<s M I Ni S TEL F, W\ 6.1111 M 2 3 Sis M o jj z: o o EIKEN P O P ELI EREN TE YPRE. VILLE D Y PRES. 11 faal que la Chambre fasse droit a nos jiistes et légitimes réclamalions, ou qae du tnoins, el Ie accorde une indemnité équilable celui qui doil se déplacer. Quant a la pa tente et aux fraudes sans nombre auxquelles elle donne lieu, il n'y a qu'un seul reméde, c'est de l'abolir. Pouvons-nous espérer, Mes sieurs, de voir ce désir s'accomplir, je crains que non En attendant, nous devons rechercher les moyens pour diminuer les cas de fraude, il en est un, Messieurs, qui a été admis a la réunion des délégués de la Fédération des Cercles. Monsieur l'avocat Raikem de Liégea proposé de mettre toutes les patentes a charge du patron, du commercant, etc. Au fait, n'est ce pas lui, qui possède la base? Et eiil-il dix ou vingt commis, lui seul devrait en suppor ter la charge. Je vous Ie repèle Messieurs, ceci n'est qu'un paliatif, qui n'alleint qu'un certain nombre de faux patenlés, le remède souverain je vous l'ai indiqué, c'est l'abolition radicale de la patente, comme base du droit electoral. Jamais depuis 1830, Messieurs, nos institu tions n'ont été plus compromises, jamais les liberies inscrites dans cette charte que nous calholiques, nous aimons comme un abri, n'ont été plus menacées. Nos adversaires se plaisent chaquejour a nous dépeindre com me les ennemis les plus acharnés de la Con stitution. lis cherchent, d'autre part, a nous mettre en opposition avec les enseignements dc Rome! Depuis 1870, que nos amis sont au pou- voir, la moindre atteinte a-t-elle été portée a notre pacle fundamental? Je vous le de- mande? Au contraire Messieurs, ne sont ce pas nos gueux qui veulenl porter la main a cette duperic de 1880, comme l'appelle la Flandre libérale. Ce journal, pour ne citer que celui-la, jetanl bas le masque de Fhypocrisie, ne nous revéle-l-il pas chaque jour, les aspirations des Gueux? Non, Messieurs, il n'y a plus d'illusion possible, le vent souffle a la persécution: l'Allemagne, la Suisse et l'ltalie arrachent des cris d'adiniration a nos Gueux. Leurs organes écrivent chaque jour que les exemples qu'offrenl ces pays sont bons a imiter lis veulenl l'éloignement a tout jamais du prètre de l'école, la séparation de l'Eglise et de l'Etat, le bannissement des ordres religieux. Mais, Messieurs, c'est la révolulion Je vous le de- mande, devant un programme pareil, pou vons-nous resler les bras croisés Et cette corde que nos Gueux présenlenta Monsieur Malou,dans leurs chants ignobles, est-ce nous, sont-ce nos mandataires, qui la lui meltronl au cou Non, mille fois non Nos mandataires s'inspireront de vos aspira tions, ils sont ici présents, pour mieux se rendre comptc de vos désidérala. Avons done pleine conflance en eux, que l'adresse qui vienl de vous ètre communiqué, soit l'écho de vos cinq mille sept cents signatures! Ayons done confiance, Messieurs, dans l'a- venir, notre cause est grande, Dieu est avec nous. El si néanmoins, ce que je ne prévois pas, r'neure venait a sonner ou nousaurions a voir tomber nos armes, ayons du moins la satisfaction d'avoir fail noire devoir. De chaleureux applaudissements ont ac- cueilli les derniéres paroles de l'orateur. Le Président invite ensuile M. Eugéne Struye, membre de la Chambre des Repré- sentants, a prendre la parole. Voici de mémoire un apercu de son dis cours: M. Struye caractérisa en quelques mots la gravité de la situation. Hen attesta la nom- breuse assistance, chacun en Flandre a con science qu'il y va en ce moment des desti- nées de la Religion et de la Patrie. Jamais assemblée aussi considérable ne s'est réunie, mème a l'époque des ardeurs de nos luttes éleclorales. Grand nombre d'amis, accourus de tous les points de l'arrondisse- menl, n'ont su trouver place dans la vaste salie du Cercle. Aux yeux des