I i Jii lTa vïSM' Mercredi 31 Janvier 1877. 12p annee. - N° 1,157. 3 - s J mrnal parait Ie Mercredi et Ie Samedi. Les insertions content lij centimes la ligne. Les réclames et annonces judkittires se patent 3D centimes ia ligne. On traite d fo> fait P11lC^ tion» pai annee. ---- -- - Les niutiéros siipplémeutaires cotntiundés pour articles, Reclames on Annonces, content ld fr. les 100 exenipaims. Un numéro du journal, pris an Bureau. 10 oimtime-. V II K JI I -V J"> 1» K V K S5. 1 Decern hre. RÉF0RME ÉLECTORALE. Pendant qoe les Goeox d'Anvers el leers joornaux lancent a M, Malou les plus igno res injures, TaUitnde de la gauche parle mentaire dans les sections de la Chambre achève de nous rèvéler les véritables senti ments du libéralisme, en mature de réforme électorale. Le projel de loi, soumis par le gouverne ment aux délibértiiions de la legislature, vise deux sortes d'abus qui vicienl la sincérité du régime rcprésentalif. Les premiers sonl ceux qui introduisent dans Ie corps electoral des elements liétéro- gèues, illégitirnes, et alièrent ainsi, dans son origine, Ie verdict du pays légal. Les seconds sonl ceux qui, par une sur veillance abusive on par une pression quel- conque, enlament la liberie et la sincérité du vote. Or, que voyons nous dans les sections de la Chambre? Les libéraux qui naguère réclamaient, a coretacri one réforme électorale, posenl au débutmèmede la discussion, une question préalable. lis demandent le retrait de Partiele 78 du projel de loi, c'est-a-dire qu'ils exigent le maintien sur les listes éleclorales des faux électeurs qu'ils ont inscrits notamment a Anvers. Et quel est le prétexle de ces exigences? Tonjourslemème I 'article 78 esl diclé par Cespril de parli Par malheur eet argument se retourne immédiatemenl contre ceux qui l'emploient el les constituent en flagrant aveu de fraude électorale. Nul ne peul, en effel, coulester de bonne foi, qu'il soil juste et de bonne politique d'exclure du corps électoral les faux élec teurs. Or, les libéraux s'opposent d prion a Padoption d'une mesure qui aurait celte portee. Done, n'ayant aucun motif plausible pour moliver cette opposition, il faul bien que celle ci soit basée sur un intérèt de parti. La véritè est par conséquent que Particle 78 esl proposé dans un esprit de justice et qu'il est comballu précisément pour assurer a la falsification el a la fraude une scanda- leuse immunilé. Ce fait acquiert d'ailleurs loute la clarté del'évidence par les aveux mème de nos adversaires. Que reprochent-ils a Partiele qu'ils alta- quent avec tanl de violence? D'ètre dirigé contre le libéralisme anversois! Maisque s'esl il done passé a Anvers! Rien.... ou presque rien. II y aseulement ceci que, pour se compo ser une majorité ficlive, les Gueux ont fabriqué, Pan dernier, dans la seule ville d'Anvers 1110 nouveaux patentables, qu'ils en ont fait égalemenl inscrire 104 a Borger- hout et 3b a Bercbem. lis sonl arrivés ainsi a recruter, dans ces trois communes settle ment, plus de 12b0 faux élecleurs. Nous disonsfuux élecleurs. El poiirquoi... La raison en est bien simple e'est que nul bomme de bon sens et de bonne foi ne peul admeilre qu'a l'époque de crise commerciale que nous traversons, les appoinlementsd'une légion de com mis ou de soi-disant cominis se soienl élevés en unc annee de 1000 ou ilOO francs a 3,400, a3.600, a 4,000 francs. Or, leis sonl les chiffres qu'impliqueni la plupart des déclaralious recues a Anvers, II faul en oulre remarquer que, parmi ces prétendus commis figurcnl des fils de familie qui neseraient pas