HOFSTEDE,
PAVEMENTS,
HOFSTEDE,
VERKOOPING
ACHETEZ VOS CIIARBONS
PANNES, CARREAUX,
YPEREN.
On se souvient des hecatombes de fonc-
lionnaires réclamées sans cesse depuis six
mois par la presse radicale el que les minis
tères Marcère el Jules Simon avaient succes-
sivenl organisées de manière a conlenter
pleinement les appélits des réclamants. L'é-
puralion de radministration dans un sens
entiérement républicain, c'est-adire hostile
surlout a I Église, avait élé praliquée avec
|e soin le plus minutieux. II n'élail que
lemps de soustra ire la France a l'influence
nefaste de cette franc-maconuerie adminis
trative dévouée a la revolution gambettiste.
Quaranle el une créalures de MM. Simon
et de Marcére sont révoquées, vingt el une
sont déplacées, et lout le personnel qui
remplace les préfets déposés est pris dans le
rang des fonctionnaires révoqués par les deux
ministères précédenls. On y remarque dix-
neuf anciens préfets, treize anciens sous-
préfets, deux anciens secrétaires généraux de
préfecture.
Ce qui donne a ce mouvement un carac-
lère particulier, c'esl qu'il sert de réponse
au manifeste des gauches contenant, comme
on sait, entr'autres mesures de combat, le
conseil donné aux« fonctionnaires républi-
cainsde ne pas offrir leur démission au
nouveau gouvernement. Cette résolution
montraitdu moins que les gambeltisles n'ig-
norent pas que, saus le concours de l'armée
des fonctionnaires, ils n'ont aucune chance
de conserver la domination en France.
Mais mème après cette nouvelle défaile,
les révolutionnaires ne renonqent pas a la
lutte, settlement ils la portent sur le terrain
de l'iilégalilé. Ainsi, malgré le décret de
prorogation, les gauches de la Chambre des
députés vont conslituer leurs bureaux en
permanence pendant toule la durée des va-
cances forcées qui leur ont élé imposées.
Elles espèrent maintenir leurs forces com-
pactes el unies el arriver a la constitulion
d'une gauche unique, le réve préféré de
M. Gambetta.
Peu de nou velles d'Orient. La prise d'Ar-
dahan est officiellemenl confirmée, mais les
Russes éprouvent des craintes sérieuses pour
leurs provinces de la mer Noire.
La Corrcspondance politique de Vienne,
du 19 mai, a recu d'Odessa un lélégramme
annoncant que depuis la chute de Soukoum-
Kalé les Russes se halent de proléger Odessa
et Olchakoff contre un coup de main des
navires turcs qui croisent dans les environs
de cette dernière forteresse. Les vaisseaux
lures ont a bord des troupes de débarque-
ment. L'escadre turc se compose de deux
monitors, trois frégales cuirassés et de plu-
sieurs petils batiments; en outre, toule une
flotille de barques, portant probablement des
volontaires, croise dans les eaux d'Eupatoria
el de Sébastopol. La population tarlare mon-
treraii des dispositions inquiétanles.
Ce qui confirme ces craintes, ce sont les
efforts de la diplomatie russe pour dégager
ritorizon des menaces dont l'Angleterre le
couvre. Ainsi sont expliqués les bruits paci-
fiques ntis en circulation ces derniers jours
par les officieux. Aujourd'hui nous avons
plus de renseignemenls a ce sujet.
Le gouvernement italien n'est pas encore
remis de son échec au Séuat.
II est question de la creation de trente ou
quaranle sénateurs ministériels a l'occasion
de la féte nationale du 3 juin. Ainsi la majo-
rité se trouve; a déplacée et Viclor-Emmanuel
aura perdu Ie dernier soutien parlementaire
desa monarchie. En attendant, M. Mancini a
écril au président du Sénat pour lui exprimer
ses regrets du langage violent que quelques
journaux ont tenu contre la Chambre haute
a propos de son dernier vote. Le minislre
ajoule qu'il a demandé Fa vis des procureurs-
généraux sur la criminalité de ces attaques,
mais les poursuites ne pouvant être commen-
cées que sur la demande du Sénat, il prie
celui-ci de lui en dire son avis et d'accepter
en attendant l'assurance de son profond
respect.
