'ó^ê^S, I fG I cfiZ-MUftjf Mercredi 18 Avril 1877 12e année. N° 1,179. '■n V) O I z /ilk ^-)^\a ?7m«, r v H l.c Journal pa rail le Mercredi ct le Samedi. Les insertions coateol 13 centimes la ligrie. Les réclames et annonces judiciaires se paie'nl 30 c uitimos la lignc. On traite d forfait paar les insertions par année. [Jn numéro du journal, prijs an Bureau, 10 centimes. Les numéros supplemental res commandés pour articles, Réclames on Annoncés, 'coül'enl '10 Ir. les 100 excmplaires. M E M a US S n E SF K 15. 1 Décembre. L'ENSEIGNEMENT CONGREGANISTE. Le Liberal a voulu montrer a ses lecteurs par des chiffres que l'enseignemenl des Fró- res et celui des Soeurs ne vaut rien du loul, a cöté des splendeurs de l'enseignemenl laï- qtie. Mais le Liberal n'a réussi qu'a proever uneseule chose, c'est qu'il n'a jamais suivi un cours de logique. Oyez plutól A Paris, dil-il, les écoles congréganisles recoivent 37,000 éléves. Or, il n'y a que deux p^ur cent des instituteurs congréga nisles qui soient pourvus du diplome de capacilé Nous conteslons formellement ces deux allegations du Libèral. Mais supposons qu'elles soient vraies: qu'est ce qu'elles prou- veraient? Ne sait-on pas que, dans chacun des con cours annuels, pour l'oblenlion des bourses du département de la Seine, les écoles des Frères batlent a plale couture les écoles cotn- munales officielies Quand les éléves d'instituleurs non di- pló/nés baltent les éléves d'inslituleurs diplö- rnés, que prouve le diplome de ces derniers? Ensuite si l'enseignemenl congréganiste élait si déleslable que le dit le Libèralcom ment se ferait-il que le Conseil municipal de Paris, compose presque en totalité de radicaux, subsidiat un pa rei l enseignement et rie songeat pas a le remplacer par un dé- veloppement plus considérable des écoles laïques? Prière Libèral de nous le dire! ü'aulre pari, le Libéraloous apprend qu'il y a une dizaine d'années, la proportion des dlellrés élait en Espagnede GO a 90 p. c. Admellons encore que cela soit vrai, en core une fois qu'esl-ce que cela prouve a moins que le Libèral ne parvienne a éla- blir que dans ces pays lous les enfanls en age d'école fréquentenl les écoles du clergé? Or, cette preuve, bien cerlainemenl, le Libèral ne la fournira pas. Nous ne pouvons mieux compléler nelre réponseau Libèral qu'en reproduisant quel - ques chiffres lirés d'un document qui pré sente un grand iniérél. C'est la slatislique de VInstilut des Frères des Ecoles c/irélien- nesurrélée au 31 Décembre 1876. L'admi- rable phalange des disciples du vénérable De La Salle est répandue el appreciée dans ie monde enlier. Plus les calomnies et les hai- nes des ennemis de la Familie cl de la Religion s'acharnent contre ces humbles Fréres du peuple, plus leur ordre voil se fortifier ses racines, et ses branches s'éten- drecommeces arbres pleins de séve donl les conps de vent font des colosscs. Les Frères des Ecoles chréliennes pos- sèdent en France, leur berceau, 1.009 éla - blissemenls, renfermant 10,583 Frères, pro- fès, novices el petit-novices. Les écoles sont au nombre de 1,878. II y a 23 nouveaux établissemenls. Les enfanls exlernes auxquels les Fréres donnent l'édncation et l'instuction sont au nombre de 258,086. Les internes (pensionnaires, demi-pensionnaires, elc. sont au nombre de 18,441. Le chiffre des orphelins soignés par les Fréres s'élève a 3,502; celui des adultes et apprenlis a 36,913. Les normalistes sont au nombre de 255, enfin les Fréres s'occupent des inlérêts religieux et moraux de plus de 3,000 mili- laires. Le nombre total des éléves des