BOOMEN,
a
1 IS E N
IN S TlL
G»©iST HUIS
EN
CHËNES,
C II NE S
EIKEN, POPELIEREN
I M
TE YPRE.
vienneril de nous purvenir eoncordent a
présenter coinme procliaine l'entréede trou
pes russes en Roumanie, ce qui équivaut a
ene marche vers le Danube. Par les prépara-
lifs fails a la frontière asialiqne, la Russie
niontre aussi que, aussitöl decision' prise sur
|es operations militaires, elle ne se bornera
pas a opérer exclusivement vers les Balkans»
La Presse de Vienne, de son cöté, annonce
qu'une armée russe est prèle en Bessarabie.
Sur Ie Prülh, on a établi des ponls commo
des a sept endroits différents. De Kischinef,
on a expédié des pontons que Ton snppose
destinés au passage du Danube, puisqu'ils
onl été dirigés de ce col
La Kreuzzeiiung a recu de St-Pétersbourg
les nouvelles suivantesAussilót aprés son
retour, le général Ignalieff a été recu par
rEmpereurdcpuis il a eu de nombreux en-
tretiens avec le chancelierde I'Empire, prince
Gorlcliakof. On dit que Pambassadeur est
d'avis que, dans les circonstances actuelles,
il convient d'allendre la suite des événements
amenès par le nouveau trouble, apporlé dans
les regions gouvernementales turques. A St-
Pétersbourg, on attend comme probables de
nouvelles catastrophes a Constantinople.
Londres, 26 février.
On lélégraphie de Paris au Daily lélégraph
que la Russie est sur Ic point de prendre une
mesure importante. Le conseil des ministres
adüse rèunir a Saint-Pétersbourg samedi
dernier et aura probablement pour résullat
la démission du prince GortschakoCf et la
nomination du comte Adlerberg; il serail
possible que l'armée de Bessarabie fut démo-
bilisée, la Russie, en vue de mainlenir I'en-
tente entre les puissances, considéranl qu'une
action isolée de sa part n'est pas nécessaire.
opérée dans des conditions analogues a celles
que nous avonsjflétries.
ELLE SORT1RA LE 11 MARS!!!
Qui... la Mi-Caréme? c'est Ie Progrès
qui nous I'appreud en ces terines: quelques
Suciélés se soul réunies et om orgunisé une
cavalcaded t'occasion de la Mi-Careme, Qui
SORTIRA LE 1 1 MARS PROCHA1N.
Cette dame parail avoir élu domicile, rue
des Chiens, chez les Witte Klakkenceux-ci
I'accoinpagneront dans sa promenade. Une
bien belle occasion pour élrenner certaine
casquelle blanche galonnée, qui s'ennuie
loujours seule a sa vitrine.
assez embarrassant, mais il est inéluclable:
nous laisserons le jo i collaborateur de la
maison Laurent et Ce s'y enfourcher tout a
son aise.
NÉCROLOG1E.
M. Biebuyck, Directeur de l'Instilut des
Sourd-Muets a Bruges et du pensionnat de
Spermalie, est décédé subitetnent, le 24 de
ce mois, a l'age de 57 ans et 2 mois.
M. Verhaeghe, cure a Zande, est décé
dé le 25 de ce mois, a Page de 71 ans.
M. B. Rosseel, ancien curé de Beveren-
lez Harelbeke. est décédé a Harelbeke Ic 23
Février, a Page de 78 ans.
<Uliroiii<iuc locale.
UNE QUESTION RETOURNÉE.
Le Progrès prétend gue depuis des an-
nées il a proteslé contre la manière dont se
ferait habituellemenl le transferl des aliénés
de la campagne. II demande comment il se
fail que indignation da Comité dlinspec-
lion de la maison des aliénés U' Ypres ne se
soil produile qu'a Poccasion de la colloca
tion barbare d'un aliéné urbain?
Comment Ie Progrès ne voit-il pas, de-
manderons-nous a noire tour, a quel point
il est facile de retourner sa question?