eu étal de dislingtiér un grand livre d'un livre-journal ou d un livre de caisse, el, ce qui est plus fort encore, on y compte jusqu'a des balayeurs du tramway el des iudividus sicourus par le bureau de bienfaisance! Enfin, circonslance très-caractérislique, les declarations de cetle armée de palenta- blessont louies écrites de la main de deux scribes babiluelsde la gueuserie et ellcs ont élé failes a l'extrème Innile du dclai légal! La fraude est done prouvée, el le esi pr» len te, el Ie sauie aux yeux. Elle a en onlre des proportions tellemenl considerables qu'elle suflit a paralyser cl a dominer une uiajorité .sincere cl léyitime de plus de mille fois. Voila les fails! La presse libérale elle mème ne les contre- dit paselle les esquive et n'a pas mème essayé d'en doimcr une explication. Et c'esl en presence d'une pa rei Me siinaliou que les représenlanls de la geuche enlrenl dans l'arène parlementuire en réclamant la suppression de Partiele 78, e'est-a dire l'invi- olabilité de Pabus colossal, le plus criant, le plus effronté qui ail jamais vicié la sincérité des operations éleclorales! On a dit que la libéralisme a toutes les audaces. él, en vérité, puisqu'il ne rougit pas de prendre une pareille attitude, tout en prónant la moralité politique, nous se rions bien tentés de croire a la réalitè de cette affirmation. Sur les moyens de garanlir la liberie el la sincérité du vole, l'allitude des libéraux n'esl ni plus loyale, ni plus logique. Les Gueuxobliennenl Pélection a Panglaise et Ie couloir, sans avoir a accepter la décen- tralisalion du scrulin et Ie fractionnement des colléges élecloraux qui seraienl Ie coin- plémenl logique et naturel de ce système. Mais quel esl le but du couloir? Nos adversaires etix mèmes Pont dit c'esl de permettre a Pélecteur de se prononcer entre les dtverses lisles ou enlre les divers candidals qui sollicitent ses suffrages. Les plus exigeants doivent sedéclarer satis- fails, dés que ce but esl atteinl. L'esl-il par le projel de loi? Ou peut légi- liiiiemenl le croire. lout en essayanl de ren- dre encore plus efficaces el plus complètes les garanties proposées. Sous ce rapporl, uu vasle cbamp demeure ouvert a la discus sion Toulefois ce n'est pas de ce colé que les libéraux dirigent leurs efforts. Ce qu'ils veulenl avanl lout, c'est compli- quer le mécanisme du vote; c'est multiplier les causes d'erreurs; c'est obliger lelecleur a l'ormuler lui-mème, nom par nom, son bulletin de vote; c'esl écarier ainsi en fait de l'urne éleciorale les éléinenls qu'ils supposent peu favorables au libéralisme. V'uila pourquoi les Gueux de la Chambre se soul prononcés contre les bulletins de partidonl Padinission a précisément pour but de hater les opéralions éleclorales et de facililer le clioix de Pélecteur! Ei cepeudant le bon sens el Pexpérience Paueslenl: les bulletins, dus de parli corres pondent parfaileinent a nos moeurs publi- ques et a la pratique ordinaire de notre sys- lème electoral. Ce ne sonl pas les questions de personnes, ce sonl les questions de prin cipes qui doininent nos lull 's potitiques. En gènéral. ce sonl les élecleurs lés rnoins in telligents el a coup sór les rnoins logiques qui volent pour M. un lel, paree qu'il est leur cousin, paree qu'ou dine bien chez lui, parca qu'ils lui onl vendu un chqva!paree qu'ils sonl voisinsde campagne, paree qu'ils sonl gardes civiques dans Ik mème compa gnie, ou par d'aulres considerations de la mème valeur. Ceux qui obéissent a de telles preferences ou a d'aulres predilections ana logues sont d'ailleurs