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7/ient noire avis, et nous navons jamais
réclamé autre chose. Supprimons done Pim-
pöt sur les chevuux mixtes, etc.
Parfait, nous écrions-nous a noire tour, et
d'autant plus volonliers que nous n'avoos ja-
majs abuse des chevaux bleustnais, Pro-
grès, pourquoi vous arrèler a mi-chemin
(J30S voire enumeration d'impöts a suppri-
mer? Pourquoi, avec tout voire parti, vous
opposer a la suppression de la patente des
agents d'affaires, sorlis des compagnies des
baluyeurs des rues ou du personnel des
Tramways; de la patente des comrnis a
4,000 fr. (Pappointemenls, dont les patrons
ne font pas pour 0,000 fr. d'affaires par an;
a la suppression de tant d'aulres elements
purement fantasliques, qui sont venus gros-
sir scandaleusement le corps electoral d'An-
vers el celui de Gaud, de lout un peuplede
Gueux? Pourquoi vous ètes-vous oppose avec
et comme les autres, si vous voulez la sineé-
rité des listes electorates, a I'exigence du
paiement biennal du cens, qui n'avait d'autre
effet que d'expurger le corps électora! de
scories gueuses qui s'y élaient frauduleuse-
ment introduites? Pourquoi? si ce n'est par
ee que c'est précisérnenl d Paide de ces im-
pols que nos adoersaires fabriquent leurs
faux élecleurs.
Nous prèlons les deux mains a la repres
sion de loute déclaration enlachée de fraude,
oti qu'elle se produise; nous souscrivons a
l'abolilion de tout droit donnant ouverture a
une fraude quelconque. Que le Progrès
poursuive, sans arriére-pensée, ce but avec
nous, et pour une fois du moins en notre
vie, nous marclierons sur la mème piste....
ailleurs que sur le papier. Mais bélas! le
Progrès, comme d'usage, veut bien qu'on
souffle la paille qu'il prétend apercevoir dans
l'ceil de nos amis, mais, pas plus que ses
compères en gueuserie, il n'entend qu'on
extirpe la poulre qui f'éborgne.
LA CAVALCADE.
De la fameuse Cavalcade de Dimanche
nous avons peu de chose a dire. Nous igno-
rons si les excellents Witte Klakken,l'ont
enfantêe, aspirent a 1'instar de leurs émules
de Bruxelles, au litre d'abrulis ou de ramol-
lis; mais ils sont en train de mériter pleine-
ment ces gracieux quaüficatifs, arborés fiëre-
ment par la vaillame jeunesse universitaire
ct libre-peinseuse de la Ville-lumièrc. Jamais,
du sentiment général, on ne vit rien de plus
inepte ei de plus dépenaillé. On cut cru voir
un défilé d'éehappés d'une Cour de miracles;
ni sel, ni esprit, ni pittoresque. Hatons-nous
d'ajouter cependant qu'a Ypres du moins, le
cortége des écoles laïques el non seclaires
s'est contenté d'etre absolument plat el béte.
On n'ose pas encore promener dans nos rues,
comme les Gueux l'ont fail a Bruxelles el a
Anvers, ['outrage ignoble a la Religion et a
i'Autorité. Cela fait honneur surtoulaux sen
timents connus de notre population, mais
cela ne durera pas: nos gueux sont de la
mème familie que ceux quidés honorenl ail
leurs l'antique renom du peuple Beige.
Le del avail fermé ses robinets, selon le
voeu du Progrès. mais la foule n'est pas ve
nue davanlage de nos campagnes: nos ex-
cellenles populations rurales n'onl guére
mordu a l'hamecon qui leur avail élé jelé a
profusion, sous forme d'affiches, par les pa
trons du Denier des écoles laïques et, sans
Dieu. Elles se sont épargné la uno colossale
mystification.
On avait dit en ville que le sémillant et
heureux propriétaire de cerlaine casquette
blanxhe galonnée allait profiler de la caval
cade pour étrenner cette coiffure, désorrnais
célébre, dans un équipage conduit a la Dau-
mont. Les clairons des excellents Witte
Klakken devaienl, ajoutait-on, entourer la
voiture en faisant retenlir l'air de Peclalantd
fanfare du maréchal Bugeaud
A.s-tu vu, as-tu vu
La casquette, la casquette...
C'eüt étè presque spiriluel: aussi il n'en a
rien éliï; c'est uqe occasion manquée.