Catholiquas, c'est une question de vie ou de mort qui agite le pays. L'inscription de milliers de faux patentés sarles listes électorales d'Anvers et de Gand fausse la balance des partis et menace de changer considérablement les destinées de la Patrie. Ces faux électeurs mainlenus, nous sommes vendus aux Gueux. Les Annales de la Belgique porteronl-elles qu'en 1878 la Belgique catholique fut livrée eux Gueux a prix d'or et d'argent d'or et d'argent fourni par la Maconnerie ou par l'Etranger? Le voulez-vous? Jamais! Oui, Messieurs, cette fraude praliquée par l'or et l'argent, c'est bien la vénalité. Et la vénalilé, c'est la marqué des peuples voués a la déchéance!... Cette fraude colossale non réprimée et supprimée, c'est la jhonte et la mine de notre Belgique; en 1878, c'est la domination gueuse et l'écrasement des calho liques; l'anéantissement de nos libertés et de nos droits une persécution religieuse allant droit aux horreurs du XVIC et du XVIIP siècle. Messieurs, avant tout, la loi nouvelle doit conjurer eet imminent danger. II faul que les faux électeurs soient éliminés, coüte que coüte. Faut-il supprimer certaines catego ries de patentes? Qu'on les supprime! Ce sera a la fois un soulagement pour les classes inférieures et moyennes, et l'extirpation de la racine mème de la fraude. Si des raisons financières s'y opposent qu'on fasse inlerve- nir le patron daris la declaration de la paten te mise en avant comme base de l'élect rat; qu'on lui fasse constiluer au profit de son employé un litre par lequel celui-ci puisse revsndiquer en justice le trailement ainsi reconnu et faire encourir au patron faussaire unepénalilé de milliers de francs renforcée de prison el de déchéance civique. Pas de pitié pour les faussaires! Les honnètes gens n'ont ici rien a redouter. C'est par des moyens semblables, beaucoup plus préven- tifs que répressifs dans leurs effels, que l'in- tégrité des listes doit ètre assurée. Compter seulement sur des moyens ré pressifs, c'est un leurre. Aucune juridiction au monde ne peut vider en quelques mois quatre a cinq mille procés,comme il y en au- rait a vider pour Anvers seul!... La repres sion judicial re seule est un leurre. Ni vous, ni nous législaleurs, ne vonlonsètre leurrés. Nous voulons avant tontel par dessus lout l'intégrité des listes. C'est l'inlérèt suprème de la Patrie. De fausses listes fausseni les élections, de fausses élections faussent les destinées du Pays,et de notre Belgique pros- père, calme, indépendante et religieuse fe- raienl un pays ruiné, livré aux factions et a toutes les horreurs des persécutions intesti nes ou de la domination élrangère!... Mais avec l'intégrité des listes nous voulons aussi l'intégrité des votes. C'est l'honneur des Calholiques en mème temps que leur désir et leur intérèt, de te- nir a l'intégrité des votes. Jamais ils ne se sontservis qu'a litre de représailles du billet marqué, Toujours nos libéraux en ont eu ici plus de quatre contre un, aprèsen avoir longtemps gardé le monopolo. Tout ce qui sauvegardera la liberté de l'Electeur et le secret de son vole, sauvegardera les droits des Calholiques; car la conscience de la gran de majorité du Pays est avec nous; elle n'est pas avec les Gueux! Nous voulons, par les moyens les meil- leurs, cette double intégrilé. II la faul a lout prix. Vos élus resieront ici pleinement d'ac- cord avec vous. lis se sentent aussi d'accord avec vous sur tous les autres points, car vous n'avez ralifié. Messieurs, dans l'adresse vstée, que des vceux raisonnables el légiti mes. Vous me permettrez cependant ici dc vous dire, avec loule la franchise qui convient encore mieux a l'ami qu'au représentant, que ces vceux, si bien fondés en raison et en justice, ne semblent pas lous devoir êlre réalisés immédiatement. Le nécessaire nous devons y lenir absolument, irrévooablemenl. Nous