détail intéressant puisé dans Ie Pro
grès Dimanche soir, des banquets orga-
b nisés dans la plupart des hotels de la ville
ont i'éuni presque tous les chefs du libè-
ralisme de dilïérentes villes qui avaient
b envoyé leurs députations. A PHólel de la
b Poste, (oü, parail-il, banquelail M. LIenri
Carton). M. Adolphe Dubois porta un
toast a M. Piercol bourgmestre de Liége,
au vaillaul défenseur des droits de l'auto-
rité civile qui a su réaliser avec tant d'é-
b nergie a Liége, le programme libéral (sic)
b en disanl au prètre Vous ne sortirez
b pas de voire église de nous deux c'est
b moi qui suis le maitre
Ce toast a élé transmis a M. Piercol qui
b a repondu Le bourgmestre de Liége,
b avec le concours des libéraux gantois es-
b père voir bien tót le Iriomphe complet du
b principe de Cindépendance absolue du
pouvoir civil, b Qu'esl-ce qui nous
attend encore, pour voir compléter ce Iriom
phe?...
Nos lecteurs savent que M. AdolpheDubois,
alias l'homme au faux mandement ou le faux
cardinal, est l'homme de confiance de nos
MM. Carton et Cie, l'avocat des Hospices
d'Ypres, dans toutes les affaires majeures,
qnand Ia Cour d'Appel se voit forcée decon-
damner ces Messieurs aux frais du Procès-
Bidiculus-Mus
Voici du resle, en deux mots, l'avis du
Progrès sur I'attentat Piercol
M. Piercot n'a fait qu'user de son droit
(en violation flagrante de I'urticle 16 de la
Constitution) je dirai plus il n'a fait que son
b devoir Son devoir élail d'empccher le
o sang de coaler, ce qui ne pour ail ce faire
b qu'en inlerdisanl les processions jubilai-
b res b el spécialement la procession de
l'Évêque et de son seul chapitre.
Dans la libérale ville de Liége en quel pays
sommes-nous done
Qui eüt versé le sang? Les libéraux
Iiégeois?
Et quel sang Le sang de leur Évèque
et des chanoines de son chapitre, car seuls
ilsallaient visitor lesquaire églises désignées
pour gagner Pindulgeiice jubilaire.
Et c'est Ie Progrès qui aflirme cela, nos
libéraux ne sont done la C'esl ainsi qu'ils
enlendent et veulenl praliquer la liberie
libérale
Enfin, pour qu'on n'en ignored que tout
le pays sache que les manifestanls de Gand
tenaient a évoquer et a célébrer toutes les
gloires du libéralisme, l'Evéque de Liége
et son Chapitre refoulés par la Police dans la
cathcdrale comme les pélerins d'Oostacker
assommés sans defense paries Gueux gan
tois,un oraleur, M. Marguery, chef du
parti libéral a Louvain, proclame aux ap-
plaudissements et sous les rires de la grande
assemblée, que «la manifestation de Diman
che élail un autre Pèlerinage d'Oostacker.
Avec cette difference, dirons nons, qu'au
pèlerinage d'Oostacker, les milliers de ca
tholiques se eonlenlaienl de prier paisible-
ment Dieu pour le Pape, l'Eglise et la Patrie,
sans injure, sans provocation, sans menaces
pour personne, et furent assommés par cen-
taines, sans defense et sans protection, par
la canaille ganléedu parti libéral, et, qu'a la
procession guouse de Dimanche, les libéraux
portaienl des insigne», poussaienl des chants,
des huées et des cris qui aHarent de l'oulra-
ge jusqu'aux menaces de mort contre les
Prètres, les Catholiques el les Ministres! Le
tout sous l'êgide de la Police et sans la
moindre contradiction des catholiques!
Avec cette diffêrence, dit le Progrès,
que de notre cóté il y a intelligence, de
b l'autre abrulissement, d'une part le pa-
b triolisme, de l'autre une haine aveugle
b pour notre nationalité, car pour les péle-
b rins d'Oostacker la patrie c'esl Rome. b
Et voila oü nous en sommes dans notre
libre et catholique Belgique, en l'an de
grace 1875.
Paroles et fails, lout parle égalemanl haul.
Honnêles gens de lout parli, vous voila bien
et düment avert is.
Catholiques, serrons nos rangs, fermes el
en garde. Nous sommes le noinbre, la force,
et mieux que ca le droit.
Non, jamais jamais en Flandre les Gueux
ne règneront!
L1BERALIA.
Nous avons donné, dans notre dernier n°,
le nom des membresdela Délégalion Yproise
a la procession des gueux. On réclame encore
l'inscriplion de MM. Ferdinand Vandaele,
Beaucourt el Siragier.
