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MEEESGHEM
UNE TjytNERIE
B. 0TE-DIER1CK,
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GHELUVELT, BECELAERE EX Z01EBEKE,
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Donderdag 19 April 1877,,
A VENDRE A YPRES
3 MxAISONS D'OUVRIERS,
L. S1ROÜX et Fils,
D'ORNEMEÜTS Eli PLATRE
AU BÖN CAFÉ.
Vos rédacteurs, Progrèsfourniront saus
nul douie des hommes propres a ce métier,
et nous ne larderons pas longtemps a les
voir se presser aulour de nos chaires..
En effet, quel sera Ie résultat de ces inves
tigations gueuses"? De fournir a la presse
libérale des fails mensongers, des calomnies
iudignes, des paroles tronquées ou sollemenl
interprétées, que les mouchards libéraux
rnetlront dans la bouche de M. Ie curé de Y
ou de Z.
Ces reporters d'un nouveau genre, rece-
vront sans doute quelque gratification
pécuniaire de la caisse de la fédération libé
rale, en reconnaissance du métier loyal et
distingué qu'ils accepteront. Quel en sera Ie
tarif, nousfignorons; meltons cent sous pour
un simple mensongedix francs pour une
interpolation fausse; un louis pour une ca-
lomnie; el qui sail? une primcde cent francs
peut-élre, pourceluiqui parviendra a altraire
un curé en justice.
Vindépendance, qui envoyait, il y a peu
de temps des sténographes recueillir les
sermons des Carmes de Bruxelles, les avait
tellement dénalurés, qu'elle se vit obligée
par les Révérends Pères d'insérer plusieurs
rectifications. Qu'on se figure aprés cela,
quelle sera la reproduction des passages
rapporlés par les godelureauxde l'association
d'Ypres, et lutli quanti qui n'auront eu que
leursgrandes oreilles d'ane pour entendre
et leur langue de vipère pour rapporter.
Nous devons done nous attendee a une
recrudescence d'infamies et de mensonges a
l'adresse du clergé. Mais si les libéraux se
figurent que leur presence arrèlera la vérilé
sur les lévres du prètre, ils Ie connaissent
bien peu.
L'intimidalion, les menaces, l'exil et
les tourments n'ont jamais empèché
les soldats du Christ de faire entendre
la parole de Dieu aux peuples el aux rois.
Depuis Néron, Ie premier persécuteur des
chrétiens, jusqu'a Bismark, Ie spolialeur du
elergé allemand, des milliers de libres-pen-
seurs ont vainement essayé de metlre la lu-
miére sous le boisseau. Et la, ou n'ont pu
aboutir ni les empereurs romains, ni les ty-
ranneaux modernes, les mouchards du libé
ralisme beige complent réussir! Quel aveu-
glemenl el quel oubh de l'histoire. Disons
plus, quelle bassesseet quel avilissement.
Se représente-t-on, en effet, des membres
du parti libéral se faufilant dans une église,
et venant hypocritement s'agenouiller au
pied de la chairedans l'iutenlion malhonnète
de saisir quelques mots a incriminer. Con-
naissez vous quelque chose de plus lache
que eet espionnage éhonté? Comprend-on un
honnête homme s'abaissant au métier d'es-
pion libéral?
Eh bien, le croiriez-vous, lecleurs, a cette
nouvelle le Progrès enlonne un chant de
victoire qui, pour nous, est un chant bien
lugubre. 11 ne doule pas qu'il ne se trouve
ici, comme ailleurs, de ces hommes éhonlés
qui se prèteronl a ce trisle métier!
Quant a l'ceuvre a laquelle vons vouez
toute voire admiration, elle n'est point nou
veile, charmant Progrès.
La Belgique, passé un demi-siécle, possé-
dait un minislre, homme d'odieuse mémoire,
il fut tout a la fois le promoteur, le président
et le Mécéne de cette inquisition gueuse, res-
suscitée a l'heure actuelle par nos révolu-
lionnaires, qui ont soif de sang. Ce minislre
élail Van Maanen.