parfaitement fibres de les manifester par leurs votes. Pourquoi done la législalion électorale offrirait-èlle rnoins de facilités a ceux qui volenl par conviction, a ceux qui suivcni un drapeau politique el religieux, a ceux, par conséquent qui ne ehoisissent pas entre dix, vingt ou trenle noms, mais entre deux ou trois listes? Un électeur parfaitement intelligent, mais qui a mietix a faire (jue de lire les gazelles et de suivje jour par jour la cbronique politique, peul se trouver très-embarrassé entre divers noms qui ne lui disent rien; il ne le sera cer- tainemenl pas enlre deux listes et il est de toute justice de lui donner l'occasioii de faire aiséinenl ce dernier choix. A Gand, parex- emple, enlre M. de Kerchove, sénateur, et iM. de Kerchove, représentant, il y a une énorme difference; mais pour des centaines d'électeurs des deux camps, celle différence ne sedégagera pas autremenl que par Pop- position des lisles oü cbaque candidal se Irouve inscrit. Pour exercer ses droits civi ques, on n'esl pas lenu de savoir que l'bono- jable sénateur de Kerchove porie le nom de Frédéric et que M. le représentant de Kercho ve a été placé, au baptèine, sous la protec tion de St-Charles. Et cepeudant les Gueux ne veulent pas des bulletins de parli! ils se souviennent de la devise dn président de I'Association libérale d'Anvers: «pécher... es eau trouble.» Voila tout le secret de leur opposition!... Concluons. L'examen du projet de loi sur la réforme électorale par les sections de la Chambre des Représenlanls inet parfaitement a nu les mo biles réels de nos adversaires. La suite de la discussion achévera cctte demonstration trés- sédifianle el très-inslruclive. Les masque totnberonl el les phrases les plus sonores loyale et imparliale du régime représentalif n'a pas de pire adversaire que le libéralisme. De tout le tapage qu'on a fait, de tout celui qii'on fora encore, il russortira que les libé raux n'onl d'aulre but que d'assouvir, aux prix de tons les moyens, mème les rnoins avouables, cetle passion que Pun d'enire eux M. Bara, si nous avons bon souvenir a lui-mème défini ünjour: la rage dupou- voir. moulreiil tout a la fois le fond du sac gueux el le fond du couloir électoral. Nous l'avons dit: c'esl l'immunité de la fraude patenie el avouèe que la gauche récla meen exigeant, préalableraenta toute dis cussion, Ie retrait de Partiele 78 du projet de loi sur la réforme éléclorale. Ce qui achève demetlre ce point en relief, c'est l'accueil qui a été fait, dans les sections, par les membres de Popposition, aux amen- dements transectionnels qui leur ont élé pré- sentés. On a dil aux libéraux: Soil! noussacri- gerons Partiele 78, mais c'est a la condition formelle que vous proposiez un autre inoyen efficace d'expurger le corps electoral! Cette proposition, la Paix nous l'appreod, a élé rejetée absolument el sans examen. Les Gueux veulenl done, a tout prix, main- teuir sur les listes éleclorales des individus frauduleusement classés parini les élecleurs. Ce n'est pas contre le reméde proposé qu'ils proleslent, c'est en faveur du maiulieo de la plaie! Une telle attitude n'esl-elle pas significa tive et véritablemeol scandaleuse?... Tons les jours d'ailleurs, de nouveaux dé tails sont produits au sujet de la tentative d'escroqnerie politique pour laquélle les libé raux reclainent une immorale immiinUé. La Paix confirme aujourd'bui que des jeunes gens qui n« recoivenl qu'un traile- inent de six cents francs et qui mangent le pain du bureau de bienfaisance, se sont fait porter a Anvers sur les listes