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Samedi 23 Juin 1877. L' A
12° annee.
N° 1,198.
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SIP!
Le Journal parait Ie Mercredi et le Samedi. Les insertions content 15 centimes la ligne. Les réclames et annonces judiniaires se paiënt 30 centimes la ligne. On traite d forfait pour les insertions par année.
Un numéro du journal, pris au Bureau, 10 centimes. Les numéros supplémenlaires co.mmandés pour articles, Réclames on Annonces, coülent 10 fr. les 100 exemplaires.
CHEMIiV S K F K K. 1 Décembre.
UN DISTINGUO.
Pour ses lutles contre l'Eglise, le libéralis
me dispose d'un arsenal complet d'aphoris-
mes, de sublilités et de distinctions. Parmi
ces derniéres il en esl une que les dupes et
les habiles qui les dirigent affeclionnenl par-
liculiérement, a cause de son apparente sim-
plicité. Nous sommes, disent-ils, calholiques
en religion et libéraux en politique. Ce n'esl,
bien entendu, qu'une variante du fameux
le bourgmestre a l'hötel-de-ville et Ie curé a
l'Eglise, ou de eet autre, aux formes plus
ambilieuses: la séparalion de l'Eglise et de
l'Etat. Toutes formules d'une mème hostilité.
Derrière ces pompeuses declarations de
principes, qui ne sonl, au fond, que des mots
vides de sens, le libéral se met parfailement
a Paise'. Ses casuistes de la presse et ses théo-
logiens de tribune le couvrent de leur impo
sante autorité. Dans sa confiance il rappelle
a inerveille la chauve-souris du fabuliste
Je suis oiseau, voyez mes ailes;
Eb bien oui, voyons les ailes. Ce catholi-
que en religion a été baplisé, va a la inesse,
fait ses paques, se marie a l'église et observe
assez correctement, sinon très-abondamment
les pratiques extérieures du cnlte. Cela fait,
et e'est bien suffisant a son avis, notre homrae
se délecle avec ses bons amis les libéraux,
applaudit a leurs théories, patronne leurs
ceuvres et vote fidélement pour eux.
Qu'est-ce a dire
Vous croyez en Dieu et vous ètes avec
ceux qui le blasphément
Vous croyez a l'Eglise, et vous êles les
auxiliaires de ceux qui lui ont voué une haine
mortelle, qui lui déclarent la guerre mème
sur le terrain religieus et qui onl juré de la
déshonorer, de Tétouffer dans la boue
Vous devez croire a la divine mission du
prètre, envoyé de Dieu lui-méme el insépa-
rable de l'Eglise; mais vous étes iudulgent
el protecteur pour ces misérables qui font
vos petites affaires poliliques en bafouanl ce
prètre, en le trailant de vermine el en prépa-
rant la persécution
Vous devez avoir foi aux sacremenls puis-
que vous les fréquentez, et vous aecueillez a
votre foyer domeslique ces journaux qui
n'ont que des ricanemenls sacrileges pour
nos plus augustes mystères
Vous savez en voire ame et conscience, et
voireheureuse inconséquence le prouvequel-
quefois quand il s'agitdes vótres, que l'en-
seignement sceptiqne fait des athées, des
corrompus el des malheureux, et vous n'avez
pas le courage dedéfendre l'éducalion popu
laire, et vous faites chorus avec ceux qui
réclament l'enseignement séculariséplus
clairement nommé l'école sans Dieu
En deux mots, vous ployez encore legenou
devant ce que vous appelez la religion de nos
péreset vous ètes dans les rangs de l'enne-
mi, vous donnez voire vote, votre arme la
plus puissanle, a la politique de ceux qui
répudient la foi et qui prétendent lecraser
au nom du progrès
Quelle est done celle élrange logique
Quelle est cetle pretention de changer l'cs-
sence des choses, de les rendre a volonté
bonnes ou mauvaises suivaut qu'on se place
dans l'ordre politique ou dans l'ordre re!i-
gieux? Est-ce que par hasard il y aurait deux
vérilés, i'une différente de l'aulrq
Ah, nous sommes calholiques en religion
et libéraux en politique C'cst tout simple-
ment impossible. On ne se débarrasse pas
ainsi de ces compromettantes affinilés on
esl pour le Christ on contre lui.