Voici comment un ancien membre dn
Congrès national, M. Robert Delias d'Hudde-
ghem, parle de l'infame systéme d'espion-
nage pratiqué a cette époque dans nos églises
el dont les Gueux essaient la reslauralion
Van Maanen, écril-il, voulait détruire
noire religion et loutes nos liberlés a cet
effel il fallait comprimer les prètres, les
tracasser sans relache... II organisa done
dans les provinces de la Belgique une ar-
mée d'espions, commandée par les plus
laches des hommes, prèts a sacrifier leur
conscience el leur honneur pour plaire a
un despote; sachant profiler de leur fai-
blesse, il osa mètne leur insinuer qu'il fal-
lait, pour plaire au roi, faire connaiire
touies les démarches du clergéet même
faire parvenir au roi des rapports confi-
denliels; que des soupcons suffisuient;
1 qu'il ne fallait pas toujours de laréaliié.
A l'appui de ces faits,M. Hélias cite plusieurs
circulaires de Van Maanen qui irivitent la
raagistratui'e a coopérer a la guerre faite au
clergé. Da ns Tune de ces circulaires le
ministre va j nsqu'a dire: II m'a élé bien
1 agréable de pouvoir, a plusieurs occasions
communiqu\cr au roi des preuves bien
prononcées el non équivoques, des senli-
merits louables que plusieurs tribunaux et
officiers judiciaires m'ont manifestés a cet
égard.
On le voit, l'esprit libéral est totijours le
même une haine aveugle contre le clergé
est la première vertu du bon magislrat et
le meilleur litre aux faveurs du pouvoir.
Cette organisation de l'espionnage gueux
porta bientötses fruits. II ne se passa plus
un mois, dit M. Hélias qu'on ne vil des
prètres traduils devant les tribunaux.
L'honorabie publiciste entre ensuite dans
le détail des procés intenlés a cette époque,
grace au zèledéployé par les moucehardsde
Van Maanen, véritables chicns-terriers d'une
magistrature qui voyait dans de pareilles
poursuiles le meilleur moyen de faire sa
cour au Roi.
Parmi ces procés figurent ceux de MM.
lmpe, curé d'ldderghem, Van Assche, vicaire
d'Escornaix, Leirens curé de Loochrisly,
Smets, curé de Borsbeke, Boulvin, curé a
Tournai, Van Peteghem, curé St-Liévin,
l'abbé Buelens d'Anvers, Precede, curé des
colonies de Wortel, Huart, vicaire de Sainl-
Brice a Tournai, B. Desmet, supérieur au
collége Sainte-Barbe, a Gand, etc., etc.
Ce qui achève de caractériser cette senten
ce, e'est que douze lémoins honorables, par
mi lesquels se tonvaient des avocats, des
magistrals, des ecclésiastiques, des négo-
cianls bien posés, étaient venus déclarer que
M. De Smet, loin de censurer le systéme
d'enseignement de l'Elat, rïen avail pas
même parlê.
Et voila le beau régime que les Gueux
d'Anvers essaient de restaurer en Belgique
avecla complaisanle approbation des princi-
paux organes de la presse gueuse et du
Progrès!
II est vrai qu'ils ne sont encore qu'au dé-
bul de leur taehe.
Pour mener leur oeuvre a bonne fin, il
leurfaudrait lout d'abord un nouveau Van
Maanen et la reprise du systéme de nomina
tions judiciaires iriterrompu par le «soula-
gement universel de 1870, ce verdict li-
bérateur qui est venu si heureusemenl arré-
ter la Belgique sur la penle funeste de la
lutte civilisalrice!
Jusque-la YOEuvre des Monchards réunis
risque fort de récoller plus de mépris que
de suecés, el les encouragements de cette
presse avant-coureurs de ces néfastes jour-
nées qu'ils veulent ménager a notre palrie,
ne dédommageront pas ses membres de In
version de toute la Belgique honnète.
Cependant ces premiers essais de réorga-
nisation de l'inquisilion libérale doivenl ser-
vir d'averlissoment aux catholiques. Par le
seul tracé des fondemenls, ils peuvenl juger
du plan général de l'édifice el deviner quel
usage les libéraux feraient de la conquète du
pouvoir!
