o^BANc iw> 11 SS) 9 mmm Samedi 7 Avril 1877. DEjrj; 12e année. N° 1,176. 2 2 3 EHAffi S li'illillsMliMiffi I e Journal parait Ie Mercredi et le Samedi. Les insertions cofftenl 15 centimes la ligne. Les réclames et annonces judiciaires se paient 30 centimes la ligne. On traite d forfait pour les insertions par année. Un numéro du journal, pris au Bureau, 10 centimes. Les numéros supplémentaires commandés pour articles, Réclames ou Annonces, coiitont 10 fr. les 100 exemplatres. C H JE TfJE 13V S 1> 12 ff1 JK SI. 1 Décembre. LES RESULTATS DU KULTURKAMPF. {Suite). L»Kulturkénipf a produit un autre résul- tal. Un grand nombre de ceux qui suivaient le gouvernement ont regimbé. Je pourrais vous citer des centaines de personnages qui, après avoir aidé au Kullur/carnpf pendant les deux premières années de son établisse ment, sont devenus ses adversaires les plus ardenls. A gauche mème on a déclaré et vous avez applaudi, MM. les libéraux que le Kullurkampf doit prendre fin. Bien- töl MM.vous serez unanimement d'avis qu'il faut que la persécuiion s'apaise. n'im- porle a quel prix. Et a cette occasion je rap- pellerai a M. le minislre desculles ce que je lui ai déja déclaré: a La fin du Kullurkampf enlrainera la chute du ministère Falk Très-vrai Je ne reviendrai pas aujourd'hui sur la question du soi-disant mariage civil et de ses conséquences. Mais il ya un autre point qui a élé traité, il y a quelques jours, et donlje veux dire quelques motsc'est le secret de la confession. La jurisprudence inaugurée par la Cour suprème, appuyée par l'Elat el récemment défendue ici par le dépulé We- hrenpfennig, constitue pour nous l'attenlat le plus grave qu'on puisse imaginer au libre exercice de nolre cuite. {Très-vraiJe rap- pellerai el MM. de la gauche ne me con- trediront pas que, quand cette loi fut discutée, le 13 mai 1873, personne neson- geait a l'interprèter comme on le fait. Ceux qui, dés cette époque, regardaienl cette in terpolation comme possible, me feraient plaisir en le déclaranl. Eh, MM., votre cour suprème a jugé de la facon que Ton sail Permettez-moi de vous dire comment la question a été tranchée par une cour améri- caine. Celle-ci a dit II est indispensable au libre exercice d'un culle que ses comman- dements, ses cérémonies et tout ce qui ap- partient a son essence jouissenl de protection et d'appui. Or, le secret de la confession est de l'essence du sacremcnt de Pénitence. La Constitution garanlit la liberté de conscience. Le prêtre jouit-il de la liberté de conscience si on peut l'obliger a trahir ce secret Quel est Ie citoyen de notre république qui ne stigmatiserait pas une telle prétenlion comme un sophisme, comme un opprobre pour la nation Si la Constitution, en proclamanl la liberté de conscience, avait entendu soumet- tre le parti catholique de nolre population chréiienne a cette mesure nouvelle, inouïe, persécutrice, elle ne serail qu'une monstruo- sité morale, une contradiction intolérable. C'esl ainsi, MM., que parle une cour de jus tice américaine. Elle acquilta i'ecelésiastique prévenu. II est vrai que la différence entre les tribunaux allemands el les tribunaux américains s'explique; ceux-ci sont indépen- dants Très-bien Le tableau est sommaire, incomplet sans doule, mais significalif. Infamies de presse, accusations intéressées dirigées conlre les évèqueset les prètres, juges entachés de pas sion politique, essais avortés de schisme el d'hérésie, délation laïque et obligatoire mais nullement gratuite, magislrature avilie res- treignant le peu de liberté laissée aux calho- liques par une jurisprudence machiavélique, •voila les principaux traits qui composenl le tableau du Kullurkampf. Et après