B1EEBSGHEN B. QÏE-BIEEICE, L OPENBAAR TE KOOPEN II S 125 KOOPEN EEKEN, BOOM EN, TWEE GOEDE fiüKLLVELT, BECELAEBE EX ZÖ1EBEKE, EEN SCHOON HUIS, AYENDRE k Donderdag 19 April 1877,, 3 MAISONS D'OUVRIERS, L. SI ROUX et Fils, D'ÖRNEIENTS EN PLATRE Lr Ouate anti-rhumatismale Quand il s'agil de Iravailler dans l-intérêl général, Ie parli libéral désire êlre seul. Pour qui connail la politique du Progrès, le calcul avail du bon. Celle pélilion porlait pour conclusion, nous ciions le texle: Cest pourquoi, MM., nousvous prions de bien vouloir por ter a la tribune nationale la question de la reprise des lignes du chemin de fer des Flandres. II en ful ainsi; la demande des pétilion- naires ful porlée a la tribune nationale par un rapport de l'lionorable M. Struye. Nous avons reproduit eelte ceuvre oü notre repré sentant defend nos intéréts d'une maoière compléte et convaincante. Le Progrèslui, n'a eu garde de la publier, ses lecteurs auraient été édifiés. II préfére recourir a son arme ordinaire, il attaque et travestil les fails. Le rapport de M. Struye devient une interpellation passablement ma- ladroile. Ma is si ce rapport, qui ne fait que repro duce la pélilion de vos amis, mérite celte épilhèle, quel compliment faudra-t-il adres- ser a la pétition mème? Convenez, Progrèsque votre polémique prend des allures singulièrement aimablcs pour vos fidèles. Prenez garde que ces airs grincheux ne vous causent lót ou tard des désagréments. S'abandonnant aux inauvais conseils de sa colère, le bon journal s'en prend au ministre qui n'a pas pu reprendre le réseau desFlan- dres, et au syndicat qui n'a pas voulu se laisser reprendre. Ce malheureux syndicat est l'objet de toules ses objurgations; il en fait presque son delenda Carthago. Un bon avis pour finir, Progrès. Ce syn dicat que vous traitez si rudement représente les actionnaires el obligataires des lignes. Faut-il les tondre absolument? Si oui.avouons qu'ils out le droit de défendre leur bien. Sinon vous nous permellrez de vous dire, Progrèsque vous ne savez pas ce que vous écrivez. La politique. Gardez-vous en, confrère, vous ferez bien. Rousbrugge, 3 Avril, 1877. Monsieur l'Editeur, Tout le monde sail avec quel cclat la pres- se libérale s'occupa l'an dernier de l'affaire de M. le vicaire Delancker, odieusement ca- lomnié par de viles créatures. Le Progrès et la Toekomst d'Ypres, la Flandre libérale et tous les Echos Iibéraux du pays n'eurenl pas assez de voix pour jeter la boue de leurs injures et de leurs infamies au vaillant el pieux vicaire de Proven, lorsque, a leur grand dépit, une décision judiciaire du tri bunal de Furnes et de la Cour d'appel de Gand vint renverser lont l'échaffaudage de leurs mécharites et infames accusations el montrer quel röle odieux la presse libérale avail joué dans celle triste histoire. Un épisode qui vient de se dérouler devant Ie tribunal d'Ypres met encore mieux en évidence quelle considéralion et quel crédit mérite la presse libérale quand elle se pose, comme cela lui arrive tous les jours, en vengeressede la moralité publique. On se rappelle que la principale accusa tion dans l'odieux procés de M. Delancker était une des 11 enfants naturels d'une nommée Oct. Waeghemaker de Proven. Or cette femme qui était généralement repons- sèedansson village pour ses scandales et son inconduite notoire, devint, par le fait mème de l'outrageante accusation lancée contre le saint et courageux prêtre, une hé- roïrne libérale en même temps qu'une mar- tyre de la haine cléricale. Pour vous donner