A cette occasion, on nous fait remarquer
que toutes les institutions libérales d'Ypres
étaient la dignetnenl représentées:
M. Henri Carton y représentait éminem-
ment l'Association libérale d'Ypres el toute
la Maison Carton et Gueuserie. Le type a été
trouvé des mieux dessiné
M. Auguste Beaucourt, représentait le Con-
seil communal;
M. Hilaire Decoene représentait le Bureau
de Bienfaisance d'Ypres, grand Inquisiteur
des Pauvres et des écoliers catholiques;
M. ÉdouardFroidure, laSociétédesChceurs
et des Conférences Bergé et Cie.;
M. Stragier, les Wille-Klakken. Stragier
arriva a Gand, locomotive sans train.Le train
des Wille-Klakken derailla le Samedi soir,
plusieurs roues s'étant brisées malgré la
draisse el I'huile-Dwazeman...
M. Ferdinand Vandaele, représentait d'nne
maniére frappante le Denier des Écoles et
la Prétrophobic....
M. Jules Kilsdonck, professeur de la litté-
rature du Progrès, les Garibaldiens de
notre Collége communal.
M. A. Verduyn, instiluteur communal,
tont naturellement a la fois, le corps profes-
soral dc notre École communale et le Cercle
arlislique, littéraire el gueux, ejusdem fa
rince.
Enfin, on nous demande si M. Aug. Van
den Bogaerde n'était pas de la bande pour
représenter nos Hospices civils et l'inspeclion
des Écoles communales des filles? Nous
n'en savons rien mais pourquoi pas?
Plusieurs témoins oculaires nous alleslent
que les Witte Klakken qtiand au jour de
Ste Cécile ils fesaienl leur tonrnée musicale
au profil du Denier des Ecules libérales
que les Witle-Klukken renconlrérent, a la
Grand'Place, le Saint Sacrement porlé en
viatique a un moiirani: lis continuèrent sans
désemparer leur air bacchique, a cóté des
finlèlcs agenouillés a vingt pas du Trés-Sa int
Sacrement, et se jetërenl dans le Café de la
Pa ix.
N'est-ce pas que les Wilte-Kla/cken, con-
tremandés a la procession des gueux, ne soul
ni libéraux ui catholiques? lis sont Gueux
lout court.
ILS N'EN VEULENT PAS A LA RELIGION!
Aux avcux de la Bevue de Belgiqueaux
diatribes quolidiennes du Progrès, d'Ypres,
et de la Flandre libérale, ajontons encore
l'exlrait suivant du Progrès, de Verviers
La conspiration anti-sociale qui a nom
Église romaine doit-être combattue par
tons les inoyens que les lois meltent au
service de la société, et s\ ces lois ne suf-
b fisent pas, il fuut en faire d'aulrcs pou r
b écraser nos ennemis, sans cela, soyons en
b sürs, ils nous écraseront. b
Pas de commeniaires, n'est-ce pas
FIAT LUX.
Monsieur l'Éditeur,
A diverses reprises déja voire estimable
journal a accueilli nos plaintcs sérieuses au
sujet de la manicre dont sodi entretenues en
notre ville les routes du gouvernement.
Veuillez aujourd'hui insérer ces qiielques
lignes qui exposeront 1'état plus que dèfec-
tueux de l'éclairage public.
Wervicq, qui a la prétention d'èlre une
ville, a adopté, il y a -quelques années, l'é-
clairageau gaz. Notre ville, qui jusqu'alors
avail tons les soirs été plongée daus les téné-
bres les plus épaisses, allait enfin ètre éclairée
d'une facon convenable.
Pendant quelque temps tout alia a souhail.
Mais aujourd'hui nous avons a ce sujet un
veritable concert de plaintes el de recrimina
tions. Depuis le commencement de l'été der
nier, le réverbérefaisanlface a la route pavée
qui relie Wervicq a Comines est brisé el
depuis lors, a ce carrefour dangereux pour
les passants a cause des chariots et des
trique-balles qui s'y trouvent comme a per-
pétuellc demeure il n'y a pas la moindre
iurniére.
Depuis quelques semaines également, un
réverbéreest brisé ruedes SoeursGrises. Cette
rue qui est un veritable casse-eou resle plon
gée dans l'obscurité. Et dire qu'on ne fait
aucune reparation.
Si encore par compensation les antres ré-
verbéres éclairaient d'une facon convenable.
Mais bien au contraire nous n'avons que deux
sortes de réverbéres, les uns qui n'éclairent
paset les antres qui n'éclairent guére. Ccpen-
danl la ville paie pour l'éclairage une somme
assez élévée.
Au commencement de l'élé dernier, on
décréta, a l'hólel de ville, que plusieurs ré
verbéres seraient placés dans la rue de la
Procession, c'est sans conlredil la route la
plus étroite de la ville, et oü le roulage est
le plus grand,et a cause de cela elle oiïre des
dangers sérieux. Noussommesen plein hiver,
nous n'avons dans cette rue aucun réverbère
el le soir il y régne une obscurité impéné-
trable.
Nous espérons que la publicité quevotre
journal voudra donner a cette lettre suffira
pour qu'il soit remédié a letal aeluel des
choses,et que noire échevin chargé des tra-
vaux publics mellra ['entrepreneur de l'écfai-
rageen demeure de remplir ses engagements.
Veuillez, Monsieur l'Éditeur, agréer Insu
rance de notre parfaite considération.
