rCiAW^ :esK o Samedi 30 Juin 1877. armee. N° 1,200. a s 3L iiar I e Journal parail le Mercredi et le Samedi. Les insertions coütent 15 centimes la ligne. Les réclames et annonces judiciaires se paienl 30 centimes la ligne. On trade d forfait pour les insertions par année. Un numéro du journal, pris au Bureau, 10'centimes. Les numeros supplémentaires cotnmaridës pour articles, Réclames ou Annonces, coütent 10 fr. les 100 exemplaires. H ]?1 B jV S 09 E I' H 11. 1 Décembre. L'ALLOCUTION PONTIFICALE. Lu dernière allocution pontificale est bien faite pour stimuler le zéle des calholiques, pour fortifier leur courage et pour les enga ger a persévérer dans la défense énergique des droits de Dieu et de FEglise. Ce n'est pas seulement une parole d'affec- lueuse gratitude que Pie IX adresse aux évè- qués et aux fidèles qui se sont associés aux joies de son jubilé épiscopal. LePapes'attache en outre a relever l'universalité, l'éclat, la poi tée des démonstralions qui ont marqué cetle fète et il en tire des conclusions sur lesquelles il convient d'insister. Et tout d'abord, ce cortége universel de la piété filiale, cetle couronne de peuples entouranl la Papaulé, constituent un témoi- gnage irrécusable de la victorieuse vitalilé de l'Eglise au temps difficile oü nous vivons. Destiluée de lous les appuis humains, Elle voit au contraire les gouvernemenls la com- batlre, la presse contemporaine la poursuivre d'injures el de calomnies toujours renouve- lées, la Révolution et la Franc-maconnerie s'acharner a sa perle. Et, malgré tous ces obstacles, au sein mèrne de cette guerre pleine de perils et d'embüches, l'unité de l'Eglise se révéle avec une incomparable splendour. Le Vatican exerce jusqu'aux ex- trémités de la terre une attraction qui ap- pelle a Rome des milliers de pélerins, et Pierre nous apparait dans la persorme de son successeur, tout rayonnant de gloire sur leThabor de la visibilité catholique. Nous laisserons les philosophes el les poli- tiques chercher une explication plausible de eet imposant spectacle. II n'est guère probable qu'ils la découvrent dans l'ordre des fails puremenl humains, puisque ces faits, nous venons de le voir, semblent conjurés pour amener la ruine de l'Eglise. Reconnaissons plulöl ici Paction de la Providence el bénis- sons-la de parsemer ainsi de graces exlraor- dinaires ce glorieux régne de Pie IX dont la prolongation est déja a elle seule un bienfait providentie!. Le lecleur aura aussi remarqué combien Pallocution pontificale précise et accenlue la signification de ['immense concours de fidéles qui s'est produit a Rome pendant les fètes du Jubilé. Ces foules ne sont pas venues seule ment vénérer le Vicaire de Jésus-Chrisl; elles sont venues aussi appuyer ses protestations conlre les attentats dont le Saint-Siége a été victime et conlre la domination hostile qui pése encore aujourd'hui sur le chef de l'Eglise catholique. Rien de plus net cl de plus ferme que le passage de Pallocution pontificale dans lequel Pie IX revendique une fois de plus sa legitime indépendance et la plénilude de ses droits souverains. Cet exemple, venu de si haul, est une éclatante et victorieuse réponse auxhabiles de l'oppor- tunisme, aux courtisans du fait accompli, a lous ceux qui, sous des prétexles divers, nous consedlent de tenir caplives sur nos lèvres les protestations persévéranles qui sont au fond de nos coeurs. Faisons comme le Pape el nous ferons bieu Ne disons pas que 1 iniquitè d'hier est devenue la justice d'au- jourd hui et que le succés a réhabililé Ie crime. C'est peut-ètre la du droit moderne, de la prudence, de la diplomatie, etc., etc.; mais ce n'est plus du christianisme. Recueillons enfin cette parole tombée sou vent, depuis quelques semaines, de