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ÉTREHNES - OFFRANDES
Samedi 17 Février i 8
12u année. N° 1,162.
2 s
Le Journal parail le Mercredi et lo Samedi. Les insertions content la centimes la ligne. Les réclames et annoncesjudiciqires se paient MO centimes ia ligne. Ou traite d forfait pour let insertions par année.
Un numéro du journal, pris au Bureau, 10 centimes. Les nutnéros suppléinentaires comtrundés pour articles, Réclames ou Annonces, coütent 10 Ir. les 100 exemplairos.
C 51 E HI I i\ S I) E F E BS.
1 Décembre.
A S. S. PIE IX,
POUR LE 50mc ANNN1VERSA1RE DE SON
ÉP1SC0PAT.
Huitième Eiste.
AVIS,
ENSEIGNEMENT LAIQUE.
On se rappelle les aveux significalifs et peu
suspects, fails naguére par le Journal de
Gand sur Tinfériorilé de renseigncmenl
ofliciel compare a l'enseignement catholique
et libre.
Ce qui laisse a désirer dans nos athénées,
disait-il, c'est d'abord l'éducation physi-
que; ensuile cetle partie de 1'éducalion
morale qui produit chez l'élève cette bonne
tenue qui adoucit cu lui l'aspérité des ma-
nières et du caractère. Sous ce double rap-
port mainle écoledu clergé l'emporle sur
les athénées royaux.
Le Journal de Gand constalait aussi que
souvent le professeur ofliciel se borne a
doniier sèchetnenl ses leconsil parle a
Tinlelligence des jeunes gens, il n'a aucune
influence sur leur cceur.
La situation constatée par le Journal de
Gand devient tellcment claire qu'elle frappe
lous les yeux el que d'autres journaux guetix
encore se répandenl en lamentations sur la
pitoyable situation des athénées de l'Etat.
II y a quelques jours, le Monileur publiait
un tableau slalislique résumant le mouve
ment de ia population scolaire des athénées
pendant la derniére période décennale. De
ce tableau, il rèsullc que depuis dix ans le
uoinbre des élèves de ces établissemenls ne
s'est pas accru qu'au contraire, il tend plu-
tót a diminuer.
Voila Ie résullat auquel viennenl aboulir
tant de subsides, tanl de réclames, tant de
beaux discours sur la prétendue supériorité
de renseigneuient laïque
Aussi la presse gueuse ne songe plus a
biaiser. Elle entre, comme nous le disions
tanlót, dans la voie des lamentations el des
aveux.
II est un fait, du la Chroniquec'est que
nos athénées ne sont pas d'un élat de pros-
périlé bien briljant la statistique le
prouve.
Et nilleurs
Commentaiors que la question de l'en-
seignemenl a lous les degrés est inscrile
en tète de noire ordre du jour social
alors que, parlout, on travaille a rallier
antour du drapeau du libre examen toutes
x) les forces vives de la jeunesse beigealors
que le Denier des écoles a donné a la Lig tie
v'de l'enseignement une vitalilé, une impul-
sion nouvelle, il se fait que les écoles pri-
mairës du libéralisme (sic) si on peul
dire que nos athénées sont désertés par
x> une grande partie de nos jeunes milices
Car, il ne faut pass'y tromper, dire que
la population des athénées resle la mème
depuis dix ans, c'est reconnailre implicitc-
ment que l'enseignement liberal du pre-
mier degré est dans une voie qui mène
tout droit a la décadence
Ce qu'il y a de plus navrant encore pour
nos adversaires, c'est t]u'a cette décadence
irrécusable de l'enseignement officiel corres
pond le progrès non moins évident de l'en
seignement libre.
Oü vont les élèves qui ne vont pas atix
athénées Ou ils voni 1 s'écrie la Chroni-
que. Detnandez-ie atix proviseuis des col-
leges de Jésuites, de Josèphiles et d'autres
cavcrnes cléricales
La Chronique descend ensuile au cceur du
sujet et dépiore que tant de parents demeu-
lent insensibles non-seulemenl aux objurga
tions de la presse libérale, inais même aux
excommunications des Loges et des Associa
tions. Citons encore eet aveu
En dépil des foudres, de carton, du
resle de nos associations libérales; mal-
grè los protestations et les coups de boutoir
de la presse, ils sont nombreux les libéraux
qui inetlent leurs enfants dans les sacrés
colléges je ne retire pas le mot.