une idéé du triste róle que lesjournaux libéraux ont joué dans ce fameux procés ourdi dans l'ombre, je laisse snivre ici l'extrait d'une lettre adressée de Rousbrugge au Progrès d'Ypres el repro duce par la Flandre libérale dans son N° du 27 Juillel 1876 La femme O. W. ,donl la fille a été victi- time, dit le Progrès, ne trouve plus de travail mille part; on l'accuse d'avoir pro- voqué de fausses déclarations de la part de celle enfant!.... pen importe que les dé- clarations de la mère et de la fille soient corroborées par le témoignage de méde- eins légistes, cette pauvre femme est pour- suivie au point que les cultivateurs, qui sont presque tous congréganistes.imposent aux bandes d'ouvriers qu'il engagerit potir la durée de la moisson (bandeniers) la con- dition dene prendre a leur service ni la- femme 0. W. ni aucune de ses enfants. Ce serait peu de chose, si la se bornait la vengeance cléricale;tnais le mot d'ordre estdéja si bien répandu parini celte popula- tion fanatisée que la femme O. W. s'est vu refuser du pain contre de l'argent comp- tant, par des boulangers de la commune. Aprés avoir reproduit ces jérémiades sur l'intéressante femme De Waeghemaker la Flandre continue sur ce ton II semble monslrueux que dans un pays civilisé comme la Belgique il puisse se passer de paredes infamies! Telle est pour- tant bien ia situation queeréea la Belgi- que le fanatisme de ses prètres. A Sl-Gènois, etc.... Après avoir donné plein cours a leurs la mentations et a leur furiboude indignation sur les populations fanatisées par le clergé, le Progrès el la Flandre eussenl pu ajouter que la digne femme O. Waeghemaker se trouvail amplement dédommagée du refus des cultivateurs,presque louscongréganis les,» par la fine fleur de la gent liberale qui ne cessa de la choyer et de la cultiver. Ainsi a celte époque elle était soignée comme une inignorme par les limiers de la justice, elle hantail les chataux, mème elle était en pour parlers avec d'anciens conseillers de la cou- ronne! Ce n'était pas petite biére, comme disent les Flamands. Si ces égards et cette protection se trou- vaient bien places, je vous en laisse juge, M. I'éditeur, par le fait suivant auquel je faisais allusion au commencement de ma lettre Le 29 Mars dernier le tribunal d'Ypres vient de condamner a trois mois de prison et une forte amende la fameuse prolégée de la Flandre libérale et du Progrès ainsi que l'une de ces quatre enfants naturels qui sont encore en vie. Celle intéressante fille. qui, d'aprés les organes de la gueuserie, n'a- vail pu trouver del'ouvragechezlesc/iarrMes croyanl en Dieu, comme dirait M. Frére, était parvenue a trouver de l'ouvrage et mème a prendre du service dans une familie libérale de Poperinghe, oii elle s'est rendue coupable de plusieurs vols qui ont entrainé sa condamnation ainsi que celle de sa chère mére. Eh bien, messieurs les écrivains gueux du Progrès el de la Flandre'. qu'esl-ce que le cceur vous en dit? N'allez-vous pas lancer vos foudres contre Ie Tribunal d'Ypres qui aosé condamner voire aimable héroïne? N'allez vous pas injurier la lame de votre vaillanle épée pour attaquer M. le Procureur Ivveins qui a osé poursuivre cette illustre martyre des infames cultivateurs congréga- nistes de Proven? Laissezdonc coulera pleins bords les accents émus de votre indignation, répétez en choeur II semble monslrueux que dans un pays civilisé comme la Belgi- que, il puisse se passer de pareilles infa- mies! Telle est cependant bien la situation que crée a la Belgique le