Fréres en France s'élevait ainsi, au mois de Décem bre 1876, a 320,319. II faul y ajouler les élé ves des colonies fruncaises, soit 7,933 et Ion aboutil a un lotal general de 328,252. En Belgique les Fréres des Ecoles chré liennes out pris une extension qui, nous l'espérons deviendra propoilionnellement aussi considérable qu'en France. On y comp- le 41 établissemenls renfermanl 995 fréres, profes, novices. II y a 17 établissemenls nou veaux et 94 écoles. Le nombre des enfants et petits novices extern-es qui fréquentenl des écoles est de 12,866, celui des pensionnaires, et demi-pensionnaires, de 1.135, celui des adultes, de 1,654, celui des apprenlis, de 145 et celui des normalistes, de 213; cequi fait un lotal de 16,014 eléves. Les pays, ou les Fréres des Ecoles chré liennes possédent le plus d'établissemenls et d'élèves sont, après la France et la Belgique: New York (58 écoles, 17,052 éléves)le Canada (41 écoles, 11,281 éléves); Turin (19 écoles, 3.407 éléves) St-Louis, Etals- Unis, (23 écoles el 4,138éléves): Equaleur et Nouvelle Grenade (10 écoles, 2.851 eléves); Rome, (15 ecoles, 2890 eléves). Enfin les Fréres ont encore de nombreuses écoles en Lorraine, en Suisse, en Prusse, en Aulriche, en Ariglelerre, au Nouveau Mexique, en Tnr- quie.en Egypte, en Cahfornie, dens les Indes et la Malaisie, en Chme, dans les iles Saint- Maurice el de Madagascar, en Tunisie, etc. Le relevé général de i'lnslitut de Fréres des écoles chréliennes donne pour l'année 1876 les chiffres suivanls. Établissemenls anciens; 1,227; frères, profes, novices el pelits-novi- ces, 24,836. Établissemenls nouveaux, 31; écoles 2,237; enfanls, 322,691 pension naires, etc. 23,398; orphelins, adultes, nor malistes el militaires 49,608. Le total gene ral des éléves s'élèvenl done a 395,718, soil prés de qualre cent mille. Pour monlrer quelle confiance et quelle sympathie inspire partout l'ordre du vénéra ble De La Salle, nous dirons que l'année der- mère, on a dü refuser plus de cinq cents écoles venani des cinq coins du monde. L'ordre, a son grand regret, n'a pu, faulede fréres, répondre a loutes ces sollicitations, il a réalisé une des idéés qu'avait eues son pieux fondateur en créant de petits novicials oil l'on emploie pendant deux ans des jeunes gens qui ont des dispositions pour la lache héroïque et ardue de l'éducalion populaire et pour la vocation religieuse. Leur nombre est aciuellement de 808. Celui des novices de 1,432 et celui des novices admis a donner renseignement de 3,138. On voit que plus l'impiété et la libre-pensee s'efforeenl de dé- crier les Fréres, plus iIs hausseut leur cceur el leur dévouement a la hauteur de leur su blime mission plus ils déploient d'efforls el de zéle pour la rempiir, plus Dieu bénil leur oeuvre de civilisaiion chrétienne et de veri table Itimière, plus ils acquiérent aussi de litres a la reconnaissance, a l'admiralion du monde catholique. Comme pour donner a I'lnslilul des Fréres des écoles chrétiennes une marque spéciale de la haute eslime dans laquellc les tient l'Eglise, l'on s'occupe activement a Rome de l'examen des miracles allribnés au vénérable De L*a Salie, foudaleur de I'lnslilul, afin d'ar- river a sa beatification. El voila comment l'Eglise est l'ennemie des lumières el de Finstruclion des masses Quand done la libre-pensée produira-l-elle non pas vingt-cinq mille hommes capables de renoncer au monde, au gain, a la liberie, a la familie, pour user leur vie, pauvres, humbles, obscur, oulragés,]ealomniés, dans foeuvre si pénible et si absorbantc de Fin struclion des enfants du