avoir parcouru eet exposé concis de la silualion en Allemagne, que le lecteur se rappelle ce que ia Belgique voil éclore depuis quinze ans, el qu'il se demande en- suite devant laquelle de ces infamies nos libéraux pourraienl reeuier II serail inutile de se le dissimuler: la Bel gique est mure pour l'essai de persécuiion dont uous menacent les Laurent, les Delave- leye, les Pergameni et les Goblet. Mais il est juste d'ajouter que cette persécuiion est fata - lement condamnée a n'ètre qu'un essai, un averlisseinenl donné aux catholiques pour leur monlrer ou les remorque I' esprit mo derne. Quand la persécuiion prussienne a com- mencè, elle a pu setablir sur une base rela- livement favorable. Le syslème d'hypocrisie et de persécuiionsoulerraine que nous signa- lions plus haul sur le terrain scolaire, s'éiait étendu a loutes les branches de la vie sociale el il n'élail pas demeuré sans fruits. L'écume de la population, les ambilieux, les d ssolus, les faux frères avaienl Ic haut du pavé les apostats declares ou cachés régnaient bruyamment et se donoaient pour les vrais représentants de I' opinion publique. En Belgique la situation est la mème. Chez nous aussi les apostats se déménent et nous donnent la mesure de leur arrogance et de leur valeur. Mais mille fois plus abjects qu'en Prusse, ils nous donnent en spectacle, avec l'appui des autorités, des hontes qu'avail seul couvertesjusqu'ici le patronage de la Marianne rouge et que les persécuteurs prussiens eux- mèmes ne toléreraient jamais. Cette explosion de scandales nous dit assez ce que sera la domination gueuse, si elle parvient a ressusciter. Mais, puisque l'ambilion des Gueux est d'élouffer le calholicisme dans la boue, il est temps que les catholiques déclarent haute- ment et énergiquement que jamais ils ne permetlronl au libéralisme de les enlrainer dans cette fange. II est temps que cette dé- termination se fasse jour non-seulemenl en paroles mais en acles. Le libéralisme inoffensifd'il y a cin- quante ans renfermait en germe ce que nous voyons aujourd'hui. II renfermait plus en core. Faudra-t-il pousser plus loin l'expé- rienceFaudra-t-il que les Gueux nous do- lent de leur Kullurkampf a eux M. de Schorlemer-Alst et les fails avant lui, nous ont montré ce qu'est le Kullurkampf de M. de Bismark. Les saturnales auxquelles nous assistons en Belgique nous font pressenlir ce que sera celui des Gueux Mais a cólé du mal est lo remède. Nos frères allemands se sont redressés sous l'aiguillon de la persécuiion: ils n'ont pas cédé, ils ne céderont pas. M. de Schorlemer- Alst, parlant en leur nom, ose déja prédire la fin du Kullurkampf el annoncer la chute du ministère Falk, sans que M. de Bismark ou ses amis se lèvent encore pour déclarer qu'ils n'iront pas a Canossa. Ce fait a une haute signification. Les catho liques prussiens n'ont a leur disposition au cune des arrnes du parlementarisme ils n'ont pas la majorilé, ils n'ont aucun espoir de l'oblenir. Cependant leur victoire est évi dente et pas un de leursennemis n'oserelever le fier défi de cette minorilé. D'oü leur vient cette force imprévue C'est qu'en face de la logique libérale ils n'ont pas hésité. Au :drapeau protestant et ibéral ils ont opposé celui du Syllabussans rélicence sans commentairesils se sont déclarés catholiques avec le pape et comme le pape. Dans leur foi ils ont trouvé des arines que ne leur eussent pas fournies les immortels principes, et que l'acier prus- sien iui-mème nest pas de trempe a defier. Voila le remède naturel, le seul logique, le seul efficace La Belgiqueofïre un champ bien plus favo rable a une action analogue. L'immense majorilé du pays nous est acquise et saisit toutes les