PAUSELIJKE WAPENS, MEUBELEN, HOFSTEDE, PAARDEN. AU PAUVRE Dl ABLE AVIS HOFSTEDE, 15 MAISONS, 'S PAUSEN JUBELFEEST PORTRETTEN 13 PAARDEN TRANSPARENTEN, PAUZELIJKE KROONEN, YPEREN. KANTOOR YPRE. VENTE PUBLIQUE D'UN GROUPE DE des vivals enlhousiastes. II a prononcé un discours dans lequel il a dit que, comme Jacob, il benissait ses enfants. dom il désire voirgrandir Ie nombreavee l'unilé dans la foi pöur soutenir le combat présent et méri- ier Ie triomphe. Dans les rues on voyait des voitures in- nombrables qui se rendaient a l'audience. Le soir, a Saml-Pierre-ès-Liens, grand con cours de people pour assisler au Te Deum Les palais des princes remains dévoués au Pape étaient illuminés. GUERRE D'ORIENT. Constantinople, 3 juin. Les Russes ont passé a Soghanly, et Kizil- Rilissa. Deux forles colonnes russes sonl arri- vees a six beures de marche d'Erzeroum. Saint-Pélersbourg, 4-juin. O/jïciel.— Un télégramme du Caucase, en date d'hier, dit que deux monitors turcs ont bombardé Solchi. IIs ont détruit des inaisons et l'église de celle ville. Ayant en- suite envoyé des troupes de débarquement, les Russes démasquérent une balterie quand les embarcalions furent a 200 pas. Les moni tors sonl partis a Pizounda. Les Russes ont perdu un mort. Le general Lamakine a été altaqué par 6,000 Bekhitiiens. Aprés qualre beures de combat, Pennemi s'est enfui. Le Khan et les anciens sont veuus faire leur soumission. Dans la dernière et brillante affaire de Beghakhmed, la cavalerie du prince Tchawl- chavati a enlevé deux canons, 4 caissons, des munitions, 2 banniéres el des prisonniers. L'enneini a eu 83 lués. Sur le littoral de la mer Noire, le colonel Cbelkounikow a empêché a Touapse le dé barquement de Tcherkesses. Le général Kravlchenko tiraille sur Ia ri- vière Kodor. Le général Alkhazow s'avance vers Altara. II a envové un délachemenl en aval du Ko dor pour arrêler le passage des Abkhases. Les populations vaincues livrent leurs ar- mes et des otages. Les passages du versant septenlrionnal du Caucase sont gardés par des troupes du Kouban. Raguse, 4 juin. La grande bataille, attendue enlre l'armée de Suleymane Pacha et celle du prince Nikita s'est engagée hier dans le passage de laDuga. On n'en connait pas encore le résultat. Tiflis, 4 juin. L'armée russe a surpris hier et massacré 4,000 Circassiens a Rekle-Alenede, aux envi rons de Kars. 200 seulemenl ont échappé. La cavalerie de Moukhlar Pacha est anéan- tie. Le reste de son armée est cerné a Swine et réduite a capituler. NECROLOGIE. M. Chavaele, ancien curé a Woumen, est décédé dans celte localté le 2 Juin, a l'age de 77 ans. On annonce que M. Prévinaire, gou verneur de la Banque nationale, ancien dé- puté de Bruxelles a la Chambre des repré- sentanls, est décédé Samedi, 2 Juin. On annonce la mort de M. Auguslinus- Maertens, banquier a Bruges, décédé hier a Ghislelles. NOMINATION ECCLÉSIATIQUE. Mgr rEvêque de Bruges a nornmé: Directeur des Dames de Rousbrugge, a Ypres, M. Plalevoet, professeur au collége d'Ostende. Chroniquc locale. A PROPOS D'ASTRAGALES. Le Progrès a assislé, Mardi 29, a la céré monie de la Confirmation a la cathédrale. Mais pour une fois qu'il assiste a un exercice du culte, il n'a pas de chance! II a apercu dans les slalles du chceur.... un enfant; et la présence de eet enfant a cetle place a suffi a voiler pour lui /a grandeur réelle de la cérémonie! Que faisait la ce