steMg* 1 s i mm1# qR^ A fV^^ av; Mercredi 28 Février 1877. 12' amice. - N° 1,165. z z z O KS&ac mhmm mÊÈm Eon v-^icanir^ Le Journal parait le Mercredi et Ie Sarnedi. Les insertions coiilent 15 centimes la ligne. Les réclames et annonces judiciaires se patent 80 centimes la ligne. On traite d foifail pont Ie-. insci lions pai annce. Un numéro du journal, pris au Bureau, 10 centimes. Les numéros supplérnentaires commandés pour articles, Reclames on Annonces, coütent 10 Ir. les 100 exemplaiies. M E S3, f S> E BV E SI. 1 Décembre. UNE EXCURSION DANS LE DOMAINE DE LA FLANDRE LIBÉRALE. Qoand le droit el le devoir parlenl, toute autre considération doil se taire. C'est une miserable politique que celle de la peur en fa- cede I'ennemi.Trembler, c'est s'avouer vaincu d'avance. et c'est un rnoyen sur d'étre vaincu en décuplanl les forces de ceux que Ton combat. Ainsi parle la Flandre libérale dans un des dithyrambes qu'elle consacre au discours par lequei Mancini a attaqué au parlement ilalien les abus des ministres du cube dans I'exercice de leurs fonctions. Inutile de conslater que ce discours a I'appro- bation pleine el entiére de la feuilie gueuse. Quiconque mange du clérical est sur de trou- ver son couvert mis dans les officines de cetle Flandre. Nous ne perdrons pas noire temps a réfutor les soltes calomnies dont ces articles sont émaillés tout le monde a fail justice du fantöme de I'Eglise qui déclare la guerre a la sociélé civile de I'Eglise ullramonlaine qui est 1'abus incarné»,du clergé qui est Ie Roi des Beiges, bien plus que le prince qui tröne a Bruxelles.Ouf! Nos curés ne s'allendaient cerles pas a eel excès d'honneur Devant ces farces haussons les épaules et passons, lout en plai- gnant ceux qui sont assez niais pours'y laisser prendre. Les paroles que nous cilons en commen- cant, nous paraissent bonnes a méditer pour nos amis poliliques, et surloul pour la majo- rilé parlementaire. Personne ri'ignore les fraudes colossales comnnses par la gueuserie anversoise. Le seul fait qidune maison de commerce a vu en un jour le nombre de ses commisau lraileme.nl de 3,o00 fr. el plus, s'accroilre de tb, suffil pour donner une idee de la inaniére donl on a travailié les lisles électorales. Ni les meetings a grand tapage, ni I'd bas Mulou, ni Vonyedierl der papen, ne font disparailre une seule des infamies que nos adversaires out a leur actif. En pre sence d'abus aussi scandaleux, le ministère et la majorilé n'ont-ils pas le droit de les rè- prirner? N'esl-ce pas pour eux un devoir de rendre aux listes électorales leur sincérilé? Poser la question, c'est la résoudre; et si a Bruxelles nos amis allaient céder devant des menaces d'émeule et des rodomontades dans lesquelles le ridicule le dispute a Todieux, nous leur dirions avec la Flandre libérale C'est une misérable politique que celle de la peur devant PennemiNous avons pour nous le bon droit, sacbons user dn pouvoir pour le mamtenir et ne pas donner niaise- ment qu'on nous pardonne ce mol pen parlementaire, mais qui serail parfaiiement vrai dans le piége que nos adversaires nous tendent II est vrai que le mème journal, dans un autre article, après quelques lourdes plaisan- teries sur les pélilions des catholiques, s'écrie que il y a des centaines de mille ciloyens qui braveraient sans hésiter les hasards d'une révolution. Pour le coup, la plaisanlerie est trop forte, el si les gueux de la Flandre Éberale y croient, ils sont d'une bonne foi qui fait pen d'honneur a leur intelligence Des centaines de mille ciloyens, diantre, ce n'est plus pour rire Mais, voyons, sont-ce peut-èlre ces vingt-cinq gamins qui ont es- sayé au