Déja nos Gueux déclarent qu'il faut aller
plus loin que MM. de Bismark et Mancini,
et l'on sait jusqu'oü vont ces dermers. Nous
avons done plus que jamais unir lous nos
efforts pour préserver l'Eglise, pour préser.
ver notre pays du retour de la domination
libérale. Que l'énergie de notre défense sache
paralyser l'apre ambition du libéralisme et
nous épargnerune crise d'oü pourrait sortir
la ruine de la Belgique, comme de la politi
que Van Maanen est sortie, il y aura bientót
un demi-siècle, la dissolution du royaume
des Pays-Bas. L'intérêt de la religion se con-
fond ici, comtne a loules les grandes époques
de notre histoire, avec i'intérèt de la patrie,
et la cause catholique embrasse, ennoblit et
sanctifie, peut-on dire, la cause nationale.
Deux de ces poursuiles offrent des parti-
cularilés qui montrent bien jusqu'oü peut
descendre une magistrature dominéé par
l'esprit de parti et servie par les inisérables
auxiliaires que Van Maanen employait a la
traque du clergé.
Dans le procés de M. lmpe, curé d'ldder
ghem, accusé en 1826, d'avoir dans un
sermon critiqué et censuré les lois en vi-
gueur, figuraient deux témoins du même
nom. L'un avait été interrogé devant le juge
d'instruclion; l'aulre nc l'avait pas élé. De-
vant le tribunal de Gand, dit M. Hélias, le
procureur criminel intimida, en le mena-
cant de la prison, Ie témoin qui n'avait pas
été enlendu devant le juge destruction,
au point de lui faire convenir qu it avail
donné son lémoignage devant ce magis-
y> trat; mais un des membres du tribunal
découvrit l'erreur dans la procédure écrite
et qu'il y avait deux témoins du mème
nom.
La poursuite inlenlée a M. Bernard De
Smet, supérieur du Collége Ste-Barbe, n'esl
pas moins instructive. C'est vraiment le ty
pe du genre que nos libéraux cherchent a
faire refleurir en Belgique.
A l'occasion de l'ouverture d'un orpheli-
nat a St Nicolas, M. De Smet avait prononcé
un sermon sur les bienfails de l éducation
religieuse. Dans les développements de son
sujet, il avait élé amené a parlerdu systéme
de sécularisation qui, dés lors, complait de
nombreux partisans parmi les ennemis de
l'Eglise. II y a aujourd'hui, disait-il, des
livresqui veulent exclure l'enseignement du
dogme de l'enseignement religieux, et peut-
ètre tel ou tel de ces ouvrages se trouve-t-il
entre les mains de plus d'un inslituteur.
L'orateur n'avait parlé que d'une maniére
générale, sans faire aucune mention ni des
écoles établies, ni de l'enseignement mono-
polisé.
On l'accusa néanmoins d'avoir fait allu
sion a un livre publié a Groeningue par un
fonctionnaire nommé Floh et d'avoir ainsi
critiqué ou censuré les actes du gouverne
ment.
Cette incroyable accusation soutenue par
lepioeureur du Roi De Coninck, fut admise
par le tribunal et M. De Smet fut condamné
a trois mois de prison.
indigne, foulant aux piedsses serments, ra
vissant l'honneur des families et fuyant,
chargé de inéfaits, devant la gendarmerie.
Auronl-ils la loyaulé de déclarer qu'ils
ont été induils en erreur? Rendronl-ils a ce
digne homme qu'ils ont calomnié, le trihut
de vérité auquel il a droit? Faudra-t-il que la
justice s'cn mèle, pour les forcer a renlrer
dans les bornes de l'honnèleté
i) Pour noire part,nous doulonsquela Chro-
nique et la lourbe des journaux libres-pen-
seurs qui se sont jetés comme des oiseaux
de proie sur la calomnie élaborée par
YEcho, reviennenl sur leurs pas, s'ils n'y
sont pas conlraints. Qu'ils y prennent garde
cependant: il se fait, en ce moment, une en
quête au bout de laquelle ils pourraient bien
rencontrer du papier limbré et lout ce qui
s'en suit.
Le Progrès se rélraclera-t-il?
ACTES OFFICIELS.
Par arrèté royal du 5 Avril, une pension
annuelle et viagére de 575 fr. est accordée
a M. J. Van der Beke, ancien vicaire a
Bruges.
