ÉTRENNES - OFFRANDES A N Samedi 10 Février 1877 12 année ir~>- ss v 1 Décembre Le Journal parait le Mercrcdi et le Samedi. Les insertions coulenl 18 cén.innes la ligtie'. Les rèctdmes el annonces jadiciaims se jviieat 30 étèntrnes la ligoc. O/l traite a forfait pour les insertions p.u annee. Un numéro du journal, pVis au Bureau, 10 centime-. Les nuineros suppléinenlaires coinnuudés pour articles, Réclames on Annonces, c'outcnt 10 Ir. les 100 excmpluirds. A s. i®bb<: ax, POUR LE SO™ ANNN1VERSAIRE DE SON ÉPISCOPAT. Setsticmc Iilstc. Anonyme voet Anonyme Anonyme Anonyme Le Curé et quelques paroissiens Les Guoux do la province de Liége onl tenu a ne pas reslet'en arriére de MM. Delo- courl et Vanderlaelen. Les joiirnaux nous apporlaienl hier en mème temps le compte- rendu des meetings de Verviers el de Licge. Pour donner une idéé de ce qu'onl élé ces deux assemblees, il nous suffira de laisser pat Ier nos ennemis. La reunion de Ver viers procédé direclcinenl de celie d'Anvers, tandis que Liége n'a eu a nous offrir s'il fa ut en croire du moins la relation revue etsansdooiecxpurgèc que nous donna le Journaille Liége qu'une seconde edition de la lonrde faconde des doctrinaires de Gand. Voici lout d'abord Verviers. Nous copious la Gazelle progressislc de Brnxelles c est un sieur Mallar qui parIc M. Malou a pensé que dans une fossc creusée avec patience par la fraude et la cor ruption, il pourrail la i re dispa rail re encore, tout palpitant de vie, le grand corps dn libéralisme beigeil a cru qu'aprés avoir jeté quelques pellelées de lerre sur sa vic- time, il pourrail s'écrier Nous régnons en •mailreLe sonffrirez-votis? Non non L'ncle de M. Malou esl un acte de la.clie- le, de félonie! C'est un crime de lèsc-patne! Les ct'is de A lias Malou! Vive le libéra lisme! éclatént de tonics paris. Avec Ic projel de loi doit disparaiire le minisiére odieu.x qui a osé lancer tine injure sanglarilca la face du pays. Je voudrais vous citer Ie discours en en- lier. Permetlez-moi de vims en signaler la péroraison, expression fidéle des sentiments du libéralisme Soyons prêts, s'écrie M. Mallar a tous les sacrifices que nous commanded noire dignilé, noire bonneur et la pa I vie Tu- mullc eric A lias Malou On croirait entendre un cclio loinlain des déclamalions du sicur Van derTaclen, éclie- vin jiar la grace... on sail de quoi. En lisant ces tirades furibondes, nous n'a- vons pu nous empècber de nous dire que si le libéralisme beige est 1111 grand corps si pal pitant de vie, il a tort de s'alarmer du projel de loi do M. Malou. Le ministro des finances esl b:en Plmmine le plus pacifique'du monde, et la Gueuserie a [in voir par faccueil qu'il a fail a ses exigences exprimées par M. Bara, que le cabinet u'a nullement songé a trailer les v03ux deses ennemis comme cenx-ci nous out traiiées. Qu'on se rappelle les nomiireuses'petitions sur les questions élee- torales, la loi Oils et la loi de 18GS décorée i dn faux t il re de loi pour la répression des fraudes electorale» el qu'un écrivaiu radical jugcail comine suil, dés l'önnéc 1866 EHe n'esi cn téalilé que la conséóialiun de la fraude au profil du doctrinarisnte, eu ce qu'on entoure le scrutin