Commant se fait-il, Progrès, que vous qui
prolestiez si haul, a ce que vous prétendez,
contre des procédés inhumains qui seraienl
en usage dans les campagnes, vous défendhz
ceux que vos amis ont employés au grand
jour de la place publique, el qui ont soulevé
les protestations et Pèmolion de la ville tout
entiére?...
Si vous réprouviez alors, pourquoi ne ré-
prouvcz vous plus aujourd'hui. avec tout le
monde el avec nous?... Croyez vous que le
bon sens du public ne trouvera pas aisément
la réponse?
D'ailleurs le réproche du P,ogrès, s'il était
fondé, passe par de la le Comité d'inspeclion:
il atleint le Parquet, qui n'a poursuivi aucun
des prélendus fails que le Progrès vient d'é-
noncer pour les besoins d'une cause perdue,
et qu'il poursuil aujourd'hui; il frappe tous
nos concitoyens, qui ne se sont pas émus
naguére avec le Progrès et qui s'émeuvent
aujourd'hui avec nous.
Nous nions ahsolument que lous les mots
dc malheureux matades de nos campagnes
soienl amenès d pieden plein jour, parfois
rnème relenus avec des cordes, entre des
gardes-champétres. En Pavancant, le Pro
grès sciemmeni calomnie nos administra
tions rurales. Si de telles hrulalilés se répé-
laient tous les mois, ni le Parquet ni le Co
mité ne resteraienl inactifs: le sentiment pu
blic d'ailleurs en aurail bienlót fait justice,
vérilé est que jamais a l'établissement
La
d'Ypres, de mémoire d'hornmes bien places
pour le savoir, on n'a vu une collocation
Un de nos concitoyens, le R. P. Mortier,
est pris a parlie par la Flandre libéralea
propos d'un sermon qu'il a prèché Diman-
che dernier dans l'église de Ste-Barbe a Gand.
Le Bien public en parle comme suit:
La Flandre libérale recoit d'un abonné
une prétendue analyse d'un sermon débité,
dit-elle, a l'église Sainte-Barbe, par un
doux berger de sacristie.
Nous avons assisté a ce sermon et, sauf
quelques mots, nous ne reconnaissons nulle-
ment dans le résumé du journal-Laurent i'en-
seignemeut trés-solide et trés-opportun don-
né par le R. P. Mortier.
D'après la Flandre libéralele doux
berger de sacristie aurait développé a son
troupeau le théme suivanl:
Les libéraux nous caloinnient indigne-
ment en neus prélendant hostiles a la Con-
stitntion. Nous voulons seulerrient la per-
feclionner. Mais si l'on voulail la renver-
ser, les prétres se mellraient a la lète du
mouvement el la défendraient au besoin
par les armes.
Voici la véi'ité vraie:
Le prédicateur, pa riant des cris de pros
cription et de mort souleves contre N. S.
Jèsus Christ a la suite de la résurreclioh de
Lazare, a constate que cette implacable hos-
tiliié s'est perpéluée contre l'Eglise depuis le
berceau du christianisine jusqu'a nos jours.
Cousidérant ensuite la guerre acluelle
livrée au calholicisme, il a examine les pré-
texles dont on veut la couvrir et entre aulres
ce banal argument du libéralisme beige
Les calholiques veulenl renverser la Con
stitution.
Le R. P. Mortier a abordé franchement
l'objeclion. Certes, a-t il dit, les calholiques
ne considérenl pas la Constitution comme un
idéal irréformable, et la Constitution elle-
même ne les y oblige point, puisqu'elle pré-
voit et régie sa révision.
Mais, en pratique, qui observe le mieux
la Constitution: les calholiques ou les libé
raux
Qui appelle la Constitution une impasse
ou une duperie
Qui descend, dans la rue, pour insulter et
pour renverser les pouvoirs conslilutionnels?
Qui interdit Ia liberlé publique du culte
Qui profane les cimetiéres bénils
Sur ce terrain, les calholiques n'ont a en-
courir aucun reproche et ils ont a adresser
a leurs adversaires plus d'une accusation.