pouvons, par esprit de condescendan- ce, de tolérance el de fralernité nationale, relacher quelque chose de la rigueur de nos droits, pour ne pas surexciler des fréres éga- rés, aveuglés par l'illusion ou par la passion. Nous agirons ainsi comme agissent les meil- leurs membres d'une familie malheureuse- ment, mais non irréconciliablementdivisée. Inflexibles sur le nécessaire, conciliants sur lout le reste. Sansdoute que telles doivent ètre les aspirations et les vues patrioliques du Roi. Aussi le Roi des Beiges peut escomp- ter a lout événement le dévouemeut sans bornes de tous les vrais et nobles enfantsde la Belgique. Eiecteurs, si vous nous voyez done, nous vos représenlants, relacher en quelque cho se la rigueur de vos droits, vous serezcon- voincus que c'est pour le plus grand bien de la Pairie, pour la paix el la prospérilé pu- blique. Ceci dit, Eiecteurs et Amis, ne craignez pas de nous voir sacrifier la Justice et la Re ligion, auloriser la Fraude, céder l'empire a la Violence. Nous ne l'oublierons jamais, la Justice et Ia Religion sont les fondements in- dispensables de la prospéaité nationale com me de la paix sociale; et la Fraude et la Vio lence doivent ètre réprouvées et bannies de lout Etat qui doit durer. Comptez sur vos représenlants calholiques comme nous cornptons sur nos électeurs ca lholiques. Eiecteurs el Amis, nos coeurs batlent a l'unisson pour Dieu el pour la Patrie! M. Surmont donna ensuite lecture en flamand de l'adresse envoyée a la Chambre. SOCIÉTÉ DE LA CONCORDE. Programme des rnorceaux qui séront' exécutés le Jeudi 8 Mars 1877, a 7 1/2 heitres du soit', par la Mustqüedu D Régiment de Ligne, sous la direction de M. Ch. Simar. 5 if) A TIO UT Le Gonseil d'administration de la Compagnie du Canal de la Lys a l'Y- perlée a l'honneur d'inviter MM. les actionnaires a se réunir en assemblee générale extraordinaire, LUNDI 2 AVRIL proehain, a une heure de relevée, N° 15, rue Duquesrtoy a Brux elles. Ordre du jour Rapport sur la si tuation; Nomination d'administra- teurs et de commissaires; Mesurcs pour l'achèvement du canal et sa reprise. et c Mi se 3 T O X da a ra co ra STUDIE van den K»® ia ris TE YPRE. met gewin eet cr err.ie, DEN MAANDAG 12 MAART 1877, ten 9 uren. in het ro noershuis, eene der te verkóopen herbergen, Statie straat te Ypervan 1 ÉensctioSn -r? "Tr? gewezen rouwerij, 1 6 11 a E E iVGóE'N ANDER -MI7, UV; OUWGRON DEN 'HOSTE DE KEN, WEIDEN, MEERSCII. EN TA A TEANDEN gelegen te.Yper,. St. .Er, Zonnebeke, Passchcndaele, leceiaere, Dipkebusch en Elyerdinglic; verdeeld in 43 koo- pen.' V-E EKO O-P ING esa IEET1IS dienstig voor wagenmakers, kuipers; timmerlieden en bakkers, inden bosc.lt tpcbelioorendeaan de Burgerlijke GbE-Yr'zen van Wervick gelegen; bij' d'huTstedc.gebruikt door sieur Dominique Vïctoor, te Wervick, gehucht dc Trompette, op eencn kilometer afstand van de kalsij van Wervick naar Cruyseecke. Den MAANDAG 12 MAART 1877, om 1 ure 's namiddags. De Notaris-V'J.fLSTtltE, te Wervick, is met deze boomvenditie en deszelfs ontvangst gelast. cr tn 0 w. H K X O Er zal voortsgevaren worden op MAANDAG 12 MAART 1877, om 10 ure's morgens, ten kantoorc van Domeinen te Ypredoor het ambt van den Notaris A;iS2fiffitEB3CH tot de Openbare Verpachting, m wassende op de Esplanade enetWinneplein AVIS. L'Administration locale prévient les habitants que le róle dc l'exercice 1877, pour le recouvrement de la Taxe Communale sur les chiens, est provisoirement arrêté et déposé au Secretariat a l'inspection des Co'ntri- buables. Ceux qui se croiraient lésés sont admis a faire valoir leurs récla- mations devant le Conseil communal. Fait a l'bötel de ville le 5 Mars -1877. Les Bourgmestrc et Ecbcvins, L. VAPJHEULL Par Ordonnance Le Secrétaire, FERD. VANDAELE. ETUDE dé ;a; jo:i, lotairc 86, ÜoaasaEses. WER VI G Q-SU D, Rue de