de vexations et d ut) systètne inquisitoriql„ en ce que les clecteurs des campagnes ne peuvenl exer- eer lours droits de citoyejis qulen s'irnpo sant les sacrifices (fun déplacemenl el des l'ruis de séjour, elc., elc. Le libéralisme espére-lil vraiment obtenir de la faiblesse du cabinet la consécration de la fraude au profil des Gueux? Ce serail aller troplo.in ilcst yrai que la gueuserie nous a appris a ne plus nous élonner de rien. Nous ne nous élonnons plus mème de la superbe impudence des gros bonnels de Liége qui osent se glonfier de remplir les liautes fonclions de porie queue des Bismaik,des Canerct el des Gambclla. Oyez leurs audacieuses vanlcrics Des esprits ardents accusaienl de tié- deür le libéralisme liégeois. lis oubliaient que dans loulos nos grandes Iutles pour nos libertés les Liégeois out toujours occupé et réclamerorit toujours un posle de combat. Si la ville de Liege a élé jadis la ville des èvéques, elle est celle aujourd'hui 011 l'on voil un bourgmestre, au nom de la légalité, arrèler un évêque au senil de sa cathédraIe; ils oubliaient que dans notre arrondissement, tin autre bourgineslre a su faire iranquille- meni son devoir, en se riant des foudres épiseopales! (Applaudisseménls prolongés.) N'esl-ee pas beau, iLesi-ce pasdignede jeter ainsi rinsulte a 1'Evêque qui a osé faiie son devoir? Suit une grande colonne d'injures a l'a- dresse de M. Malou. du parli catlioliquc, des charrues qui crpient en Dieu (le mot s'y faux patenlablos inscrils par les Gueux d:An- vers, elc. II n'y a rien la que nous n'ayons vu vingi Ibis dans les eloaq'ues de la pressc gueuse. Un desoraleursa vanlé la Gueuserie de ce qu'elle ti'iiisulie jamais les fonclionnaires coupables d'appliquer los lois. Or, vingt lignes plus haul on lit celte phrase: C'est véritablemenl une bonte que le spectacle que nous ofl'renl depuis quelques années cerlaines deputations cléricales, qui ne mérilenl vraiment aucune espêce d'estime.» Ce rapprochement esl significalrf: il prou- ve en quelle eslinie les Gueux liennenl l'in- tclligence de leurs auditeurs. Voici enfin un passage qui prouve que la doctrine, lout aussi bjen que la Gueuserie, cultivc avec un suin jaloux i'appel a l'emeule; Que M. Malou y songé: les coups dCElat déehaineul les passionsel les passions vont tuin! »Ce n'esi cerles pas moi qui conseillerai ja mais a mou parti de faire appel a la force matérrellc; maïs dans un pays 011 les Cliairi- bres gouvernehl ct soul le produit de Selec tion, (es basés du sysléme représcntalif lui- méme sonl ébranlèes, les lois perdent loule leur autorité, le jour ou tine majorilé, abu sant d'uno situation momenlanée, cherche a se perpéluer au pouvpfr, en exp.rppriant de leurs droits des mitiiérs de 'ciloyens qui lui sonl Ilöstiles. Pèra Duchesne-, aetuellement la loi, la ma jorilé, fes ministres, lous les rcprésentanls du pays bonnè.lé out leur lour. Co sonl pour- tant ces geus qui nous reprpclienl journelle- menl de mauquer de respect a nos Iibres institutions C'esl de ces outrages, de ces excitations malfaisantés que parlail 1'oraleur liégeois, quand, s'armant de sa rhétorique ridicule, il s'écriail Le pays it groudé; les villes onl frérni