fanatisme de ses prètres. O tempora! o mores! que la presse gueuse doit ètre tombée bas quand elle est obligée d'encenser et d'illustrerde pareilles héroïnes! que le libéralisme est descendu vite quand il doit chercher dans ces bas-fonds les person- nages qu'il soudoie pour vilipender et outra- ger nos plus dignes prètres el nos plus saints religieux. On nous éerit de Vlamertinghe Dimanche dernier c'étail fèle au hameau de l'Iloekje. Dés le matin les maisons pavoi- sées aux couleurs nationales faisaienl soup- conner au passant un jour cf'aIlégresse. Pour la septième fois la riaissance d'un fils était venu apporler la joie et le bonheur a l'humble foyer de la familie Hoflack. Les Hoflack a Vlamertinghe sont des ou- vriers actifs el honnêtes: riches el pauvres, grands et petits, tous leur prodiguent leur estime. De li eet empressement unaniine a rehausser l'éclat et perpétuer le souvenir de eet événement. Notre bien-aimé Souverain donna en cette circonslance une nouvelle marque de sa déli cate bienveillance. il voulul accepter la qua- lité de parrain du nouveau né el pria notre digne Bourginestre, M. le notaire Veys, de le remplacer a la cérémonie. Ce furent lui et Madame Théodore Veys qui tinrent sur les fonts baptismaux le filleul du Roi. II m'a été donné, M. le Rédacteur, de pé- nétrer ce jour la dans le modeste intérieur de cette intéressante familie. C'était au retour de l'Eglise; Le tableau était saississant. Les six ainés, accablés sous le poids de friandises dues a une générosité privée. étaient sous le coup d'un bonheur dont ils ne se rendaienl pas compte. Vint le tour des parents. Emus de leur voir tant d'honneur, ils ne purent en croire leurs yeux, quand M. le Buurgmeslre sorlit sur la table la gratifi cation de cent cinquanle francs que Sa Ma- jeslé oclroyait aux bienheureux parents. Monsieur le Rédacteur, il y a de ces scènes qui ne se décrivenl pas. Je ne dirai qu'un mot de celle ci: e'est que tous les eoeurs bat- laient a l'unisson d'amour el de reconnais sance pour notre Roi bien-aimé. Tout Vlamertinghe apprit avec bonheur cel acte vraiment royal. Le Roi a resserré plus que jamais les lions qui rattachaient a Lui tous les cceurs de notre grande, popu- leuse et palriotique commune. Ce n'était pas tout encore, après la géné rosité royale vint la générosité privée. Le lendemain, une table èlégamment dressée et surlout abondamment fournie, réuuit autour d'elle, l'heureuse familie Hoflack, et ces puu- vr.es d'argent mais riches de coeur, confon- direnl dans leur joie reconnaissante les noins de leur Roi et de leurs bienfaiteurs. BURGERSTAND VAN YPEREN SUCRIGEM SVfARKTEftS. HdMELIfiARXT. i T I I I .1 g I I: II I I I I I M ISI II I i I z l I I I I l I I i 'II l il i l I I I IN g I I I I I 3 I 3 I I S I I IMIII Sptn M i M I I S I I I I I ==:o 1 1 I I SI I I s I s; i 1 I 8 I II II II I 11(11 VERKOOPING van Itï Weüiti'oobcliekc, digt bij de plaats, langst de kalchiede loopende naar Passchendaele, recht over d'herberg de gemiste misse, Op MAANDAG 9 APRIL 1877, om 1 ure namiddag. Betaalbaar bij den Deurwaarder DEWILBE, te llooghlede. ©pessSfiiare VcrEi«ï»pisïg van te REMINGHELST. April ÜSSÏ. (Maria boodschap:) om een uur zeer precies namiddag, ten sterfhuize van sieur Amatus-Mauritius Hof, ter her berg Roozendael, teReninghelst, tegen over de Kerk, openbare verkooping der volgende roerende goederen 2 Kleerkassen, 3 Hoekkassen, 2 Sto ven, 50 Stoeien, 10 Tafels. Banken, 3 Slaguurwerken, waarvan eene met kas, Lessenaar, Toog en Buffet, 6 ko peren Kandelaars, 