Franee, prés du Pont. En la demeure de d, Alfred Lepou- tre, voiturier. VKNTE PÜBLIQÜE par changement de domicile, d'un et d'un bon MA TÉ HIEL DEVOITURIER, Comprenant CI1EVAUX, CHARIOTS, charett;?, etc. etc. I"j® HjmïïcM S.S l'Iars a une heure de relevée par Ie Minis tère de ft rf!llc STUDIE van rCslcr A L F G f! S V A L C K te tMxmaaaïe* AIDE-PHARMACIES capable est dc- mandé pour Gand, Pbarmacie rue des Champs, 4ö. Appointements élévés OP DONDERDAG, 15 MAART 1877, om 1 ure namiddag in hetbosch van Houthulst onder Merckem, ten ver zoeke van den beer Maës-Vandamme. grondeigenaar te Iseghem, KOOPDAG van: 40 KOOPEN erssen van 11 tot 18 ccntimcicrs dikte. 40 KOOPEN Kepers van 30 tot 55 centimeters dikte. 2000 groene Sparrebusseben. 60 KOOPEN Snoei op de rékken. Te vergaderen aan de Melane. Aan de Heèren Voorzitter en leden van de Kamer der Volksvertegenwoordigers. Mijnheeren, Wij ondergeteekenden van liet komiteit der katholieke Vereeniging, van 't Arrondissement Yper, nemen eerbiodiglijk de vrijheid, UE.onze wenschen voor te leggen nopens de kieswet, waarover Gij geroepen zijt te beraadslagen. Deze wenschen die wij UE. toesturen, namens de geheele katholieke Vereeniging, zijn de be vestiging der talrijke verzoekschriften door ons arrondissement aan de kamer gezonden en meer dan vijf duizend handteekens dragende. Wij begeeren 1° Dat de kieslijsten, van allen graad, rechtma tig opgemaakt worden en geen namen dragen dan van Kiezers, die den grondslag van den kiescijns, volgens den geest der Grondwet bezit ten; engevolgentlyk, dat er hand geslagen worde om het bedrog te beletten, niet alleen door het toepassen vain strenge straffen, maar zelfs door het afschaffen der belastingen, tot bedrog lei dende. 2° Dat de kiezer ingeschreven worde op de lijsten zijner gewoonlijke verblijfplaats, en is de kiezer verzetbare Ambtenaar, krijgsman, enz., dat hy ingeschreven zy op de lijsten van zijn da delijk vepblyf, of oorspronkelijke huisvestihge. 3° Dat het geheim der stem door alle mogelijke middels gewaarborgd worde. 4° Dat de vrijheid en veiligheid der kiezers en gekozenen, voor, gedurende en na de stemming, teenemaal verzekerd worde; dat alle poging tot wanorders,streng en onmiddelijk bedwongen worde. 5° Dat de gelijkheid van al de kiezers voor de stembus volkomentlijk verwezentlijkt worde. De katholieke Belgen, die de overgroote meer derheid der Natie uitmaken en zouden niet meer als Gij, Mijnheeren, eene wet veranderen die de overheersching der Geuzensekte in het bestuur des Lands zou komen te verzekeren. Geweerdigt, Mijnheeren, de verzekering te aanveerden der gevoelens van eerbied uwer zeer ootmoedige dienaars. De Geheimschrijver, De Voorzitter, De Leden. ACTES OFFICIELS. Un.arrêté royal du 28 février approuve la deli beration do conseilcoinmunal d'Ooslvhteren adop- lant on plan d'alignemenl pour les nies de l'agglo- méré de cette localftë. Par arrêté royal duS mars, M. K. Van Enge len. jnge au tribunal de 1'° instance d'Audenarde, est nouimé en la mêine qualité au tribunal de 1° instance séant a Bruges, en remplacement de M. Deblauwe, appelé a d'aulres fonctions, et M. H. de Schietere de Lophern avocat a Bruges, est oommé juge au tribunal de Lr0 instance séant a Andenai'dc en remplacement de M. Van Engelen. Par arrêté roval du 5 mars, 51. P. Holvoet, substitut du procureur dn Roi a Anvers, est nommé juge au tribunal del" instance séant a Bruxelles, en remplacement de M. Drugman, appelé a d'aulres fonctions. Un arrêté royal, en daté du 2-i février, a dé- claré de grande voirie les roes de BrugeSet de la Balance, ainsi qu'nne portie du Marché-aux- Chevaux ft de la Grand'Place, a Poperinghe, reliant entre elies les routes de Poperinghe a Elverdinghe et de Rousbruggea Ypres. PESTE BOVINE. Avis. II résfiilté d'une communication de la douane francaise que le médecin