C'esl dans cette digression si naturelle et
si acluelle que la Flandre libérale découvre
un appel a la guerre civile. On voil qu'elle
a plus d'imaginalion que de ioyaulé. Nous
affirmons du resle, el des centaines d'audi-
leurs peuvent affirmer avec nous, qu'il n'a
pas été question dans le sermon du R. P.
Mortier d'un mouvement quelconque
dont le clergé prendrait la direction les
armes a la main.
Mais ('intelligence du correspondanl
de la Flandre libérale se révèle surtout dans
la conclusion de sa lettre
Puisse, dit-il, la violence de nos adver-
saires dessiller les yeux de ceux qui, en
suivanl les pratiques du culte calholique,
augrnenlenl son prestige el sa force et tra-
vaillent ainsi eux-mémes a la ruinede leurs
plus chéres espérances
Peul-on demander a ce monsieur ce qu'il
allail faire Dimanche, a la Messede 11 heu-
res, en l'église Sainte-Barbe, sinon suivre
les pratiques d'un culte, auquel il ne croit
pas?... En bon francais, cela s'appelle une
hypocrisie.
Que si le correspondanl de la Flandre n'é-
tait pas la comme hypocrite, il y était com
me mouchard, et il nous sert aujourd'hui un
plat de son métier. Triste échanlillon
Hypocrite au mouchard, le dilemme est
On écriu d'Armentiéres au Mémorial de
Lille
Lundi 5 Février, une foule brillanle se
pressait dans les salons de UHótel-de-Ville,
pour assister au concert donnè au bénèfice
des pauvres, par noire Suciété lyrique qu'on
trouve loujours dévouée quand il s'agit
d 'ceuyres de bienfaisance.
Disous, du resle, quece magnifique con
cert a parfaitement répondu aux promesses
du programme.
La Sociélé lyrique a ouvert la deuxié-
me partie de la soirée par le choeur difficile
la vapeur; ['interpretation remarquable de
cette oeuvre fait le plus grand honneur a M.
Ch. Breyne, directeur de la Société.
Déja, elle nous avait donné un choeur
deiVorwa; nous avons constalé avec plaisir
les progrès loujours croissants de cette jeune
Société, et nous ne pouvons trop la feliciler
de l'excellente pronunciation qu'elle posséde,
qualilè d'autanl plus grande chez les socielés
de chant qu'elle est plus rare. Elle a égale-
ment chanlé, avec beaucoup d'ame, de con
cert avec Mlle Ragani, les belles strophes de
I'Hymne d la Churité: aussi la quéte, faile
aprés ce morceau de circonstance par Mlle
Ragani, conduite par le président de la So
ciété lyriquea-t-elle été, si j'en crois les on
dit, des plus fruclueuses. Nous sommes
heureux de remercier, au norn de tous les
auditeurs, la Sociélé Lyrique et ceux qui la
dirigent, de la belle soirée a laquelle le pu
blic armenliérois avail été convié, et nous
leur souhailons de grand cceur, en récom-
pense de leur charitable initiative, de nom
breux succés dans l'avenir.
KANTOOR
Notaris te Watotï
Les représentations dotinées par M. Grand-
sarl Courlois attirent tons les jours une foule
considerable. Depuis longtemps nous n'avons
vu a Ypres un spectacle si allrayanl que
celui que nous oiïre le fameux prestidigita-
teur dont la reputation est devenue euro-
péenne. Nous erigageons les amateurs du bon
el dn beau a profiler du passage de M.
Grandsart Courtois en notre vilie, car son
sejour parmi nous ne sera pas de longue du-
rée. La familie Grandsart, se propose de se
rendre a Gand pour la foire de la Mi-Carême.
SOCIÉTÉ DE LA CONCORDE. Programme
des morceaux qui seronl exécutés le Jeudi
1r Mars 1877, a 7 1/2 lieu res du soir,
par la Musique du lr Régiment de Lignes
sous la direction de M. Ch. Simar.