occasions de Ie déclarer. Le libéra lisme a beau dénigrer, calomnier, altaquer par toutes les armes nos prètres et notre foi Ghez nous aussi Ie peuple tresse des couron- nes d'or aux viclimes et les couvredeson respect. Voila noire allié, et il se soucie peu, ui, d'élablir enlre 89 et le Syllabus une conciliation impossible Quant a nos ennemis, on les connait. Nous les avons vus dernièremenl a Anvers et a Bruxelles et précédemment déja a Oosl- acker, a Liége et ailleurs. lis y ont posé les premiers jalons pour arriver un jour a une application de leurs théories, pareillea celle qu'on observe en Prusse et en Russie plus logique encore peut-ètre. Mais, en admellant qu'ils réussissent a tenter l'expérience, oil cela les condui ra -1 - il Peuvent-ils espérer.le succés la ou leur idole M. de Bismark echoue pileusement Ce serail folie de le penser, et, s'ils nourrissent de telles illusions, elles ne sont guère sérieuses et bien moins encore dangereuses. De toutes les tyrannies, la tyrannie libéra le est la plus lourde, la plus intolérable. Les catholiques beiges, qui se sont si longlemps nourris de l'illusion libérale, en font la triste expérience. Sur le terrain de I'enseignement, sur le terrain de la charité, sur celui des cimetiéres, sur tant d'autres, ils sont si bien habitués a voir fouler aux pieds leurs droits les plus sacrés qu'ils en sont venus a ne plus oser les réclamer! Cette situation n'a-t-elle pas assez duré? N'est-il pas temps d'aban- donner le terrain glissant des concessions parlementaires et libérales pour en revenir enfin au roe inébranlabie de la vérité qui seule peul garantir la liberté? N'est-il pas leinps de songer un pen a notre dignilé'de catholiques et de laisser la une bonne fois la duperie libérale qui, comme le disait, il y a peu de jours, le Pape Pie IX, ne nous laisse pour loule liberté que Ia liberté d'assister a la demolition progressive de l'ordre social? Un des effets les plus caraclérisliques de la lutlo civilisatrice, c'esl le développement inouï du socialisme. II serail puéril de nier le fait: les dernières élections l'ont mis au- dessus de toule contestation. En Prusse et surloul dans les villes protestantes du Nord, le parti socialiste a fait des progrés Iels que, dés aujourd'hui, il peut compter parmi les ennemis les plus formidables de Fernpire. Voici a ce sujet quelques chiffres: nous mel tons en regard les voix données au socialis me en 1874 et en 1877: 1874. 1877. Kcenigsberg 1,865 2,065 Breslau 3,608 8,620 Liegnitz 497 1,602 District de Neurode 3,703 5,829 Waldenbourg 346 3,168 Koltbnss 545 1,374 Mecklembourg 4,036 6,803 Magdebourg 1.308 2,685 Dresde (2 circonscrip- lions de la ville) 10,101 11,230 Boyaume de Saxe 70,000 120,000 Meiningen 1,039 4,84q Greiz 1,097 4,052 Got ha 2,255 6,152 Nurenberg 5.355 10,075 Muniech 3,197 3,928 Ilarbourg 536 3,699 Dortmund 1,237 3,521 Elberfald 9,903 11,435 Posen 1,23a 3,062 Lennep 3,012 3,648 Solingen 3,700 6,400 Cologne 1,237 2,782 Mayence 1.060 1,884 Francfort s/m. 2,529 3,450 Darmstadt 1,224 1,46.6 Bréme 3,135 6,700 Hambourg 17,694 23,000 Allona 7,535 7,667 Berlin 13,426 31,57G Telle est la situation Quand la magislrature prussienne fit mine de seconder la lutle civilisatrice inaugurée par le chancelier, celui-ci dit au minislre bavarois Foeustle: Les tribunaux commen- cent a me comprendre. Cet aveu dénue d'arlifice dépeint a merveille Bismark et le Kullurkampf. Ce n'est pas a dire que cesoil le prince-chancelier qui ait corrompu la ma gislrature. lis ont tous les deux été form és dans le moule rationaliste des écoles prus- siennes; tous les deux ils ont suivi cette impulsion première, La communauté d'idée est done plus ancienne