d'indignatiqn.! Et Ton voudrait nous faire prendre au sérieux ce parti lour a tour si autoritaire et si démagogique? Allons done! Dos geus sérieux out d'autres armes que le pavc, d'autres arguments que Pinjurc. M. Malou a fait aux joiirnaux libé'raux, sans mème exceptor ceux du plus bas étage (expression de M. Fiére Orban). la gracieuséVè de les avei tir des Samedi des changements qu'il a décidé d'appoiier a son projel de réforme electorale. Un de ces journaux s'einpresse dc remer- cier Ie ni iiiistre de sou bon procédé cn pu - bliant la communication ofiicieuse sous ce litre La Hecu/udc. Faites du bien a 1111 v 1 la in Les autres organes de la gueuserie ne sonl guêje plus gracièux pour nos débonnaires Mais j en visage I avenir avec coufiancc. Le «A^vcrnanls. Seule VEtoi'le est un peu plus ays a gronde; les villes out frétm d indigna- ,- f J 11 polio t|ue ses confreres pour le cbcl du cabi- Malou a son11 que I beurt: ,n etail pas pay lionM encoré vcuuc pour PEglisc dc mclire Ic gc- noii sur Ie eceurdes villes, et Pempècher de ba tl re. 1 i a recu lé 11 résiste encore sur certains points, mil is it faut que loutes ces ilisposiliiuns machévia- liques volenl en mor ecu ux sous les coups que leur livrera le parti liberal. Tout ne sera pas dit ulors. 11 faut q u'olles'enlraine'nt avec eux leurs auteurs. L'expiatiun 11c sera pas sufiisanle le jour oü M. Malou, contrahit ct forcé, aura retiréun projel de loi politique signé par lous les membres du cabinet. «Trailresa leur parole, eonvaincus de for faiture, ils sonl frappés d'indignité. »ll faul qu'ils descendent du pouvoir!» Une des idoles de nos libéraux beiges, ■'ami de M. Gambetta, M. Challemel-Lacour, quisqu'il faul I'appelcr parson nom, y met- lait rnoms de facons, muis plus de franchise quand ildisait Fusdlez moicesyens-ld Au fond il try a pas autre chose. L'appel a l'émeulé se retrouvedans tonics les baran- gucs doctrinaires ou radicates les orateurs sonl tous... Géux. Des journaux francais s'occupenl de faire collection des monslruosilées des Droits de l'IIomiue, de la Tribune el d'autres feu il les analogues. Mais quand ces journaux onl-ils l ien du qui pmsse soutenir la comparaison avec les scandaleuses excitations don l nol re pays est juui ncllemenl le theatre? Rien n'esl respecté |iar les malfaileurs de langue ou de plume dont la Gueuserie nous inonde. Dieu et l'Eglise out été conspués polio que ses confrères pour net; il est vrai qii'elle se flatle dc lui avoir fait agréer scs coriseils. Eile dit «Nous felicitous M. le ministre des finances d'avoir compris que le moment était ven 11 de faire connaiire enfin ses dispositions comme nous le lui conseillions depuis plu - sieurs jours. Les deux points visés par la communica tion qui précède sonl essentielscl, ces points résolus de co'mmun accord avec la gauclie, on pourra aborder l'exantfeu du projel primilif dans tons ses details, avec i'espoir qu'au moins l'on ne se beiirlera pas a un pa.rti peis de la part du gouvernement. «Opendenl il resle a savoir si c'est d'accord avec sa majprité que I',honorable chef du cabinet fan les concessions qu'on nous annonce, si elle ne tenlera pas de le débor- der en maintenanl