On dira,peut étre,que ca n'est pas adroit
de faire ainsi gratis une aussi forte réclame
aux jésuites; mais, a défaul de beaucoup
d'autres qualilés qui nous font bien défaut.
nous avons du moins, dans le parti liberal,
le mérite de savoir rendre justice a nos
plus déteslables adversaires...
El si nous ne parveuons pas toujours a
les guérir, nous savons sonder nos plaies.
Eh bien une de ces plaies el la plus
dangereuse peut-étre c'est précisément
la décadence de certains de nos élablisse-
menls d'instruction el la prospérité des
écoles du clergé.»
Mais, se dira le lecteur, si dans de telles
conditions les hbéraux eux-mêmes préférent
les établissemenls du clergé pour l'éducation
de leurs enfants, si la perspicacilé du pére
de familie iriomphe des préjugés de Fhomme
de parti, il faut que la supériorité de l'en
seignement catholique soit bien élablie
La Chronique en eonvient encore: II
faut reconnailre, dit-elle, que l'insolente
prospérité des colléges cléricaux n'esl pas
absolument dénuée de fondement.
Et lont d'abord, au point de vue materiel,
les prétendues cavernes cléricales sont
adinirablemcnt installées.
Nos établissemenls communaux d'ensei-
gnement moyen au contraire sont mal amé-
nagés, irisalubres, incommodes, pen snr-
veiIlés el souvent mal dirigés.
Ensuile ces perfides jésuites ont pour les
élèves ces petitssoins qui touchent le cceur
des méres et qui ont fini paryaloiraux
Tartufes de pensionnat cette étiquette fa la -
cieuse de bons péres.
Enfin, la Chronique se joint au Journal
de Gand pour constaler qu'au point de vue
de féducalion proprement dite, nos athé
nées laissent énorniément a désirer.
Voici la merenliale assez verte qu'elle
adresse aux pions de rcnsejgnemenl
ofiiciel
Les préfcls et les maitres deludes de nos
athénées ne pourraient-iis, par exemple
assurer la discipline chez leurs élèves assez
sérieiisement pour que l'entrée cl la sortie
des classes se fasseul un peu mieux
Ne pourraienl-ils, saus se faire bonnes
d'enfanls, vei lier d'un peu plus prés aux
maniéres el aux allures des élèves
1! me semble qu'ou ne s'oecupe pas assez
dans les athénées de l'éducation desenfants.
Combi en de fois n'en I e n do n s -nou s pus dire:
Meltre mon fils d falhénéel Merci hienl
ill/ appr endrail de jolles munières
Au fond, il n'y a pas de raison sérieuse
pour que les enfants prennent de plus mau-
vaises maniéres a raibénée que chez les
jésuites. au contraire! Sejulement, chez
les jésuites, on s'oecupe de leur education,
tandis que dans nos athénées, on ne
s'oecupe absolument que de leur instruc-
lion.
Je sais bien que l'éducation du clergé
est mauvaise, dangereuse mème; mais
n'est-ce pas une raison dc plus pour que
les professeurs laïques se próoccupenl da-
vantage de l'éducation excellente
qu'ils peuvent donnera leurs élèves, puis-
que la délestable education des gens de
soutane leur vaut encore tant de suffages
palernels
Si un journal clérical se pennetiait de dire
ces choses, il recevrait du papier limbré ou
tout au moins, sous prélexte de droit de ré-
ponse, il aurait a insérer un long panégy-
rique de renseignemenl de l'Etat, dü a la
plume de quelque pedagogue officiel. Mais
que répondra-t-on a la Chronique?... A tous
les points de vue, d'ailleurs, il est bon que
ce soit ce journal qui fasse la photographic
de uos athénées.