peuple, mais, seule- menl un seul exemplaire vivant de ce miracle d'héroïsme, d'abnégalion, de renoncement el de iravail qu'on appelle le Petit Frère Nous répondrons hardiment jamais. LES ÉCOLES... RETROGRADES. II a fa!lu altendre le XIXe siècle el l'an de grace 1870 pour voir le libéralisme songer enfin a s'oecuper un peu de Finstruclion des masses,qui sans le catholicime auraienl crou- pi dans l'ignorance pendant 18 siècles. Et l'enseignemenl créé par le libéralisme est aux antipodes de l'enseignemenl civilisa- teurrien ne forme moms le cceur, Fintelli- genee, que eet enseignement dégagé de loute idéé religieuse, ou, pour mieux dire, vérita- blement anli-religieux. A entendre les faux amis des lumières, le calhulicisme n'aurait rien fait pour favoriser le progrès intellecluel de Fhumanilé, et ses adeptes ont loujours été el seront loujours des ignorantins, des éleignoirs, des rétro- gradesdes partisans de l'ignorance, des crétins. C'est véritablernent faire preuve d'une/itó- rale ignorance que d' affirmer semblable erreur démentie par l'histoire, par les histo- riens mème irréligieux qui n'eniendenl pas faire de l'histoire a la facon de Voltaire. Demandez a un libèral de la C/ironigue, de la Gazette el tutti-guanti qui étail Alcuin: il vous répondra cerlainemenl qu'il n'en sail rien. Gr, Alcuin, l'un des conseillers de ia Char lemagne étail tin moine, qui vivait au VIII® siècle. Ce savant, eet érudii, quoique moine a rendu les plus inconiestables services aux sciences el aux lettres; c'est lui, aidé du moine Warnefride et d'autres religieux, qui inspira a Charlemagne les mestires prises par ce souverain pour le rétablissement des écoles. Grace a ces ténébrions, en plein moyen- age, des écoles florissantes existaienl déja dans notre pays. Les annales dc Finstruclion assignent un rang distingué a l'école de la calhédrale de Liége, a celle de la calhédrale de Tournay, aux écoles des monastères de Stavelot, de Lobbes, de St-Trond, de St-Mu- bert, de Waulsort, de Brogue, de Gembloux, de Thourout, de Sl-Laurent el de St-Jacques a Liége; de St-Pierre et de Sl-Bavou a Gand. Que de grands hommes sont sortis.comme professeurs el comme éléves de ces foyers de lumières, créés par la religion La religion étail si peu amie de l'ignorance que non contente de favonser les sciences, elle cultivait aussi les arts. Tous les savants a cetle époque et dans les siécles suivanls, jusqu'au Xeil n'y a que quelques excep tions étaient des prèaes et des monies M. Schayes, dans son Histoire de Archi tecture en Belgique, parle avec éloge des moines archilecles et M. Félis dans Les Musiciens Beiges,de moines et d'abbés, trés- savants dans les divines écritures, éininem- menl instruits des lettres bumaines, brillaul comtnephilösophes,commerhéieurs, comme poëtes, et qui excellaient dans ia musique. Les moines élaient aussi sculpteurs, pein- tres, ciseleurs. Le monastère de St-Huberl cultivait parliculiéremënt les arts. N'esl ce pas aux moines que nous devons la conservation des chefs-d'oeuvre de la litté- rature mème profane? Les religieux ne suivaient pas l'impulsion de l'époquea laquelle ils vivaienlentravail- lant avec ardeur au profit des sciences el des lettres ils avaienl créé le mouvement, ils élaient eux-mèines ce mouvement fécond et puissant. Mais revenons-en aux écoles. Au XIII siècle la Belgique possédait pour sa part, quatre sortes d'élablissements d'instruction publi- que 1° les écoles cathédrales de Liége el de Tournai, 2° les écoles monastiquesdm Béné- diclins.des Prémontrés et d'autresordres reli- gieux3° les écoles lalinos