les dispositions primi tives du projel. »Mais nous attendons avec eonfiance les propositions non vel les que le gouvernement est résolu a soumeltre au.x sections, el nous espérons qu'élies auroni pourelïet de calmer, au moins tnomentanénient, l'agilalion qui légne dans le pays. VEloile n'esl pas encore rassurée; elle se méfie de la majorilé. Nous saurons bienlót en eITclsi la droite a une pensee a elle, une volonié a faire prévaloir. A notre sens, la majorilé devrait user de son initiative pour iiilroduire dans le projet des ameliorations depuis longtemps récja- mées par nos populations catholiques, lelies, par cxcmple, que le vote a la commune ou au canton, la division du pays par circon- scriptions, de 40 ou de 80,000 tunes, etc. Mais il est malheureusement trés-probable que nous n'obiieiidrüns rien de tout cela, a en jugcr par la décUtralion suivanle de M. Coomans dans la I'aix. Bitijtus j Gand Bruxull Popefinghe- Ypres, 5-18,7-00,9-28,11-00,2-18,8-05,9-20. Y pres-Poperinghe', t5-30,9-07.!2-07,3-87,0 80,8-48,9-80 pei'inglie-llazebrouck, 0 S3, 12-28,7-10. Hnzebrouck Poperingho Ypres, 8-28, 4 10, 8-23. Y pres-Routers7-80, 12-28, 0-48. lioulers«ypres, 9-28, 1-80, 7-80. Roulers-üruj/es, 8-48, 11-34, 1-13,8,10, 7-36, (9-88. Lichterv.) üclueiv.-Ttwuröut, 4-28m. vers Ostende. Bruges Hun ters 8-28, 12 48, 8-08, 6-42. Lichterv.-Qpurlraii 8-28 in. Ypres-Ccwrtrai 8-34, 9-46, 11-20, 2-38, 8-28, Courtrai-V/jres, 8-08. 11-08, 2-86, 8-40, 8-49. Ypres-Thourout, 7-18, 12 00, 6 20, (le Samedi a 8-80 du matin jusqu'a IRngbéinarck). Tliour'out- Ypres, 9 00, 1-28, 7 48, (le Samedi a 6-20 du matin de Langliemarck a Ypres). Coipjnes-Warnêton-LeTouquel-llouplines»Afmentiéres, 6-00, 12-00, 3-3.5, Armeniières-Uöupiines Le I uuquct-Wariièton- Comines 7-28, 2,00, 4-48. Comines- Warnéton 8 48, m 9-30 s, (Ie Lundi 6 30,Warnêion-Comines,8-30, 11-10, (ie Lundi 6,80 Courtrai Bruges, 8-08,11-00, 12-38,4-40, (Ingel.) G-88. 9-00 s. (Lichmrv'.) Brugés-CöurfrAi, 8-28, 12-48, 8-08,6-42. Bruges, Blankenb, Hevst, (Slation) 7-28, 1 1-08, 2-80, 7-38. (bassin) 7-31, 11-14,2-86, 7.41, Heysl, Bhinkeitb, Biuges, 8-48,8,28,11-25,8-30. ngelmunster Deynze-Gand, 3-00, 9-41, 2-18. lngelmunster-Dcy/ise, 6 10 7- 18. - GandUeymo-lngelmunster 4-41,7-21. Deyme-Ingelmunsler, 1-00. ngelmunsler-dnseghem, 6-08, 12-83, 0-13. Anseghem-Ingelmunsler7-42, 2-20, 7-48. Lichtervelde-Dixmude-Furnes et Dunkerke6 30, 9-08, 1-38, 8-00.'-— Dtinkèrke-b urues-lïixmud^ ét LictUervetde 3-40, 8-00. l)ixmuile-Art<?iipori,9-S0,2-20,8-45. Nieup-DtVrwi, 7-30,12 00,4-20. 'fhourou'f-Oslende, 4-80, 9-13, 1-80, 8-08. Oslende-Tltouroui, 7-88, 10-ip, 12 28, 6-1.8 Selzai'te Eeclon. 9 08, 1-28,8 28. ÈucloM-.St'haele,8-3-8, 10 18.4-22. Gund-TernétfZori, (sfajion) 8-17, 12 28. 7,3') (porie .l'Anvers) 8-30, 12-40. 7 48. Terneuzi-n Gand, 6 00, 10-30, 4fp. Selz.mte-Imkeren9 04', 1 -30t 8-30. (Ie Merer. 8 in in.) Lokeren-.^atj'fite, 6 00, 10-28-, 4 48. (le Manli, 9,30.) o o n m k s r* o n r> jv rr c b s COURTllAI, BI1UXKI.LES. DRUTEI.I.BS, OOUIITRAI. Court ra i dép. Brnxelles are. 6,37 8,80 BruxeNes dép. Courtrai air. 8,22 8,00 COURTRAI, TOUR.XAI, Lll.LE. Lilte dép. Tdirniai Courtrai air. LILLE, TUUR.NAICOURTRAI. 