Quand les calholiques signalen! ces incon
sequences, nous le savons, on les traite d'uI -
tramontains el de fanatiques, el leur comple
est fait: Soit done. Déplairait-il aux logiciens
du dislinguo d'entendre le témoignage des
frères et amis, de certains libéraux dont la
brutale franchise est Irouvée gênante quel-
quefois, mais qui n'en sont pas moins très-
écoulés au chapilre et trés-prisés pour les
services qu'ils rendent dans l'ardeur de leur
haine
Y'oici la Revue de Belgtgue. Nous
croyons salutaire, disait naguère l'un
de ses rédacteurs, de crier sans relache
a ces nombreux calholiques que seule la
force de l'habitude retienl sous le joug de
Rome, comme a ces libéraux imprévoyants
plus nombreux encore, qui iivrenl si allè-
grement a l'ennemi les avenues de leur
foyer domesliquesogez lulhérienssogez
calvinistes, sogez umtairiens, sogez vieux
calholiquessogez israélites, sogez ratio-
tiulisles, sogez bien autre chose encore
vous pourrez rester de bons citogens
d'excellents libéraux, de sincères progres-
sistes. Mais, sachez que, logiquement, nul
ne peul élre a la fois libéral en politique
et calholique romain en religion pas
plus que le mème citoyen ne peut appar-
tenir a deux Elals, pas plus que deux corps
ne peuvent occoper le mème espace.
Comme l'a dit Pie IX, en donnant a sa
citation le mème sens que nous Nemo
potest duobus dominis servire. [1 est grand
temps de clioisir lequel des deux maitres
vous voulez servir.
Ce langage est clair, ce nous semble, el le
suivanl ne I'est pas moins. II y a huil jours a
peine, la Flundre libérale disait tout net, en
relevant les idees émises a la Chambre par
M. Frére Orban Cessons done de nier la
lumière éclatante du jour. Cessons de
prolester de notre respect pour une religion
a laquelle on ne peut croire sanscondam-
ner nos principes, pour une Église dont on
ne peut resler membre qu'a condition de
combattre et de renier la liberie.
Mais nous avons un témoignage plus ré
cent encore et d'une crudilé plus grande si
e'est possible. La Chronique écrivait, le 11
juin, ces significatives paroles
II ne s'agit plus de répéter cetle élernelle
rengaine qui a servi de prétexte a toutes
les transactions, a toutes les compositions,
a toutes les capitulations Nous honorons
el respeelons la religion.
L'hypocrisie n'est pas demise. II s'agit
de dire franchemenl les choses telles qu'el-
les sont. La religion calholique, aujourd'hui
est un instrument de domination aux mains
d'un clergè sans scrupule. C'est eet instru-
ment qu'il faut briser, et l'on n'y arrivera
que lorsqu'ou aura osé dire hardiment
Le calholicisme, voild l'ennemi.
Que pensent de cela ces esprits conciliants
qui sont si habiles a rapprocher le bien et le
mal, Terreur et la vérité, le catholicisme en
religion et le libéralisme en politique
Qu'ils soient inlérieurement certains de
marcher en bonne compagnie, quand ils
voient que le libéralisme peut s'accorder
avec toutes les aberrations qu'énumère la
Revue de Relgiquequ'ils soient trés rassu-
rés sur la valeur de leur système et sur le
résullat final, ce n'est peut ètre pas le lieu
de Texaminerils usent de leur libre arbilre
et affronlent une responsabilité formidable
affaire a eux et a leur conscience. Mais quand
ils visenl a s'emparer des affaires publiques
sous le couvert de théories hybrides de
compromis mensongers, et, il faut bien le
dire, c'est toujours la le fond, alors la ques
tion esl tout autre. II y a menace permanente
aussi bien pour notre foi que pour uos droits
poliliques; la prudence commande au calho
lique de voir clair, de ne pas se laisser abu
ser par des phrases, et le devoir lui com
mande de résister avec énergie a unc mau-
vaise et dangereuse agression.
LA POLITIQUE.
C'est absolument ainsi que, par le temps
qui court, on a mis partout de la politique.
Celui qui l'aime, celui qui ne I'aime pas, peu
vent a leurgré, ou la savourer avec délices
ou s'abstenir de toucher a ce qu'on leur sort,
en disantOn y a mis de la politique
C'esl ainsi qu'a la Chambre, dans le scan-
daleux débat engage par les théologiens de
la gauche, on a ironvé moyen de bourrer
de politique tous les confessionnaux du pays.
C'est évidemment pour cela que les libéraux
ne se confessent pas.