Un des; pièces capitales du cortége était un
chardrapéde loques sordides, comme un
arlequin dt' foirè, et qui affectait la forme
d'un navire. Le navire portait en poupe les
nonis de Kind (sic) et de Lolo. Probablement
la ba rque désemparée de la banque de Bel-
gique*? On a remarqué que cette barque la,
venait réguliëremenl échouer devanl tous
les cabarets de son patron. Quelle afiinité
Peut-il y avoir enlrej7"A7wf, Lolo, la Banque
de Belgique, et Penseignement laiique et nou
sectuire Est-ce a dire que cela est une de
duction logique de ceci Nous commencons
a croire les Wille klakken plus profonds
qu'ils n'en ont l'air.
Un écriteau promené dans Ie cortége por
tait cette inscription: Penseignement laique
el non seclaire est une des plus belies con-
quotes de notre siècle. Enseignemenl non
seclaire, en langue gueuse, se traduit en
bon francais par: enseignemenl sans reli
gion. On ne dira plus que e'est nous qui l'in-
ventons: la triste vérité éclale sur les écri-
leaux gueux.
Un incident amusant: au beau milieu de
son parcours, le cortége fut rejoin I par un
de ces chars énormes qui, tous les Diman-
ches, conduisent au marché de Lille, certains
élèves de nos fermiers, trés cossus, puis-
qu'ils sont enlièrement habillés de soies.
Ce char eül pendant quelques instants, et
nalurellemenl, l'air de faire par lie de la ca
valcade: et tout le monde de se tenir les
cótesDeux Messieurs, le chef orné d'une
énorme carte blanche Pirent cependant a cette
vue une grimace fort contrariée. L'un d'eux
pril sa plus belle voix de commandement
pour ordonner au conducteur de passer au
plus vite. II craignait sans doutedes assi
milations mal sonnanles.
Déja un Gavroche s'écriail c'est done
pour ca qu'ils sont partis du... Marché aux
Bètes
Un monsieur avait collé aux vilres des
fenêtres de son habitation, dix-huil (pour
quoi dix-huit de ses cartes de libre-par-
cours, émises par la société organisatrice du
cortége. A la bonne heure, voila un homme
qui aime a s'afficher
Les Gueux prétendent, dit on, qu'ils ont
ramassé neuf-cent quarante francs el qua-
ranle-six centimes. Nous ne sommes pas la
pour compter avec eux, el ces quaranle-six
centimes sont fails pour donner au calcul
uneapparenced'honnète précision. Quarante
six centimes El combien de douzaines....
de boutons de culotle
Le mince résultat de la quéte, quel qu'il
soit en réalitè, est encore da eri partie a la
duplicilé: on avail répandu le bruit que le
produit de la quéte était deslinëauxpau-
vres, d'autres disaient: aux écolespauvres.
Bien des gens ont donné qui se sont laissé
prendre dans ce panneau.
hardiment el comme des diablesil en res-
tera toujours quelque chose
Cette obstination dans le mensonge connn,
cel te volonté perverse dedécrier injustement j
l'Eglise et le clergé nous donnent l'exacle
mesure de la moralilé politique du libé
ralisme. C'est pourquoi nous jugeons utile
de les mettre en lumière el de conslaler
qn'après que tous les journaux libéranx ont
avidement reproduit les lrois mensonges qui
nous occupent. pas un seul n'a eu la pensee
de les rectifier.
Pource qui concerne la presse libérale
ganloise en particulier, Ja Flandre libérale
et lc Journal de Gand ont consacré des arti.
tides de fond au cas de l'évèque faux-mon-
nayeur de Limera. L'organedela trïbu-Lau-
renl entrait mème dans les détails les plus
précis sur les circonslances du crime, sur la
découverte des ateliers clandestins, sur les
aveux du coupable, etc., etc. Cet odieux
roman était couronné pa.i une diatribe enra-
gée conlre la depravation du clergé catholi-
que. Eqjusqu'ici.... pas l'ombred'une retrac
tation
Une autre réflexion vienl nalurellement a
l'esprit en préscnce de la iëcondité d'inven-
lions mensongères qui caractérise le journa-
lisme gueux. II y a de ces réoits qui portent
en eux-mèmes la marqué de leur odieuse in-
vraisemblance.
Le crucifiemenl de Padoue, par exemple,
est évidemmment et a première vue un
conto forgéa plaisir par quelque imagination
prêtrophobe! Un homme de bon sens et non
prévenu doit se dire, lout d'abord, en lisant
de parodies anecdotes: C'est impossible!