la bouche de Pie IX, mais que son exemple surlout préche avec une irrésistible éloquence: Cou rage Et comment n'aurions-nous pas con- fiance, comment pourrions-nous douter du succés final de la lutte, lorsque nous voyons le saint et héroïque vieillard du Vatican dé- ployer une fermeté, une conslance virile, une inaltérable sérénité oü se révéle déja la certitude de la victoire Nous sommes tons fits de l'Eglise militante el c'est en liittaht avec Elle et pour Elle que nous mériterons d'etre associés a son triomphe. C'est le prin cipe fondamental du calholicisme la vie de l'homme est un combat. Mais combien cette vérité nous apparait lumineuse et claire, au milieu de la crise que nous traversons et en présence du sublime modèle qui concentre sur lui les regards de l'univers chrélien et force l'admiration des adversaires de la reli gion eux-mèmes Pie IX nous apprend a lutter avec énergie, avec persévérance, avec courage. Son régne a élé une grande balaille conlre Terreur et contre l'injustice. Elles ont pu lui livrer l'une et l'autre des assauts fu- rieux; mais elles n'ont pu ui vaincre sa con slance, ni aballre sa fermeté. Mèrne a l'heure des plus cruélles épréuves, le senlimenl de la vérité et du droit lui donnait la vigueur nécessaire pour ne point fléebir et, aujour d'hui encore, en dépit des apparences con- traires, il entrevoil déja lemensonge et ['usur pation écrasés sous son pied vainqueur. El c'est lui-mèrne qui nous engage a lutter avec Ie mèrne espoir, la mèrne vaillance, la méme inlrépidilé Comment ne passuivre un chef qui nousdonne de lels exemples Comment résister a une voix qui parle au nom de Dieu lui-même Cetle influence de la parole pontificale est d'ailleurs visible dans la catho- licilé tout entiére. Le calholicisme traverse une crise formidable qui déja donne a I'in- crédulilé {'infernal espoir de voir enfin (om ber «Pinfame» et cependani, au sein de l'Eglise, régnenl l'union, la confiance et la paix. A l'attitude de Pierre, on voit bien que Jésus-Christ lui-méme est dans la barque et que si nous sommes ballotlés par la tempéte nous n'avons pas le naufrage a redouler. Que de navires brillamment pavoisés, frélés par les princes de la civilisation moderne et guidés par des pilotes libéraux, auront de puis longtemps sombré, alors que la petite barque de Pierre, toujours secouéc, mais toujours insubmersible, continuera de mener au port ceux qui se seront confiés au Pilote inspire que Dieu lui-même guide au milieu des fureurs de la tempéte et des écueils de l'Océan LA GUERRE ACTUELLE. L'art perfide et souvent heureux de la po- lémique libérale est de renverser les situa tions et de perverlir si bien le sens des mots qu'ils paraissent pris précisément au rebours de leur acceptation naturelle. C'est encore a cette tactique que nos adversaires ont eu recours dans la controverse qui a surgi, a la Chambre et dans la presse, concernant l'in- violabililé légale du Sacremenl de Pénilènce. Les oraleurs et lesjournaux gueux se sont insurgés contre un prétendu privilege, revendiqué par les ultramontains en fa veur du clergé. En fait, c'est précisément le contraire qui est vrai. Le hut réel et trés-apparent des Gueux est de désarmer légalement l'Eglise en présence des attaques dont elle est lous les jours l'ob- jet. Ouvrez le premier journal libéral venu: nous voiis défions bien de n'y pas renconlrer des attaques, non-seülemenl conlre la pré- te n d u e intrusion du clergé dans le domaine politique, mais conlre le dog me, conlre la moraleconlre la hiéarchieconlre Cexis- tence indépendanie et autonome de l'Eglise catholique. C'esl done bien sur le terrain spirituel el religieux qn'est assailli le calholicisme, et, cela élant, l'empècher d'user a son tour