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GIIELWT, BSCELAERB M Z01EBEKB,
EES SCHOON HUIS,
LILLE.
Seule entree place du Theatre.
LILLE
L'EXPOSITIOM GÉNÉRALE et la jyjlSE EN VENTE des NOUVEAUTÉS de PRINTEMPS
BURGERSTAND VAN YPEREN
SUCBIQEN R1ARKTE".
HOF/HfliiLIViARKY.
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H 0 U 2 ET BL0?JDEAU,
avoués a Lille.
DEULEMONT
Entre ia rivière la Deüle et le che-
min conduisant des Ecluses a Ques-
noy-sur-Deüle.
3 hectares 1 are 47 centiares
de
PRAIRIE DE DEÜLE
autrefois Pature grasse
occupée par Leroy, David et Thérin,
au fermage annuel de 476 fr. outre
les impöts.
A Vend re
par suite de licitation.
Sur la Mise-a-Prix de 6000 frs.
L'an 1877, le Lundi 23 Avril, 2 heit
res de relevée en la mairie de Deüle-
mont par le ministère de FLAYELLE,
Notaire.
OPENBARE VERKOOPING
ONROERENDE GOEDEREN,
ZAAILANDEN,
MEERSCHEN, BOSSCHEN, CHEINS-
GRONDEN EN HUIZEN,
te samen inhoudende, volgens de
plakbrieven, 60 hectaren, 40 aren,
64 centiaren, verdeeld in 51 loten.
met Hof, Stalling, Remise en Koets
poort, in de Hondstraat, N° 23, bin
nen Ypre.
Den INSTEL, WOENSDAG 25"
APRIL 1877, om 9 uren 's morgens,
ter estaminet den Gouden Arend, op de
Grootc Markt, binnen Ypre, ingevol
ge de voorwaarden, berustende ten
kantore van den Notaris VA8SDER-
.MEERSCH, te Ypre residerende.
Instelpremien te winnen.
KANTOOR
van den
Mofaris CAPEEiSiE.
TEWATOÜ.
OP DONDERDAG 26slc" APRIL 1877,
om 2 ure namiddag te Watou-Abeele,
ten sterfhuize der weduwe Vital
Ruckebusch.
K O O P I) A G
van allerhande
M E 5' IS E IL H
STROOI HOPPE- en BOONPERSSEN.
En om 5 ure namiddag ter herberg
de Leeuw, te Watou-Abeele, bewoond
door den medegerechtigden Vital
Ruckebusch.
VERKOOPING
van
w €9 ig; ti i Wa m ra
SCHUUR, STALLINGEN, OVENKOT
MET GROND, ERVE
en MOVS-l.raB ®14|H[OVE¥,
al gestaan en gelegen te Watou, west
van het gehucht den Abeele.
Aanslag met de geld tel ling.
OP MAANDAG I'M" MEI 1877.
om 3 ure namiddag te Beveren, ter
herbergde Zwaanbewoond door den
heer Joseph Top.
OPENBARE VERKOOP!NG
van
GEMEENTE LEYSELE, nabv
de Flassche.
De hoeveelheid van 1 hektare 44
aren 40 centiaren ZAAILAND, in twee
rekken, bekend bij kadaster sectie D.
nummers 593 en 594, palende aan de
Gemeene- en de Groenestraat.
Voor alle inlichtingen zich te bege
ven ten kantoore van voornoemden
Notaris CAPELLE.
Men make het ruchtbaar.
S T U D I E
van
Meester
Notaris te Dixmude, Noordstraat,
N° 38.
OP DONDENDAG, 17 MEI 1877,
om 1 ure namiddag, ten verzoeke van
den heer Maes-V-andamme, grondeige
naar te Iseghem.
KOOPDAG
te Merckem, aan de Melane,
van
40 KOOPEN Kepers van 30 tot 50
centimeters dik.
20 KOOPEN Haag- en Stoppersscn.
40 KOOPEN Sparresnoei.
30 KOOPEN Sparrebusschen.
20 KOOPEN Larixen.
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Adresser les demandes a MM. les Administrateurs des Grands Magasins dn fauvrl DiABLE. (Seule Entrée place dn Theatre a Lille). v--6,753.
Du resie, M. D préfet de ia Seine, mieux
renseigné sans doule que les conseillers rnn-
nicipaux de Paris, avail refuse de se porter
parlie civile.
Voici les principaux considéranls du ju-
gement
Le tribunal.
Attendu que s'il est constant que Marie
Gaily, en religion soeur Sl-Léon, n placé suc-
cessivement, le 17 janvier dernier, pendant
on instant, Henriette Quénault el Viclorine
Hénault, ses éléves, sur le poèle de la classe,
j| résulte de l'inslruction et des débats que
Viclorine Hénault n a éprouvé aucune don-
leur, n'a poussé aucun cri. que Henriette
Quénault, qui criait et pleurait avanl d'etre
placéé sur le poèle, a cessé ses cris dés qu'elle
a été descendue, qu'elle a regagné sa place
sans proférer aucune plainte.'