ihéatre de Bruges la manifestation que nos lecleurs connaissent Ou bien sonl- ce les membres de la Sociélé Royale de C/iceurs de Gand, allant a An vers éta Ier les splendeurs de leurs loques gueuses, et cou rant de café en café a la facon des chanteurs ambulants? [Mars nous pencherions plutót a croire que ce sont les manifesfants d'Anvers dont le courage a élé a la hauteur de leur cause. Ils sorlaient du ihéaire enivrés d'en- thousiasme et d'aulre cbose; ils étaienl pin - sieurs milliers qui marchaient a la conquête de leurs droits civiques cl ne se proposaient rien moins que de pulveriser le clérical sur leur route se renconlrent quatre bonnets a poil, el voila nos braves qui renlrent sous lerre El ces geus la voudraient se faire prendre au sérièux Allons done, farceurs tristes farceurs Mainlenant veut-on savoir quelle est la réforme qui [plairail a la Flandre libérale Nous en connaissoos au moins deux arlicies: le premier trainerail devant les tribunaux le prètre coupable de refuser l'absolution au fidéle qui vole pour les candidats gueux le second serail l'inlerdiclion du droit de vole aux prètres. Et voila Eh bien nous avons mieux. Pourquoi M. Malou ne ferait-il pas une réforme dont Particle unique porlerait que, lout citoyen qui n'est pas affilié a une loge franc-maconnique el abonné a la Flan dre libérale, a la Gazelle ou a la Chronique serait décliu de tons ses droits civiques et mis au ban de la sociélé? Ce serait beaucotip plus simple et surloul beaucoup plus efiicace. Et alors la Belgique sera vraiment le royaume de la gueuserie; el le subira avec joie le kulturkampf d'imporlalion bismar- kienne. El Ie sera glorieuse entre toules les nations Alors on en aura firn avec les dog mes, aveugles liens, et dans nos campagnes et dans nos villes la libre pensee fleurira et la morale indépeudanie s'y donnera libre carrière. Quel coeur beige serait assez peu palriole pour ne pas s'éhiouvoir devant une si glo rieuse perspective? Quelle ame serail assez fermée a tout bon sentiment pour ne pas sa- luer avec joie la réforme qui conlienl en genne eet admirable regime? Eh bien, nous rougissons de devoir l'avouer, oui, il se trouve en Belgique des hommes que ces promesses ne séduisent pas ei qui les repous sent avec indignation. Que disons-iious L'immense majorilé du pays se soulèverait conlre eetle hideuse situa tion, et il y a, en ce moment mème, des cen taines de mille ciloyens qui, loin de vouloir s'y soumetire, sauronl mellre a la defense de leurs croyances une énergie et une con- fiaace dignes d'une si belle cause. LES AMIS DES LUM1ERES. II n'est pas rare d'entendre proclamerdes aphorisrnes reienlissanls dans le genre de celui-ci: L'instruction doil sauver la so- ciéié moderne; en combailanl -l'lgnorance on fail disparailre les préjugés, on rend l'homme plus moral et plus libre. Ces phrases coülent peu d'mvention et sont lou jours d'un bel effet. L'école qui les mit en honneur connaissail leur puissance sur la masse et Pa vantage qu'on y trouvait de faire de la propagande facile sous le couvert de l'humanilé. Aussi en a-t-elle usé a outrance pour l'accomplissement de ses desseins, qui ne sont pas diöiciles a deviner. On reconnait généralemenl l'origine et le but a unecarae- téristique presque infaillible, a une cerlaine affeclalion d'ècarier avec som loute idéé reli- gieuse et d'éviler mème le mot dEducation partoiil ou il peul ètre quelque peu suspect sous ce rapport. C es! le matérialisme s'effor- cant de conquérir a son profit le domaine intellecluel. Par malheur, celle phraséologie calculée, qui trouve tant de badauds, fail encore plus de victimes; elle Iravaille