4 Bedbakken, 2 Nachttafels, Lavabo, Schraagtafels, Meelstande, Leer, 2 Matrassen, 4 plui men Hoofdeinden, 5 wollen en 5 katoenen Sergen, Onderbedden, Bed gordijnen, 2 Waschkuipen, Bouwd- stande, Boterpotten, Wijnmande, 2 koperen Marmijtten, 2 koperen Moo- ren, koperen Schoudketel, 2 koperen Spoelbakken, 2 zinken en 2 houten Eemers, Gantieren, 4 Kinquets, 3 Vuurpotten, 150 diepe en platte Tel- looren, Soupekommen, 80 Lepels en 80 Tafelvorken,70Tafelmessen,6 Lou- chen, Sauskommen, 3 limonade Kom men, Kaders, Spiegels, 2 schoone tin nen Kommemtinnen Pla, 8 tinnen tel- looren, tinnen Trekpot, 2 koflij Kan nen, Brandhout, Gantieren en menig vuldige andere voorwerpen den dag dervenditie aan te bieden. Deze venditie zal gehouden worden met 3 maanden tijd van betaling, voor de koopen van 5 fr. en daarbo ven mits goede en bekende borgen te stellen, ter aanveerding van den Notaris BOUDEWYK,te Reninghelst met deze venditie en ontvangst belast. VERKOOPING van BEUKEN EN POPELIEREN TE ZÖiTNfEBEME. WOENSDAG, 11" APRIL 1877, om 2 uren namiddag, op de landen der hofstede, gebruikt door sieur Josephus Masschelein, langs den steen weg van de Broodseinde naar Bece- laere. Door 't ambt van den Notaris Vantlermeerscli, te Ypre. G. MEERSCII on Reninghe, in 4 koo pen, al gebruikt door de wede. Van- drornme, mits fr. 2800-» bij de jare, boven fr. 1400 hoofdkleed, de lasten en liet onderhoud der gebouwen, met pacht tot 1" October 1884. De voorwaarden bij gezegde Nota rissen. OPENBARE VERKOOPING ONROERENDE GOEDEREN, ZAAILANDEN, MEERSCHEN, BOSSCHEN, CHE1NS- GRONDEN EN HUIZEN, te samen inhoudende, volgens de plakbrieven, 60 hectaren, 40 aren, 6.4 centiaren, verdeeld in 51 loten. met Hof, Stalling, Remise en Koets poort, in de Hondstraat, N° 23, bin nen Ypre. Den INSTEL, WOENSDAG 25" APRIL 1877, om 9 uren 's morgens, ter estaminet dun Gouden Arend, op de Groote Markt, binnen Ypre, ingevol ge de voorwaarden, berustende ten kantore van den Notaris VAKïïER- HlEERSCH, te Ypre residerende. Instelpremien le winnen. (lc een ie «1» MF.11IIL en asstllerc flip met og» IN EENE ZITTING. ten 2 uren namiddag, in de zaal der Meierij te Comen, (Yrankrijk), zullen de Notarissen lefebvre delebicque te Ryssel, met tusschenkomst van den Notaris, te Passchendaele overgaan tot den OVERSLAG van 1° Eene schoone en goede HOF STEDE, op Kemmel, groot in erf H. 23-96-19. - Verdeeld in 14 koopen, gebruikt door Sr. Goudeseune, mits fr. 2700-» bij de jare, boven fr. 1350-» hoofdkleed, de lasten en het onder houd der gebouwen, met pacht tot 1" October 1881. 2° Eene schoone en goede HOF STEDE op Proven, groot H. 28-58-30 verdeeld in 16 koopen, en II. 2-09-90 AVEC BELLE HABITATION, vastes Magasins SÉCHüIRS ET MOULIHS A ÉCORCES, en un bloc de 10 ares 91 centiares, a proximité d'excellentes voies de com munications (chemins de fer, chaus- sées et canaux); au centre d'un pays d'écorces, T qualité, voiturées sur les lieux sans frais; comprenant 30 fosses et cuves; emplacement suffisant pour nouveiles cuves et corroirie, pouvant servir a une brasserie ou a toute au tre industrie. Maison médaillée aux Expositions de Harlem, Gand, Bruxellcs, Paris et Ypres. A voir les Mercredis et Samcdis s'adresser chez M. Van Alleynnes- Schockeel, rue de Thourout. Facilités de paiement; on s'engage a mettrc Facheteur au courant de la fabri cation. N. B. A la demande, les TROIS MAISONS D'OUVRIERS seront ven dues a part. Entrepreneurs de plafonnages, SPÉCIALITÉS Rue Vieux Marché-au-Bois, 12, YPRES. FABR1CANT DE CHAPEAUX DE PAiLLE, k