Si j'étais Roi! ouverture, (Adam). Air
de ténor dn Siabat Mater. (Rossini). Rose
de Hollande, Mazurka. La Traviata,
fantaisie. (arr. Leinaire.) Souvenir de
Handel, valse, (Labitzky.)
FAITS DIVERS.
Op DONDERDAG 1 MAART 4877,
om 2 uren namiddag, te Watou, in
het molenbosch en op landen ge
bruikt door sieurs Francois Therry
en Engel Bulthez, langs den steen
weg van Watou naar Poperinghe,
OPEISBARE VERKOOP ING
van
68 MOOPEN
als EIKEN, (kuipers), ESPEN, HOL
LANDERS, WILGEN en POPELIEREN.
En onmiddeiijk daarna,
De TAILLIE van het bosch genaamd
het molenbosch ter grootte van
omtrent 64 aren, benevens483 schoo-
ne Plants lenen, verdeeld in twee koo-
pen, behoudens samenvoeging.
Op gewone voorwaarden en tijd
van betaling, mits voldoende borg
stellende, ten genoegen van voor
noemden Notaris CAPELLE.
STUDIE
van den
\«tai is mM. W3KSjAKSB BD
te
VRIJDAG 2 MAART 4877,
om 3 ure namiddag, Ier herberg den
Hemel te Nieucapelle
VERKOOPING
met tusschenkomst van den Notaris
SYOliM, lc Loo, van gemelde herberg
DEN HEtiEL en 30 aren 30 centiaren
Land en Gras.
TERSTOND AANSLAG,
cóté méridional de Ia route pavée
menant a Wervicq
d'une grosseur et d'une qualité re-
marquables.
Bois blancs, Frênes, Pcupliers
et Bois coupé
a Vendre Publiquement
LE LUNDI 5 MARS 4877,
a une heure de relevée.
ETUDE
de
JLAWSTWl:', Ufotaia'c ts
SJ©sKiisse§.
LUNDI 5 MARS 4877,
a midi précis dans un bois situé a
Wervicq, pres des cabarets Koelenberg
Alerte et Bossignol
VENXE PUBLIQUE
d'une partie dc beaux
propres aux Charpentiers, Tonne-
liers et Charrons.
1[
ETUDE
de
MEHTMIiftOJW WoSasa-e
a CoEïassaes.
OPENBARE YERLOOPING
van
allerscliooticsf© S JE I" SS HT
en ander
te
P©pei*Suglie.
3
Ten verzoeke van het bestuur der
Burgerlijke Godshuizen aldaar,
WOENSDAG 7 MAART 4877,
te beginnen om 4 ure namiddag
4r Op eene Weide, aan den noord
kant van den steenweg naar IJper,
niet verre van d'hcrberg Middelburg,
gebruikt door Louis Vancayseele.
2° Op eene Weide, aan den oost
kant der groene straat gebruikt door
Louis Lammoot.
En 3° Op eene Weide, aan den oost
kant der Crombeke Calchiede, niet
verre van stad, gebruikt door Ferdi
nand Hauspie, alwaar ook zullen ver
kocht,^ worden ,2 schoonc IEPEN,
staande op eene Weide, bij d'herberg
Sl Eloy, langst dc Proven Calchiede,
gebruikt door Lesy.
Door het ambt van den Notaris
LAVA, te Poperinghe.
STUDIE
van den
M®<saris
TE YPRE.
met gewin eener premie,
DEN MAANDAG 12 MAART 1877,
ten 9 uren, in het Brouwershuis, eene
der te verkoopen herbergen, Statie
straat te Yper, van
Een schoon
gewezen Brouwerij,
16 HERBERGEN,
ANDER HUIZEN. BOUWGRON
DEN HOSTEDEKEN, WEIDEN,
MEERSCH, EN ZAAILANDEN
gelegen te Yper, St. Jan, Zonnebeke,
Passchendaele, Becelaere, Dickebusch
en Elverdinghe; verdeeld in 43 koo-
pen.