gamin friséqui trou ble si fort le Progrès, et pourquoi n'étail- il pas avec ses petils compagnons? N'est-Ce pas t Cépanouissemenl de la vaine grandeur huma'tne Ie signe de cette ambition cléricale qui n'admet même plus bègali. té devant Dieu etc., ete. Si le Progrès eül lu notre compte-rendu de la cérémonie de Mardi, compte-rendu qu'il prétend critiquer, il se fut vraiment epargné beancoup de bile, et a ses lecteurs une ingestion de fiel, qui rie peul que nuire a leur santé. aurait vu que si le ga min frisé rie se trouvait pas avec le pro fane vulgaire des enfants qui défilaieni de vant Mgr Faicl, c'est qu'il n'avait rien y laire, ayant eu, le matin même, le bon- heur de recevoir dans la cha pel le du collége, en même temps que ses petils compagnons, appelés avec lui a la Table-Sainte, le sacre- ment qui n'mplique pas seulemenl la man- suélude et la résignatiog chrélenne, ma is surtout des graces et de la force pour con- fesser courageusemenl la Foi. Nous ne disons pas tout cela pour répon- dre au Progrès. Malgré son abaissement, ce dernier semble avoir conscience qu'il y a lacheté a sattaquer a un enfant, a tenter dassombrir, par une note discordante, les pures joies du plus beau jour de la vie: il a mis cette fois sa have sous le couvert d'un i communiqué. Non, cela ne vaudrait pas réponse. Mais puisque le Progrès attire notre attention sur les stalles de St-Martio el sur ceux qui les occupent, nous ne sommes pas fachés de profiler de l'occasion pour savoir de lui de quel droit ces stalles sont habituellement accaparées par certains gros bonnels, qui sy carrent avec plus ou moins de majeslé, et qui peut-êire feraient bien de ne pas met- tre trop en relief la manière dont ils assistent au Saint Sacrifice? Pourquoi cetle exception dans l exercice dun culte qui veut avant tout l ég alt té] et par quelle ambition ces messieurs, qui n ont nen d' ullramon- lamcroient-ils pouvoir se distraire du valgum pecus des fidéles?... Esl-ce par hasard, pour séparer l'ivraie du bon grain?.. II nous semble, a nous, que si les vénérables chanoines de l'ancien Chapitre de St-Martin, pour qui ces stalles ont étécréées, pouvaient revenir dans leur magnifique cathédrale, ils se serreraient volontiers, avec un bon sou- rire, pour faire place aux petils enfants, frisés ou non; mais qu'iIs feraient chas- ser, de la place qu'ils occupent sans litre ni qualilé, la demi-douzaine de ventripotents, auxquels nous faisons allusion, le Progrès, au fond, n'esl-il pas un peu de notre avis?... (Ni plus ni moins communiqué.) Aangezien het groot getal vragen, wordt men verzocht aanstonds zijnen keus te doen om zeker en bij tijds te kunnen gediend worden. Le public est prévenu qu'a partir du 4 Juin courant jusqu'a nouvel ordre, le passa ge sera complétement interrompu sur les ponls suivants: 1° Celui de Snaeskerke au passage de la route d'Ostende a Thourout. 2° Celui de Slype au passage de la route de Raversyde a Slype. 