tfar- mes spirituelles pour repousser les agres sions dont il est l'objet, c'est non-sèulement l'exclure de la liberté commune, mais lui in- terdire le droit essentiel et primordial de légitime défense. II ne s'agit done ni de reconnaitre des pri- viléges, ni de créer des immunités spéciales au profit du cléricalisme; il s'agit, tout au contraire, d'empècher, les libéraux de s'assurer les bénéfices usurpés du monologue et d'escroquer une victoire facile et sans re présailles possibles. Dans la situation actuelle des parlis, en dé- pit de certaines habilelés de tribune et de quelques artifices surannés de polémique, il n'est plus possible de se faire illusion sur le caraclére réel des lutles qui divisent la Belgique. lei, comme ailleurs, le combat se livrc entre le christianisme et l'antichristianisme. Ceux qui, de part ou d'aulre, ne posenl point la question dans ces termes manquenl ou du courage de leur foi ou de la logique de leur incréduité. Du cöté des calholiques croyanls, le nom- bre de ces esprits irréflechis et incomplets est devenu si rare qti'a vrai dire, ils ne comptenl plus. Du cöté des libéraux, il s'est également amoindri au point que non seulement un ac te religieux émané d'un libéral est taxé d'in- conséquence, mais que celui-la mèrne est re pute trahir la cause libérale qui reeonnait encore, soit aux prétres, soit aux fidéles, la liberlé d'user au profit du calholicisme de la facullé générale d'action et de propagande garantie par notre droit public. Or, c'est précisément en ces derniers ter mes que se pose la controverse a laquelle a donné lieu le projet de loi sur la réforme électorale. Les libéraux jetteraient les hauls cris, ils dénonceraient le rélablissement de l'inquisi- tion et de lous les abus d'un autre age, s'il était seulement question d'abriter légale ment la religion conlre les atlaques de la ca- lomnieou contre les niépris de i'ignorance. Une semblable tentative serail unanime- ment flélrie par r.os adversaires comme une manoeuvre réaclionnaire et anliconstitntion- nelle. Mais, en revanche, ces mémes Gueux qui se révoltenl a la simple idéc de la coër- cilion légale miseau service de la vérité, dé nienl a l'église la liberlé de se défendre, méme sur le terrain du droil commun, el d'opposer a des attaques qui visent direcle- ment I 'a n tor i té spirituelle les armes dont cette mèrne autorité a été divinement inves- tie pour sauvegarder sou prestige et l'inlégri- té de ses attributions. Remarquez bieri, en el'fel, que le refus d'absoltitionrexcommunicalion, la censure, en un mol, que loutes les p'éinës ecctésiasli- ques doni le libéralisme fail un si bruyant étalage, sont du doan'u\c parement spirituel et qu'en vertil mèrne du principe libéral de la separation de l'Eglise et de l'Etal, la loi civile doit les ignorer absolument et les con- sidérer comme inexistantes. El le fait ici s'accorde avec le droit consti- tutionnel. II est également loisible aux élec- tours de M. Bara comme a M. Bara lui-mè- me, de s'abstenir des sacrements, de lire desjournaux impies, d'affronler loutes les pénalilés comminées par la législation ecclé- siaslique. Le législateur civil ne pourrait logique- ment intervenir en cette matière qu'en se faisant le défenseur d'un libéralisme officiel, sorle d'irréligion d'Elat, arbilrairemenl sub- stituée au culle public, reconnii par la légis lation do l'ancien régime. Ce système ne san ra il pré va loi r qu'a la condition de faire subrepiicemenl revivre un principe solennelieinent répudié par nos législateurs constituanls: la suprematie de l'Etat sur l'Eglise. Nous savons bien que nos libéraux en sont arrivés au point de rèver félablissement de ce Syllabus gueux; mais nous savons aussi que ni la Chambre, ni le Sénat