Toute la question romaine qui plonge par
toutes ses raciues dans les plus intimes pro-
fondeursdudomaine religieux, n'eslaux yeux
de nos lynx libéraux, qu'une miserable que-
relle politique, a laquelle ils se garderonl
bien de meltre ledoigt. Ah! s'il ne sagissail
que d'assurcr l'indépendance spirituelle
du chef de la calholicilé, si la question était
purement religieuse, la papaulén'aurait point
de partisans plus dévoués que ces dévols de
la religion de nos péreset vous les ver-
riez, empressés d'aecourir a Rome, et d'incli-
ner leurs fronts respectueux sous la béncdic-
lion du Saint-Père. Mais pourquoi mel-on de
la politique la dedans, et empêche-t-on ainsi
ces pieux libéraux de laisser échapper les
sentiments que maintenant ils doivent étouf-
fer au fond de leurs eceurs lout saignanls de
peines et de regrets"?
Et ces pèlerinages et ces pricres publiques
et ce denier de St-Pierre, et ces adresses de
felicitations porlées a la nonciature, el ces
vceux pour la liberie de l'Eglise et pour le
triomphe de la papaulé, soyez sur que les
fidèles les plus libéraux seraient aussi les plus
dévoués et les plus généreux, si malheureu-
sement les cléricaux, les ullramonlains n'u-
vaient converti tout cela en intrigues polili
ques, s'ils n'avaient mis partout cel acerbe
citron dont les palais religieusement délicats
des convives libéraux ne supportent point
l'acidité, et dont leurs lèvres se retirent ins-
linctivement dés qu'ils en soupconnent le
moindre mélange.
Ainsi en esl-il encore des manifestations
si enthousiasles que provoque dans le monde
enlier le Jubiié Pontifical de notre bieu-aimé
Pie IX. Cel éclal de joie universelle, celle
fèie unique dans les annales de la chrélienlé,
fait rager le libéralisme de tous les pays el
de toutes les nuancesnous n'osons pas aflir-
mer qu'aucun des ces agneaux furieux ne
crève ces jours-ci de dépit el de colére; mais
la cause, ou sera l-elle? Pourquoi le libéra
lisme s'abslicnl-il, avec un ensemble de
commande, de loute participation a cette
fêle de ia piélé filiale? Pourquoi boude-l-il
dans son trou, quand partout les enfanls <.e
l'Eglise enlonnenl leurjoyeux Alleluia? Pour
quoi ces hiboux ne supportent-ils point l'éclat
de ces millions de lumières qui scinlillent en
l'honneur du glorieux Ponlife que les calho
liques sont si houreux, si fiers de fèter?
Pourquoi empèchent-ils les fournisseurs des
élablissemenls charilables d'aliumer la moin
dre bongiesous peine d'exécnlion sommaire?
N'ailez pas croire qu'il y ait, dans celte con
duite, la moindre idéé anti-chrélienne, la
moindre hostilité contre l'Eglise, la moindre
antipathie contre l'Auguste Vieillard dont on
veul bien reconnaitre la haute respectabilité.
Non. mille fois non! Nous aurions des lain
pions libéraux par milliers et les drapeaux
du libéralisme festoyant, se mêleraienl aux
oriflammes des calholiques, si ces derniers
toujours obslinés dans la mème idéé, ne
faisaient de ces fètes et de cos lampions et de
ces drapeaux aulant de trophées poliliques.
Et voila pourquoi le libéralisme se tient
coi et se lapit dans l'ombre.
On met de la politique partout
C'est vrai, infiniment vrai et c'esl, de plus
fatalement inévitable, c'est Tinéluctable con-
séquence du caractére que le libéralisme
imprime aux lutles ou nous sommes engagés.
La politique n'a pas dit son dernier mot,
il s'en faut
Au train dont vont les choses, nous pré-
voyonsqu'a brëveéchéance le baptème d'un
enfant sera un acte politique, le mariagc a
l'église un acte de cléricalisme, la réceplion
des derniers sacrements une apostasie que la
foi politique des libéraux frappera de ses
impitoyables anathémes.
Et ce ne sera pas nous qui nous en plain-
drons. Nous aimons les positions franches,
cl il nous plait de voir le dilemme se poser
nellemenl entre la négation effrontée de
toute croyanee, de toitle pratique chrélienne,
et 1'affirmalion intégrale de la foi et des
croyances calholiques.