de bonne heure et partout. L'éducation du premier age est naturelle- ment tout d'abord l'objectif des attaques. On guelte l'enfant sur lesgenoux de sa mé- re; on le dispute a cetle lendresse qui élève si naturellement vers Dieu les premières as pirations de son coeur et les premiers accents de sa voix. Puis, un peu plus tardon pro duit le vide dans cette jeune ame, on la fait se rélrécir au milieu de l'almosphére atro- phiante de l'ecole neulre et sceptique; et quand Penseignëmènt purement laï- que sans uucun bandeau Worthodoxie a poursuivi cette oeuvre délétére, a vingt ans, les philosophes géants, pleinemenl for- inés, se réunissent en congrés et proclamant la déchéance deDieu. Est-il élonnaut que la société réeolte des fruits de révolution et d'a- narebie? Non, sans doute, mais le principe est sauf, les amis des lumicres ont appliqué leur sysléme Et remarquez bien que la lumière est im- posée. Ceux qui ont fait chanter a des en fants Plus de dogmes, aveugles liens, Plus de jougs, tyrans ui messies, ceux-la sont eri Ions lieux les fanaliqties par tisans de celte affreuse et absurde lyrannie qui s'appelle fenseignemeut obligaloire. Et d'un autre cóléces fougueux adversaires de l'ignorance repoussent u priori, par cela seul qu'il vienl des catholiques, le coDcours, pourtant si fécond, de l'enseignemenl cbré- tien et libre. Leur intolérance ne connail et n'apprécie d'aulre savoir que celui qui vient d'eux ou qui du moins porte leur estampjlle; car ils se parent volontiers des plumes cléricales ils praliquenl résolüment le sic vos non no bis, el quand Is recneillent un heritage de science el de progrès, c'est loujours sous réserve de leur droit de compléte ingrati tude. Le zèle vigilant du c'ergé et le patient labeur des ordres monastiqnes out conservé a travers les siècles, aassemblé, reconstitué les débris d'oii devail sorlir un jour l'en seignemenl moderne, si fier de lui-mèmc aimer; que nous devons propager et défen- les plus beaux écrits, les plus profondes dre; cest pour lui que nous avons le evoir conceptions de la pensee humaine; les plus de réclamer justice en lout leinps. bienfaisanles découvertes daus les sciences portent les noms de savanls chréliens; des légions de travailleurs, fidéles au comman- dement divin d'aller et d'enseigner, répan- dent l'instruction sur tons les points du globe au prix d'un dévouement que nul la beur ne rebute et que nul peril ne saurait ef- frayer; les universités catholiques brillent d'un éclat sans égal; tout en tin mot, dans notre civilisation, garde Pempreinle de la vi gilante et maternelle sollicilude de I'Eglise l'évidence ne peul ètre niée, et pourtant ja mais le bienfaii n'a désarmè la baine. Le libéralisme maconnique dénature el opprime ce qu'il ne lui est pas donné de vaincre, el il va souvent trés-lom suivant les latitudes. Les moines lui soul partieulièrement odieux. Leurs immenses services lui revien- nent sans cesse a l'esprit, el lui, qui en a si largement profilé, il eherche a se défaire dece souvenir importun, et il se venge a la facon de lous les ingrals, en mordant la main qui Pa nourri. Au besoiu il se debar- rassera par la force de la lèpre des couvenls. Quand le nonveau régime des grades umversilaires le menace parmi nous des con sequences d'une lutte au grand soleil de la liberie, ses plus ardenls perdent conlenance et reculenl; iIs font la guerre a la liberie de l'enseignemenl et déclarem qu'elle n'est bonne qua peupler le puys de crétins catho liques. Les écoles sécularisées succombent au con cours devant celles des Petils-Frères, chaque fois que la lutte s'engage; mais il reste ia ressource d'appeler