des chapitres et 4° les écoles chapilrales etcoinmunales. Dans ces derniéres les enfants reeevaierit l'instruc- tion primaire, les autres les conduisaient a la prètrise ou les préparaienl a l'enseigne menl donné dans les universités. Disonsen passant que c'est a l'Eglise catho lique que le monde savant doit l'établisse- mentdes universités. Ge sont les souverains pontifes qui fondérent ces grands centres d'enseignement supérieur, réunissant tont ce que le talent et la science avaienl alors de plus illustre. Le libéralisme a qui le Christ n'a point donné la mission d'enseigner les nations est arrivé dix siècles plus tard, et mécon- naissantloul le bien qui a été fait avant lui, nianl la lumiére bnllante projetée par le ca- tholic.isme au point de vue des sciences et des arts, des lettres et de l'enseignement public, il crie comme un aveugle qu'il est dissipons les ténébres, qui nous environ- nentde loutes parts, la civilisation est a ce prix Et quelle civilisation nous apporte-1-il La civilisation par l'albéisrne, par le blasphe me, par la révolte contre Dieu, la civilisation par la libre-pensèe, e'est-a-dire par la besiia- lilé, par l'enseignemenl impie et immoral A l'oeuvreon reconriail l'ouvrier lecalho- licismea montré el monlre encore tous les jours ses cetivres de civilisation et de pro grès nous demandonsiui libéralisme orgueil- leux, ignorant el vanlard, qu'il nous montre atilre chose que ses cavalcades insensées, ses poignards, ses pavés, ses guet-apens, ses assomineurs d'enfanls, ses casse-iètes, sesinsulteurs des [>oavoirs legitimes. Jus- ques-la nous avons le droil et le devoir de dire qu'il n'esl rien, s'il n'est la barbarie et le désordre social TANT VA LA CRUCHE A L'EAU... Les journalistes gueux mouillent leurs mouehoirs et les francs-tnacons leurs tabliers. Jamais on n'enlendit lamentations plas lou- chanles. Triste journées'écrie la C/ironigue, qui esl, comme (out le monde sait, une des pre mières l'euilles libéralês du pays; triste jour née; nos propres amis nous trahissent ils ne se donnent pas la peine de venirau scru- tin et par leur coupable abstention, iIs assvi- rentau parti clerical une majorité dont l'im- porlance étonnera d'abord tout le inonde Après celacomme de juste dirait Calino quelques petites oalomnies. Des personneshonorablesd'Anvers,appelées pour affaires a Deurne, out été rossées a i'entrée du village. S'ii y a eu réellemerit une rossade, nous appreudrous plus tard, lorsque la vérité sera counue, que quelques voyotis, quelques mau vais gueux, quelques vilains merles de la jeune garde, sont allés provoquer les paisi- bles habitants de Deu rne qui ont recu ces miliciens de Favenir avec tous les honneurs dus a leur position. Allmessieurs les gueux de haul et de bas étage, provocateurs, assommeurs, Stok sta gers a ladévolionjdes loges,tant va la eruche a l'eau qu'a la fin elle easse. Depuis quelque temps vous faisiez trop de bruit et trop d'etn- barras. Vous avez laquiné le vieux lion beige et il s'est éveilló. Prenez garde a vous pendant qu'il est temps encore on vous laissera en paix, mais ne recornmencez plus vos iusolen- tes bravades. La Belgique est un pays de liberlé, et de cetle liberie conquise par nos ancètres nous voulons au moius noire part, entendez vous La Chronique dit lis (les Caiholiques) prétendent être a Favenir du cöté des rosseurs et non plus des rossés. Ou ne saurail leuren vouloir dé cette ambition assez legitime, maison peul prendre ses precautions pour ne pas en devemr vic- lime, el les libéraux feront bien de veiller au grain, car les rosseurs caiholiques, quand ils s'y mellent, sont de terribles. rosseurs el ils ne se contented pas de quelques oarreaux de vilre brisés. On a eu l'exemple a Saint-Nicolas, On l'aura un beau jour ici. Oui, Chronique, quand ils s'y meltent, les caiholiques sont cerlainemenl de terribles rosseurs. Cela ne vous arrive pas souvent, mais cette fois-ci vous avez dit la vérité. 