Le Progrès raconte une histoire de con-
fessionnal dont il garantil l'exactitude. II
s'agit d'un sieur Ca qui un curé aurait
non-setileinent refusé I'adtnission a la confes
sion, mais qu'il aurait mis a la porie de l'é-
glise. Ces fails seseraient passés dans une
commune limitrophe de la France. Quel
pourrait bien ètre ce sieur Cel quelle
commune a été le theatre de ces fails.
Les désignalions du Progrèstrès-suflisan-
tes pour répandre une calomnie et en assurer
le succés, manquent de la précision requise
pour permeltre de donner a son auteur
une lecon judiciaire. C'est ce qu'il faut au
journal libéral; cela rentre dans la politique
pratique.
Le but est alteint. Le Progrès a diffamé
un membre du clergé et mis sa caisse a l'a-
bri; double profit: l'une se remplit mal: tous
ping res les libéraux, a écrit la Chronique
qui les connait; l'aulre est le grand adver-
saire que le libéralisme s'est donné pour mis
sion de détruire.
Le Progrès espére que le sieur Cdé-
posera une plainle. Cela nous parait dépas-
ser la bonne mesure; il n'est pas toujours
sür de payer d'audace, on pourrait rencon
trer des malavisés qui ne se contenteraient
pas de cette monnaie.
Et dire que malgré tous ses efforts le Pro
grès verra lesgens seconfesser comme au-
paravant. Cette perspective est dure, mais il
la subira. Le confesseur demeurera ce juge
qui seul a le pouvoir d'absoudre réellement
ici bas, et au jugemenl duquel tout homme
doit se soumettre, sous peine de rencontrer
lót ou tard un tribunal ou les plaidoyerset
mème les réquisiloires seront absolument
sans effet.
Le Progrès, avec les autres organes du
libéralisme, voudrait détruire ces vérités.
Vain labeur! D'aulres, plus forts que lui, s'y
sont mis, et la confession demeure et demeu
rera toujours. Pourquoi? Allez au catéchis-
me, Progrès, les petits ènfauts vous le dironl.
AVIS.
Par arrèté du G Avril, M. le minislre des
travaux publics décide que la navigation sur
les rivières et canaux sera inlerrompue cette
année aux époques suivantes
Dendre canalisée entre Alost et Termonde,
du 15 Juin au 15 Seplembre canal de
Bossuyt a Courtrai, du 15 Juiliet au 24 Aoüt
canal de Bruges a Ostende, du 7 Mai au
21 Mai canal de Plasschendaele a Nieu-
port, du 4 Juin au 23 Aoüt canaux du
Moerdyck el de Bourgogne, du 4 Juin au
23 Aoüt l'Yser, du 1 Juin au 21 Juillel
canal d'Ypres a l'Yser, du 1 Juin au
21 Juillel.
2° Eene schoone cn goede HOF
STEDE op Proven, groot H. 28-58-30
verdeeld in 16 koopen, en H. 2-09-90
C. MEERSCH on Reninghe, in 4 koo
pen, al gebruikt door de wedc. Van-
dromme, mits fr. 2800-» bij de jare,
boven fr. 1400 hoofdkleed, de lasten
en het onderhoud der gebouwen, met
pacht tot 1" October 4884.
De voorwaarden bij gezegde Nota
rissen.
OPENBARE VERKOOP1NG
ONROERENDE GOEDEREN,
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MEERSCHEN, BOSSClIËN, CHEINS-
GRONDEN EN HUIZEN,
te samen inhoudende, volgens de
plakbrieven, 60 hectaren, 40 aren,
64 centiaren, verdeeld in 51 loten.
met Hof, Stalling, Remise en Koets
poort, in de Hondstraat, Nu 23, bin
nen Ypre.
Den INSTEL, WOENSDAG 25"
APRIL 1877, om 9 uren 's morgens,
ter estaminet den Gouden Arend, op de
Groote Markt, binnen Ypre, ingevol
ge de voorwaarden, berustende ten
kantore van den Notaris VAfiDER-
MEERSGH, te Ypre residerende.
Instelpremien te winnen.
FAITS DIVERS.
POUR L'ÉDIFICATION DU PROGRÈS
D'YPRES.