Qu'il est inadmissible, en l'absence d'une
manifestation de douleur, que la blessure
dont Henriette Quénault portait la trace, et
que les marques conslalées sur la euisse
droile de Viclorine Hénault soieni Ie résullat
de Ia position de ces enfants sur Ie poèle.
Attendu que la preuve du délit ne ré
sulte ni de ('instruction ni des débats. qu'il
est impossible de raltacher les blessures a
une faute quelconque, commise par la soeur
Saint-Léon, la déclare acquittée.
Le Figaro ajoule
D'aprés notre correspondant, la soeur
Saint-Léon a été entourée, au sorlir de l'au-
diencepar plusieurs petites filles qu'on
l'avait accusée de martyriser et qui sesont
empressèes d'aller l'embrasser.
A PROPOS DE CIMETIERES.
La Gazelle consacrail dernièremerit un
article a la question des cimetiéres sous
prétexte que la génératiou libérale actuel-
le, n'a pas uue connaissance approfondie
de la tnaliére, el que plusieurs de ses amis
«.se sonlmontrês mal affermisel insuffisam-
ment annés puur repousser les preten
tions cléricales.
Nos lecteurs pourraient croire que la Ga-
zette fait a ce sujet un cours de jurisprudence
a ses ignorants amis mal armés et mal
afïertnis Pas du tout, el le trouve la ques
tion trop simple pour engendrer la moindre
équivoque.
La Société, dit-elle doit a tout ciloyen la
sépullure; unesépulture décente, respectée,
et pour ('assurer, il importe qu'elle soit mai-
tresse du cimetiére et que son pouvoir y pro
tégé la mort.
La Société n'est pas le mot propre; c'esl de
l'Eiat dont vent sans doule parler ia Gazelle
car la Société est formée de catholiques, de
protestants, dejutfs et d'une grande quanti-
té de dissidents qui admelleril ou n'admet-
lenl pas une religion.
L'Etat c'est M. Tout le monde, représenlé
et défendu par lit pouvoir. et s'il a pour mis
sion, d'aprés la Gazettedeprolégerla mort,
il a, d'aprés nous, bien pins encore, eel le de
proléger les vivants dans leurs cultes, el de
ieurdoriner ainsi l'assurance qu'ils seronl
süremenl respectésaprés leur mort.
Nous ne voulons pas en ce moment discu-
tera fond celle importante question, ni mé-
me la parcourir dans tons ses details; tl nous
suffira d'en dire quelques mots pour réduire
a leur juste valeur les singuhères pretentions
de la feu11le libérale.
La question des cimetiéres est avanl lont
une question religteuse; l'autorilé civile n'a
pas a s'immiscer dans les cérémonies dn
culte. Son röle, d'aprés lous les precedents et
toutes les lois, se borne a la police et a l'hy
giène; sorlir de la c'est empiéler sur le pou
voir religieux, sur la Iibei-1des cultes.
Le Congrés savail fort bien, pour ne
parler que du cnlte catholique. qu'il n'avait
jamais admis en terrre bénile ceux qui vivent
en dehors de son sein el qui ne sonl pas ré-
conciliés avec lui a l'heure de la mort; les
suicidés se trouvent dans le méme cas. Le
Congrés savait tout cela. II vonlait done, en
assurant la liberlé des cultes, que l'autorilé
civile, non-seulement n'entravat pas leurs
cérémonies, mais qu'elle les protégeat con-
tre Soute atteinte.
M. Verbaeghen est le premier qui soutint
le contraire a la Cbambre pendant la session
de 1855 en prétendant que l'Egüse ne pou-
vait refuser la parlie bénile aux person nes
baplisées el que dans ce cas, l'autorilé civile
devait inlervenir.
Le grand prélre de ia Franc-Maconnerie
se snbstituanla l'église est déja unejolie ab
surdné; cependant celle ridicule prélenlion
du chef de la loge fit éeole, et l'on vit bien lót
des bourgmeslres liberaux se transformer en
bonzes civils el officier au nom de la lib re
pensée.
Le libéralisme el ses jourhaux s'appnyant
sur la thèse de M. Verbaeghen, concluenl
aujourd'hui qu'eux seulssont dans la vérité;
les interprélalions des lois si positives sur
lesqnelles les catholiques s'appuient, sont
fausses et conlraires au droit commtin. De
la, ce coriflit entre l'aulorité civile et l'auto
rilé religieuseen matiére d'inhumalion.
II est grand temps, croyons nous, de faire
cesser eet élat de chose; il est vraimenl dé-
plorable pour notre pays, de voir admellre
comrne vrais par l'aulorité supérieure, et
selon la doctrine de M. Van den Peereboom
la vérité el l'errenr. laissant le bour'gmeslre
juge d'une question aussi importante.
Quant a la propriélé des cimetiéres que la
Gazette sentient apparlenir sans con,leste a
la commune, nous l'engageons a relire le
lexle des jugéments suivants; ensuite nous
pourroris discuter avec olie.