ne se prête- ront a cetle tenia live de réaction, prönée seulement sans réserves par les énergumènes de la Flandre libérale. Mais ce n'est pas assez d'empècher le libé ralisme d'arriver direclement a la réalisation de ses desseins; il faut encore lui interdire de les réaliser, d'une manière détournée, a l'aidede maximes, de vceux, de declarations el de voles, qui impliqüeraient une deroga tion funeste aux principes clairs ct formels dc la Constitution II iinportedonc que nos amis de la Cham bre et du Sénat el que les ministres eux-mè mes soient sur leurs gardes et veillem a ne point compromettre par des concessions in- opporlunes l'inlégrilé des droits du saeerdo- ce catholique. A ce point de vue, les négo- ciations poursuivies enlre M. Malou et la gauche, en vue d'arriver a un vole commun de la réforme électorale, offrentune extréme gravilé. Sans enlrer dans les détails, nous croyons utile de rappeler que pas uu catho lique, digne de ce nom, ne peut conseutira l'amoindrissementiégal desdroits de l'Eglise, sans renier sa propre foi, et, par conséquent, sans violer le mandat public dont il a été invesli par ses coreligionnaires précisément pour défendre cette foi. Alors que la loi sur la réforme électorale nous offrirail des avantages poliliques con siderables, ces avantages seraient de pen de vaiëur, mis en regard des empiéiemcnls lé- gaux, méme puremenl ihéoriques, commis contre l'indépendance ;.u pouvoir sacerdotal. A plus forte raison devrail il on èlrc de la sorle s'il fa 11 a i l èchcter par Ie désaveu de nos principes I'octroi dc dispositions légales d'un profit lout au moins Irés-discutable. Nous venons dé voir, a la lumiére du bon sens et dc l'évidence des faits, que la réfor me électorale, telle qu'elle est sortie des deli- béralions de la Chambre, ne crée au profit du cïèFgé aucuné espéce de faveur ou de privilege. Au point de vue constitutioneel le plus strict el le plus élroit, ce projet de 1 o est done parfailement inallaquable. Nous ne comprendrions pas que le ministère allant plus loin, s'avisat de créer précisément au profil des libéraux le privilege qu'on lui re- proche a tort d'avoir introduit au bénéfice du clergé. La suppressiondel'article46 du projel de loi, consentie par M. Malou, répond aux exigences I i bêrales sans a moitid rir Ie droit des calholiques. Ce serail déja pousser très-loin la condescendance que de voter la réforme électorale dans de telles conditons; mais co serail dépasser loutes les hornes de la conci liation que de couronner cette concession par desdésaveux, des declarations et des in terpretations telles que nos adversaires pus- senl s'en emparer comme d'un butin et les disposer en trophée dans l'arsenal électoral de la gueuseric. Votla cependant la prélention unanime des libéraux Pour en faire justice, ilsuffira, nous l'éspé- rons, d'en appeler a Péquité du ministère. Son amour de la conciliation peut Ie conduire a des accominodements inaltendus; mais ce qui serail exorbitant au-dela de toule expression et de toule mësure, c'est qu'il consentii a signer une paix d'ailleurs factice et précaire sur le dos de ses amis. Nous prisons médiocrement l'habileté qui sacrifie- rait les princijtes a l'obleiition d'un vole gé- néral ou unanime; mais, en revanche, nous honorons avec bonheur Ie courage qui sail résister a I'allraclion d'une unanimité, plus apparente que réelle, potir maintenir, au- dessus des compromis qui passent, les prin cipes qui demeurent. Dans lecas acluel, le principe qu'il s'agit de défendre, c'est celui de l'indépendance de l'Eglise et de sa libre juridiction spirituelle. Le projet de loi soumis aux délibéralions du Sénat nous parail trop peu important pour soulever dans nos rangs une opposition qui ne