Regrets de crocodile
S'il fau! ajouter foi a une dépêche envoyèe
de Berlin au Morning Post, l'Espagne ferait
des démarches pour obtenir de la France
I expulsion de don Carlos.
Les deux gouvernements sont d'accord
sur le fond el sur la forme dans la question
du canal de Suez.
Laccord est également fait sur l'inoccti-
pation de Constantinople; on recherche en
ce moment la forme.
La réponse de la Russie précédéra le dé-
part de l'Empereur et du prince Gortcha-
koff.
Saint-Pélersbourg, 20 Mai.
Ut) rapport a l'Empereur du gran l-duc
Michel, daté d'aujourd'hui, vient d'arriver a
I instant avec une dépêche de l'aide de camp
general Melikoff. Le rapport s'exprimeen ces
termes: Ardahan, les forts avancés, les for
tifications avec soixante canons et une masse
de munitions et de vivres, le camp de qua-
torze bataillons et la ville sont au pouvoir de
Voire Majeslé.
Le 5/17 Mai, de trois heures du matin
jusqu'a six heures du soir, un admirable feu
d'arlillerie détruisail les fortifications et pré-
parait les bièches. L'assaul fut donné par les
régimenis d'Erivan, de Tiflis et de Bokoo.
L'ennemi ne résista pas a J l'èlan de nos
soldats, il s'enfuil et fut poursuivi jusqu'a la
nuit par nos soldats, laissant quantité de
morls. A 9 heures, nos troupes, aux sons de
l'hymne national, cnlrèrent dans la ville, et
y planlérent le drapeau russe. Pour le mo
ment rious connaissons seulement un offi
cier et 50 soldats tués, 180 blessés. Je ne
saurais assez louer la bravoure el l'inlelligen-
ce des jeunes soldats et l'activilé des chefs.
Le héros de la journée, le lieutenant gé-
néral Heimann, a fail dire aujourd'hui sur
les fortifications enlevées des actions de gra
ces. (Agence russe.)
Saint Pétersbourg, 21 Mai.
On mande de Tiflis, 8/20 Mai, que de Ad-
Ier a Oichemtchyr les Turcs conlinuenl a
bombarder les cötes du Caucase. Sur cer
tains points ils essayent de débarquer des
Tcherkesses pour provoquer des souléve-
ments. Des troupes ont élé dirigées a leur
rencontre.
L'aulorité russe a élé établie sur la ville el
dans lesandjak d'Ardahan.
Tous les batiments de commerce anglais
ou neutres ont quitté Odessa le 6/18 Mai.
Un vapeur marchand russe est arrivé libre-
ment a Odessa et a Otchakaff, preuve que le
blocus n'est pas elïeclif.
La cours'est inslalléea Tsarsko-Tsclo Mer-
credi.
MM. de Jomini et Hamburger accompagne-
ronl le chanceliër et l'empereur sur le Da
nube.
M. deNovikoff revient dans trois semaines
a Moscou pour affaires personnelles. lmmé-
diatemenl après le depart de l'Empereur le
comle Schouwalofï retournera a Londres.
(ld).
Nous lisons dans le Figaro
En dernière heure des nouvelles d'une
certaine gravité nous arrivent de Constanti
nople. Les voici
Le cheik-ul-islam vient de proclamer la
guerre sainte contre la Russie. La Porte
jusqu'ici avait reculé devant cette mesure
extréme qui peut souleverle fanatisme musui
man dans des regions bien éloignés du théa-
tre de la guerre.
Un décret du Sultan assujettit tous les
sujets non-musulmans au service militaire.
Quatre grands transports quatre cuirassés
et un aviso sont parlis avec 10,000 hommes,
cinq batteries pour Soukom-Kalé. lis empor
tent 50,000 fusils a distribuer aux popula
tions circassiennes soulevées, Le corps expé
dilionnaire est commaridé par Falzi Pacha
qui quitte l'armée du Danube.