vétérinaire préposé a la visite des bêsliaux a l'éntrée en France, vid Jeumont, procédé ii cede verification, a Jeumont le fundi Ie mercredi et le vendredi de chaque semaine, de 7 heitres et demie du matin a trois heitres de relevée. Les transports de bêsliaux devrout done, dc rigueur, êlre expédiécs de facon il parvenjr il Erquelines aux jours sttsindiqués, par l'nn des trains de merchandises arrivant a ladite station a 7 heitres 16 minutes du matin et a 10 h. SO m. du sotr. Les éhefs deslatiou donneront aux expediteurs toutes les indications nécessaires au sujet des trains it employer au depart [et se trouvant en corrcs- pondance avec cettx mentiónnés ci-dessus. (Moniteur.) A. kervyn Van Zuylen, propr. Bruges. De Clercq-Van-Haverbeke. tanneur, Ise- ghem. J. Pletlinck, notaire, üandziemc. Ch. Lettridan. propriétaire. .ilerckem. L. Dehrabandere distillateur, Canegheiii. G. Lefever, brassettr, Harieheke. A. Roger, armateur, 'Oslrnilc. .1. de Bic, proprictaitc, Slé-Groix. A. De Qoninck, échèvin', Ilarlebeke. I. Alleweireld, architect?, Bruges. Ed. Bekaerg conseiller comuninal, EI en - lebeke. II. Vuylsteke-Van dril Cer'ghe, ronseillrr cotnmunal, Ghciuwe. Le carillonneur de Bruges ouverture, (Grisar.) bpnner.tcs du sotr de la cowicite beige, fan! sic, (Ch. Sim.tr, j* r.\)Valse sur i'op. le pat dun de P.oè'rmei. (Strauss.) Souvenir de Fanst arr Ch. Simar père. (Gounod.) L'éclat de nre, polka, (liuiiiing.) Lisle des jurés de la 1° série de la 2" session de 1877de la cour d'assises de la Flandre occi dentale, dont ('ouverture aura lieu ie 9 avril, sous la présidence de 51. Van Allevnes, conseiller a la cour d'appel de Gand. JURÉS TITUI.AIRES. 5151. Ch. DeClercq, cullivaleur, Avecapelle. P. Tratsaerl, particulier, Ostende. E. Peers, propriétaire, Oostcarnp. V. Dehieo, négociant, Courtrai. A. Dejaegber, négociant, Courtrai. D. Carette, fabricant, Meulebeké. J. Debbandl, négociant, Courtrai. II. Beernaert, négociant, Courtrai. A. Du'clos. Ostende. A. Termote propriétaire, Ostende. P. Gillon, propriétaire, Courtrai. P. Moentack, directeur des messageries, Bruges. H. Mazureel, échevin, Ingeltnunsler. L. De Bie de Weslvoorde, propriétaire, Oostcamp. L. De Volder, fabricant, Sloorseele. J. Benoit, négociant, Courtrai. F. 51ulle, conseiller communal, Staden. A. Soeneu, propriétaire, Hooglede. FA1TS DIVERS. On éct it d'Anvers Lundi, deux matelots, de ("équipage de la barque norvvégietu><; J'tro, ancréeet en parlance, avaient été envoye's. en ville, aux provisions. A onze heures ('i demie, ils démaraient pour relourner au navire. Le 'temps •était affreux.tlj ventait du N.-O. avec une violence inottïe, et Ie canot avait fort a faire. Toulefoisg les' matelots, tenaieut bon, ils allaient afteindre Is I'eroils n'en n étaient plus qu'a quelques 'cncSblurcs. Mais a ee moment, l'cmbarcetion atteinte par une vague enorme chavira, les hommes disparu- rent. l.e bateau pilote était pro.che. II lanqa une botiée, que l'un des marius put saisir. II fut sauvé. Sou camarade s'est nové. Nous apprenonsqu'a la suite des démarches fnites réceinment a Paris par le prince de Caëaman- Chimay. président de la commission beige de ['exposition universelle de Paris en 1878, el par le secrétaire genérai l'emplacéfrlent allribué a la Belgique a été nolablement augmenlé,. prineipale- irient pour ia partie réservee" aii'x beaux-arts, dont les locaux seront beaucoup plus spéciaux q'ua aucune autre.exposition internationale anté- rieure. [Moniteur.) et O "Tl 50 M 3 g PI P. kK Cft O 9 L J O =3 B im m 9 A ©2 2 H Ui V. sr~.fi O ©O 50 c G O ers ra m ECS3( VAN BRKia rsrrwr.r^'jvrr--. 'zvsizzwkk S3 M WI N— 1 G$0 UI VOOR 3, G OF 9 JAREN, begonnen den 1" Januari 1877, DER tï. S-ff! 3rr.-rs3pasjat3D ca ptek--iiNvsrA^—aeg TVs- htn ra~^yaa rre. n

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1877 | | pagina 3