Quant a guérir la décadence des écoles
officielles, c'est une illusion qui fera peu de
dupes. Une education suivant le systéme
de la Chronique serail un remède p;re que
le mal el mieux vaut encore se résigner a la
situation actuelle. C'est aux péres de familie
a considérer quels devoirs leur iucombent el
quelle confiance peut leur inspirer un en-
seignement que nous venous de leur mon-
trer, fidèlenienl dépcint, d'aprcs nature, par
ses plus chauds défenseurs.
DE L'OPINION PUBLIQUE
DANS SA VÉRITABLE EXPRESSION.
Aprés les fails cites par la presse catho
lique d'Anvers et le manifeste adressé par Ie
Meeting aux électeurs, il est évident comme
deux et deux font quatre que le sen 1 bul dc
I 'agitation libérale est de rnainlenir une frau
de electoralecolossale et véritablement
éhontée.
Ces révélations doivent prouver aux moins
prevenus que les Gueux, en demandant la
revision loyale el sincere de nolre systéme
éleclif, ont inanqué tout a la fois do loyaulé
f,t de sincérité.
Une éleclion libérale qui aurait lieu a An-
vers, sur des listes électoralcs comme celles
qui out été fabriquées par la gueuserie, ne
serait pas plus valable au fond qu'une piece
tie vingl francs ou un billet de banque contre-
lail par un. faux monnayeur.
C'est» ceux qui détiennent Ie potivoir de
prévoir eelle éventualiié.
Jusqu'iei, dans les Iutlos publiqnés qui
divisent nolre pays, la legalité a été aeceplee
par les catboliqucs comme élant la légitimité
gouvernemcnlale.
En serail-il encore ainsi lorsque cctte léga-
l:té aurait été audacicusement falsifiée au vu
cl au su de la Belgique eniicre?...
C'est une question délicate que nous ne
voulons pas résoudre, sans une ineluctable,
nécessilé.
Mais cette question est assez grave pour
qu'on ne motte pas la partie I» plus calme.
la plus honnète et la plus conservatrice de la
population dans la l'achcuse extrémilé de se
la poser.
On se próocoupe assez cl peut-.èlre, trop,
dans les hautes spheres du pouvoir, dos ma
nifestations séditicuses d'une opinion pu-
blique (relatée; il serait, nous semble-t-il,
de bonne politique dp compter aussi avec Ic
senliment des bonnèles gens.
Pour no pas so lraduire par des btirle-
ments sauvages, des cris révolntionnaires el
d'indignes voies de fait, il n'en esl que plus
respectable. Nous ne saurions assez le redire:
le plus grand malheur qui puisse arriver a
un gouvernement, ce n'est point d'èlre dè-
lesté des révolntionnaires. c'est d'etre aban-
donné de ceux qui ne le sont pas.
Et quand nous disons le gouvernement
nous ne faisons allusion ni a tel homme d'E-
tat, ni a tel minislre, nous parions de la
chose publique ellc-mème, du pouvoir con-
sidéré dans son essence. Quels que jsoicnl
ceux que Ie flux ou le reflux des scrulins
élecloraux amènent aux affaires, l'atijorilé
sociale a besoin d'un certain prestige. Elle
peut se passer de popularité elle ne peut
point se passer d'estime. Or,l'impuniié d'une
fraude, comme cello qui a été commise et
qui est irréeusablement conslaiée a Anvers,
rejaillirait honleusemenl sur lous les pou.
voirs publics, lis seraient exposés au plus
irremediable agent de destruction le mé
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Poperiughe- Ypres, 5-15,7-00,9-28,11-00,2-15,5-05,9-20. - Vpres-Poperiughe, 0-30,9-07,12-07,3-57,6 50,8-45,9-50
periiujhe-Hazebrouck. 6 53, 12-25,7-10. Hazebrouck-Poperiughe-Vpies, 8-25, 4 10, 8-25.
1 pres-Roulers, 7-50, 12-25, 0-45. Roulers-Y>res, 9-25, 1-50, 7-50.
Roulers-ilrujes, 8-45, 11-34, 1-13,5,16, 7-36, (9-55. Licluerv.) Lichlerv.- Tlwiirout, 4-25 in. vers Osiende. Bruges Hon.-
Iers 8-25, 12-45, 5-05, 6-42. Lichter\.-Courtrai, 5-25 m.