que le ministère Bis mark: de mème que celui-ci élait tout dispo sé a corrompre; la magislrature, pourdépo- ser tout sentiment d'indépendance, ne de- mandait qu'un corrupleur. Si l'éducation rationaliste a été assez forte pour éleindre dans fame des juges le senti ment de la justice et la conscience du de voir, comment s'élonner qu'elle ait produit le mème effet sur les masses? Nous l'avons déja dit: \<i Kullurkampf violent date de 1872 mais Ie Kullurkampf souterrain et hypocrite datede plus d'un siècle. L'école incrédule et rationaliste a tué la foi, les espérances subli mes qui éièvent lame du pauvre ouvrier au- dessus de la glèbe du travail ou il est atta ché. Ainsi elle a préparé la voie au socialis me. En supprimant entre les diverses clas ses l'égalilédans la foi, dans fespérance el dans la charité, elle a mis en évidence au premier plan, les inégalités sociales du pré sent, inégalilés qui, eu dehors des données de la foi, ne peuvent ètre ni expliquées, ni juslifiées, ni dófendues. Ce travail de demolition, opinialrement poursuivi sur quatre générations, produit son effet. Les déshérités de la fortune, en face de ce problème social dont on escamo- tait la veritable solution, ont glissé sur la penle de i'envie. Sans doute on ne descend pas cetle pente en quelques mois: quatre gé nérations s'y sont usées, mais enfin le ehe- min est fait, et les travailleurs pour qui on a supprimé l'égalilé devant Dieu, exigent aujourd'hui au moins l'égalilé devant la mi sère. C'est la aussi le résultat de l'éducation sans Dieu. et le prince de Bismark jugera-t-il ce dernier résultat comme il jugeait le pre mier? Dira-t-il que les électeurs prussiens commencent a le comprendre? On peut en douler. Les veilles de bois et les aulres produils des biens que lui donna la patrie reconnaissanle en Lauenbourg et ailleurs, ont couvert les dettes dont était grevé sou pratrimoine de Schcenhausen el onl enrichi le grand chancelier. II n'esl doncguére pro bable que M. de Bismark salue le rationalis me ouvrier avec la nième satisfaction que le rationalisme judiciaire. Les doctrinaires beiges ont, il est vrai, ac- cueilli les élections du 10 Janvier avec un sentiment de soulagement joyeux. Les socia lisms, disent-ils, ne sont qu'ati nombre de 13, c'est moins encore que de l'impuissance, c'est la nullilè! En Allemagne on a élé loin d'en juger de mème. On parlait depuis longlemps des progrés du socialisme, a Berlin surtout, comme d'un point noir qui grossissait rapidemenl, mais nul ne songeail a un développement aussi rapide. Au premier tour de scrutin, deux so- cialistes furenl élus dans la capitale avec une écrasante majorilé: dans deux autres circoris- criplidns ils réussirent a amener un ballota ge. Dans le district aristocratique de Berlin, le candidal socialiste put réunir 4,300 voix. En 1871, la Saxeleur fournit 40,000 voix, 90,000 en 1874, 120,000 en'l877. TR01S SOUTANES. Sous ce litre un journal parisien pub lie ('éloquent article suivant: Dans les jours religieux que nous ve nons de traverser, les soixante-quatre églises de Paris ont a peine sufli au flot des visi teurs, et c'est par centaines de mille qu'il faut chilïrer les croyanls dool les genouxse sont ployés sur les dalles. J'ai fait comme la foule, qui n'cst pas toujours ce vaste désert d'hommesdont parle Chateaubriand, mais qui a souvent une ame, une foi, des enthousiasmes géné- reux aussi bien que parfois d'aveugles colé- res, el qui, peut-ètre, est au fond plus ca pable encore de bien que de mai. J'ai suivi le torrent, et je me suis trouvé hier a Notre- Dame, devant uu des spectacles les plus inaltendus et les plus émouvants qui se puissent concevoir. On sait quo Ie