3° Celui de Haeghebrug situédansla rou te en gravier sur le chernin dehalagedu canal de Plasschendaele a Nieuport. ACTES OFFICIELS. Par arrêlé royal du 25 Mai, sont nommés receveurs des contributions directes et des accises: ADoltignies, M. H. Hanus, actuellement receveur des contributions directes, douanes et accises a Houthem-Furnes; A Tieghem, M. E. Mertens, actuellement receveur des contributions directes, douanes et accises a Locre; A Reninghelst. M. F. Daelmans, actuelle ment receveur des douanes et accises a l'A- beele-village; A Pervyse, M. A. Spilliaerl, actuellement receveur des contributions directes, douanes et accises a Herseaux. aux PROPRIÉTAIRES et ENTREPRENEURS DÉPOT unique des Tuiles perfec- tionnées aemboitement et recouvre- ment de la TUILERIE MÉCANNIQUE DE LEFOREST, aux Magasins de l'Union Gommerciale d'Ypres situés prés de la Station a Ypres. Ces tuiles for ment d'excel lentes cou vertures imperméables au moyen d'un procédé particulier de fabrica tion. Elles se posent sans mortier et s'em- boitent rigoureusement lesunes dans les autres de manière a ne laisser aucun vide et a rendre nuls les frais de réparation. PRIX Fr. 100-00 les 1000. Aux mêmes Magasins, DÉPOT de Pannes ïYan^aiscs, (18 par mètre carré.) Prix Fr. 65-00 les 1000. Ces pannes sont faites d'une argile grasse, sèchc et bien cuite. ARTICLES I>E llOOIU. Chaux a 95 cent. Ia|mesure. Pierres de Tournai et d'Ecaussines. Pave ments, etc. etc. Charbons gros-tout venant a Fr. 2-50 les 100 Küs. Ter gelegenheid van kan men bekomen ten bureele van dit blad Gekleurde en andere van alle grootte, vergulde VAN DEN PAUS, VOOR VERLICHTING aan zeer genadige prijzen. JAARSCHRIFTEN, DICHTEN, ENZ., voor versiering FAITS DIVERS. Door sterfgeval. OPENBARE VERKOOPING van KEUKENGERIEF, ENZ., ZATERDAG 9 JUNI 1877, om 10 1/2 uren voormiddag, op de Groote Markt dezer stad, voortsvaren tot de openbare verkooping van voortskomende van het tweede regi ment Gidsen. Komptant geld met 10 verhoog voor onkosten. Often bare Verknoping' van eene goede gelegen op het grondgebied van te RENINGHELST, gehucht de Clijtte. Op Domlerrtag? Junius 18??, om een uur zeer precies namiddag, ten sterfhuize van den eerweerden heer Verbruggiie, Proost der Clijtte- kapel onder Reninghelst, zal er voorts, gevaren worden tot de openbare ver kooping van Meubelen en Keukengerief, bestaande namelijk in Stoelen, Tafels, Horlogie met kas, 3 Bedbakken, waarvan een in Valen- cienneseiken hout, Ressort bak. Kleêr- kassen, wollen Mattrassen, pluimen Hoofdeinden, Kommoden, waarvan een in Valenciennes eiken hout, 2 Boekstelsels, koperen Marmijten en Mooren, tinnen Pateelen, Lampetten, het hovenier-AIlaam, veel ander Ko per-, IJzer-, Glas-, Gleisch-, Tin- en Aardewerk, droog Brandhout (Splete), en meer andere voorwerpen ten dage der venditie aan te bieden. Deze verkooping zal gehouden wor den met tijd van betaling tot eersten October 1877, voor de koopen van 3 franken en daarboven, mits goede bekende en solidaire borgen of mede- koopers te stellen en de tiende pen ning gereed te betalen in handen van den Notaris BOUDEWYN.te Reninghelst, met den ontvangst belast. Openbare Verkooping De Ontvanger der Domeinen, te Ypre, zal op Den Notaris veys, residerende te Vlamertinghezal overgaan in het hotel des Pays-Bas, El verdingstraat, te Yperen, op WOENSDAG, 13 JUNI 1877, om 2 ure namiddag, tot de verkooping van eene goede HOF STEDE, groot 8 hectaren 81 aren 86 centiaren, gelegen op het grondgebied van Yperen, bij het gehucht de Kruis straat, langs den steenweg van Ype ren naar Dickebusch, verdeeld in negen Koopen, onder welke verschei- de schikken voor bouwgrond, ge bruikt met recht van pacht tot ln Oc tober 1881, door Désiré Lemahieu, aan den pachtprijs van 1350 franks bij de jare, onderhevig aan vermeer dering. INGESTELD in masse: 54,000 frs. K A NT OOR