Par arrêté royal, en date du 29 novem
bre est nommé sous-lieutenant a l'école
d'applicalion G. Keingiaert de Gheluvelt.
,1 LOUER.
Une MAISON, fraichement décorée, a lest de
la rue dn Quai, N" 8, a Ypres, avec Jardin et
sortie dans la ruelle y atenante.
S'adresser au Nolaire VANDEUMEERSCH, a
Ypres.
(wraiNSc WcéèAc
V/AR.^ÊTOH ET PLOEGSTEÈRT,
COUPE DE 187G.
LE LUNDI '10 JANVIER 1876,
D'environ 25 hectares de Bois-Taillis
designés commc suil:
ÉTUDE
de Me LAMK0Y, Notaire a Comines.
Mise-a-prix
avec 17 ares 63 cenliares dc FONDS et TERRE
a Comines, section C, N°' 1223 et 1224, occu-
pée par Charles Marant, sans bail.
B. MERCREDI 8 DÉCEMBRE 1875,
a midi,
Vente pubiique
de beaux
Peispüers «Isa Uiuuiila,
UN BEAU NOYER
ET UN SA ULE MONTANT,
a Houthem,
1° Sur l'occupation Develter.
2° Sur cello d'Henri-Charles Calle.
Section du Vert-Touquet.
Coniincü
VENTE PUBLIQUE
ORMES fine feuille, CIIÈNES, FRÊNES
et, CANADAS.
D. JECDI 16 DÉCEMBRE 1873, a midi,
VENTE PUBLIQUE
PEUPLIERS DU CANADA
PEUPLIERS,OllAIES et CSIEVES.
VERKOOPING
Popelieren en andere BOOMEN,
te YliMiici'tiiighe,
Wervicq, HO Novembre I87i5.
QUELQUES ENNEMIS DES TÉNÊBRES.
de Irès-beaux
silués ii
Le Nolaire l ictooi', résidanl a Warnélon,
procédera a la venlc pubiique, au cabaret tenu par
Elorestin Keirlf., a Warnélon, ha mean de
St-Yvon,
(Lundi perdu)
a une fieure de relevée.
1. Le Taillis age de 8 ans du bois nommé
Grande Cigogne, faisaul paitie du bois de la
Douve, d'un conlenance de li. CO ares cent.
Divisé en 18 marcliés.
2 Le Taiilis agé de 8 ans dc la coupe nommée:
Buis d'Ooslrcck, laisant pai tie du dit bois, con-
tenant 8 heet. 38 arcs 80 cent.
Divisé en 6 marches.
3. Le Taillis agé dt: 8 ans de la coupe nommée:
Bois dc Derrière faisant partie du bois de la
tutte il Warnélon, eontenaiit 3 li. 07 ares 94 c.
Divisé en 13 marchés.
k. Le Taillis agé de 8 ans du bois nommé:
Bots Bossavrt, tenant du levant au bois précé
dent, de 42 ares 70 cenliarcs.
En un marché.
3. Le Taiilis agé de 8 ans du bois nommé:
Riicz u Ib'outuns, sis a Pioegslêert, contenant 1
heel. 73 ares 66 cent.
Divisé en 6 marchés.
6. Le Taillis agé de 8 ans de la coupe nommée:
Riicz du Prince, faisant partie du bois de Ia
I/ultu, a Pioegslêert, prés du pavé de Messines a
Anuentières, lenanl du midi au bois Dehnotte
contenant 2 heel. 09 ares, 60 cent.
Divisé en 6 marchés.
7. Le Taillis agé de 8 ans de la 2"10 coupe du
Bois Rabaut. a Pioegsteêrt, Hutte. prés du gra-
vier de la ferme la Grande Muncque, par oü ce
bois a droit de passage puur le transport de son
hoii, contenant 2 heet. 37 ares, 39 cent.
Divisé en 8 marchés.
Long terme de crédit niovennant caution.
Les gardes Verbiese, Denecut et J.-li. Char
les indiqueront les marches aux amateurs.
Le Nolaire VICTOOR prénommé est chargé des
conditions et de la recette de cette vente.
Qu'on se le dise.
riar» iwiT
A. LUNDI 6 DÉCEMBRL 1873, a 4 heures
de relevée au cabaret le Rossignolèi Comines-
Tenbrielen
C. LUNDI 13 DÉCEMBRE 1873, a midi, a
la ferme occupée par Mr Henri Brel, prés
de Ma Campagne a
de magnifiqiies
de 100 lots de beaux et longs
1° Prés du Moulin d'Honthem.
2° A la ferme Francois Leclercq, a Comines.
3° A eelle d Henri Collie, a Comines.
E. LUNDI 20 DÉCEMBRE 1873, a midi, a la
ferme occupée par Francois Dehem,
a 7.ANTVOORDE
VENTE PUBLIQUE I)E BEAUX
van schoone
VRIJDAG 10" DECEMBER 1873, om 12
uren middag ter hofstede gebruikt door de we
duwe Vasseur, langst de Ilospitaalstraal.