serail point basée sur la défense de ce principe; mais en revanche ce principe lui-même nous parail assez ca pital pour juslifier l'abandon ou le rejet d'un projel de loi qui ne le maintiendrait point dans loute son intégrité. LA LIBERTÉ DU PRETRE. De lous les oraleurs de In gauche qui out pris récemment la parole a la Chambre pour défendre le beau régime de l'absolulion obli gatoire, il n'en est aucun qui nous ait fail -c O CO 'O O CO to to u cs VJ3 '-^ vSiéfjjtïtir, o co ~1 H "O >- ra H b iS <o C2 CO C*3 H ra co Poperinghe- Ypres, 5-15,7-00,9-28,11-00,2-15,5-05,9-20. Ypres-Poperinghe, 6-30,9-07,12-07,3-37,0 00,8-43,9-50. Po- peringhe-Ilazebrouck, 6 53, 12-25,7-10. tlazebrouck Poperinghe-Ypres, 8-25, 4-10, 8-25. Ypres-/!outers, 7-50, 12-25, 6-45. Roulers- Ypres, 9-25, 1-50, 7-50. \{ou\ers-Bruges, 8-45, 11-34, 1-13,5,16, 7-36, (9-55. Licluerv.) - Lichterv.-Thouroul, 4-25 m. vers Ostende. Bruges-/<om- lers 8-25, 12-45, 5-05, 6-42. Licluerv.-Coi/rtrai, 5-25 m. Ypres-Courlrai 5-34, 9-46, 1 1-20, 2-35, 5-25, Courtrai- Ypres, 8-08, 11-05, 2-56, 5-40, 8-49. Ypres-ThourOM, 7-18, 12 06. 6 20, (Ié Samedi ii 5-50 du maiin jusqu'a Langhemarck)Thouroul-Ypres, 9-00, 1-25, 7-45, (le Samëdi a 6-20 du matin de Langhernarck J Ypres). Comines-Wnrnêton-Le Touquet-llouplines-ArmenOeVfes, 6-00, 12-00, 3-35, Armeniières-lIoupiines-Le louquet-Warne Comines 7-25, 2,00, 4-45. Comines- Wamêlon 8-45, m 9-30 s. (le Lundi 6-30,) NVarnêton-Comines 5-30, 11-10, Lundi 6,50.) iiêton- (le Lundi 6,50.) Courtrai Bruges, 8-05,11-00, 12-35,4-40, (Ingot6-55. 9-00 s. (Licluerv.) Bruges-Courlrai, 8-25; 12-45, 5-05,6-42. Bruges, Blankenb, Heyst, (Statibn) 7-25, 11 08, 2-50, 7-35.(bassin 7-31, 11-14. 2-56, 7.41, 'Heyst, Blankenb, Biuges, 545, 8,25, 11-25, 5-30. Ingelmunstcr Deynze-Gf«id, 5-00, 9-412-15. lngelmunsler-Z%»ze, 6 10 7-15. Giind-l.)eynz e-lngelmunsler, 6-58, 11-20, 4-41, 7-21. Deynze Ingelmunsler, 1-00. Ingelmunsler-A nseghem, 6-05, 12-55, 6-13. Ansegliem-Ingelmunster, 7-42, 2-20, 7-45. Lichlervelde-Dixrrjude-Furnes et Dunkerke, 6 30, 9-08, 1-35, 8-00. Dunkerke-Furnes-Dixmude et Lichter velde6-35, 11 10, 3-40, 5-00. Dixmude-Me«/)07rf,9-30,2-20,8-43. Nieup-Dwwi, 7-30,12 00,4-20. 'Fh'ourout-Ostende, 4-50, 9-15, 1-50, 8-05. Ostende-Thouroul, 7-55, 10-10, 12 25, 0-1S Selzaeie-itee/oo, 9-05, l-2t>, 8-25. Ylkc\ób-Selzaele,$-%ti\ 10-15.4-22. Gand-Terneazen, (station) 8-17, 12-23. 7,39 (porto d'.Vnvwrs) 8-59, 12-40. 7 43. l'orneuzen-Ciznd, 6-00, 10-30, 440 Selzaete-LoA'ererc, 9-04, 1-30, 8-39. (Ie Merer. .3-10 m.) Lnkoreii-.Se/-tMrfe, 6 00, 10-23, 4 43. (le Mardi, 9,30.) CO R IX HSV COURTRAI, BRUXELLES. Courtrai dép. 0,37 10,33 12,33 3,42 6,35. BruxeJIes arr. 8,50 1,35 2,23 0,10 8,54 COURTRAI, TOURNAILILLE. Courtrai dép. 6,37 10,36 2,34 5,34 8,47. Tournai arr. 7,28 11,47 3,48 6,39 0,41 Li 1 le 7,38 12,08 4,00 0,35 10,00. COURTRAI, GANI). Courtrai dep. 0,42 9,49 12,31 3,44 6,40. Gand arr. 8,01 1 1,08 1,31 5,04 7,36. OJVDAjVCES. BRUXELLES, COURTRAI. Bruxelles dép. Courtrai arr. 3,22 8,00 8,28 10,46 12,21 5,33 2,44 7,36 6,47. 8,44. Lille dép. Tournai Courtrai arr. LILLE, TOURNAI, COURTRAI. 3,15 8,22 11,03 2,22 4,43 5,42 8,56 11,29 2,40 5,39 6,34 9.47 12,26 3,38 6,33 GAND, COURTRAI. Gand dép. Courtrai arr. 3,15 6,37 9,38 10,56 1,28 2,54 4,24 5,34 7,21. 8,47. BRUGES, GAND, BRUXELLES. Biuges d. ü,49ex. 7,04 9,39 12.34, 2- 52,ex. 6,43. Gand a. 7,34 8,19 10,34 t ,49 4,07, 7,58. 9,31. Bruxelles 8,30 10,33 12,39 4 00, 7,15, 9-31. M,40. BRUXELLES, GAND, BRUGES Bruxelles dép. 7,20 8,14 11,06 1,35 3,02 ex. 4,59 ex G in 1 arr. 6,00 8,38 9,41 1,23 3,59 4,11 6,29 Bruges 7,15 9,23 10,34 2,38 3,01 7,22 3.30 7,87 5,18 ■am

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Journal d’Ypres (1874-1913) | 1877 | | pagina 1