van den Notaris CAtBJEliïiK. TE WATQU. DONDERDAG 14 JUNI 1877, om 3 ure na middag, te Watou- plaats, ter herberg en brouwerij der weduwe De Bruyne, OPENBARE VERKOOPING van eene TE WATOü, NéBu den Verbranden Molen, inhoudende onder bebouwden Grond Weide en Zaailanden, 4 hectaren, 61 aren, sectie C, nummers 48, 49, 50, 71, 72, 90, 91, 92, 93g en 110, en sectie B, nummers 602 en 603. Titans gebruikt door de echtgenoo- ten Persoone-Pille, mits 630 franks 'sjaars, boven alle lasten. Deze met tusschenkomst van den Notaris BOUCQCEY, te Poperinghe. Voor alle inlichtingen gelieve men zich te begeven ten kantoorc van den Notaris CAPELLE, te Waton. Ruchtbaarheid. ÉTUDE de Me UAWWOlf, Notairc a Coiiiincs. EN UNE SÉANCE fixée a JEU Dl 14 JUIN 1877, a 5 heures de relevée, au cabaret le Soleil levant a Comines, avec Fintervention deM". VAN EEGKE, Notaire a Wervicq, dont une d usage de Cabaret avec 14 ares 87 centiares de Fonds et Cour, situées a COMINES-BELGIQUE, Ie long de la chaussée de Wervicq, louées a diverses personnes moyen- nant un loyer annuel de 1550 francs. Seule entree place du Theatre, LILLE. EN VENTE, Belles occasions parmi lesquelles nous citons jupons en belle percale d'Alsace, haut volant plissé a. Fr. 2,65 COSTUMES mi eonfectionnés en percale d'Alsace unie, clinée ou cadrillée composés d'une jupe demi-trainc et d'une Élégante Polonaise garnie de biais liserés aFr. 18,50 COSTUMES complets pour Dames et pour jeunes personnes, fort jolis modèles en nouveaux tissus de fantaisie a. 39 et 29. Fr (6,840. B.) Le Times appelle l'alietition sur la revolution qui menace de s'opérer dans la guerre maritime, par suite de la multiplication des lorpillcs et des brülots. IJ aprés le Timesil parait hors de doute qu aucun navire ne peul él re cnirassé a un tel point qu'il devienne invulnerable, et la question se pose naturellement, dit ce journal, de savoir s'il sera dorénavant prudent de concentrer toute notre puissance navale dans ces navires a la fois formi- dables et délicats. Celte question, ajoiite-t-il, de- vient d aulant plus urgente, si l'on réfléchit qu'on pent construire ton te u tie (lollille de canonnières au même prix qu'un seul grand navire. Un cni rassé comme Inflexible, par exernple, coüte un demi million de livres sterling, tandis qu'un bali- ment du type du Gamma, armé d'un seul canon de 38 tonnes, de deux canons de 12, se ehargeant par la culasse, et d un canon Gatlin, ne coute que 215,000 livres. Nous pourrions, par eonséquent, construire vingt navires de ce dernier type aux mêmes frais qu'un seul navire de l'autre type, et tandis que notre flottille de canonnières porterait vingt gros canons, sans compter ceux de moindre calibre, I'Inflexible au contraire n'en portera que qualre. Mainlenant quelles chances I 'Inflexible aurait-tl dans on engagement avec ces vingt petils bêliments II est évident qu'ils pourraient a la rigueur tous être couiés par un seul coup de canon du gros navire. Mais d'un autre cölé, ils n'oflïi- raienl qu'un petit point de mire, et restant lou- jours en mouvement autour du gros navire, ils lui rendraient fort difficile la tache de les viser convenablement. En même temps, les pelits bêli- menls seraient en mesure de canonner le gros de tous cótés, et l'emporteraient sur lui en puids mélalliqne dans la proportion de 5 contre I. Ils auraient vingt canons contre les -i qu'il possède. La célèbre