ü."ps*eg, a l'honneur d'informer sa clientèle qu'il possède un beau choix de clia- peaux et casquettes en paille, erin, panamas, etc., pour dames, hommes et enfants, de formes les plus nouvei les. II se charge aussi de laver et mo derner tous les vieux chapeaux qui lui sont conflés. On y trouve les chapeaux garnis et non garnis, fleurs, rubans et garnitu res de tous genres. du Dl' Patisson 2i& (Kentïöte et MSasiiMatisiases g, tfrTTT -"if-'tTTr3*"*;*YTW -f.TiM van den 30 Maart tot den 6 April 1S77. GEBOORTEN. Mannelijk geslacht 6. Vrouwelijk id. 3. HUWELIJKEN. Depuydt, Julianus, ijzerdraaier en Dehollander Victoria, kantenwerkster. Viaene, Arthur, werkman en Payé, Maria, kantenwerkster. Gillis, Petrus, huidenvetterswerkman en Van Leene, Maria, kantenwerkster. Vermeulen, Alphonsus, barbier en Joos, Gelina, zonder be roep. Blieek, Bernardus, slachter en Moulioz, Maria, modenwerkster. LUSSGHENTIBR Julianus letterzetter en DEVOS Eugenia kantenwerkster. STERFGEVALLEN. Van Overschelde, Vital, 68 jaren, werkman echtgenoot van Maria WildermeerschLange Thouroutstraat. Breyne, Pliilippus, 66 jaren, zonder beroepongehuwdLange Thourout straat. Paket, Garolus, 51 jaren, herbergier, echtgenoot van Sylvia DewormSint-Pieters nevens Ypre. Preyers, Hector, 27 jaren, kleermaker, ongehuwd, Sint-Jacobsstraat. Bonnet, Maria, 33 jaren, zonder beroep, echt- genoote van Arthur Adenot, Boterstraat (Beluik) Goubé, Florentia28 jaren, kleermaakster, echtgenoote van Augustus Vermeerseh, Koei- markt. Grison, Ludovicus, 78 jaren, hovenier, weduwenaar van Sophia Vanhove, Boterstraat. Dehollander, Josephus, 33 jaren, daglooner, echtgenoot van Maria Grimmonprez. Kinderen beneden de 7 jaren. Mannelijk geslacht 3. Vrouwelijk id. 4. VEURNE, 14 Maart, fr. 19,50 tot 21,00. 21 Maart. fr. 19,00 tot 20,75 de 145 liters. BERGEN (Frankrijk). 19 Maart. fr. 13,43 26 Maart. fr. 13,62 per hectoliter. POPERINGHE, 23 Maart. fr. 95 a 97,50 de 50 kilogr. O* !-< B KI E O wznrzs -r u/D _2 - pst-"0-! cc ff P I ff g Kgr-" 2. r* te ff r- ff er cr ff" n> cc co O O O O o O I to I Cï tO hS hSW b£) w w M C O OO cT -5 aT^o"1 p -t O 33 co f 5 as Bp-: CO co O CT3 co O I Csj ff ff- s p c3 co O gP3 p p O pr p pr; O ff- ff aq co O PT co O O o O O o O o O, PT O O -5 C cr. O 00 zr - CO O o P1 O o o P zr.zr. o ZJ'. O W C". C/C OJ o '-l <1 OC I o I O O o O O o O o C. O o ?r 7? pr vr |>S K9 I hS c - I O hS t>s O to O O O r- cs O O C5 bö O O O O O cr- O O oo zr. Co CC CO O 00 CO H w c c^cai: 7ao Q-s U L r-- w >oiZ (JjzT.oo pr I - - w - Is au ,r at o to 00 p- w to - ac 10 "o' KR *-'• GO GO j" 03' V. 03' co ET aq O I CO O CO I CO I hS to to to ta o I ac co oo I bS hS ts2 NS co O I tO O 1O ff CTj aq PI 2.H Oi -*■ O O 4^ D.° C* -4 O rT" ff I I IO to to to GO OC CO CO I I I 1 1 1 1 1 1 1 1 1 I I CO -*■ to to CO 1 O O GO a: (zj i I I 1 1 °r- ffj 1 1 1 1 1 1 O •d. O O O O O pr ?r 1 1 to ff- O to to 1 to 1 O CO -J I 1 1 1 ES p: CO 1 1 1 1 I to 1 ac 1 1 1 1 at tr CO 1 1 CO 1 1 1 2. I I 1 1 1 GO 1 1 1 1 1 t«s co o I ff- ff ff- c u> 2 n ff- ar P5 co i os ta P- ff aq O to KS h£) to rO co o co cc CO CO O CS ff 5 ff P3 aq P3 >5! fit) lk.oo|»cii van bestaande in I'M* fi at S a»" g I ©C vM gelegen te en van - r «vsisi »jb-s wyhiMiiiiiiMi POUR SALONS, ETC., RUE DES CHENS, '16, i'oulage instanlaoémtnt cl guérit radicalement de toulc soi-le, mal aux denls, lombagos, in ila- lions de poiirine et maux de george. En rouleaux a fr. 1 150 et demi rouleaux a 80r. chez Becuwe, pharmacien.

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1877 | | pagina 3