Le Progrès publiait dans son numéro du
lr Avril une calomnie odieuse contre le curé
de Meddernach (grand duché du Luxem
bourg), qu'il représenlait comme un prètre
indigne et coupable de fails graves.
L'auletir mème de cette calomnie, I'Echo
du Luxembourgvient de se rétracler. Voi
ci ce que nous lisons dans la Voix du
Luxembourg:
ENFIN!
Nous trouvons, dans le numéro de 1 '/?-
cho du 6 Avril, la piteuse rètractation que
voici:
Nous avons promis d'en référer a notre
correspondant au sujet de la nouvelle qu'il
nous avait communiquée relativement au
Curé de Meddernach. Nous recevons sa ré-
ponse: il nous témoigne lous ses regrets
de nous avoir indulten erreur comme il
l'avait été lui-mème.
Cette rètractation tardive n'atténuera pas
mème l'immense scandale que YEc/io a pro-
voqué. Les journaux gueux se sont acharnés
contre M. le curé de Meddernach; ils j'onl
exposé, dans leurs colonnes, au mépris pu
blic; ils l'ont représentè comme un prètre
«Se t i'nr ÏCENIMËL
en de andere <»g» INRWVISM'
met
op REfflNGBUE,
IN EENE ZITTING.
ten 2 uren namiddag, in de zaal der
Meierij te Comen, (Vrankrijk), zullen
de Notarissen LEFEBVRE deledicjjue
te Ryssel, met tusschenkomst van den
Notaris, te Passchendaele overgaan
tot den OVERSLAG van
1° Eene schoone en goede HOF
STEDE, op) Remind, groot in erf H.
23-96-19. Verdeeld in 14 koopen,
gebruikt door Sr. Goudeseune, mits
fr. 2700-» bij de jare, boven fr. 1350-»
hoofdkleed, de lasten en het onder
houd der gebouwen, met pacht tot
1" October 1881.
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sées et canaux); au centre d'un pays
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Ypres.
van
bestaande in
gélegen te
en van
M. le Minislre de la justice a rendu visite a
Louise Lateau, le jour du Vcndredi Saint. Des
mouchards libéraux l ont suivi pendant tout son
voyage.
Chariot, de la Chronique, est rentré au
couvent des Trappisles, le 1 aviil.
Au Palais Ducal s'est ouverle samedi la
jolie exposition des Aquarellisles. M. Maloti n'a
rien envoyé cette année-ci.
Un sauvage civiiisé vient d'arriver a Bru
xelles. Ce n est pas M. Van Iseghem.
On a signé dimanche la convention par
laquelle la vilte de Bruxelles devient propriétaire
du jardin Zoologique. Vive Bruynen
M. Hagemansne se retire décidémeul pas
do la Chambre des représentants. Pluuditecives
Les solennités religieuses de la Fète de
Paques ont été suivies partout par une foil le
innombrable. Non Non la foi n'est pas morte
encore.
On parle d etablir ii Iiruxelles un bassin de
natation... Nous avons le temps d'attendre sous
I'onne.
M. Belpaire, président du Cercle catholi
que d'Anvers, vient de recevoir la croix de
chevalier de I'erdre de SaintGrégoire-le-Grand.
Voila une distinction hóblement mérilée.
Les énergumènes de I'lnternalionale se
réunissent en unCongrès soeialiste a Gand... M. le
bourgmestre de Kerckhove tremble pour son
coffre-fort.
Retour de la Kermesse de Dieghem
Un garcon boueher tue son futiir beau-père a
coups de couteau. N'est ce pas que nos inosurs
deviennent bien douces et bien poiicées?
«GSJSSKHEUiZs
CHRONIQUE DES HOUBLONS.
Poperinghe, o Avril. Le calme dans les
affaires est absolu, les transactions sont nulles et
la baisse s'decentue de plus en plus: les offres sont
descendues au-dessous de 1ÜÜ fr. les üO kilos.
Jusqu'ici aucun déhouché ne s'ouvre pour nos
houbions, les magusins restent rempiis de niar-
chandise, lant ehez le planteur que chez l'ache-
teur.
POUR SALONS, ETC.,
!>A^32?iZi«BK-3fcSSi-i«t3SMDai«C2B
ItUE DES CHENS, 16,
43, ¥|5S*fSi,
de