Mais chez nos libéraux la haine aveugle du
catholicisme a émoussé le discernement et
corrompu la rectitude du jugement. lis ac
ceptent, les yeux fermés, les contes les plus
monslrueux, lout en refusant de croire aux
vérilés les plus certaines et les mieux démon-
trées. L'orgueil libre-penseur se redresse de
vanl la religion el recuse ainsi le lémoigna-
ge de Dieu sur Dieu; mais en revanche il de-
vienl lejouetdes fantaisies scélératesdu pre
mier malfaiteur de lettres venu. Que de ra-
tionalisles qui, répudianl la foi. s'emhour-
hent dans la superstitionQue de prétendus
esprits forts sonlsujets a toutes les fai-
blesses d'une crédulilé vraiment enfantine!..
FAITS DIVERS.
MENTEZ TOUJOURS
Le Progrès n a pas eu de chance l'autre se-
maine dans les bistoires qu'il a choisies pour
ce fumier qu'il intitule: acta sanctorum, el
oü il accumule les déchels des gazettes de
trottoir des deux mondes II avait publié
trois histoires authentiques deslinées a dé-
crier le sacerdoce et les ordres religieux
1° L'évèque de Limera (Bolivie) avait été
pris en flagrant délit de fabrication et d'é-
mission de fausse monnaie.
2° Dans une école congréganisle de Saint-Lé-
ger (France), une jeune enfant avait été
gravement brulée par la faule d'une reli-
gieusequi l'avait fait, en guise de péni.
lence, asseoir sur un poêle allumé.
3° A Padoue, un prèlre avail crucifiéet mal
traité de la maniére la plus alroce un jeu
ne garcon qui avait laissé échapper un
serin.
Or
4° II n'existe pas de ville, de diocèse, ou d'é-
vêquede Limera en Bolivie.
2° Le maire de St-Léger declare que Ie fait
allégué a la charge d'une religieuse de sa
commune est controuvé et que le récit
publié par la presse anti-chrétienne con-
slilue une véntable infamie.
3° Le syndic de Padoue atleste que le cruci
fiemenl du jeune garcon par un prèlre est
un mensonge et prie les journaux de dé-
mentir complélement cette odieuse in
vention.
Vous croyez peul-êlre que le Progrès
aura du moins la loyaulé d'enregislrer ce
triple désaveu? En aucune facon! C'est ainsi
que les Gueux pratiquent le libre examen,
la justice et le culie austère de la vérité
lis se souviennent de la devise de leur pa-
triarche et maitre, M. de Voltaire Mentez
CERCLE MUSICAL.
Dimanche prochain 18 Mars, notre Cercle
Musical clóturera par un brillant Concert la
série de ses fètes de la saisoti d'hiver.
Le concours de Mademoiselle Cuignet, pro-
fesseur de piano,et celui de notre cher conci-
loyen, Monsieur Arthur Ligy violonisle
4r prix d'excellence du conservatoire Royal
de Gand, prometlent d'attirer la foule des
amateurs de bonne musique. Nous osons
d'avance prédire a cette fèle le plus grand
succés.
Au moment de mettre sous presse, nous
recevons le programme de cette fète, nous
nous empressons de le communtquer a nos
lecteurs
Samedi 24 Mars, a 8 heures
dernière Soirée extraordinaire (pour hommes)
Ouverture de la Muelle de Portici pour
symphonic (Auber). Dormi pure, romance
transcrite pour cor par M. Dirryx, exécntée
par Monsieur Ilanssens (Scudt). Rêverie,
chanlée par Monsieur R. Vanhoever (J. Mo-
reau). Fantaisie variée sur le trouvére,
pourclarin'étte.arrangée et exécutée par Mon
sieur Dirryx.(Verdi).Les Echos, Fanlaisie
Pastorale pour violon, exéculee par Monsieur
Arthur Ligy (Leonard). Le Chant du Cré-
puscule Choeur (Gevaeri).
Fanlaisie sur les principaux motifs de l'A-
fricaine, arrangée par M. Pierre Moerman,
pour symphoriie. (Meyerbeer). A. Toca-
lelle (A. Dupont). R. AïdaHymne el rnarche
triomphale pour piano (Verdi), executes par
Mademoiselle Cuignet. Oiseaux Légers,
Mélodie chantée par Monsieur J. Antony,
(Gomberl). A. Révérie, (Vieuxlemps).
R. Airs Russes pour violon (Wieniawski),
exécutés par Monsieur Arthur Ligy. Leben
und Lieben valse pour symphonie, (Carl.
Faust).