COMME QUOI LE LIBÉRALISME
N'EN VEUT PAS A LA RELIGION.
Nous lisons dans la Chroniqueporle-éten-
dard du libéralisme
Une letlre égarée dans les plis d'un
journal, el que nous venons de retrouver,
nous signale ce fait que, duranl la troisiéme
sernaine du mois d'avril dernier, a Anvers,
sur qualorze mariages célébrés, il y en a
en cinq (plus du tiers) qui ont été purement
civiIs.
A la bonne hctire Quand done en nrri-
vcra-t-on a se passer du clergé lout a fait
dans les antes de la vie sociale
Mais il esl un tas de pauvres imbéciles
ainsi laits qu'ils sont toujours a se plaindre
du clergé, de ses procédés, de son intolé-
ranee el qui passent leur vie a recourira lui.
Ne nous occupons plus du clergé, laissons-
le moisir dans ses églises. déserions ses con
fessionnaux, el nc lui donnons plus un sou.
Vous verrez bien vile sa terrible puis
sance s'évanouir en fumée qui ne sera mème
point de la fumée d'encens. Voltaire l'a
dit, il y a longlemps déja
Done Vive la religion de nos péres
HARO SUR LES MOINES
M. Laurent ne veut pas que les moines
puissent devenir propriélaires, ni par consé
quent électeurs. De quel droit constitutioneel
Ie leur défendra-t-il L'arlicle 20 de la Con-
slitulion porie que les Beiges ont le droit
de s'associer; ce droit ne peut être soumis
a aucune mesure prévenlive. En vertu
de eet article, voila des hommes associés
légalemciR pour un inlérét rnligieux.
Ont-ils perdu aucun de leurs droits de
ciloyens beiges pour avoir usé de la liberlé
d'association, reconnue par la Constitution?
Évidemment non. S'ils ont des biens, ils
peuvent conlinuer a les posséder. Car, pour
étre moines, ils ne lombent pas sous les
coups de la mort civile qui, d'aprés l'article
13 de la Constitution, ne peut ètre rélablie,
ni de la confiscation de leurs biens, car
l'arlicle 12 de la Constitution porie La
peine de la confiscation des biens ne peut
ètre rétablie.
Voila done des ciloyens beiges qui, en
vertu de Tart. 20 dc la Constitution, peuvent
devenir moines saus ètre dépouillés et sans
pouvoir être dépouillés de leurs biens, a preu-
ve les articles 12 el 13. Done la Constitution
admet qu'ils peuvent étre a la fois moines el
propriélaires, moines et électeurs, moines-
éleeteursa l'abri des amendementsde» l'hom-
me-houlel »el des sophismes du pliilosoplie
Laurent. Ajouterons-nous que Tartiele 24 de
la Constitution permou la liberté des-cultes,
celle de leur exercice public.
Or, les moines, pour exercer ce culle pu
blic, out done droit d'avoir des fonds de lerre
sur lesqueis seronl balies des églises? Ils sc-
ronl done propriélaires devant la Constitution
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Poperinghe- Ypres, 5-15,7-00,9-28,11-00,2-15,5-05,9-20. Ypres-Poperinghe, 6-30,9-07,12-07,3-57,6^50,8-45,9-50. Po-
peringhe-Hazebrouck, 6 53, 12-25,7-10. Hazebrouck-Poperinghe-Ypres, 8-25, 4-10, 8-25.
Ypres-Roulers, 7-50, 12-25, 6-45. Roulers- Ypres, 9-25, 1-50, 7-50.
Roulers-ffrujes, 8-45, 11-34, 1-13,5,16, 7-36, (9-55. Lichierv.) Lichterv.-Thourout, 4-25 m. vers Ostende. Bruges-/tow-
lers 8 -25, 12-45, 5-05, 6-42. Lichierv.-Courtrai, 5-25 m.
Ypres-Courirai 5-34, 9-46, 11-20,2-35,5-25, Courtrai-Ypres, 8-08, 11-05,2-56,5-40,8-49.
Ypres-Thouroul, 7-18, 12 06, 6 20, (le Samedi a 5-50 du matin juscju'a Langhemarck). Thouroul-Ypres, 9-00, 1-25, 7-45,
(le Samedi a 6-20 du matin de Langhemarck a Ypres).