8,18 8'2:i 11,08 2,22 4,48 8^2 8,80 I 1,29 2,40 8,39 0,34 9.47 12,20 3;38 6,33 COURTRAI, GANIl. Cnprtrai dép. Gand arr. GAM)COURTRAI. 1 28 2,84 6 38, 11-10. URUGES, GANI), UHUXEI.I.ES. d. 6,49ex. 7,04 9.39 12.34, 2-82 ex. 6,4;! a 7,34 8,19 10,84 1,49 i,w7, 7.8S 9,31. es 8,80 10,38 12,39 4 06/7,18, 9-31. 1 >,40. ,8,34 8,47 IIRUXELLKS, GAND, hRUGES. 7,2 nil 1,23 3,89 4,1 1 7,22 Montant des listes précédeiWes, 9,338—83 PAR01SSE DF. ST-MARTIN (YPRES). M. C. D. Anonynie M118 E. M. et Jül"v> Em. Vander Meerscli-Santens Anonyme M. .Mme etMn° R. T Tbérèse Boudry Congregation des filles de St-Martin et déSt-Jacquns M.Vanhouver RR. PP. Carmes Anonyme PAR01SSE DE ST-PIERRE (YPRES). M. Tliéodorc Surmont demande la béné- dietion du St-Père pour bien laire sa première Comniunion M. Henri Surmont MUo Marie Surmont M"s Anna Surmont MUo Madeleine Surmont Anonyme Anonyme qui demande la bénédiction du St-Père pour son futur mariage Anonyme PAR01SSE DE ST-JACQEES (YPRES). Anonyme M110 Léonie Blomme demande la bene diction du St-Père. M. et Mme Iweins d'Eeckhoutte-Storm PAROISSE DE ST-NICOLAs (YPRES). RR1ELEN. Anonyme MESSIN ES. Le Clergé et quelques paroissiens PAROISSE DE ST-BERT1N (POPERINGHE). La congregation des jeunes fllles Anonyme AP ct Melles Eugenie et Silvie Plaete- PAROISSE DE ST-JEAN (POPERINGHE). Mmo Cauxvelier Anonymes B0ES1NGI1E. M. le Curé Quelques congréganistes demandont la bénédiction du St-Père Une Mr Deleu, vicaire P. Dékemele Anonyme Un fermier Anonyme I1ARING1IE. 40 00 5 00 2 00 10 00 5 00 10 00 30 00 20 00 2 50 1 00 118 50 30 00 20 00 5 00 PROVEN. Une congróganisto Yeuve Van Inahelandt SROMBEKE. M le Curé et quelques paroissiens. 10 00 5 00 5 00 5 00 5 00 5 00 5 00 1 00 6 00 10 00 25 00 STA VEI,E. M. le Curé, AI. le Vicaire Les congréganistes Anonyme Quelques paroissiens WARNÉTON. Une familie demande la bénédiction du St-Père Une congróganisto Un frère et une soeur M.J.-B. Couroble, vicaire XVATOU. iieILIöe VaDer ONtVang In UW JUueL- Jaak Deze kLeIne Jonst Der Ware ChrIsteLYke ii UI sg ez In n en Van WatoU 64 00 20 00 10 00 14 41 5 00 27 59 280 00 TOTAL FR. 10,662 53 N. B. La elötiire des listes aura lieu d la fin du mois. 85 00 100 00 5 00 15 00 5 00 2 00 2 00 20 00 7 00 25 00 42 60 6 00 10 00 10 00 5 00 5 00 2 40 160 00 MM. les Ecclésiastiques de l'arrovdissmenl voudront bien rccevair les souscriptiqns Toutesduirés pcrsonnes de bonne volonié son également considérées cum me aptes a recaeillir a recevoir el d trunsintllre les ujfrandcs. On les percoil éijalemêiil au BUREAU DU JOURNAL l'y Yi'RES et da NIEUWSBLAD. Pour permellre une exacte comptubililé 1° Le donateur elson intermédiairesonl inslam- ment priés de rcmcllre sirnuUanémenl la note de la souscriplibn elLargent qü'élte comporte. Les personnes qui. seraienl embarrassées pour faire parvenir au centre de t'oeavre le montant de leur soascriplionpeuvenl V envoy er cu mundats sin- la puste a Mle doyen d' Ypres. 2" Nous ne pourrons publier cliaque semaine que les souscriptions doui la note el i'argent seront parvenus au centre de l'oeuvrechez M. le Doyen d' Ypres, av-n'ht Icjeudi midi.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1877 | | pagina 1