On parle de changements ministériels.
II n'est plus question du voyage du prince
Milan a Saint-Pétersbourg La Serbie et par
conséquent l'Autriché restenl sur le qui-vive,
sans que rien fasse supposer des complica
tions immédiales.
NOMINATIONS ECCLÉSIATIQUES.
Mgr l'évéque de Bruges a nommé vicaire a
Bavichove, M. Deprez, ancien professeurau
Petit Séminaire de Roulers.
Coadjuteur de M. le curé de Rumbeke, M.
Corselis, prèlre an Séminaire.
NECROLOGIE.
GUERRE D'ORIENT.
Paris, 21 Mai.
La note de lord Derby a la Russie, lou-
chant Ie canal de Suez el Constantinople,
est très-conci liante.
M. De Lye, curé a Haringhe, est décédé le
16 Mai, a l'age de 78 ans.
On annonce la mort de M. Théodore
Dommer, ex-commissaire d'arrondissement
de Gand-Eecloo, décédé Jeudi a Alost, après
une longue maladie.
Clironiqiic locale.
COMMENT ON ÉLUCUBRE AU PROGRÈS.
Le Progrès est avare depuis quelque
temps; rarement, trop rarement, il
nous donne l'agrémenl de dégusler un pro -
duit de son cru. Dans son dernier numéro
nous sert enfin quelque chose de soigné.
Non qu'il ait tout l'honneur de ['invention
a puisé les éléments d'un raisonnement vé-
ritablement slupéfiarit dans un discours
arononcé par M. Frère-Orban au cours de la
discussion de la loi sur la repression des frau
des électorales.
Mais ('application qu'il fait de ce passage
du discours de l'ancien chef du parti gueux,
a noire arrondissement el a nos dernières
éleclions législatives, lui appartient en pro-
pre; elle est trop remarquable pour n'élre
point signalée.
Après M. Frérev le Progrès débate pour
conslater, sur la foi de ïannuuire statistique
pour 1876, que plus de 3000 prèlres sont
électeurs dans le pays. Plus de 3000 L'an-
nuaire u'en compte exaclement que '190S
sur fil'9',fl43 électeurs-, mais le Progrès
aura trouvé qu'un chiffre rond est d'un effel
plus salisfaisant, et qu'un peu d'exagération
ne lui nuira pas auprés de ceux qui accep
tent ses assertions sans controle.
Ces prémisses posées: Ainsi a Ypres,
conclut le Progrès, M. Struye ne Caempor-
té sur son concurrent que de 45 voix, (49
Progrès) el 99 prèlres ont pris part d cette
élcclion; ne peul on pa's dire dès lors, que
eest le clergé seul qui a fait I'election d' Y-
pres, el est venu subsiiluer sa volonlé d ce
lui de nos populations.
D'abord les 99 prèlres en jelanl le poids
de leur vote dans le plateau du candidal ca-
tholique, usaienl correclement de leur droit
de eitoyens et de censitaires, droit qui
leur est indéniable. Mais si, d'aprés Yunnuai-
re, le pays compte 390& prèlres électeurs,
il compte d'autre part 5991 fonctionnaires
deloutordre, libéraux en trés grande
majorité, grace a f injustice distributive de
['administrations gueuse pendant plus de
vingt ans de pouvoir.
Le corps électora! d'Ypres seul compte 96
fonctionnaires, électeurs généraux. Ne peut-
on pas dire avec plus de raison que le Pro
grès,et notammenl pour 1872, oft son
candidal ne l'a emporlé surM. Struye,non
de prés de 50 voix, mais de quatre ou cinq
a peine, que sans l'appoint des fonction
naires de tous poils, fonctionnaires commu-
naux, employés de la bienfaisance publique,
des hospices etc. M. Alph. Vandenpeereboom
fut reslé bel et bien sur le carreau des 1872"?
Que ce sont les salariés de la commune, de
la bienfaisance publique, qui seuls out fait
Pêleclion, qu'ils sont venus substituer leur
volonlé a celle de nos populations.etc.