Comines-Warnêton-Le Touquet-Ilouplines-,lrment(ères, 6-00, 12-00, 3-35, Armentières-llouplines-Le Touquel-Warnêton-
Comines 7-25, 2,00, 4-45. Comines-VVantettm 8-45, m. 9-30s. (le Lundi 6-30,) Warnêion-Cotnmes 5-30, 11-10, (le
Lundi 6,50.)
Courtrai Bruges, 8-05,11-00, 12-35,4-40, (Ingel.) 6^55. 9-00 s. (Lichierv.)Bruges-Courtrai, 8-25, 12-45, 5-05,6-42.
Bruges, Blankenb, Heyst, (Slation) 7-25, 11-08, 2-50, 7-35. (bassin 7-31, 11-14,2-56, 7.41, lleysi, Blankenb, Bruges,
8-45, 8,25, 11-25, 5-30.
Ingelmunster Deynze-Cxawd, 8-00, 9-41, 2-15. lngelmunsier-Dey?tze, 6-10 7-15. Gand-Deynze-/?ije|m!««s<er, 6-58, 11-20,
4-41, 7-21. Deynie-Ingelmunster, 1-00.
Ingelmunsler-.-lnseghem, 6-05, 12-55, 6-13. Anseghem- Itigelm unster7-42, 2-20, 7-48.
Lichtervelde-Dixmude-Furnes el Dunkerke, 6 30, 9-08, 1-35, 8-00. DttnAer/ie-Furnes-Dixinude et Lichtervelde, 6-38, 11 10,
3-40, 5-00.
i)ixmude-ArieMporL9-50,2-20,8-45. Nieup-Dtrm, 7-30,12 00,4-20.
Thntirnut-Ostende, 4-50, 9-15, 1-50, 8-05.Ostende-Thouroul, 7-55, 10-10, 12 25, 6-18.
SelzaeteEecloo, 9-05, 1-25, 8-25. Eecloo-5e/zaete,5-35, 10-15,4-22.
Gand-Terneazen, (station) 8-17, 12-25, 7,30. (porie d'Anvers) 8-30, 12-40. 7-43. Terneuzen-öand, 6-00, 10-30, 440.
Selzaete-Lokeren, 9 04, 1 30, 8-3'). (le Merer. 5-10 ui.) Lokeren-Ss/zaete, 6 00, 10-25, 4-45. (le Mardi, 9,30.)
COH.
COURTRAI, BRUXELLES.
BBSPOW D AKOE
BRUXELLES, COURTRAI.
Courtrai dep.
Bruxelles arr.
6,37
8,50
10,53
1,35
12,33
2,25
3,42
6,10
6,35.
8,54.
Bruxelles dep.
Courtrai arr.
5,22
8,00
8,28
10,46
12,21 5,35
2,44 7,56
6,47.
8,44.
COURTRAI, T0URNA1, LILLE.
Courtrai dep. 6,37 10,86 2,54 5,34 8,47.
Tournai arr. 7,28 11,47 3,48 6,39 0,41.
Lille 7,38 12,08 4,00 6,35 10,00.
COURTRAI, GAND.
LILLE, TOURNAI, COURTRAI.
Lille dep. 5,15 8,22 11,05 2,22 4,45
Tournai 5,42 8,56 11,29 2,40 5,39
Courtrai arr. 6,34 9.47 12,26 3,38 6,33
GAND, COURTRAI.
Courtrai dep. 6,42 9,49
Gand arr. 8,01 11,08
12,31 3,44 6,40.
1,51 5,04 7,56.
Gand dep.
Courtrai arr.
5,15
6,37
9,38
10,56
1,28
2,54
4,24
5,34
7,21.
8,47.
BRUGES, GAND, BRUXELLES.
Bruges d. 6,49ex.7,04 9,39 12,34, 2-52,ex. 6,43. I Bruxelles dep.
Gand a. 7,34 8,19 10,54 1,49 4,07, 7,58. 9,31. "Gand
Bruxelles 8,50 10,35 12,39 4-00. 7,15, 9-31. I >,40. I Brug.
BRUXELLES, GAND, BRUGES.
7,2) 8,14 11,00 1,38 3,02 ex. 4,59 ex.
arr. 6,00 8,38 9,41
7,15 9,23 10,34
1,23 3,59 4,11
2,38 5,01
6,29
7,22
5.50
7,87
5,18
Je suis souris, viveut les rats
Jupiter confonde les chats
i Aimez vous le citron on en a mis partout
Les prêlrcs ne sonl point ce qu'un vain peuple pense;
Nolrc credulitê fait loute leur puissance.