Ypres-Courtra» 5-34, 9-46, 11-20, 2-35, 5-25, Conrtrai-Ypres, 8-08. 11-05, 2-56, 5-40, 8-49.
Ypres-Thourout, 7-18, 12 06, 6 20, (le Samedi a 5-50 du inatin jusqu'a Langhemarck). Thouroul- Ypres, 9-00, 1-25, 7-45,
(le Samedi a 6-20 du malin de Langliemarck a Ypres).
Coinines-Warnêlon -Le Touquel-llouplines-ylrareiitjères', 6-00, 12-00, 3-35, Armentieres-iloupliuex Le 1 ouquel-Warnelon-
Comines 7-25,2,00,4-45. Comines- Warnèlon 8 45, in 9-30 s. (Ie Lundi 0-30,) Wariiêton-Cowiónw 5-30, 11-10, (Ie
Courtrai'-ffrwes, 8-05,11-00, 12-35,4-40, (Ingel.) 6-53. 9-00 s. (Licluerv.) Bruges-C(>urtr<», 8-25, 12-45 5-05 6-42.
Bruges, Blankenb, Heyst, (Station) 7-25, 11-08, 2-50, 7-35. (bassin) 7-3(, 11-14,2-50, 7.41, - lleysi, Blankenb, Binges,
li ge I mu' nste r Dey nze - Gahd5-00, 9-412-13. Ingelmunster-Deywze, 6 10 7-13. (land- Dov nze-1 ngehnunsler6-58, 11-20, j
4-41 7-21. Dey me •Ingelmunster, 1-00.
use\monsler-Anseghem, 6-05, 12-55, 0-13. \nse°hem-Ingelmnnster, 7-42, 2-20, 7-45
Liclitervelde-Dixmade-Furnes el Dunkerke, 6 30, 9-08, 1-35, 8 00. Z)«nAerA<?-l>urnes-I)ixmu<te ei LichternehD, 0-3.>, 1t 10,
3-40, 5-00.
Selzaeie Eecloo, 9-05, 1-25, 8-23. Eecloo-St'/juete,5-35, 10 15. 4-22.
(jmv\Terneazen, (station) 8-I7, 12-23, 7,30 (porie d'Anvers) 8-30, 12-40. 7 43. 'l'erneuzen-Gand, 0-00, 10-30, 440.
Sehicle-Lokeren, 9-04, 1-30, 8 30. (Ie Merer. 5 10 m.) Lokeren-SV/iuete, 0 00. 10-25, 4 45. (le Mardi, 0,3O.)
C C> t n E9POWD ANCHS.
COURTRAI, RRUXELLKS.
Courtrai dép0.37 10,53 12,33 3,42 0,35.
Bruxelles arr. 8,50 1,35 2,25 0,10 8,54.
COURTRAI, TOUKNAI, LII.LK.
Courtrai dép. 0,37 10,50 2,54 5,34 8,47.
Tournai arr. 7,28 11,47 3,48 0,39 0,41.
Lille 7,38 12,08 4,00 0,35 10,00.
COURTRAI, GANl).
Courtrai dep. 0,42 9,49 12,31 3,44 0,40.
(laud arr. 8,01 11,08 1,31 5,04 7,50.
BRUGES, GANl), RRUXELLKS.
RRUXELLKS, COURTRAI
Brtixelles dép. 5,22 8,28 12,21
Courtrai arr. 8,00 10,40 2,44
5,35
7,30
0,47.
8,44.
LILLE, TOURNAI, COURTRAI.
Lille dép. 3,15 8,22 11,03 2,22 4,45
Tournai 5,42 8,50 11,29 2,40 5,39
Courtrai arr. 0,34 9.47 12,20 3,38 0,33
GANl), COURTRAI.
Garul dép. 5,15
Courtrai arr 0,37
0,38 1 28 4,24 7,21.
10,50 2,54 5,3-4 8,47
RRUXELLKS, GANl), BRUGES
Dixmude-Aoeuport,9-50,2-20,8-45. Nieup-Dm», 7-30,12 00,4 20.