En vérité Ie Progrès devienl de plus en
plus digne de sa clientèle, qui heureusement
pour le niveau intellectuel de noire arrondis
sementva chaque jour s'amoindrissant.
Ce n'est pas nous, e'est la Chronique qui
l'a constalé, pour se procurer aujourd'hui
un numéro du Progrès il faul praliquer des
fouilles, dans les terrains tertiaires dos envi
rons d'Ypres.
aux fetes de 1871, el que Ie Diocèse de Bru
ges qui est connu par son dévouement a la
chaire de Pierre se surpassera.
Lundi dernier, vers 10 heures et demie du
matin, un chien que l'on dit enragé a mis en
émoi une grande partie de noire ville. Fai-
sant irruption par la rue du Temple, il a
parcouru la rue au Beurre, la Grand'place,
la rue de Menin, attaquant, mordant plu -
sicurs chiens. Sur son parcours quelques
personnes se sont mis a sa poursuire arrivé
a la hauteur de la campagne de M. Carton-
llynderick, sur la route de Zonnebeke, un
berger intrépide lui a porté le coup fatal.
Madame la douairière Iweins, née Hynde-
rick, vient d'ètre enlevéé a la suite d'une
courte maladie, a l'a(ïection de sa familie.
Cette mort plunge dans le deuil plusieurs de
nos families les plus honorablcs.
COMMUNE D'HOUTIIEM.
Adjudication publique
pour la construction d'une ÉCOLE
COMMUNALE avec HABITATION pour
Instituteur.
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L'UNIOfJ COMMERCIALE D'YPRES.
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KANTOOR
van den
Xotaris M A IIIEl,
te Ypre.
Le vaste choeur de notre magnifique cathé-
drale de St-Martin, offrail lundi dernier un
aspect du plus imposant. Messieurs les Mem
bres de St-Vincent de Paul entourés de leurs
families pauvres se sont approchésde la Table
Sainte, ainsi que les Membres fréquentanl
l'oeuvre de la Ste-Famille et les jeunes gens
fréquentanl le patronnage.
II élail touchanl de voir la piété qui ani-
mait ces hommes réunis aux pieds de l'aulel,
leurs prières s'élevaient comme l'encensvers
le tröne du Trés-Haut, pour emplorer les
bénédictions célestes sur la lète du Pontife
Glorieux.
A la suite de cette belle el touchante céré
monie, une abondante distribution de pains
de gateaux a élé faile dans le local de la so-
ciété de Sl-Vincent de Paul, a loules les fa
milies visitées par elle, ainsi qu'a tous les
Membres fréquentanl les ceuvres qu'elle pa-
tronne.
Des communionsnombreuses ont élé offer
tes dans loules les autres églises de la ville.
Nous apprenons avec bonheur, que Ia plus
grande aclivité règne déja en nolre cilé, et
qu'un chacun s'apprêle a célébrer avec le
plus grand éclal le Jubilé Pontifical remis
au 10 Juin dans le Diocése de Bruges. Cha
que maison aura en honneur. de voir floller
a sa facade les couleurs Pontificales a cóté de
nos couleurs nationales. L'illuminalion sera
générale.
Nous avons done lout lieu de croire que
les fêles du 10 Juin ne le céderont en rien
ZATERDAG 26 MEI 1877,
2 uren nanoen, ter herberg den Oli
fant.te Ypre,
Openbare lerkoojiing
in ééne zitting
van
1° 7 heet. 7 a. 20 c. ZAAILAND, te
Moorslede verdeeld in 17 Koopen.
2° 28 a. 50 c. LAND, te Langhe-
marek.
3° 97 a. LAND, te Westvleteren.
Al zeer wel gelegen om er op te
bouwen.
En 4° Een HUIS en ERF, te Ypre,
zuidzijde van 't Paradijstraatje n° 5,
gebruikt door Delaurie.