Jugement du tribunal civil de Liége, en
lr cbambre, du 8 avnl 1843 id. de Bru
ges, du 17 octobre 1843 de Hasselt, du
7 juin 1848 de Mons, du 30 juin 1849
de Tournai, du 9 juïllet 1849; deux arrêls
de la Conr d'appel de Gand, l'un du 3 février
1840 et l'aulre du 8 rriai 1846; un arrèt
de la Cour d'appel de Bruxelles du 14 aoüt
1851 et enfin deux arrèls de la Cour de
cassation de Belgique, tous deux du 20 juil-
let 1843.
van pen 13 tot den 20 April 1877.
GEBOORTEN.
Mannelijk geslacht 4. Vrouwelijk id. 5.
HUWELIJKEN.
VandermarliereHenricuspeerdensmid en
Hugebaert, Rosalia, zonder beroep. Dewilde,
Carolus, hovenier en Vereist, Pliilomena, dienst
meid.
STERFGEVALLEN.
Verbeke, Joannes, 80 jaren, zonder beroep,
echtgenoot van Amelia Durnez, Kanon-weg.
Van Ègroo, Maria, 56 jaren, zonder beroep, echt-
genoote van Honoratus Liebaert, Bakkerstraat.
Moerman, Julianus, 23 jaren, werkman, onge
huwd, Meenenstraat. Ramskint, Angela, 33ja-
reü, kantenwerkster, echtgenoote van Henricus
Dauehy, Meenenstraat. Callame, Maria, 42 ja
ren, kantenwerkster, ongehuwd, Mondstraat.
Bonte, Petrus, 60 jaren, werkman, ongehuwd,
Mondstraat. Vermeerscli, Petrus, 70 jaren,
zonder beroep, echtgenoot van Rosalia Herman,
Meenenstraat.
Kinderen beneden de 7 jaren.
Mannelijk geslacht 5. Vrouwelijk id. 4.
VEURNE, 11 April, fr. 20, tot 21,
18 April. fr. 21,00 tot 00,00 ae 145 liters.
BERGEN (Frankrijk). 9 April. fr. 13,78
16 April. fr. 14,04 per hectoliter.
POPERINGHE, 20 April. fr. 80 a 86 de
50 1-ulogr.
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Y pres, le 15 Avril 1877
ÏÖL e¥« A Cl? W E a l'honneur
de prévenir MM. les cultivaleurs qn'ontre ses
dépots d'engrais qu'il a ètablis a Dickebusch
chez Henri Adriaen, a Reninghelsl chez
Liévin Brutsaert et a Popermghc chez Pierre
Deib3ere, il vienl d'établir a Ypres, prés de
la gare.un magasin qui,comm&ses magasins
de Bailleul (Nord), sera constamment appro-
visionné de (oules sorles de Tourteaux, de
Nitrate de Sonde et Guano du Pérougarantis.
Comme Marchand de Houblon M. Savoye
avanl avec MM. les cultivaleurs des rapports
trés snivis, est entiérement convaincu que
la qualité et le bon marché de ses engrais
lui permettront d'étendresa clientèle de plus
en plus.
Yperen, den 15 April 1877.
M. *9. S A W \r E heeft de eer
de heeren Landbouwers kenbaar te maken
dal, behaivens de depots van vetten die bij
te Dickebusch bij Henri Adriaen, te Renin-
ghelst bij Li vinus Brutsaert en te Poperinghe
bij Pieter Delbaeru gevestigd beeft, hij bij
de Statie te Yperen, een magazijn komt in
le richten dat, gelijk zijne magazijnen van
Belle(Noorderdepariemenl), gedurigzal voor-
ien zijn van gewaarborgde Koeken. Nit ra te-
de Soudeen Peru Guano.
Daar M. Savoye, als Koopman in Hoppe,
in aanhoudende betrekking is met de heeren
Landbouwers, hij is overtuigd dat de hoe
danigheid en den goeden koop zijner Vetten
hem zullen toelaten van langs om meer zijne
nering uit le breiden.
£SaSBEBB&S£S2aBE
E T U D E
de
Mrcs sr jQ, JE li E, E
Notaire a Comities,
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Lampas de té le mètre 9 75, 11 50 et 13 5
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Armiire riche geur OO cent., le mètre 0
10 75 et8 7ö
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en grande vogue cette année, nous avons acquis
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articles.
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Db'imcntines nuances nouvelles, au n-
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lieu de 1 fr. 75, le mètre'I ^0
On obtient de fortjölie costumes avec ce tissu.
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lieu de 1 fr. 75 ie metre'1 40
belle nouveauté a petits
Armure JOnC effets matelassés for- -
ment rayures, an lieu de 2 fr. le mètre 1 40
Dimitri, l'une des plus belles
ArmureS créations de la saison, en tou- o /a
tes nuances ciaire et foncées, le mètre 4U
Ces armures sont trés adoptées.
KGYI'TIENNKS tisSU tout luilIO
ArmureS aibe'Sux effétsmatelassés bien (w,
en relief, très-jolies teintes, le mètre V 00
On fait des costumes fort élégants avec ce tissu.
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ArmureS tout laine, a trés petits efïets (w.
bosselés et matelassés, le mètre 5 OU
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Odalisques Sées, les plus belles dispo
sitions et les teintes les plus neuves q,,
de la saison larg. 1 m. 20, le mètre 4 JU
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