70 O o 3 k£) r* 'Jï rrj 73 53 r*3 2 <o l'operinglie- Ypres, S-ttS,7-00,9-28,11-00,2-13,5-05,9-20. Ypres-Poperingfie, B-30,9-07,12-07,3-07,6-50,8-45,9-30. Fo- periuglie-llazebrouck, 6 53, 12-25,7-10. Hazebrouck-Poperinglie-YpFes, 8-25, 4-10, 8-25. Ypres-Routers, 7-50, 12-25, 6-45. Kouiers-Ypres, 9-25, 1-50, 7-50. Koulers-Lb'üjes, 8-45, 11-34, 1-13,5,16, 7-36, (9-55. Lichterv.) Lichter v.- Thourout, 4-25 m. vers Ostende. Bruges-/toiz- lers 8-25, 12-43, 5-05, 6-42. Lichterv.-Courtrai, 5-25 m. Ypres-Courtra» 3-34, 9-46, 11-20, 2-35, 5-23, Courtrai-Ypres, 8-08, 11-05, 2-56, 5-40, 8-49. Ypres-Thourout, 7-18, 12 06, 6 20, (le Samedi a 5-30 du matiu jusqu'a Langbemarck). Thourout- Ypres, 9 00, 1-25, 7-43, (le Samedi a 6-20 du matin de Langbemarck a Ypres). Comities-Warnêlon-Le Touquel-Houplines-rlmenheres, 6-00, 12-00, 3-35, Arinentières-Houpli-nes-Le Touquet-Warnêton- Comines 7 -23, 2,00, 4-45. Comines- Warnéton 8-43, in 9-30 s. (le Lundi 6-30,) Warnêlon-Confines 5-30, 11-10, (le Lundi 6,50.) Courtrai Bruges, 8-05,11-00, 12-35,4-40, (Ingel.) 6-55. 9-00 s. (Lichterv.)llruqes-Courlrcu, 8-25, 12-4.3, 5-05, 6-42. Bruges, Blankenb, Heyst, (Station) 7-25, 11-08,2-50,7-35. (bassin) 7-31, 11-14, 2-56, 7.41, Heyst, Blankenb, Btuges, 5-45, 8,25, 11-25, 5-30. Ingelmunster Deynze-Gawti, 5-00, 9-412-15. Ingolmunster-Depnse, 6 10 7-13. Gaad-Deyoze-Ingebnunster0-58, 11-20, 4-41,7-21. Deynze Ingebnunster, 1-00. Ingelmunsler-^rtsey/iém, 6-05, 12-55, 6-13. Anseghem-Ingebnunster7-42, 2-20, 7-45. Lichtervelde-Dixmude-Furnes et Dunkerke, 6 30, 9-08, 1-33, 8-00. Dunkerke-Furnes-Dixmu'de et Uclilervettie, 6-35, 11-10, 3-40, 5-00. Dixmude-iVïeizpor(,9-50,2-20,8-45.Nieup-Dmre, 7-30,12 00,4-20. Thourout-Ostewde, 4-50, 9-15, 1-50, 8-05. - Ostfende-Thourout, 7-55, 10-10, 12 25, 6-15 Selzaete Eecloo, 9-05, 1-25, 8-25. F.ec\oo-Selzaete,5-35, 10-15. 4-22. G$nd-Terneuzen, (station) 8-17, 12 23, 7,39 (porie d'Anvers) 8-30. 12-40. 7-43. erneuzen fraud, 6-00, 10-30, 440. Sehbtile-Lokeren, 9-04, I-30, 8-30. (le Merer. 3 It) in.) Lokeron-Se/ïitete, 6-0'), 10-24, 4-44. (le Mavdi, 9,30.) COH.H.ESI>OJVr>AWCES COURTRAI, BRUXELLES. BRUXKLLBS, COURTRAI. Courtrai dép. Bruxelles arr. 6,37 8,50 10,53 1,35 12,33 2,25 3,42 6,10 6,35. 8,34. Bruxelles dép. Courtrai arr. 3,22 8,00 8,28 10,46 12,21 2,44 3.35 7.36 li ,47 8,44. COURTRAI, TOURNAI, LILLE. Courtrai dép. Tournai arr. Lillc 6.37 7,28 7.38 10,36 11,47 12,08 2,34 3,48 4,00 3.34 8,47. 6,39 9,41. 6.35 10,00. dép. Lille Tournai Courtrai arr LILLE, TOURNAI, COURTRAI. 5,13 8,22 11,03 2,22 4,43 3,42 8,56 11,29 2,40 5,39 6,34 9.47 12,26 3,38 6,33 COURTRAI, UAiSD. GAND, COURTRAI. Courtrai dép. Gand arr. 6,42 8,01 9,49 11,08 12,31 1,51 3,44 5,04 6,40. 7,36. Gand dép. Courtrai arr. 5,15 6,37 9,38 10,56 1,28 2,54 4,24 5,34 7,21 8,47 BRUGES, GAND, BRUXELLES. Binges d. 6,49ex.7,04 9,39 12,34, 2-32,ex. 6,43. Gand a. 7,34 8,19 10,34 1,49 4,u7, 7,38. 9,34. Bruxelles 8,50 10,35 12,39 4 00,7,13, 9-31.10,40. Bruxelles dép. Ga n I Brug. BRUXELLES, GAND, BRUGES. 7,20 8,14 11,06 1,35 3,02 ex. 4,59 ex. 3.38 arr. 6,00 8,38 9,41 1,23 3,59 4,1 1 6,29 7,73 7,15 9(23 10,34 2,38 5,01 7,22 8,13 MM

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1877 | | pagina 1