iynoranlins ces admira- bles mslituieurs de la jeunesse, de s'emparer inisérablemeni d'une chute individuelle pour les calomnier dans leurs moeurs, el de les recommander aux émeutiërs et aux commu nards. La loge s'occupera bien, dans Pinté- rèt du peuple, (ïarraclter les umes d CEylise en sont d'excellenis juges. ce qui est loujours beaucoup plus facile que j Jusqu'ici la presse libérale peut se mon- d'instruire et d'élever modestemenl et labo- trer indifférente elle a tant d'indu.lgence rieusement. I pour les ennerius de I'Eglise catholique, que Les jésuiles out le lort impardonnable cc serait vraiment lui demandei tiop, que d'étre des maitres en education, de répandre d'exiger qu'elle étale au grand jour les eor- abondammentia bonne semence el d'obtenjr ruplions et les misères cioissantes de ses de magnifiques résultats. Sur ce terrain la j bons amis les Allemands. Pourtant un autre STATISTIQUE PRUSSIENNE. Une excellente occasion pour nos journa listes libéraux de tresser quelques couronnes en l'honneur de la Prusse, vienl de se pré senter. La slatistique officielle du gouvernement prussien a paru. Rien de plus édifiant que ce document qui révêle Phonnèteté croissanle de nos voisins de l'Esl. On y voit comment les prornoteurs et les partisans du KuUer- kampf comprennent le progrès, car il y a progrès en Prusse, dans levice bien entendu; mais la cbose irnporte peu l'essentiel est que Pon marebe avec le siècle. Nous cilerons quelques chiffres a Pappui. Pendant l'année 187G, il y a eu en Prusse sélilemenl, 767 personnes condamnèes pour faux serment Vous eniendez pour faux sermenl e'esl-a dire, pour un crime devant lequel de grand-* unsérables reculenl encore, pour un crime qui denote l'aihéisine le plus abject, la corruption la plus grande. Laissant de cóté les assassinats el les vols dont la p oporiiou suil la mème rnarche, nous arrivons aux fameux crimes de lése ma- jesié qui s'elévent loujours dans la mème année, a 264 Voila done tin gouvernement un royaume, un empire que nous avons iei la faiblesse de croire établi sur les meilieu- res bases, et qui doil Iulier saus cesse contre sescilovens qui conspirent pour le renverser. Mais passons; 1600 personnes ont élé frappees par la justice pour offenses envers l'empereur Guillaume, el 1301 pour injures envers le grand chancelier. Ces chillies sont signifioalifs leur elo quence parle assez haul pour nous permeltre le silence. II y a des tableaux qu'il suflil de signaler au lectenr; sa raison el sa conscience secte ne se sent pas de force a lutler avec j eux; mais le plus stupide dénigrement les fait exisle, el celui-la devrail la blesser au coeur; ce sont les condemnations pour dèlits poursuivra sans relache; l'expulsion comple- de presse. ra parmi leurs désagrements babiluels; en j Vous croyez qu'elle va tailler sa plume el Amérique, un de leurs colléges sera brülé flétrir avec indignation ie gouvernement par la populace en délire, eleux-mêmes, en pi ussien qui pretend museier ses journalistes Europe, lomberont martyrs sous la balie du et faire d'eux de vils reptiles gagés? Pas le révolulionnaire. En vérité les amis des lumières ont de belles raisons de rire du parli de l'éteignoir Leur nom mème est mensonge. et leurs pé riodes sonores ne servent qu'a donner le cliange sur la propagande anli-religieuse et sur les plus funestes plans de domination moins du monde. Ses colères, le libéralisme les garde pour le clergé, pour le St-Père, pour les admirables institutions catholiques, pour tout ce qu'il y a de respectable sur la lerre. Diles lui. que M. de Bismarck est un despote qui a soulevé en une seule année 489 procés