Coramissaire a la faillite de Jean Van
Becelaereci - devant négociant de-
meurant a .Moorslede, a ordonné la
convocation des créanciërs admis au
passif de la dite faillite, en fixant la
reunion au 24 mars 4877, en charn-
brc du conseil du Tribunal de 4'' in
stance d"Ypres, a neuf heures du ma-
tin; a laquellc reunion il sera fait par
le soussigné pürateur un rapport sur
l'état de la masse, les formalités qui
ont eu lieu ainsi que sur le résultat
probable de la liquidation.
Ypres44 mars 4877.
J. BERGIIMAN, Av'.
Lc Commandant du Génie a Ypres,
proeédera lc 22 MARS 4877, a midi,
dans ses bureaux, a ['Adjudication des
travaux, a savoir
4° Travaux d'entretien dans la place
d'Ypres, jusqu'a concurrence d'une
somme de l'r .4,600.»
2° Travaux d'entretien dans la place
de Menin, jusqu'a concurrence d'une
somme de fr. 800.»
3° Travaux d'entretien dans Ia place
deCourtrai jusqu'a concurrenced'unc
somme de fr. 700.»
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OP DONDERDAG, 45 MAART 4877,
om 4 ure namiddag in hetbosch van
Houthakt onder Merckem, ten ver
zoeke van dén heer Maes-Vandamme,
grondeigenaar te Iseghem,
KO OP DAG
van
40 KOOPEN Pèrssen van 44 tot
48 centimeters dikte.
40 KOOPEN Kepers van
55 centimeters dikte.
2000 groene Sparrebusschen.
60 KOOPEN Snoei op de rekken.
Te vergaderen aan de Melane.
30 tot
VERKOOPSNG
BQÜ ftita Efli SNOEISEL,
Éc SOTOKBIEME Wéstlioek.
MAANDAG, 49 MAART 4877,
om 2 urén namiddag, in den bosch
den ZON KAART, bij de herberg den
Koekuit.
Door het ambt van den Notaris
VAKDERMF.ERSCH, te Ypre.
oo
O
SOCIÉTÉ DE LA CONCORDE. Programme
ties morceaux qui seront exécutés le Jetttli
45 Mars 1877, a 7 1/2 heures du soir,
par la Musique du 4r Régiment de Ligne',
sous la direction de M. Ch. Simar.
CHRONIQUE DES 110UBL0NS.
AIOE-PHAWACIEi capable est de-
man dé pour Gand, Pharrnacie rue
des Champs, 46. Appointemcnts élévés
Conformémcnt a l'arïïcle 509 dc la
loi du 18 avril 1851, Monsieur le Juge-
V EllKOOP ING
van
md<LESI HiOOSlJEIV,
PLANTSOENEN EN T AIL LIK,
TE VöORIBEZEELE.
WOENSDAG, 21 MAART 1877,
om 2 ure namiddag, in den bosch de
YLOGE, langs de Kriekstraat.
Door het ambt van den Notaris
VANDERMEEpSCH, te Ypre.
ürSiNfS^ITlK
en aaM8«r«
TE YPËÏt.
DEN MAENDAG 2 A PHIL 4877,
Eene schoone Kleetkas, eerse afge-
brokene Serre, vele Deuren en Ven
sterramen, Ranken, Rakken, Vitrincn,
Eiken- en Iepen Ribben, Poutrellen
en andere gezaegde stukken alsook
eene hoeveelheid Brandhout, zachte
Splete. Knippelbohdels en Busschcn.
Verders
2000 meters Popelieren
1500 id. id.
2000 id. id. 2/r
500 id. id.
500 id. id. 5/+
Eh menigvuldige andere voorwer
pen'.
Tyd van betaling mits borg, 40
voor kosten.
Door 't ambt van den Deurwaerdor
Claarlcs CfosteBaoftle, te Yper.
Planken,
id.
id.
id.
id.
Un accident deplorable s'esl produit Vendredi
soir ii la station de Liclilei velde. Li veuve V\ar-
lop, demeurant ii Staderi, étant arrivée par le
train de Roulers, descendit du train avant qu'il ne
fut arj'èté. Renversée sur les rails clle eüi les deux
jambes coupées et inourut uno heure plus tard au
milieu d'alroces sonffranres.
Depuis quelques jours diverses escroqueries.
out élé ruminUesa Dicst, Lierre, Anvers, etc.,
par un individu porta.nt lc costume ecclésiastique.
Cet escroe vieut d'étre arrété ii Gaud. C'est un
Francais; un p'rêlre interdit, justifiarit I adage
coitRurrio obtimj bkssimx. Pour mieux du per.
son monde, ce përsonriagé avait eonservé un
cosliimë qu'il n'a plus Ie droit de poitcr.