Thouront-Os/emfc, 4-50, 9-15, 1-50, 8-05. Osiende-Thourout, 7-55,
10-10, 12 23, 0-13.
Bulges d. 0,49«x. 7,04 9,39 12,34, 2-52.ex, 0,43. i Brtixelles dep. 7,20 8,14 11,00 1,35 3,02 ex. 4,59-ex.
Gand a. 7,34 8,10 10,54 1,49 4,07, 7,58. 9,31. Gml arr. 0,00 8,38 0,41 1,23 3,59 4,11 0,20
Brtixelles 8,50 10,35 12,30 4 00,7,15, 0-3110,40. Bruges 7,15 9,23 10,34 2,38 5,01 7,22
7.17
8,38
Montant des listes précédenles, 10,062-53
PAR01SSE DE ST-MART1N (YTRES).
La familie V. V. 5» 00
Une servante
Anonyme40 00
Une repasseuse
Rosalie Flamé1 00
Anonyme 2 00
PAROISSE DE ST-PIERRE (YPRES).
Anonyme6 00
PAR0ISSE DE ST-JACQUES (YPRES).
Trois anonymes
PAROISSE DE ST-NIC0LAS (YPRES).
Le couvent des Dames de Rousbrugge 50 00
Amélie Debruyne2 00
IIOLLEBEICE.
M. ie Curé et quelques paroissiens. '15 00
PAROISSE DE IS0TRE-DAME (POPERINGllE).
Anonyme5 00
BECELAERE.
Le clergé et quelques paroissiens 18100
REMNCHELST.
Anonyme
PLOEGSTEERT.
M. F. C. Dassonneville, curé - 16 00
M. J. Jaequemart, vicaire - 00
M. Desreumaux10 00
La familie Mattelin15 00
La familie Delbecque 5 00
M. Desbleu-Lamerand 15 00
Mme veuve Lamerand 10 00
M. et MUo Therry10 00
M. L. iMorel 6 00
Un anonyme•-> 00
Un anonyme2 00
Un anonyme5 00
PROVEN.
Anonyme5 00
Charles Charlier3 00
Ange Neuville4 00
Anonyme2 00
5 00
WERV1CQ.
M. Yandermeersch-Tranneel
20 00
Deux servantes
2 00
yjme veuve Tranneel
200 00
La familie Delva
50 00
Noliet i'rère et sceur.
5 00
M. Vanden Bavière-Bouckaert
O
O
AO
Anonyme
20 00
W.C
2 00
AuSt-Père, étrennes et Jubilé
20 00
M, Veys, directeur
10 00
M. Debacker, vicaire
10 00
M. Verhaeghe-Capelle
5 00
Mll0B Dupont, soeurs
2 00
Vanneste, l'rères et sceur
5 00
Vanden Bulcke, frères et sceur
5 00
M. Ostyn-Reynaert
5 00
M. Lienard-Gousin
10 00
M" veuve Leroux
10 00
Une servante
1 00
M. Dumez-Meersseman
5 00
Une familie demande la benediction du
St-Père
20
00
E. Verbeke
2
00
Les Sceurs liospitalières
30
00
M. V. D
5
00
M. Ryckewaert
jtO
00
Le docteur Dumon
10
00
Une congréganiste
1
00
M. et M"e J. Vanden Bulcke
5
00
La Congregation des Demoiselles éta-
blie au Couvent des Sceurs Crises
60
00
Le Directeur et qiiëlques jeunes gens de
la Congregation
60
00
Anonyme
1
00
TOTAL FR. 11,778 53
N. B. La cloture des listes aura lieu a la fin
du mois.
MM. les Ecclesiasiiqu.es de l'arrondissmenl
vuudront bien recevoir les so ascriptions.
Toutes aulres personnes de bonne colonic son
également considérées cumme nptes drecueillir,
ei recevoir el d Iransmcllre les o/frandes.
On les percoit également au BUREAU I)U
JOURNAL D' YPRES el da NIEUWSBLAD.
Pour permellre une exacte comptabililé
1° Le donateur et son intermédiaire sonl inslam-
ment priés de remellre simültahément la note de la
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