electorales, rnoyennant celle attestation écrite du patron qu'ils gaguaieut 3,500 a 4,000 tr. par an. Les fraudeurs ont opèré avec une lelie de- sinvollure que, dans une seule muisonon a ete jusqu'a inscrire (juinze élecleursalors qu'un senl individu tout au plus acquillail reellemeiH le sens électoral. Aussi la Paix a t elle raisou de dire que celle fraude patenie ei irrecusable sera vrai- inenl le point curieux du debal qni s'en- gagera a la Cbainbredes représenlanls. Curieux, coinme euphèmistne, noussem- ble trés-job! Les einbarras que celte discussion réserve a la gauche nous révélent, selon toute appa- rence, Ie secret de Popposil ion grossiére et sedilieuse suscilèe par l'article 78. Les Gueux en demandent la supression pure el simple, sans examen, sans discussion l'aule de quoi ils menacenl d'exéculer a la lelt re le fameux refrain: A bas Malou! a bas Malou! li fant le pendre la coade au cou! Ces violences peignonl au naturel les« amis souneroQl creux. Ou verra que la pratique de nos tibres lustitulions et elles nous UNE RÉFORME EN MARCHE. L'allitude des libéraux dans la question de la reforme électorale mérite' d'èlre observée, non qu'elle an qnelque chose d'exceplionnei mais jljslement paree qu'elle nous montre dans lout son mauvais jour la passion du pouvoir qui anime un parli toni a fail intrai- table. Le libéralisme n'était pas conieni, el pour cause, après les elections de Juin. Plus que jamais repoussé par ropinion publique el éloigné par l'ofijei de ses rèves, a savoir le retour aux fortunes temps de la domination perdue, il intagma le moyei) de se ruppro- cher du but par un bond dèsespéré. A la veille de fouverlure des Cbambres, de grandes as-ises de la Fèdèration libérale furent annoncées avec fracas. L'bomme de la situation, on plulót de toutes les situations la pa geu ses, devait y porter la parole et l'on se rappelle qu'un journal ttès antorisé dans Ic parii ent le mauvais goüi, disons l'ineon- venance, de parler de discours de tröne a propos de la harangue qui allail éire debtlée. Le fameux rapporl dc M. Bara fil son ap parition et l'on sut a quoi s'en tenir sur la reputation que de complaisantes réclames lui uvaienl ménagée. Trés-violent pouvail-il ne pas l'èire? ce rapport s'en prenait sur- toul au clergé cl a la sociéié cléricale de ce qu'il appelait la gravité de la situation, el de ce qui n'était en réalilé que la pileuse condi tion d un parli decliu. La verltieuse opinion libérale étui! persé- cutée. La fraude et la violence avaient fait tont le mal dans les éleciions de Juin. Aussi faut il entendre les éclats de cette suinte in- dignaiion: C'esl la une bonte qui n'a que irop du ré el a laquelle il esl letups de mel- Ire fin si l'oii ne veul umennr Ie dégout de nos institutions qui. ainsi pratiquées, ne sont qu'un mensonge et une duperie. II explique sans les excuser les émotions qui agitent les grandes villes sous le coup d'un échec du libéralisme, par cepe considéra- tion que ce sont les moyens odieux qui ont servi a l'infliger qui provoquent ces trou- bles. Sur ce, le rapport vous déciare nel ce qu'il pense de la legislature et du gouverne ment. II faut un prompt reméde a celle siluatiou, s'ecrie-t-il, car les libéraux, vic- times de tanl d'abus criants, ne peuvent reconnailre, ne reconnaitronl pasl'autori- té de ceux dont les pouvoirs sont sorlis de celte source empoisonnée. Ils subiront cetle autorité paree qu'ils y sont obliges, ils n'en- treprendront rien d'illégal contre elle, mais v ce qu'on ne ponrra oblenir deux, c'est qu'ils reconuaisseut coinme