FERKOOPING
dienstig voor wagenmakers, kuipers,
timmerlieden en bakkers,
in den bosch toebelioorende aan- de
Burgerlijke Godshuizen van Wervick
gelegen bij d'hofstede gebruikt door
sienr Dominique Victoor,
te Wervick,
gehucht de Trompette, op eenen
kilometer afstand van de kalsij van
Wervick naar Cruvseecke.
Den MAANDAG 42 MAART 4877,
om 4 ure 's namiddags.
De Notaris VUYLSTEKE, te Wervick,
is met deze boomvenditie en deszelfs
ontvangst gelast.
MAMTOOE 1YI°1S]E.
Er zal voortsgevaren worden op
MAANDAG 42 MAART 1877,
om 40 ure 's morgens, ten kantoore
van Domeinen te Yprc, door het
ambt van den Notaris yAKüERlïiEEBSCH
tot de
Openbare Verpachting,
VOOR 3, G OF 9 JAREN,
begonnen den 4" Januari 4877,
Comines prés de la ville
au bois et au pré de I'Hermitage, au
3 W
wassende
op de
Esplanade en het Minneplein
qui
logramraes de poudre a canon. Cette poudrière
n est pas voütée, et il eüt cei tainement snfii d uu
fragment de poudre enflammée, qui ent pénétré
par la loiture couverte seulenienl de tuiles, pour
determiner une explosion terrible et dont les elfels
eussent été désastrrux.
Les caisses de cartouches ont crépilé pendant
qualre heitres, et, la nuit élant survenue, il a été
impossible de reconnaitre le lieu du sinislre.
Ce matin, les soldats du Génie oat commence
les travaux de déblaiement. lis n out retire des
décornbres que des iambeaux de cadavres calcines,
desferrures lordues et des monceaux de carlou-
cbes vides.
e
Les officiers de la ciladelle croienl <pie I expio
sion de la poudrière a été causée par l'itnprudenc
d'un des soldats qui aura heurlé avec un outi
quelque fragment de fulminate tombé d'une car
touche sur le sol.
van den
L'Agence llavas regoit de Saint-Sébastien les
délails suivanls an snjet de I'explosion de la pou
drière, qui a eu lieu dans cette ville le 18 février:
C'est vers deux heures de l'après-midi que la
catastrophe s'est produile. I! v avait dans cette
poudrière environ 3,001) kilogrammes de poudre
en caisses. II y avait en outre dans une sorte de
soute ou rédtiit creusé dans le roe, cinquante ou
soixante mille cartouches Remington dans des
caisses. transporlées la après la fin de la guerre
civile.
Au moment de I'explosion, neuf arlilleurs étaient
dans 1'inlérieur de la poudrière, et comme ils out
été fondrovés sur le coup el projelés an large avec
les débris de la voute el ies murailles, on n'a pu
savoir a quelle cireonslance attribuer ce deplorable
accident. l)es fragments de cadavres a demi calci
nés el rnéconnaissables ont été retrouvés a plus de
100 mèlres de la poudrière.
Le général Goyeneche, le brigadier Calvet et
les autorités civiles se sont immédiatement trans
ports sur le lieu du sinislre, suivis par la foule;
mais il leur a été impossible d'en approcher, paree
que les cinquante ou soixanles caisses de cartou
ches qui étaient dans le réduit, n'ayanl pas été
projctées au dehors, le feu venait de s'y metlre,
et elles brülaient et éclalaient successivement, et
par couches, produisant l'effet d'une fusillade vio
lente et soutenue.
On a vainement essayé de noyer le réduit a
l'aide de deux pompes a incendie qui puisaient
l'eau dans la mer. Le péril augmenlant, l'autorilé
militaire a dit renoncer a un sauvelage inutile el
prendre seulenienl des mesm es de prudence.
Les precautions n'étaient pas superflues, car a
la distance d'environ -40 mèlres, mais entre deux
masses dg i nciters, il est vrai, cxiste one autre
poudrière eonlenant, dit-on, plus de 300,000 ki-
SCHOONE
SLMClKJrJrZk "SfS?'LlW5 Ï175
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CEi e€'3S€BS .ESClI
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