de presse, il restera platement Ne nous y trornpons jamais et ne laissons j nmet, a moins qu'il ne pousse l'è'ffronlerie pas induire les autres en erreur. Dans 1'en jusqu'a exeuser le grand chancelier en pen- seignemeril chrélien, catliolique, est lesalut. sant que ce sont pour la plupart des catho- C'est lui que nous devons faire couuaiire el liques qui se voienl condamnés aux galères. *Si '-0 CO rJj tVfislfi IlSüëM» ks£) TJ <1 cr- 5T 3^ 7 CÓ o rr 0 -r CO cn ""5 --•- 17. Po- Poperinglie- Ypres, 5-16,7-00,9-28,11-(10,2-15,5-05,9-20 Ypres-Poperinghe, 6-30,9-07,12-07,3-57,6 50,8-45,9-50 peringhe-ilazebrouck, 6 53, 12-25,7-10. Hazehrouck-Poperinghe-Ypres, 8-25, 4-10, 8-25. Ypres-Nou/ers, 7-50, 12-25, 6-45. lloulers- Ypres, 9-25, 1-5Q. 7-50. lloulers-iJrwjei, 8-45, 11-34, 1-13,5,16, 7-36, (9-65. Licliierv.) Lichterv.- Thourout, 4-25 m. veis Osiende. Bruges-Roiz- lers 8-25, 12-45, 5-05,6-42. Licliierv.-Courlrai, 5-25 m. V pres-Courlrai 5-34, 9-46, 11-20, 2-35, 5-25, Courtrai-Ypres, 8-08, 11-05, 2-56, 5-40, 8-49. Ypres-Thóurout, 7-18, 12 06, 6 20, (le Samedi a 5-50 du maiin jusqu'a Langheinarck)Thourout-Ypres, 9-00, 1-25, 7-45, (le Samedi a 6-20 du malin de Langhemarck a Ypres). Comines-Warnèton-Le Touquel-Hnuplines-ArMentóères, 6-00, 12-00, 3-35, Armentières-Houplines Le Touquel- Warnêton- Comines 7 -25,2,00,4-45. Comines- Warnêlon 8-45, m 9-30 s. (le Lundi 6-30,) Warriêtoii-Co»imes 5-30, 11-10, (le Lundi 6,50.) CourlraiBruges, 8-05, 11-00, 12-35,4 40, (Ingel.) 6-55. 9-00 s. (Lichlerv.)Bruges-Coizrtnzi, 8-25, 12-45, 5-05,6-42. Bruges, Blaukenh, Hevst, (Station) 7-25, 11-08,2-50,7-35. (bassin) 7-31, 11-14, 2-56, 7.41, Ileyst, Blankenb, Biuges, 5-45,8,25,11-25,5-30. ngelmunster Deynze-Cr««iZ, 5-00, 9-41, 2-15. lngelmunsler-Dei/rcie, 6-10 7-15. Gand-Deynze-/zipe/rttunsfer, 6-58, 11-20, 4-41, 7-21. Desnie-Ingelmunster1-00. ngelmunster-dnseghern, ti-05, 12-55, 0-13. Ansegtiem-Ihgehnunster7-42, 2-20, 7-45. Lichtervelde-Dixmude-Furnes et Dunkerke, 6-30, 9-08, 1-36, 8-00. Ditrc/ierke-Furnes-Dixmude et Lichlervelde6-35, 11-10, 3-40, 5-00. Dixmude-A';eMpor2,9-50,ti-20,8-43. Nieup-Diauw, 7-30,12 00,4-20. Thourout-Ostem/c, 4-50, 9-15, 1-50, 8-06. Ostende-Thouroul, 7-55, 10-10, 12 25, 6-15 Selzaete Eecloo, 9-05, 1-25, 8-25. Eecloo-Se/2raete,5-36, 1015. 4-22. Gnnd-Terneuzen, (station) 8-17, 12-23. 7,30 (porie d'A'nvers) 8-30, 12-40. 7-45. Selzaete-Lokeren, 9-04, 1-30, 8-30. (le Merer. 3-10 m.) - Lokeren-Selzaete, 6-00, 10-25, 4 45. (Ie Mardi, ,3U.) Terneuzen-Gand, 6-00, 10-30, 440. C O R 71 ESPOMDliWCHS. 0,33. 8,34. COURTRAI, BRUXELLES. Courtrai dép. 6,37 10,53 12,33 3,42 Bruxelles arr. 8,50 1,35 2,25 6,10 COURTRAI', TOURNAI, LILLE. Courtrai dép. 6,37 10,56 2,34 6,34 8,47. Tournai arr. 7,28 11,47 3,48 6,39 9,41. Li lie 7,38 12,08 4,00 6,35 10,00. BRUXELLES, COURTRAI. Bruxelles dép. Courtrai arr. 5,22 8,00 8,28 10,46 12,21 2,44 5,35 7,56 6,47. 8,44. T.IULE, TOTJRXAT, COURTRAI. LiIIe dép. 5,15 8,22 11,03 2,22 4,43 Tournai 5,42 8,56 11,29 2,4(1 3,39 Courlrai arr. 6,34 9.47 12,20 3,38 0,33 COURTRAI, GAND. GAND, COURTRAI. Courtrai dép. Gand arr. 0,42 8,01 9,49 11,08 12,31 1,51 3,44 6,40. 5,04 7,36. Gar.d dép. Courlrai arr 3,13 6,37 9,38 10,36 1 .28 2,54 4,24 5,34 7,2! 8,47 BRUGES, GAND, BRUXELLES. BRUXELLES, GAND, BRUGES. Biuges d. 0,49ex. 7,04 9,39 12,34, 2- 52,ex. 6,43. Gand a. 7,34 8,19 10,54 1,49 4,67, 7,38. 9,31. Bruxelles 8,50 10,33 12,39 4-00,7,15, 9-31.10,40. Bruxelles dép. 7,20 8,11 11,06 1,35 3,02 ex. 4,59 ex. 5.55 Gand arr. 6,00 8,38 9,41 1,23 3,39 4,11 6,29 7,17 Bruges 7,15 9,23 10,34 2,38 5,01 7,22 8,38

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1877 | | pagina 1