is-sus de la voluiiié nationale, des minislres t't des dé- pulésqni ne doivent leurs pouvoirs qu'au seandale électoral. Ei d'un mème coutexie, pour nous servir du tenue usilé en maliére de notifications, on souiuie ce pouvoir si iudignement me- connu d'avoir a concéder aux libéraux la ps v* "t. 9- ~7. m n 'Ja ?5 3- Pouefiiclie-Yfires, 5-I8.7 0l),9r28,H-60,2-13,3-03,p-_20 Vf>re^-/'pperin<jke.. rt-3'»,S»-"712-07,8-8750,8-43,9-30. IV periii"lie-llaiet»rouck, 6 33, 12 -23,7-10. llaiebrouck Poperinxne Ypres, 8-23, 4-10, 8-23. Yores Haulers, 7-30, 12 23, 8-43. - Itouiers-ipres, 9-23, 1-30. 7-30. Bruges, 8-43. 11-34, 1-13,3,16,7-36,(9-38. Liclilerv.) LiclHarv.-Thoarout, 4-23 in. vers Osiendu. Brujjus-Hoa- lers 8-23, 1-2 43, 8-03, 6-42. Liclilerv.-Courtrai, 8-23 m. Ypres-Cour'tmi 3-34, 9-46, I 1-20. 2-33, 3-23, Clmrtrai- Ypres". 8-08, I 1-08. 2-36, 3-40, 8 49. Ypres-Thoarout: 7-18, 12 06, 6 20, (le Sameiti a 3-89 (tu matin jimpi a Lin^hernarck). Tnourom'- Ypres, 9 00, 1-28, 7 48, Sainoli a '0-2(1 fiu /iiaiui «Ie Langliewarck J Ypresi Cominéa-Wanitiliin .1 .e Touq«icl-il.mpiin«s-.4.r«»e»<ië/*e.s, 6-00, 12 0 3-33 Armenlières-lloupiines Le I'euquel-AVarnèlon- Conünex 7 28, 2,00,4-43 Comities- Warnèlón 8 48. in 'J-30 s. (le Lun it 6 30,) Wurnêton Continus 8-;!»', 11-10, (le CóuTtrai-Bruges, 8 08, I I-00,. 12-33, 4-40, (Inuel.) 6-83. 9-00 s. (Liclilerv.) Bniues-C'"f'Ovu, 8-23, 12 4 i, 8-0.8, 6-42. Bruges, lllankeiiii, Heyst, (Sialion) 7 23, I I 08, 2-8Ó, 7-33. (hassin) 7-31, 11-14,2-86, 7.41, Heyst, Hlankeiib, Biuges, 8^43,'8,23, 11L2S, S-30. iikeRntinster Deynze- Gand, 3-00, 9-41, 2-13. Ingelinunster-f)e//'tze. ti M 7- 18. Garni I >ev nze- ng«/ munster6-38, 11-20, 4-41,7-21. Dé'yn ie-Iny el munster, 1-00. iiuelmunster-dtiseghetii6-08, 12-33, 6-13. \nse$Uem-1ttyelnuiuxier, 7-42, 2-20 7-48. Lichtervelde-DixiT, Jiie Furnes el Dunkerke.-Q 30, 9-08, 1-38, 8 00. Dunjcerke-Furntss-l Jixm'ule el LtrJilerouhlH. 6-38. l I 10 3 40, 5-00. Dixnmde-A'wMpoK,9-80,2-2.0,8-48. Nieup-Diatm, 7 30.12 00,4-20. TI)ourniil-0$<eni/«, 4-30, 9-13, 1-30, 8-08. (hleude-Thouroul7-58, 10-10, 12 25, 6-18 Selzaele Eecloo. 9-05, 1-25, 8-23. Eecloo-SeZzaete,3-33, 10 15.4-22. Gand Terneazen, (station) 8-17, 12 23. 7,30 (pone d'A.ivers) 8-3(), 12-40. 7-45. - 1 en.euzen-Garni, 0-00, 0-3». Sehacle-Lokeren, 9 04, 1-30. 8 30. (le Merer. 3 10 in,) Ukereu-.8«/;ae<«, 6-00, 10-28, 4 43. (le. Mar.li, 9,30.) CORH.lilST'OWrJAÏfCISS. COBRTRAI, BKUXEI.LES. BRUXELLBS, COURTRAl Courlrai dép Bruxelles arr. 6.37 8.30 10,33 1,35 12,33 2.23 3,42 6,10 6,33. 8,84 Bruxelle.! CeiirJrai dep. arr. 3,22 8,00 8,28 10,46 12.21 2,44 8,33 7,80 6,47. 8.44. COURTRAl, TOURNA I, l.lf.I.E. Courlrai dép. Tournai arr. Lille 6.37 7,28 7.38 10,56 11,47 12,08 2,54 3,48 4,00 8,34 8,47. 0,39 9,41. 6,38 10,00. Li lie dép. ToiHIIili Courlrai arr. LILLE, TOUR.NA1, COURTRAl. 8,18 8,22 11,03 2,22 4,43 3.42 8,86 11,29 2,40 8,39 6,34 9.47 12,26 3,38 6,33 COURTRM, UANU. CAM I), COURTRAl. Courlrai dép. Gant arr. 6,42 8,01 9,49 I 1,08 12,31 1,31 3,44 6,40. 8,04 7,56. Gas.I dép. Courlrai arr 3,15 6.37 9,38 10,56 1 28 2,34 4,24 3,34 7,21 8,47 BRUGES, GAND, BRUXELLES. Bulges d. 6,49ox.7,04 9,39 12.34. 2- .32 ex. 6.43. Gand 't 7,34 8,19 10,54 1,49 4,«i7, 7.88 9,31. Bruxelles 8,30 10,33 12,39 4 00,7,1.1, 9-31. 1 40. BRUXELLES, GAND, BRUGES Bruxelles iep. 7,2) 3,1 4 11,06 1,38 3,02 ex 4,89 ex. Gull W. 6.1)0 8,48 9,41 1.23 3 39 4,11 6 29 Bruges 7,18 9.23 11,34 2.33 - 8,01 7,22 3,58 7,77 8 38 r-r- l rr—-T7-1 ETT TT tr-—

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1877 | | pagina 1