chute du Niagara, que Cauda - cieiix Blondain a traversée sur la corde raide, passe a l'état prosaique de force motrice. Un effet sa puissance hydraulique a été mise aux enchères Ie 1 mai et adjugée pour 335,000 francs a un gentleman de Buffalo. Moyen de corriger la rêsonnance du son DANS LES églises. Une surface plane réfléchit le son, qtioique en Ie partageant régu- lièremént dans Tespace opposé. Si elle est trop éloignée, elle produit un écho gênant. Si elle est trop rapprochée d'une seconde surface plane pa rallel, ou pouvant renvover Ie son sur une série d'autres, on a cette prolongation désagréable de chaque son produit, qu'on appelle une réson- nance. Ce dernier défant est, on peut le dire, général dans lous les edifices monumenlaux surtout quand ils sont netifs ou enlretrnus par un net to y a ge fréquent. Dans les edifices vieux ou abandonnés, en effet, il se produit bicnlól, par la collaboration du règne végétal sur les parots cl dans tons les coins, nne tapisserie amortissante qui fait l'effet des banquettes de velours des théétres, et rend les résonnances beancoup moins sensibles. Ött peut detruire la résonuanee par tin autre moyen aussi peu coüleux qu'il est efficace et l'ex- périence vient d en être fatte dans une égltse de Paris. Cette église est la nouvelle paroisse de Notre- Dame-des-Champs récemment lerminée et située Boulevard Montparnasse, entre la rue Montpar- nasse et la rue Stanislas. Or, cetle église toute neuve et toute nue était d une rêsonnance terrible a trois travées de dis tance, Ia parole du prédicatenr n'y était plus in telligible chaque syllabe étant cotmrie par les échos suecessifs des syllabes précédentes. Les sons de 1 orgue, se prorogeant aussi bien au-dela de la volonté de l'organiste, n'étaient enlendus qu'avec une confusion deplorable, qui ne laissait plus dis- tinguer ni les qualités de 1'exééutaiit ui celles de l'instrumenl. Le facteur, M. Cavuillé, se rappella alors le moyen curieux par lequel on avail réussi a corri- ger les tnauvaises qualités acousliques de la grande lief du palais de I'lnduslrie d'Antslerdant, lórsqu'il y monta, il y a un art, le magnifique instrument qui attire aujourd bui la futile aux concerts de ce palais. Cést Ie procédé des fils invisibles. II suffit de lendre, d'un cölé a l'auirede l'édifice dont ou veut délruire la rêsonnance, des fils de colon, places assez haut pour qu on ne les voie pas, et assez nombreux pour qu'il y en ait dans toute I étendue de l'espaee résonnant, it un ou deux metres de distance les tins des autres. Ils n'empêchenl pas la propagation du sou, mais ils font obstacle aux reflexions et aux remous, a peu prés de la même manière qu'une couche d'lttiile sur une grande surface d'eau, sans l'cmpécher de prendre son niveau, empêche les vagues et les éclaboussures. A mesurc qu'on posait un plus grand nombre de ces (ils dans l'église, il semblait qu'une sorle de caline s élablissait dans l'air rendant les sous perceplibles sans fatigue, et permettant de les dis- linguer a distance. Aiijonrd'hiii, la parole du pi édicateur s'entend nette et distincle jusqu'aux deux extréinités de l'église, et a la séance de con cours de I orgue, les passages les plus rapides et les plus forts étaient aussi pai-faitcincnt entendus que les passages doux et lents. At til t]t tSSnn VAN »j c^

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1877 | | pagina 3