Trésor de la vieille basili- que conlienl des reliques précieuses, gardées autrefois a la Ste-Chapelle, et dont l'exhibi- tion publique n'a lieu qu'une fois par an. Un groupe d'hommes recuciIIis, ou j'ai re- eonnu un general, deux conseillers d'Etat, un sculpteur, un aeadémicien, entrail dans la sacntie pour voir le Trésor. Je n'avais ja mais eu occasion de le visiter; j'accompa- gnai le groupe, el, un instant aprés, les Z Z -«s V> z O y) O y> o CO x O v -v r— *s£> CTJ c/a •H ÏS- O C/5 r*5 —3 m S2 IT; •O I-! w n Po- Poperinghe- Ypres, 8-18,7-00,9-28,11-00,2-18,6-00,9-20. Y pres-Papering lie, 6-30,9-07,12-07,3-87,6-80,8-40,9-80 peringhe-Hazebrouck, 6 S3, 12-23,7-10. Hazebrouck-Poperinghe-Ypres, 8-28, 4-10, 8-25. Ypres-Iloulers, 7-50, 12-25, 6-45. Roulers-Ypres, 9-25, 1-50, 7-50. Roulers-Bruges, 8-45, 11-34, 1-13,5,16, 7-36, (9-55. Licbterv.) Licbterv.-Thoarout, 4-25 m. vers Ostende. Bruges-Hos iers 8-25, 12-45, 5-05, 6-42. Lichterv.-CWlrai, 3-25 m. Ypres-Courtrai 5-34, 9-46, 11-20, 2-35, 5-25, Courtrai- Ypres, 8-08, 11-03, 2-56, 5-40, 8-49. Ypres-Thourout. 7-18, 12 06, 6-20, (le Samedi a 5-50 du matin jusqu'a Langhemarck). Thouroul- Ypres, 9-00, 1-25, 7-45, (le Samedi a 6-20 du malin de Langhemarck a Ypres). Comines-Warnêton Le Touquet-Houpünes-A meniières, 6-00, 12-00, 3-33, Armentières-Houplines-Le Touquel-Warnêton- Comines 7-25, 2,00, 4-43. Comines- Warnêton 8-43, rn. 9-30s. (le Lundi 6-30,) Warnêton-Cowïwes 5-30, 11-10, (le Lundi 6,50.) Courtrai Bruges, 8-05,11-00, 12-35,4-40, (Ingel.) 6-53. 9-00 s. (Licbterv.)Bruges-Cowrtrat, 8-25, 12-43,5-08,6-42. Bruges, Blankenb, Heyst, (Station) 7-23, 11-08, 2-50, 7-35. (bassin) 7-31, 11-14, *2-56, 7.41, Heyst, Blankenb, Bruges, 5-45, 8,25, 11-25, 5-30. Ingelmunster Deynze-Gaad, 5-00, 9-41, 2-15. lngelmunster-£%uze, 6-10 7-15. Gand-Deynze-lngelmunster, 6-58, 11-20, 4-41, 7-21. Deyme-Ingelmunsler1-00. Ingelmunster-dwseg/ieni, 6-05, 12-55, 6-13. Anseghem - Ing el munster7-42, 2-20, 7-45. Lichtervelde-Dixmude-Furnes el Dunkerke, 6 -30, 9-08, 1-38, 8-00. DunAerAe-Furnes-Dixmude et Lichlervelde, 6-33, 1I 10, 3-40, 5-00. Dixmude-A^'eMport,9-80,2-20,8-45Nieup-DArm, 7-30,12 00,4-20. Thourout-Ortende, 4-50, 9-15, 1-50, 8-08. Ostende-Thouroul, 7-55, 10-10, 12 25, 6-18. Selzaete-Eecloo, 9-05, 1-28, 8-25 Gand-Terneuzen, (station) 8-17, 12- Selzaete-Lokeren, 9-04, 1-30, 8-30. (Ie - Eecloo-&izaefe,5-35, 10-15. 4-22. 23, 7,30 (porte d'Anvors) 8-30, 12-40. 7-43. Terneuzen-Gand, 6-00, 10-30, (Ie Merer. 8-10 m.) Lokeren-Seizraete, 6 00, 10-28, 4 45. (Ie Mardi, 9,30.) 440 O O rt £!SF COURTRAI, BRUXELLES. Courtrai dép. 6,37 10,53 12,33 3,42 6,35. Bruxelles arr. 8,50 1,35 2,25 0,10 8,34. COURTRAI, TOUR.NAIL1LLK. Courtrai dép. 6,37 10,56 2,54 3,34 8,47. Tournai arr. 7,28 11,47 3,48 6,39 9,41. Lille 7,38 12,08 4,00 6,35 10,00. O Pff 33 J\. KT C E 9 BRUXELLES, COURTRAI. Bruxelles dép. Courtrai arr. 3,22 8,00 8,28 10,46 12,21 2,44 835 7,86 6,47. 8,44. Lillo dép. Tournai Courtrai arr. LILLE, TOURNAI, COURTRAI. 5,13 8,22 11,03 2,22 4,43 3,42 8,56 1 1,29 2,40 8,39 6,34 9.47 12,26 3,38 0,33 Courtrai dép. 6,42 Gand arr. 8,01 COURTRAI, GAND. 9,49 12,31 11,08 GAND, COURTRAI. 1,51 BRUGES, GAND, BRUXELLES. 3,44 6,40. 8,04 7,30. Gand dép. Courtrai arr. 8,18 6,37 9,38 10,86 1 28 2,84 4,24 3,34 7,21. 8,47 BRUXELLES, GAND, BRUGES. Bruges d. 0,49ex.7,04 9,39 12,31, 2-32,ex. 6,43. Gand a. 7,34 8,19 10,54 1,49 4,07, 7,38. 9,31. Bruxelles 8,50 10,35 12,39 4-00,7,13, 9-31.10,40. Bruxelles dép. 7,20 8,14 11,06 1,35 3,02 ex. 4,39 ex. Gin 1 arr. 6,00 8,38 9,41 1,23 3,59 4,11 6,29 Bruges 7,15 9,23 10,34 2,38 3,01 7,22 5.55 7,73 8.18 3mc PART IE.

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1877 | | pagina 1