Openbare Aerkooping
van eene goede
gelegen op het grondgebied
van
Den Notaris veys, residerende te
Vlamertinghe, zal onder het gewin
eener Premie van instel van 1
overgaan in het hotel Fournier, Sta
tiestraat te Yperen, om 2 ure namid
dag, op de hiernagemelde dagen, tot
de verkooping van eene goede HOF
STEDE, groot 8 hectaren 81 aren 86
centiaren, gelegen op het grondgebied
van Yperen, bij het gehucht de Kruis
straat, langs den steenweg van Ype
ren naar Dickebusch, verdeeld in
negen Koopen, onder welke verschei-
de schikken voor bouwgrond, ge
bruikt met recht van pacht tot 1" Oc
tober 1881, door Désiré Lemahieu,
aan den pachtprijs van 1350 franks
bij de jare, onderhevig aan vermeer
dering.
KiRingeii
INSTEL Woensdag 30 Mei 1877.
O VERSLA GWoensdag, 13 Juni 1877.
Le Collége des Bourgmestre et Eche-
vins de la commune d'Houthem, in-
forme le public que le
JE4T99B 3 ft MAI 18*7,
a 3 heures de relevée, il sera procédé
a la ntaison communale a l'Adjudica-
tion Publique des travaux pour la
construction d'une École communale
pourgarcons, avec Habitation d'lnsti-
tuteuret dépendances, dont le devis
s'élève
Pour les Batiments. Frs 23493,11
Pour les Meubles
classiques. Frs 2496,00
Ensemble. Frs 25989,11
Les soumissions devront être adres-
sées au moins 48 heures avant l'hcure
indiquée pour l'Adjudication.
Les Plans, Devis et Conditions dres-
sés par M. FArchitecte Van Hecke, a
Bruges, se trouvent au bureau du
secrétaire communal a l'inspection
des intéressés.
Houthem, 8 Mai 1877.
Les Bourgmestre et Échevins
A T A I L L I E U
Par Ordonnance
Le Secrétaire,
APPOLL. MOREL.
KANTOOR
van den
Rot se ris CAPELIË.
TE WATQU.
DONDERDAG 14 JUNI 1877,
om 3 ure na middag, te Watou-
plaats, ter herberg en brouwerij der
weduwe De Bruyne,
OPENBARE VERKOOPING
van eene
TE WATOU,
nabij den Verbranden Molen,
inhoudende onder bebouwden Grond
Weide en Zaailanden, 4 hectaren,
61 aren, sectie C, nummers 48, 49,
50, 71, 72, 90, 91, 92, 93g en 110, en
sectie B, nummers 602 en 603.
Thans gebruikt door de echtgcnoo-
ten Persoone-Pille, mits 630 franks
'sjaars, boven alle lasten.
Deze met tusschenkomst van den
Notaris BOUCQUEY, te Poperinghe.
Voor alle inlichtingen gelieve men
zich tc begeven ten kantoore van den
Notaris CAPELLE, te Waton.
Ruchtbaarheid.
bij iTfhttiiiiacïit,
Op ZONDAG 27 MEI 1877,
om 9 ure 's morgens,
ten huize, herberg en winkel van
vrouw Sophia Deschrevel, weduwe
van sieur Serapiiin De Bruyne, wonen
de te Dranouter zal er overgegaan
worden tot de openbare veiling met
den gereeden gelde en zonder ver
hoog, van allerhande slach van Meu
bels Winkelgerief, Herbcrggerief
Landshalm, twee Melkkoeien en meer
andere goederen, te lang om te be
schrijven;
Alle welke goederen gesaisierd zijn
geweest namens d'HeerCharles Josien,
koopman wonende te Nieuwkerke, te
gen en ten laste van dezelve weduwe
De Bruyne, bij proces-verbaal van
den Duurwaarder E.-L. STRAGIER, te
Yper, van den 3 April 1877, geregis
treerd.
.11 KR'A»*: 91 UK
Employczdurant l'été les RÉCHAUDS
AU PÉTROLE. Allez voir le nouveau
systeme
FARENTHOLD
En quatre minutes l'eau est bouil-
lante.
Aucune odeur.
Seul Dépositaire
CRETOPJ-FEYS,
Rue au Beurre, 54, Ypres.
Spécialité
D'USTENSILES DE CUISINE.