On écrit d'AnVeis: .t II n'est bruit en no
tre ville que d'une décöiiverte importante faite
ces derniers jours par un comrnis des accises dans
line distillerie.
Depuis quelque temps, on avail coiicii des
soupgons et une surveillauee active était exercée
sur la distillerie en question. Cependant, matgié
les investigations les plus minutieuses, on n'avait
rien pu trouver, Chaque fois que les employés
des accises venaient on avait, parail-il. ironvé ie
moyen d'avertir les fraudeurs et de rendré impos
sible loute consfaiaiion de flagrant déiit.
Samedi dernier cependant 1111 eoinmis des
accises tronva Ie moven de périélrer dans le local
clandestin oh se trouyaienl les cuves ëii fermenta
tion. II avait da bord fait une visite infructueiise,
mais en sortant il avait coupé le (il de la sonnetle
deslinée a donner le signal. Une heure apr.ès il
revint, et, comme 011 ne l'allendait pas, tont fut
découveri.
Un journal gueux voulant dëlfflhti-er. a
ses lecteurs, que; M. le iiourgmestre de Scharr-
beek ne mérite pas la confianee des éleÖtelirs libé
raux, énumère les litres que ce magistral a acquis
au mépris des libéraux. Nous n'eu eitons qu'un;
celui-la fera jugër des autres
>1 En 1874, M. Kennis recoit les felicitations du
Courrier de Bruxelles, il a arrété la circula
tion des omnibus pour la procession.
Done, n'est pas liberal, le bourgmestre qui ar
rété la circulation des Omnibus pour la procession!
Mais, par conlre, il est süreiuenl et profondément
lihéral, ceiut-la qui n'arréle pas la circulation des
omnibus pour la procession et qui airête eeiie
circulation pour les mascarades
II est bon qu'on le saclie
CBOF3AI5"-I. W.AWV C33Z32r.UKjTT-TCtfïVHT FK«ISZ8Bf'OTPmi fljll IM (IIBBBKi
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Lh dame blanc.be, ouverture (Iioëldien).
Kénilwortb g° scène p' trombone (Coneone);
exécutée par M. Sonneville- ölarche ttirque
(Mozart). Mignonneltepolka pour piston
(D'Archambeati) exécntée par )J. Vandewiele.
Le trouvére. fanlaisie (demandée) (Verdi) avec
solos de piston, tuba. saxophone el trombone,
exécutés par MM. Vandewiele Bodar, Vercammeu
et Sonneville. Sturm Galop, (arr. Mornard).
Bischvviller, 7 mars. La stagnation dans les
affaires est compléte; aucune transaction n'a en
lieu et les prix tombent de semaine en semaine.
On a offert ce jour 87.3 a -400 fi', mais il est a pré-
voir qu'ils tomberont encore davanlage. II est vrai
que le mal pour notre Cotilrée n'est pas grand, car
enville le stock ne dépasse pas 30 quintans et a la
campagne il n'est pas bëaucoup plus fort. C'est la
speculation qui va perdre bien plus quëles'plan-
leurs, paree que ces magasins sont pour la saison
trop remplis.
Nuremberg. mars. Marché calme. Lés
bonnes quaiités sont rates el tenues a des prix en
hausse. Quelques petites ventes, ensemble 70. bals
ont élé conchies comme snit bonne march indise
de Wurtetnberg de -431 ïi -4-40, houblon de la
Lorraine de 230 a 810. de H illertau suivant qna-
lilé et conditionnement a -430, -430, -480 et 300
Rm.; houblon de 1873 de llöit 130 Rm.. dito
dito, bien conservés, ju<qua 130 et 160 Rm. Au
marché de ce jour, les ventes |.usqu'a tnidi se sont
bornées a -40 balles; on a payé pour quelques pelits
lots Hal ert;:u -4-10 a ICO Rui.. Wurteniberg -420
a -430, Alsace secund i 320 a 360, Lorraine 230 u
a 260Rm,
Saaz, -4 mars. Marché sans grande anima
tion. quelques petites affaires nut été conchies de
puis buit jours a des prix dépréciés'; houblon des
environs a fl. 3-40, dito de campagne de 11. 320 a
380 et quelques lots houblon de 1873 a fl 120.
VAN
(ZYNDE 2"" PAESCHDAG),
ten 2 uren juist namiddag, in den
cour van het huis geteekend nummer
12, Recoliet,testraet te Yper, (ingang
door dc acht.erp.ooit der Oude Ilout-
marktstraet 111;!>), zal er ten verzoeke
van sicur Dêsirê Demyttenaere, open-
baerlyk verkocht worden